1 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
1 e si pédante qu’elle exclut un de nos plus grands conteurs sous prétexte qu’il n’est styliste ni psychologue ? Laisserons-nous J
2 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
2 f — fait de lui sans doute le plus méridional des conteurs américains. Avec cela, un réalisme, plein de verdeur et souvent d’ame
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 leurs établissements Place de la Concorde. Notre conteur est vêtu de la gloire d’un pourpoint « plus rouge que rouge ». On ass
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
4 un cadeau de pauvre, comme un vrai cadeau. Si le conteur ment, — pendant qu’il y est, il ferait mieux de choisir un autre pays
5 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
5 dans la démarche ; un tour qui ferait penser aux conteurs de la fin du xviiie  ; des sujets dans le goût allemand, tels sont le
6 n, l’élégance trop rapide. Il n’est pas bon qu’un conteur laisse voir la moindre ironie vis-à-vis de ses personnages ; car il r
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 un cadeau de pauvre, comme un vrai cadeau. Si le conteur ment — pendant qu’il y est, il ferait mieux de choisir un autre pays
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
8 leurs établissements place de la Concorde. Notre conteur est vêtu de la gloire d’un pourpoint « plus rouge que rouge ». On ass
8 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
9 olique dont la source pourrait bien être chez les conteurs romantiques allemands, aussi peut-être dans la musique de Schubert, d
9 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
10 ents et les tentations feront pâlir les rêves des conteurs . Ce sera, dans la féerie de l’eau des lumières et des couleurs, le ba
10 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
11 nnent la mesure de l’écrivain et de l’artiste, du conteur , du fabulateur d’idées que reste pour nous Thibaudet. Dans cette crit
11 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
12 Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)o L’art de conter pour le plaisir se pe
13 . Kipling meurt, et l’on dit : c’était le dernier conteur . La même année paraît le grand triptyque des Löwensköld 15. Et, grâce
14 mêmes traducteurs. (Stock.) o. « Selma Lagerlöf, conteur de légende », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 768, 3 juillet 193
12 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
15 s : un prophète n’est pas un devin, astrologue ou conteur de l’avenir, mais un homme qui prononce la Parole absolue, le Jugemen
13 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
16 aduit exactement la hiérarchie des préférences du conteur et de son lecteur. L’obstacle le plus grave, c’est donc celui que l’o
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
17 aduit exactement la hiérarchie des préférences du conteur et de son lecteur. L’obstacle le plus grave, c’est donc celui que l’o
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
18 aduit exactement la hiérarchie des préférences du conteur et de son lecteur. L’obstacle le plus grave, c’est donc celui que l’o
16 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
19 enues, les rites constants de l’illusion, dont le conteur connaissait les pouvoirs. Il ne lui reste pour appui que la réalité t
20 e romancier moderne a perdu l’autorité magique du conteur . Il s’est privé volontairement du bénéfice de « l’art de persuader »
21 persuader » traditionnel. Quand, par exemple, le conteur débutait par la formule « Il y avait une fois… », il créait aussitôt
22 servent aux adultes futiles. Au siècle passé, les conteurs populaires et certains des meilleurs écrivains avaient encore coutume
23 montrer, et m’entraînait par d’autres charmes… Du conteur pur, je n’exigeais qu’un sens, valable et vérifiable en soi. 2°) — Pa
24 s formes fixes et la dialectique des symboles. Le conteur , renonçant à imiter la vie, la récréera ; et renonçant à prouver qu’i
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
25 s : un prophète n’est pas un devin, astrologue ou conteur de l’avenir, mais un homme qui prononce la Parole absolue, le Jugemen
18 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
26 l’on n’allait voir qu’un plaisir tout gratuit de conteur né — de grandes marges et des prolongements, une qualité d’appel lanc
19 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
27 es de l’Inconscient. Qu’il soit peintre, poète ou conteur , plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole et perd le contact
20 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
28 a quitter subitement pour rénover la maîtrise des conteurs classiques. Voyez Malraux passer du tragique militant à la métaphysiq
21 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
29 homme dont la stature est imposante, est aussi un conteur fascinant, un humoriste redoutable, et un grand chasseur de chamois.)
22 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
30 n la personne du pasteur Kurt Marti, et de jeunes conteurs contestataires, tels que Walter Diggelmann et le subtil Peter Bichsel
31 j’allais oublier de dire que « CJB » est aussi un conteur fascinant, un humoriste redoutable, et un grand chasseur de chamois.)
23 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
32 ces moyens puissent même exister. La plupart des conteurs et romanciers du xixe et du xxe siècle peuvent être rangés dans cet
24 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
33 t des mystiques plutôt que des bons moines ou des conteurs gaulois. L’amour-passion, qui naît au xiie siècle dans les romans an
25 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
34 es de l’Inconscient. Qu’il soit peintre, poète ou conteur , plus il s’avance dans ce domaine, plus il s’isole et perd le contact
26 1970, Le Cheminement des esprits. Postface. L’écrivain et l’événement
35 ces moyens puissent même exister. La plupart des conteurs et romanciers du xixe et du xxe siècle peuvent être rangés dans cet
27 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Après le xiie siècle : vers une littérature distincte du social
36 le personnage et la situation, mais l’auteur, le conteur , le scripteur, se réduisent à des processus dénués de réalité personn
28 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). C.J.B. l’Européen, 1891-1974 (printemps 1974)
37 imposante et d’autorité calme, assez magique, un conteur fascinant, un humoriste redoutable, un grand chasseur de chamois au T
29 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
38 es romantiques, du héros empanaché de l’Astrée au conteur lucide et sensible du grand roman de Proust, il perd peu à peu son al