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incipes. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de
conte
moral, avec ses personnages un peu conventionnels et l’invraisemblanc
3
imentale. d. « L’individu atteint de strabisme.
Conte
métaphysique », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fr
4
bouleversant. Et je ne parle pas du miracle genre
conte
de fée, comme le Voyage imaginaire en montre (beaucoup trop à mon gré
5
re bouche, une injure de pythie. Vous dites de ce
conte
: c’est trop écrit. Vous dites de ce roman : c’est trop agréable. Vou
6
promis sentimental, à l’Opéra où l’on donnait les
Contes
d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon es
7
ne certaine qualité de désespoir, je retrouve les
contes
d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous v
8
et qui différencient radicalement notre vie d’un
conte
de fées. Il n’y a là, de la part de l’auteur, nul parti pris de « réa
9
que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de
contes
romantiques, cas tout à fait rare dans la littérature française, et q
10
fonde raison d’être. C’est pourquoi les meilleurs
contes
du volume sont ceux dont la lenteur nous retient. Ainsi Sarah, Monsie
11
ristian Andersen et Søren Kierkegaard. (Féerie du
Conte
de ma vie d’Andersen, où l’on voit ce « poète des poètes » à la sensi
12
pparente platitude, mais translucide, que dans le
Conte
du Serpent Vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
13
promis sentimental, à l’Opéra où l’on donnait les
Contes
d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon es
14
ne certaine qualité de désespoir, je retrouve les
contes
d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler ; vous
15
u’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux
contes
pendant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble
16
livres autre chose que ce que peut lui offrir le
conte
du journal, c’est-à-dire s’il demande une nourriture rapidement assim
17
’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un
conte
bleu, ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui f
18
enfants qui semblent incarner toute la poésie des
contes
scandinaves, une merveilleuse petite Eva-Margareta dont l’apparition
19
’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un
conte
bleu, ou un volume de la Bibliothèque Rose. Est-ce une histoire qui f
20
campagne vaudoise, qui a eu des malheurs, qui les
conte
assez mal — Giono s’en mêle trop — et qui a cherché à s’en tirer par
21
illeurs, Breton dit tant de mal (Introduction aux
contes
d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux problème avec des airs
22
et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le
conte
fameux : l’homme ne peut pas sortir du puits en se tirant par les che
23
et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le
conte
fameux : l’homme ne peut pas sortir du puits en se tirant par les che
24
augmentant les dépenses de guerre. Edschmid nous
conte
les aventures de cinq sous-officiers de la dernière guerre que le chô
25
court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs
contes
sans jamais se poser de questions sur le sens d’un tel accident — don
26
soi-même) dont parle Chamisso vers la fin de son
conte
. Voilà qui peut situer enfin le vrai problème39. La créativité : c’es
27
fait dominer l’aspect « spirituel » du mythe. Son
conte
de l’Ombre, c’est le symbole de la puissance de création qui vient à
28
e de l’ombre perdue dans leurs romans, pièces, ou
contes
fantastiques. Notons qu’en dehors du domaine germanique et anglais, i
29
rents, au cours d’un séjour à Paris. L’origine du
conte
célèbre serait donc bien française, et Barrès s’en réjouit. Il va jus
30
est-à-dire d’une nouvelle normalité. 38. Dans le
conte
intitulé « l’Ombre », Andersen raconte comment un philosophe « Venant
31
méditation ou d’analyse. Toutes les ressources du
conte
populaire et de l’imagerie sentimentale et romanesque, qu’on croyait
32
tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des
contes
et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une
33
pposer une certaine douceur amusée. Voltaire nous
conte
là-dessus une anecdote dont j’aime assez l’impertinence. Il imagine u
34
wis Carroll (août 1938)am Si l’on songe que le
conte
est par essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur, on
35
ibérateur, on conçoit que les meilleurs sujets de
contes
sont les plus abstraitement logiques. La logique enfantine est bien p
36
nous orienter vers une compréhension nouvelle des
contes
de Lewis Carroll — qui était un mathématicien —, et d’Alice en partic
37
Qu’en résultera-t-il ? Le rêve logique qu’est le
conte
de Carroll nous apparaît alors comme une série de variations sur le t
38
e poserait le problème de la version française du
conte
; celle de René Bour me paraît scrupuleuse, encore que déparée ici ou
39
aut attaquer dans le christianisme : les obscènes
contes
juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mon
40
« Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau
conte
d’amour et de mort ?… » — Rien au monde ne saurait nous plaire davant
41
un art infaillible qui nous jette dès le seuil du
conte
dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
42
lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème,
conte
ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
43
plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du
conte
. Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
44
Nizani de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui
conte
les aventures des sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
45
blement déformé la signification des mythes qu’il
conte
. La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
46
les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du
conte
, destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
47
s yeux sans qu’ils y aient vu autre chose que des
contes
