1
au cours des quarante pages qu’il consacre à la «
conversion
» au catholicisme de la princesse Blanche. Arrêtons-nous un peu à l’e
2
u s’en dispenser d’ailleurs, car en définitive la
conversion
de son héroïne nous paraît être à tel point la seule solution possibl
3
sion à ce qui lui semble être la vérité. Sa vraie
conversion
a lieu beaucoup plus tard, lorsqu’elle trouve, à force de souffrance,
4
voire aux yeux de la foi scandaleux de parler de
conversion
d’un protestantisme au catholicisme ou l’inverse. On ne se convertit
5
e la vie revient s’emparer de lui et décide de sa
conversion
: Il se décida à tout accepter, oui, tout. Il accepterait la vie et
6
’immédiatement Eiichi produit en témoignage de sa
conversion
. En mystique véritable, il évite rigoureusement les expressions senti
7
ient réalité que pour le converti ; c’est donc la
conversion
qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duquel il n’est po
8
on des clercs, autour du problème de l’humanisme (
Conversion
à l’humain, de J. Guéhenno, enquête de Foi et Vie sur l’humanisme n
9
s, en même temps qu’elle en exige tout : c’est la
conversion
. 1. L’Église « corps du Christ », en théologie ; et en réalité : co
10
tion que Dieu lui adresse. À la faveur de cette «
conversion
», la notion même de positif est bouleversée. Critiquer les doctrines
11
ticulier, nous offrent de fréquents exemples de «
conversion
» au soviétisme considéré comme une promesse nouvelle de communion hu
12
la race chez les hitlériens. Il n’y a pas plus de
conversion
possible au prolétariat qu’au germanisme. Voilà de quoi refroidir les
13
e œuvre philosophique qu’il ait publiée depuis sa
conversion
. On est heureux de constater qu’elle marque un élargissement en même
14
matérielles et quantitatives, figure une sorte de
conversion
profonde et subite de toute une civilisation, dont on ne voit pas que
15
lonté de réforme, mais une révolution totale : la
conversion
. Et la Réforme elle-même, malgré son nom, que fut-elle, sinon une rév
16
que fut-elle, sinon une révolution, une nouvelle
conversion
de l’Église ? Car l’Église, elle aussi, peut devenir une idole, dès q
17
s, en même temps qu’elle en exige tout : c’est la
conversion
. 30. La revue Esprit publiait, dans son numéro 6 (mars 1933), une c
18
matérielles et quantitatives, figure une sorte de
conversion
profonde et subite de toute une civilisation, dont on ne voit pas que
19
lonté de réforme, mais une révolution totale : la
conversion
. Et la Réforme elle-même, malgré son nom, que fut-elle, sinon une rév
20
que fut-elle, sinon une révolution, une nouvelle
conversion
de l’Église ? Car l’Église, elle aussi, peut devenir une idole, dès q
21
s, en même temps qu’elle en exige tout : c’est la
conversion
. 23. La revue Esprit publiait, dans son numéro 6 (mars 1933), une
22
ption officiellement instituée avec la Caisse des
Conversions
de Pellisson, tout cela suffit à qualifier l’espèce de « paix » que l
23
ment d’une dictature militaire, plan quinquennal,
conversion
personnelle, application d’une série de mesures économiques, transmu
24
ment d’une dictature militaire, plan quinquennal,
conversion
personnelle, application d’une série de mesures économiques., transmu
25
ment d’une dictature militaire, plan quinquennal,
conversion
personnelle, application d’une série de mesures économiques, transmut
26
si longtemps la primauté du matériel cette subite
conversion
à la cause de l’esprit ? N’allons pas en chercher l’explication au-de
27
r le point. (Ce qui équivaudrait à reconnaître la
conversion
globale des communistes au personnalisme.) D’abord parce que Vaillant
28
e soit resté absolument vain : il y a eu quelques
conversions
. Mais c’est tout juste si elles ont compensé les abandons ou les dépa
29
iologiquement le chemin de Damas et beaucoup de «
conversions
religieuses de notre époque ». Or il se trouve que les récents travau
30
ette transformation personnelle que l’on nomme la
