1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ctuations de votre moi ? Votre sincérité est-elle consentement immédiat à toute impulsion spontanée (Gide), ou « perpétuel effort po
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 ation, mais celui, combien plus amer et noble, du consentement aux lois de la vie. Seule épreuve qui permette de nous en libérer. Ca
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
3 as le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement de l’esprit à ce dérèglement8 ». Et pourtant, nous n’avons jamais à d
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
4 as le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement de l’esprit à ce dérèglement38. » Et pourtant, nous n’avons jamais à
5 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
5 as le dérèglement de la chair et du sang, mais le consentement de l’esprit à ce dérèglement. »31 Et pourtant, nous n’avons jamais à
6 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
6 on sans avoir mûrement pesé son acte et obtenu le consentement des siens. Nous ne sommes pas en présence d’un pauvre illuminé, mais
7 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
7 complexités sentimentales ; l’échange sexuel, par consentement commun, n’engage à rien, ni à l’amour ni au mariage ; affirmation du
8 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
8 ombrageuse, eh bien ! nous nous passerons de leur consentement . C’est bien dommage, mais nous n’allons quand même pas attendre le vi
9 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
9 complexités sentimentales ; l’échange sexuel, par consentement commun, n’engage à rien, ni à l’amour ni au mariage ; affirmation du
10 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
10 épouse ne peut exercer une profession qu’avec son consentement . Elle n’est pas son égale en droit. Cette situation provoque les prot
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
11 r des étrangers, ou que sa propre supériorité, du consentement de tous, lui donne l’autorité ; autrement, le village, non seulement
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
12 angereuse qui soit, ne doit être faite qu’avec le consentement de toute la nation. Il faut supprimer les causes de la guerre dès qu’
13 roposant que la guerre ne soit faite « qu’avec le consentement de toute la nation », loin de « supprimer les causes de guerre », Éra
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
14 … il est necessaire que les princes d’un commun consentement réduisent les monnoyes à un mesme pied, afin que chacun puisse contra
15 erritoire, ni signer aucun Traité entr’eux que du consentement , & sous la garantie de l’Union aux trois quarts des vingt-quatre
16 Articles fondamentaux ci-dessus exprimez, sans le consentement unanime de tous les membres : mais à l’égard des autres Articles, la
17 cable : il ne manque pour la faire réussir que le consentement de l’Europe et quelques autres bagatelles semblables. Leibniz, à pro
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
18 ement de la paix perpétuelle dépend uniquement du consentement des souverains, et n’offre point à lever d’autre difficulté que leur
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
19 te violation d’indépendance empêche la liberté du consentement  ; Que la Liberté, l’Égalité, l’Humanité, sont également sacrées, qu’e
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
20 Renan oppose l’idée d’une nation fédérée par le «  consentement actuel » des populations et par leur « volonté de vivre ensemble » en
21 r quelque chose de beaucoup plus tangible, par le consentement actuel, par la volonté qu’ont les différentes provinces d’un État de
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
22 faire d’un être humain un simple outil, sans son consentement . Les enquêtes faites par les médecins de Goering sur des prisonniers
18 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
23 le de la volonté militante de quelques groupes en consentement raisonné du grand nombre. Aujourd’hui, l’Europe des cadres. Demain, l
19 1965, Fédéralisme culturel (1965). I. « Toute culture est création de diversité »
24 ative d’Européens sains d’esprit, et par le libre consentement nos peuples. Écartons ce fantôme lugubre. Restent deux possibilités d
20 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
25 e. Mais c’était désormais par libre choix et d’un consentement unanime qu’elle se liait les mains juridiquement. C’est donc à tort q
21 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
26 éalable à tout contrat sincère, fondé sur le seul consentement des parties, n’a été rompu que par l’avènement des premiers États tot
22 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
27 a France, sans jamais obtenir, je crois, le libre consentement des parties annexées. Ça a été fait par la conquête, le non-respect d