à dormir debout, obtenant une vogue européenne, et des amours d’une p
48
« Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau
conte
d’amour et de mort ?… » Rien au monde ne saurait nous plaire davantag
49
un art infaillible qui nous jette dès le seuil du
conte
dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
50
lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème,
conte
ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
51
plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du
conte
. Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
52
e Nizam de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui
conte
les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
53
oi l’on peut rêver. La Pantcha Tantra, recueil de
contes
bouddhistes, fut traduite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par
54
blement déformé la signification des mythes qu’il
conte
. La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
55
les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du
conte
, destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
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« Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau
conte
d’amour et de mort ?… » Rien au monde ne saurait nous plaire davantag
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un art infaillible qui nous jette dès le seuil du
conte
dans l’état passionné d’attente où naît l’illusion romanesque. D’où v
58
lus exactement : communes. L’œuvre d’art — poème,
conte
ou roman — se distingue donc radicalement du mythe. Sa valeur ne relè
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plus d’invraisemblance possible : c’est le cas du
conte
. Entre ces deux extrêmes, il est autant de niveaux de vraisemblance q
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Nizami de Ganja : le Roman des Sept Beautés, qui
conte
les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes
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uoi l’on peut rêver. La Pancha Tantra, recueil de
contes
bouddhistes, fut traduite au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par
62
blement déformé la signification des mythes qu’il
conte
. La légende du Graal, par exemple : Suhtschek y voit un mythe maniché
63
les ignorants s’arrêtent à l’apparence puérile du
conte
, destinée justement à masquer le sens profond aux regards superficiel
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s yeux sans qu’ils y aient vu autre chose que des
contes
à dormir debout, obtenant une vogue européenne, et des amours d’une p
65
ans. À présent, ils continuent à répéter le vieux
conte
. On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
66
ans. À présent, ils continuent à répéter le vieux
conte
. On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
67
ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux
contes
de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
68
de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des
contes
de bonnes femmes. 11. Diable et péché Mais voici d’un tour plus
69
atte blanche, comme le grand méchant loup dans le
conte
du Chaperon rouge. En vérité, le diable n’est pas dangereux là où il
70
autant de grâce. Que signifie cette ombre dans le
conte
? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
71
ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux
contes
de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
72
de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des
contes
de bonnes femmes. 4. Réalité du mythe Mais si nous écartons ce
73
atte blanche, comme le grand méchant loup dans le
conte
du Chaperon rouge, alors qu’il fera voir ses cornes et sa grimace dan
74
a été formulé par Kafka. Dans son Procès, il nous
conte
l’histoire d’un employé de banque qui se voit inculpé d’une faute ind
75
utant de grâce. Que signifie cette ombre dans le
conte
? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
76
ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux
contes
de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
77
de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des
contes
de bonnes femmes. 4. Réalité du mythe Mais si nous écartons ce
78
atte blanche, comme le grand méchant loup dans le
conte
du Chaperon rouge, alors qu’il fera voir ses cornes et sa grimace dan
79
a été formulé par Kafka. Dans son Procès, il nous
conte
l’histoire d’un employé de banque qui se voit inculpé d’une faute ind
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autant de grâce. Que signifie cette ombre dans le
conte
? Je pense que c’est la créativité de l’homme, sa liberté, c’est-à-di
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ut ce qu’il demandait. Et ceux qui en restent aux
contes
de bonnes femmes, ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cau
82
de l’image qu’ils s’en font, et qui est tirée des
contes
de bonnes femmes. Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à
83
de commandos sauvait tout le monde comme dans les
contes
de fées. Mais je regardais mes amis du coin de l’œil : en critiquant,
84
apparente platitude mais translucide, que dans le
conte
du Serpent vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
85
nous cacher la clé. Le Procès n’est nullement un
conte
. Joseph K. pose toutes les questions que le lecteur raisonnable poser
86
arter à la légère. L’origine du roman est dans le
conte
. La société primitive a des mythes, courts récits mémorables destinés
87
iie siècle, le roman se sépare volontairement du
conte
. Aussitôt, on le voit se gonfler de psychologie, de lyrisme, d’histoi
88
, le roman tourne à l’« étude » du réel, quand le
conte
, la légende, et même l’épopée, étaient créations pures de l’imaginati
89
aux « lois de la vie », non plus aux procédés du
conte
. « Le roman, dit M. Jaloux, ne connaît d’autres lois que les lois mêm
90
dès qu’il refusa d’être fable. Tout l’intérêt du
conte
, effectivement, tenait aux conventions qu’il savait mettre en œuvre.