conversion
, le chrétien n’ait plus qu’à attendre, et à subir en gémissant les lo
31
Il est orienté autrement, comme l’indique le mot
conversion
. Obéissant à la Parole que Dieu lui adresse, il reconnaît du même cou
32
uelle des choses, qui ne serait pas l’effet d’une
conversion
des hommes, ne doit être aux yeux du chrétien, qu’une réforme sans gr
33
nifester dans notre siècle ? Le phénomène de la «
conversion
» le fait bien voir. Un homme qui se convertit au christianisme, c’es
34
e soit resté absolument vain : il y a eu quelques
conversions
. Mais c’est tout juste si elles ont compensé les abandons ou les dépa
35
: la date de son salut final, dépend ainsi de la
conversion
des Juifs. Et ceci nous révèle la plus profonde raison des sentiments
36
st pas mesurable à ses « résultats » (scandale ou
conversions
produites). Le chrétien sert son Dieu, — et ensuite Dieu se sert de l
37
Elle n’admet pas cette nouvelle naissance, cette
conversion
à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’es
38
a mort, mais il se retourne vers la vie. Et cette
conversion
de l’amour fait apparaître le prochain. Pour l’Éros, la créature n’ét
39
able ronde », et les miracles du saint — comme la
conversion
du loup de Gubbio — se produisent dans les mêmes circonstances que le
40
vain, c’est la foi seule dans le pardon. Voici la
conversion
de l’espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi ve
41
eux adaptée au tempérament romantique. Mais cette
conversion
-là ne pourra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lu
42
ennes. Cette progressive profanation du mythe, sa
conversion
en rhétorique, puis la dissolution de cette rhétorique et la totale v
43
e chez Dante, etc.) 7. – « Coup de foudre » et
conversion
Le premier regard des amants, qui va changer toute leur vie, corre
44
spond à la première touche de l’amour divin, à la
conversion
du chrétien. Gottfried de Strasbourg peignant l’amour de Rivalen pour
45
complémentaires d’une seule et même réalité : la
conversion
. Tel est l’homme neuf, créé par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’i
46
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. El
47
a mort, mais il se retourne vers la vie. Et cette
conversion
de l’amour fait apparaître le prochain. Pour l’Éros, la créature n’ét
48
eigneur. Cela suppose une illumination subite, ou
conversion
, une descente de la Grâce venant de Dieu à l’homme. Ces deux extrêmes
49
able ronde », et les miracles du saint — comme la
conversion
du loup de Gubbio — se produisent dans les mêmes circonstances que le
50
vain, c’est la foi seule dans le pardon. Voici la
conversion
de l’espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi ve
51
eux adaptée au tempérament romantique. Mais cette
conversion
-là ne pourra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lu
52
nnes. Cette progressive profanation du mythe — sa
conversion
en rhétorique, puis la dissolution de cette rhétorique et la totale v
53
a mort, mais il se retourne vers la vie. Et cette
conversion
de l’amour fait apparaître le prochain. Pour l’Éros, la créature n’ét
54
eigneur. Cela suppose une illumination subite, ou
conversion
, une descente de la Grâce venant de Dieu à l’homme. Ces deux extrêmes
55
Table ronde » et les miracles du saint — comme la
conversion
du loup de Gubbio — se produisent dans les mêmes circonstances que le
56
vain, c’est la foi seule dans le pardon. Voici la
conversion
de l’espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi ve
57
eux adaptée au tempérament romantique. Mais cette
conversion
-là ne pourra s’opérer qu’à la faveur d’une crise révélant à Racine lu
58
nnes. Cette progressive profanation du mythe — sa
conversion
en rhétorique, puis la dissolution de cette rhétorique et la totale v
59
ésie chez Dante, etc.) 9.« Coup de foudre » et
conversion
Le premier regard des amants, qui va changer toute leur vie, corre
60
spond à la première touche de l’amour divin, à la
