1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
1 incipes. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de conte moral, avec ses personnages un peu conventionnels et l’invraisemblanc
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
2 Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)d Com
3 imentale. d. « L’individu atteint de strabisme. Conte métaphysique », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fr
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 bouleversant. Et je ne parle pas du miracle genre conte de fée, comme le Voyage imaginaire en montre (beaucoup trop à mon gré
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 re bouche, une injure de pythie. Vous dites de ce conte  : c’est trop écrit. Vous dites de ce roman : c’est trop agréable. Vou
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 promis sentimental, à l’Opéra où l’on donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon es
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 ne certaine qualité de désespoir, je retrouve les contes d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous v
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
8 et qui différencient radicalement notre vie d’un conte de fées. Il n’y a là, de la part de l’auteur, nul parti pris de « réa
8 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
9 que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes romantiques, cas tout à fait rare dans la littérature française, et q
10 fonde raison d’être. C’est pourquoi les meilleurs contes du volume sont ceux dont la lenteur nous retient. Ainsi Sarah, Monsie
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
11 ristian Andersen et Søren Kierkegaard. (Féerie du Conte de ma vie d’Andersen, où l’on voit ce « poète des poètes » à la sensi
10 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
12 pparente platitude, mais translucide, que dans le Conte du Serpent Vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
13 promis sentimental, à l’Opéra où l’on donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon es
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
14 ne certaine qualité de désespoir, je retrouve les contes d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler ; vous
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
15 u’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble
14 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
16 livres autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal, c’est-à-dire s’il demande une nourriture rapidement assim
15 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
17 ’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un conte bleu, ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui f
18 enfants qui semblent incarner toute la poésie des contes scandinaves, une merveilleuse petite Eva-Margareta dont l’apparition
16 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
19 ’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un conte bleu, ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui f
17 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
20 campagne vaudoise, qui a eu des malheurs, qui les conte assez mal — Giono s’en mêle trop — et qui a cherché à s’en tirer par
18 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
21 illeurs, Breton dit tant de mal (Introduction aux contes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux problème avec des airs
19 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
22 et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas sortir du puits en se tirant par les che
20 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
23 et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut pas sortir du puits en se tirant par les che
21 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
24 augmentant les dépenses de guerre. Edschmid nous conte les aventures de cinq sous-officiers de la dernière guerre que le chô
22 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
25 court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs contes sans jamais se poser de questions sur le sens d’un tel accident — don
26 soi-même) dont parle Chamisso vers la fin de son conte . Voilà qui peut situer enfin le vrai problème39. La créativité : c’es
27 fait dominer l’aspect « spirituel » du mythe. Son conte de l’Ombre, c’est le symbole de la puissance de création qui vient à
28 e de l’ombre perdue dans leurs romans, pièces, ou contes fantastiques. Notons qu’en dehors du domaine germanique et anglais, i
29 rents, au cours d’un séjour à Paris. L’origine du conte célèbre serait donc bien française, et Barrès s’en réjouit. Il va jus
30 est-à-dire d’une nouvelle normalité. 38. Dans le conte intitulé « l’Ombre », Andersen raconte comment un philosophe « Venant
23 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
31 méditation ou d’analyse. Toutes les ressources du conte populaire et de l’imagerie sentimentale et romanesque, qu’on croyait
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
32 tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une
25 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
33 pposer une certaine douceur amusée. Voltaire nous conte là-dessus une anecdote dont j’aime assez l’impertinence. Il imagine u
26 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
34 wis Carroll (août 1938)am Si l’on songe que le conte est par essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur, on
35 ibérateur, on conçoit que les meilleurs sujets de contes sont les plus abstraitement logiques. La logique enfantine est bien p
36 nous orienter vers une compréhension nouvelle des contes de Lewis Carroll — qui était un mathématicien —, et d’Alice en partic
37 Qu’en résultera-t-il ? Le rêve logique qu’est le conte de Carroll nous apparaît alors comme une série de variations sur le t
38 e poserait le problème de la version française du conte  ; celle de René Bour me paraît scrupuleuse, encore que déparée ici ou
27 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
39 aut attaquer dans le christianisme : les obscènes contes juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mon
28 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
40 « Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » — Rien au monde ne saurait nous plaire davant
41 un art infaillible qui nous jette dès le seuil du conte dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
42 lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème, conte ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
43 plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du conte . Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
29 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
44 Nizani de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui conte les aventures des sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