91
aux conventions qu’il savait mettre en œuvre. Le
conte
multipliait les rencontres fortuites, les coïncidences opportunes. Sa
92
e haute, et réveillaient des forces endormies. Le
conte
était le libre déploiement des réalités mêmes de l’âme, qu’il décriva
93
l peut se passer de la crédibilité intrinsèque du
conte
, par le recours à l’autorité tout extérieure du fait accompli. Cette
94
s et miracles qui constituaient la rhétorique des
contes
. Il ne rejoindra le sens vrai de nos vies qu’en se livrant à la logiq
95
sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un
conte
d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
96
de Commandos sauvait tout le monde comme dans les
contes
de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant,
97
n ne s’y laisse mentir pour l’innocent plaisir du
conte
, et qu’on n’y masque pas de vraies fenêtres pour la dissymétrie en vo
98
tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des
contes
et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une
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aut attaquer dans le christianisme : les obscènes
contes
juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mon
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sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un
conte
d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
101
de commandos sauvait tout le monde comme dans les
contes
de fées. Mais je regardais ces amis du coin de l’œil : en critiquant,
102
sortir de Bevin House. Il s’est remis à écrire un
conte
d’enfants qu’il illustre lui-même à l’aquarelle. Géant chauve, aux ye
103
court ? Ou faut-il croire qu’ils ont écrit leurs
contes
sans jamais se poser de questions sur le sens d’un tel accident, dont
104
t ou Soi-même dont parle Chamisso à la fin de son
conte
. Voilà qui peut enfin situer le vrai problème5. La créativité : c’est
105
fait dominer l’aspect « spirituel » du mythe. Son
conte
de L’Ombre, c’est le symbole de la puissance de création qui vient à
106
est-à-dire d’une nouvelle normalité. 4. Dans le
conte
intitulé L’Ombre, Andersen raconte comment un philosophe « venant des
107
toute absurde) n’explique aucune particularité du
conte
, il est permis de penser que « l’état d’âme » de Chamisso a joué dans
108
u’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux
contes
pendant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel semble
109
ns. À présent, ils continuent de répéter le vieux
conte
. On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
110
oi l’on peut rêver. La Pantcha Tantra, recueil de
contes
bouddhistes, fut traduit au vie siècle du sanscrit en pehlevi, par u
111
ode. 15. Pascal : Pensées. 16. Charles Perrault :
Contes
. 17. Montesquieu : L’Esprit des lois. 18. J.-J. Rousseau : Les Confes
112
. T. E. Lawrence: Correspondance. 57. Edgar Poe :
Contes
. 58. T. S. Eliot : Poèmes. 59. Thomas Hardy : Jude l’obscur. 60. Hemi
113
scriptum aux riens philosophiques. 76. Andersen :
Contes
. 77. G. Bernanos : Journal d’un curé de campagne. 78. Valery Larbaud
114
Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son
conte
, qui est une vision7. Tentons maintenant de dresser une liste des car
115
scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un
conte
, elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le
116
Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son
conte
, qui est une vision7. Tentons maintenant de dresser une liste des car
117
scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un
conte
, elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le
118
ns déficientes et tendues avec le monde », Ulrich
conte
à nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il eût cro
119
il passe en Sorbonne une thèse de doctorat sur Le
Conte
fantastique dans le romantisme français, publiée en librairie deux an
120
sé des heures à corriger le manuscrit d’un de ses
contes
. Ce qu’il cherche avant tout dans le milieu des artistes et des écriv
121
. Les nombreux traits de caractère mexicain qu’il
conte
dans ses notes révèlent qu’il a vraiment aimé ce peuple, et qu’aux mo
122
ases où il compare la France à la « princesse des
contes
… vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût-ce à « des
123
er : Seigneurs, vous plaît-il d’entendre un beau
conte
d’amour et de mort ? Seigneurs et dames ici présents, vous répondez
124
ect trop souvent, trop facilement cité, du « beau
conte
d’amour et de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou sacrés, on
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ns déficientes et tendues avec le monde », Ulrich
conte
de nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il eût cr
126
ases où il compare la France à la « princesse des
contes
…, vouée à une destinée éminente et exceptionnelle », — fût-ce à « des
127
n changeant I en Ja, et on en van. On fait de ces
contes
aux enfans, et les enfans n’en croient rien.13 Mais les enfants par
128
biographie d’un évêque othonien de Cologne — nous
conte
l’histoire de ce pauvre qui court les rues de la Sainte Cologne, de l
129
ns. À présent, ils continuent de répéter le vieux
conte
. On les entend dire, jusqu’à satiété, qu’ils se sont affranchis un jo
130
toire, épopée, poésie, discours, dialogue, essai,
conte
et roman. Au contraire, du troisième millénaire avant notre ère jusqu
131
dre sans le dire : voilà la guerre telle qu’on la
conte
et qu’on la vante, et maintenant je vais vous dire ce qu’elle est, te
132
hrases où il l’a peinte « telles la princesse des
contes
ou la madone des fresques… créée pour des succès achevés ou des malhe
133
toire, épopée, poésie, discours, dialogue, essai,
conte
et roman. Au contraire, du troisième millénaire avant notre ère jusqu
134
ationnelles, sociologiques, ou psychologiques) au
conte
ou aux sentences hermétiques. Quand Mallarmé assigne au Poète, « ange
135
ct, trop souvent, trop facilement cité, du « beau
conte
d’amour et de mort ». Les obstacles sociaux, coutumiers ou sacrés, on
136
naturellement la France, telles la princesse des
contes
ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminen
137
s d’années nous sont connus par les mythes et les
contes
, et ce sont eux que l’homme technique a réalisés de mieux en mieux de