conversion
du chrétien. Gottfried de Strasbourg peignant l’amour de Rivalen pour
61
s désireraient lui « révéler ». Le problème de la
conversion
devient pour lui le problème négatif du refus de la fausse conversion
62
our lui le problème négatif du refus de la fausse
conversion
, ou de la conversion trop « facile ». « Je ne suis ni protestant ni c
63
égatif du refus de la fausse conversion, ou de la
conversion
trop « facile ». « Je ne suis ni protestant ni catholique, je suis ch
64
chrétien primitif est un homme qui, du fait de sa
conversion
, se trouve chargé d’une vocation particulière qui le distingue de tou
65
complémentaires d’une seule et même réalité : la
conversion
. Tel est l’homme neuf, créé par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’i
66
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. El
67
chrétien primitif est un homme qui, du fait de sa
conversion
, se trouve chargé d’une vocation particulière qui le distingue de tou
68
complémentaires d’une seule et même réalité : la
conversion
. Tel est l’homme neuf, créé par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’i
69
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. El
70
selon la parole de l’apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
et le pardon, à partir desquels « il n’y a plus ni juif ni grec ». El
71
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. El
72
nes bizarres de désintégration démocratique et de
conversion
au fascisme. La France était démocratique dans son ensemble en 1939 ;
73
e analogie. Le coup de foudre est le reflet d’une
conversion
. Il ne se discute pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous
74
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. El
75
nes bizarres de désintégration démocratique et de
conversion
au fascisme. La France était démocratique dans son ensemble en 1939 ;
76
e analogie. Le coup de foudre est le reflet d’une
conversion
. Il ne se discute pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous
77
selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la
conversion
spirituelle, à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs, ni Grecs. E
78
nes bizarres de désintégration démocratique et de
conversion
au fascisme. La France était démocratique dans son ensemble en 1939 ;
79
e analogie. Le coup de foudre est le reflet d’une
conversion
. Il ne se discute pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous
80
ion de l’état de péché révélé par l’instant de la
conversion
. Cette vision de l’homme arrêté pourrait être un regard en arrière ve
81
st un moment spirituel que l’on retrouve en toute
conversion
. Kierkegaard l’a décrit dialectiquement, du point de vue d’un croyant
82
s désireraient lui « révéler ». Le problème de la
conversion
devient pour lui le problème négatif de la fausse conversion, ou de l
83
devient pour lui le problème négatif de la fausse
conversion
, ou de la conversion trop facile. « Le catholicisme est inadmissible.
84
roblème négatif de la fausse conversion, ou de la
conversion
trop facile. « Le catholicisme est inadmissible. Le protestantisme es
85
de jouets sont déjà presque vides à New York. La
conversion
des tanks et des forteresses volantes en pacotille de nursery exige p
86
ité, nous semblait-il, qu’un croyant décrivant sa
conversion
en termes de grâce et de prédestination. Mais s’il est vain de nier l
87
influence s’est montrée décisive dans beaucoup de
conversions
, elle n’a pas eu pour effet (ou très rarement) l’adhésion des convert
88
, les usines travaillaient pour autre chose. La «
conversion
» des tanks et des forteresses volantes en pacotille de nursery exige
89
ait produit, d’assez proche de ce qu’on nomme une
conversion
— terme qui m’a toujours paru inacceptable et offusquant, s’agissant
90
e soit resté absolument vain : il y a eu quelques
conversions
. Mais c’est tout juste si elles ont compensé les abandons ou les dépa
91