45 blement déformé la signification des mythes qu’il conte . La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
46 les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du conte , destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
30 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
47 s yeux sans qu’ils y aient vu autre chose que des contes à dormir debout, obtenant une vogue européenne, et des amours d’une p
31 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
48 « Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » Rien au monde ne saurait nous plaire davantag
49 un art infaillible qui nous jette dès le seuil du conte dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
50 lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème, conte ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
51 plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du conte . Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
32 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
52 e Nizam de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui conte les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
53 oi l’on peut rêver. La Pantcha Tantra, recueil de contes bouddhistes, fut traduite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par
54 blement déformé la signification des mythes qu’il conte . La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
55 les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du conte , destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
56 « Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ?… » Rien au monde ne saurait nous plaire davantag
57 un art infaillible qui nous jette dès le seuil du conte dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
58 lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème, conte ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
59 plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du conte . Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
34 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
60 Nizami de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui conte les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
61 uoi l’on peut rêver. La Pancha Tantra, recueil de contes bouddhistes, fut traduite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par
62 blement déformé la signification des mythes qu’il conte . La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
63 les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du conte , destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
64 s yeux sans qu’ils y aient vu autre chose que des contes à dormir debout, obtenant une vogue européenne, et des amours d’une p
36 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
65 ans. À présent, ils continuent à répéter le vieux conte . On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
37 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
66 ans. À présent, ils continuent à répéter le vieux conte . On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
38 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
67 ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux contes de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
68 de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des contes de bonnes femmes. 11. Diable et péché Mais voici d’un tour plus
69 atte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge. En vérité, le diable n’est pas dangereux là où il
39 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
70 autant de grâce. Que signifie cette ombre dans le conte  ? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
40 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
71 ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux contes de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
72 de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des contes de bonnes femmes. 4. Réalité du mythe Mais si nous écartons ce
73 atte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge, alors qu’il fera voir ses cornes et sa grimace dan
41 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
74 a été formulé par Kafka. Dans son Procès, il nous conte l’histoire d’un employé de banque qui se voit inculpé d’une faute ind
42 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
75 utant de grâce. Que signifie cette ombre dans le conte  ? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
43 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
76 ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux contes de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
77 de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des contes de bonnes femmes. 4. Réalité du mythe Mais si nous écartons ce
78 atte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge, alors qu’il fera voir ses cornes et sa grimace dan
44 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
79 a été formulé par Kafka. Dans son Procès, il nous conte l’histoire d’un employé de banque qui se voit inculpé d’une faute ind
45 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
80 autant de grâce. Que signifie cette ombre dans le conte  ? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
46 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
81 ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux contes de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
82 de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des contes de bonnes femmes. Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à
47 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
83 de commandos sauvait tout le monde comme dans les contes de fées. Mais je regardais mes amis du coin de l’œil : en critiquant,
48 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
84 apparente platitude mais translucide, que dans le conte du Serpent vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
49 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
85 nous cacher la clé. Le Procès n’est nullement un conte . Joseph K. pose toutes les questions que le lecteur raisonnable poser
50 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
86 arter à la légère. L’origine du roman est dans le conte . La société primitive a des mythes, courts récits mémorables destinés
87 iie siècle, le roman se sépare volontairement du conte . Aussitôt, on le voit se gonfler de psychologie, de lyrisme, d’histoi
88 , le roman tourne à l’« étude » du réel, quand le conte , la légende, et même l’épopée, étaient créations pures de l’imaginati
89 aux « lois de la vie », non plus aux procédés du conte . « Le roman, dit M. Jaloux, ne connaît d’autres lois que les lois mêm
90 dès qu’il refusa d’être fable. Tout l’intérêt du conte , effectivement, tenait aux conventions qu’il savait mettre en œuvre.
