1 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
1 en nous non pas des maîtres ni des noms, mais la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se t
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
2 ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se t
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
3 ine » ou « je ne fous rien ». Phrases d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol. L’homme dit « j’agis », e
4 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
4 ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se t
5 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
5 ine » ou « je ne fous rien ». Phrases d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol. L’homme dit « j’agis », e
6 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
6 ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se t
7 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
7 ine » ou « je ne fous rien ». Phrases d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol. L’homme dit « j’agis », e
8 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
8 it pas même imaginer. C’est un spectacle vraiment consternant que celui de ces hommes de bonne volonté sans volonté, se lançant, pa
9 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
9 un autre problème. L’époque n’est-elle pas assez consternante et consternée, les esprits pas assez égarés ? Faut-il encore jeter le
10 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
10 un autre problème. L’époque n’est-elle pas assez consternante et consternée, les esprits pas assez égarés ? Faut-il encore jeter le
11 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
11 un autre problème. L’époque n’est-elle pas assez consternante et consternée, les esprits pas assez égarés ? Faut-il encore jeter le
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
12 en nous non pas des maîtres ni des noms, mais la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peut aimer et vouloir se t
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
13 e dans l’espace et le temps. Ses conclusions sont consternantes  : L’Occidental qui désire s’attaquer à ce problème doit essayer de s
14 1970, Articles divers (1970-1973). « L’Europe ? Une révolution culturelle ! » (15 octobre 1970)
14 des frontières et trois douaniers français d’une consternante médiocrité… L’Europe des esprits n’est pas encore, il s’en faut même
15 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
15 lan ni perspectives, ni centre ni raison. À cette consternante absence de politique, de bons esprits de notre temps imaginent d’oppo