Elle n’admet pas cette nouvelle naissance, cette
conversion
à partir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’es
92
, les usines travaillaient pour autre chose. La «
conversion
» des tanks et des forteresses volantes en pacotille de nursery exige
93
ité, nous semblait-il, qu’un croyant décrivant sa
conversion
en termes de grâce et de prédestination. Mais s’il est vain de nier l
94
Ces votes finaux ne sauraient s’expliquer par une
conversion
collective. Ils traduisent un mouvement de ralliement mi-inconscient,
95
est la transposition dans le plan collectif de la
conversion
chrétienne, du changement d’orientation fondamental et brusque, tradu
96
, la passion en amour est une transposition de la
conversion
dans le plan des relations individuelles, nous disons même individual
97
r erreur) la sanction d’une certaine éthique ; la
conversion
de quelques-uns de ses amis ; enfin la piété de sa femme. Ces données
98
ontraire qui est vrai. Car le motif profond de sa
conversion
aux dictatures, celui qu’il ne peut confesser, c’est qu’il est en ple
99
de l’observance des rites collectifs, mais de la
conversion
personnelle. La question du sens de nos vies, du sens particulier de
100
z que le mot révolution a le même sens que le mot
conversion
: c’est se retourner complètement. On peut dire que la révolution est
101
, pour une collectivité, l’équivalent exact d’une
conversion
. Or la conversion soudaine, radicale, changeant tout — le Chemin de D
102
ivité, l’équivalent exact d’une conversion. Or la
conversion
soudaine, radicale, changeant tout — le Chemin de Damas — est un phén
103
es « notes » les plus certaines : la vocation, la
conversion
et le sentiment d’unicité sans précédent. La passion ou la conversi
104
ment d’unicité sans précédent. La passion ou la
conversion
au néant « L’amour ? une invention du xiie siècle », a dit un his
105
l’abandon total à la passion est décrit comme une
conversion
: Alors la vraie Minne, la fougueuse déesse, le pénétra de ses ardeu
106
ue et radical, mais survenant de l’intérieur : la
conversion
, l’éblouissement du chemin de Damas, où Saul de Tarse devient l’apôtr
107
aul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et
conversion
ont le même sens : c’est se retourner complètement. Dans les deux cas
108
un précédent qui ne cesse de hanter son histoire.
Conversions
, valeurs « subversives », discontinuité historique, ces trois faits p
109
lique pas tout. Et par exemple : le passage de la
conversion
à la révolution, c’est-à-dire du modèle spirituel au phénomène politi
110
’agit donc, dans le cas du révolutionnaire, d’une
conversion
non pas de l’être mais du faire ; et, de plus, déléguée à l’action co
111
action collective. L’individu imite le saut de la
conversion
, mais, au lieu de se retrouver une personne engagée, il est devenu le
112
et conditionnée, que seul un acte comparable à la
conversion
religieuse, seule une révolution — mais personnelle, intime — suffira
113
e répand le christianisme. Apport chrétien. — La
conversion
— révolution individuelle — libère tout homme, noble ou esclave, des
114
l’homme lui-même que le christianisme appelle la
conversion
. De même l’antinomie constitutive de la personne humaine ne peut être
115
es « notes » les plus certaines : la vocation, la
conversion
, et le sentiment d’unicité sans précédent. La Passion, ou la conve
116
nt d’unicité sans précédent. La Passion, ou la
conversion
au néant « L’amour ? une invention du xiie siècle », a dit un his
117
l’abandon total à la passion est décrit comme une
conversion
: Alors la vraie Minne, la fougueuse déesse, le pénétra de ses ardeu
118
ue et radical, mais survenant de l’intérieur : la
conversion
, l’éblouissement du chemin de Damas où Saul de Tarse devient l’apôtre
119
aul de Tarse devient l’apôtre Paul. Révolution et
conversion
ont le même sens : c’est se retourner complètement. Dans les deux cas
120
un précédent qui ne cesse de hanter son histoire.