91 aux conventions qu’il savait mettre en œuvre. Le conte multipliait les rencontres fortuites, les coïncidences opportunes. Sa
92 e haute, et réveillaient des forces endormies. Le conte était le libre déploiement des réalités mêmes de l’âme, qu’il décriva
93 l peut se passer de la crédibilité intrinsèque du conte , par le recours à l’autorité tout extérieure du fait accompli. Cette
94 s et miracles qui constituaient la rhétorique des contes . Il ne rejoindra le sens vrai de nos vies qu’en se livrant à la logiq
51 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
95 sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un conte d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
52 1946, Journal des deux mondes. Virginie
96 de Commandos sauvait tout le monde comme dans les contes de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant,
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
97 n ne s’y laisse mentir pour l’innocent plaisir du conte , et qu’on n’y masque pas de vraies fenêtres pour la dissymétrie en vo
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
98 tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
99 aut attaquer dans le christianisme : les obscènes contes juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mon
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
100 sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un conte d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
101 de commandos sauvait tout le monde comme dans les contes de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant,
58 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
102 sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un conte d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
59 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
103 court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs contes sans jamais se poser de questions sur le sens d’un tel accident, dont
104 t ou Soi-même dont parle Chamisso à la fin de son conte . Voilà qui peut enfin situer le vrai problème5. La créativité : c’est
105 fait dominer l’aspect « spirituel » du mythe. Son conte de L’Ombre, c’est le symbole de la puissance de création qui vient à
106 est-à-dire d’une nouvelle normalité. 4. Dans le conte intitulé L’Ombre, Andersen raconte comment un philosophe « venant des
107 toute absurde) n’explique aucune particularité du conte , il est permis de penser que « l’état d’âme » de Chamisso a joué dans
60 1948, Suite neuchâteloise. VI
108 u’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble
61 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
109 ns. À présent, ils continuent de répéter le vieux conte . On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
62 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
110 oi l’on peut rêver. La Pantcha Tantra, recueil de contes bouddhistes, fut traduit au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par u
63 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
111 ode. 15. Pascal : Pensées. 16. Charles Perrault : Contes . 17. Montesquieu : L’Esprit des lois. 18. J.-J. Rousseau : Les Confes
112 . T. E. Lawrence: Correspondance. 57. Edgar Poe : Contes . 58. T. S. Eliot : Poèmes. 59. Thomas Hardy : Jude l’obscur. 60. Hemi
113 scriptum aux riens philosophiques. 76. Andersen : Contes . 77. G. Bernanos : Journal d’un curé de campagne. 78. Valery Larbaud
64 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
114 Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son conte , qui est une vision7. Tentons maintenant de dresser une liste des car
65 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
115 scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un conte , elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le
66 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
116 Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son conte , qui est une vision7. Tentons maintenant de dresser une liste des car
67 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
117 scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un conte , elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le
68 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
118 ns déficientes et tendues avec le monde », Ulrich conte à nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il eût cro
69 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
119 il passe en Sorbonne une thèse de doctorat sur Le Conte fantastique dans le romantisme français, publiée en librairie deux an
120 sé des heures à corriger le manuscrit d’un de ses contes . Ce qu’il cherche avant tout dans le milieu des artistes et des écriv
121 . Les nombreux traits de caractère mexicain qu’il conte dans ses notes révèlent qu’il a vraiment aimé ce peuple, et qu’aux mo
70 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
122 ases où il compare la France à la « princesse des contes … vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût-ce à « des
71 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
123 er : Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau conte d’amour et de mort ? Seigneurs et dames ici présents, vous répondez
124 ect trop souvent, trop facilement cité, du « beau conte d’amour et de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou sacrés, on
72 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
125 ns déficientes et tendues avec le monde », Ulrich conte de nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il eût cr
73 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
126 ases où il compare la France à la « princesse des contes …, vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût-ce à « des
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
127 n changeant I en Ja, et on en van. On fait de ces contes aux enfans, et les enfans n’en croient rien.13 Mais les enfants par
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
128 biographie d’un évêque othonien de Cologne — nous conte l’histoire de ce pauvre qui court les rues de la Sainte Cologne, de l
76 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
129 ns. À présent, ils continuent de répéter le vieux conte . On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
77 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
130 toire, épopée, poésie, discours, dialogue, essai, conte et roman. Au contraire, du troisième millénaire avant notre ère jusqu
78 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
131 dre sans le dire : voilà la guerre telle qu’on la conte et qu’on la vante, et maintenant je vais vous dire ce qu’elle est, te
79 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
132 hrases où il l’a peinte « telles la princesse des contes ou la madone des fresques… créée pour des succès achevés ou des malhe
80 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
133 toire, épopée, poésie, discours, dialogue, essai, conte et roman. Au contraire, du troisième millénaire avant notre ère jusqu
81 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Aux origines : le Mythe et l’Épopée
134 ationnelles, sociologiques, ou psychologiques) au conte ou aux sentences hermétiques. Quand Mallarmé assigne au Poète, « ange
82 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
135 ct, trop souvent, trop facilement cité, du « beau conte d’amour et de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou sacrés, on
83 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
136 naturellement la France, telles la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminen
84 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
137 s d’années nous sont connus par les mythes et les contes , et ce sont eux que l’homme technique a réalisés de mieux en mieux de