Conversion
, valeurs « subversives », discontinuité historique, ces trois faits p
121
lique pas tout. Et par exemple : le passage de la
conversion
à la révolution, c’est-à-dire du modèle spirituel au phénomène politi
122
’agit donc, dans le cas du révolutionnaire, d’une
conversion
non pas de l’être mais du faire ; et de plus, déléguée à l’action col
123
action collective. L’individu imite le saut de la
conversion
, mais au lieu de se retrouver une personne engagée, il est devenu le
124
ce du christianisme, a cru à la possibilité de la
conversion
individuelle brusque, renouvelant tout. D’où, par une transposition a
125
au plan social, la notion de révolution, sorte de
conversion
qu’on attend d’une collectivité. Notion purement européenne, incompré
126
ient réalité que pour le converti ; c’est donc la
conversion
qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duquel il n’est po
127
e répand le christianisme. Apport chrétien. — La
conversion
— révolution individuelle — libère tout homme, noble ou esclave, des
128
n changement intérieur — instantané comme dans la
conversion
chrétienne et l’illumination bouddhiste, ou lentement acquis par le y
129
formes d’énergie dont ils sont conducteurs. Cette
conversion
de l’énergie d’Éros se révélera peut-être un jour plus importante, po
130
n changement intérieur — instantané comme dans la
conversion
chrétienne et l’illumination bouddhiste, ou lentement acquis par le y
131
r erreur) la sanction d’une certaine éthique ; la
conversion
de quelques-uns de ses amis ; enfin la piété de sa femme. Ces données
132
ient réalité que pour le converti ; c’est donc la
conversion
qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duquel il n’est po
133
eur de l’Europe. Tandis que si Mahomet accepte la
conversion
(comme un autre Constantin), le pape lui promet l’admiration de toute
134
plus grand obstacle qu’ils y aient rencontré à la
conversion
des habitants au christianisme, c’est que les nobles ne veulent point
135
ait d’une abdication de leur « orgueil » et d’une
conversion
totale, car, dit-il, « la moitié (protestante) de l’Europe est sans r
136
otestante et la catholique) et Henri IV malgré sa
conversion
. Plus encore, celui-là sauve l’Europe qui l’arrache au danger que con
137
est une sécularisation de la notion chrétienne de
conversion
individuelle.p Politique Si nous passons maintenant au plan de
138
: la date de son salut final, dépend ainsi de la
conversion
des Juifs. Et ceci nous révèle la plus profonde raison des sentiments
139
influence s’est montrée décisive dans beaucoup de
conversions
, elle n’a pas eu pour effet (ou très rarement) l’adhésion des convert
140
ette transformation personnelle que l’on nomme la
conversion
, le chrétien n’ait plus qu’à attendre, et à subir en gémissant les lo
141
Il est orienté autrement, comme l’indique le mot
conversion
. Obéissant à la Parole que Dieu lui adresse, il reconnaît du même cou
142
uelle des choses, qui ne serait pas l’effet d’une
conversion
des hommes, ne doit être aux yeux du chrétien, qu’une réforme sans gr
143
nifester dans notre siècle ? Le phénomène de la «
conversion
» le fait bien voir. Un homme qui se convertit au christianisme, c’es
144
ues. L’Évangile parle de remords, de repentir, de
conversion
, et cela n’a rien à voir avec le masochisme. 131. Phrase extraite du
145
de l’observance des rites collectifs, mais de la
conversion
personnelle. La question du sens de nos vies, du sens particulier de
146
piquement européen. Révolution a le même sens que
conversion
: c’est se retourner complètement. On peut dire que la révolution est
147
, pour une collectivité, l’équivalent exact d’une
conversion
. Or, la conversion soudaine, radicale, changeant tout — le Chemin de
148
vité, l’équivalent exact d’une conversion. Or, la
conversion
soudaine, radicale, changeant tout — le Chemin de Damas — est un phén
149
eine Bertrade de France, et l’on ne peut imaginer
conversion
plus retentissante. Car cette Bertrade a provoqué le plus grand scand
150
la naissance du lyrisme occidental, il y a cette
conversion
non de l’esprit, ni même de la conscience peut-être, mais de l’âme so
151
ou moins paranoïaques. IIILa Révolution : une
conversion
des finalités On butera — et moi le premier — sur ce mot de révolu
152
ec les mains : une grande mutation spirituelle ou
conversion
des finalités ; l’accession à un ordre nouveau par l’instauration eff
153
ues. L’Évangile parle de remords, de repentir, de
conversion
, et cela n’a rien à voir avec le masochisme. 18. Phrase extraite du
154
près dans le même temps, des effets de choc et de
conversion
d’une intensité comparable en « expliquant tout » par l’action de l’a
155
et non par les centrales nucléaires. Prenez cette
conversion
pour une image, si vous voulez, mais je suis convaincu qu’en réalité
156
de religieuse que suggère malgré tout le terme de
conversion
? Ou que la religion n’a rien à voir avec tel mode de pollution ou de
157
t-nation à tout changement d’orientation, à toute
conversion
opérée avant qu’elle devienne impossible. Mes analyses de la crise un
158
e qui ? — d’éviter, en nous tournant ailleurs par
conversion
, par retour à nous-mêmes, à nos vraies fins. Le royaume à venir est «