1
être à l’honneur. Voilà pourquoi la Commission de
coopération
intellectuelle et la Commission de l’enseignement de l’Exposition dem
2
sses sont-ils “à la hauteur” de la Suisse ? », La
Coopération
, Bâle, n° 3, 20 janvier 1940, p. 1.
3
la vocation concrète de la Suisse. 5. Voir La
Coopération
du 20 janvier. v. « La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix
4
ns défendre. I : Les voix que rien n’arrête », La
Coopération
, Bâle, n° 8, 24 février 1940, p. 1-2. Présenté par cette note : « L’a
5
« L’article de Denis de Rougemont publié dans La
Coopération
du 20 janvier a suscité beaucoup d’intérêt. On nous a suggéré de diff
9
du Gothard (nous dirions aujourd’hui l’esprit de
coopération
, de syndicat ou de corporation) qui a rassemblé les premiers Suisses
10
contre les abus de pouvoirs locaux. Il cherche la
coopération
organique de ses membres et non cette caricature de l’ordre qu’est l’
11
ster seule aux pressions impériales. Et l’idée de
coopération
qui serait au cœur de ce régime social, et qui inspire partout sa rec
12
ster seule aux pressions impériales. Et l’idée de
coopération
qui serait au cœur de ce régime social, et qui inspire partout sa rec
13
sident Winston Churchill) ; Ligue indépendante de
coopération
européenne (président Paul van Zeeland) ; Mouvement français pour l’E
14
Committee (W. Churchill) ; Ligue indépendante de
coopération
économique (Paul van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E
15
non point aux égoïsmes opposés par nature à toute
coopération
sincère et efficace — c’est tellement évident qu’on l’oublie dans tou
16
en plein essor, nous en appelons maintenant à la
coopération
des meilleurs, des plus responsables, dans chacune des cellules vivan
17
ncontre organisée par la Commission œcuménique de
coopération
européenne (douze Américains et douze Européens) ; — du 26 août au 1e
18
ines et par milliers, si possible, apportent leur
coopération
active. Eux, et eux seuls, peuvent donner un contenu humain à la cons
19
t permis d’explorer en détail les possibilités de
coopération
. Quant aux instituts culturels européens, l’une des raisons d’être du
20
anières. Le champ d’action optimum d’une œuvre de
coopération
culturelle correspond concrètement au « champ d’étude historique inte
21
anières. Le champ d’action optimum d’une œuvre de
coopération
culturelle correspond concrètement au « champ d’étude historique inte
22
quand il s’agit de penser désormais en termes de
coopération
, à l’échelle des réalités du xxe siècle, c’est-à-dire à l’échelle de
23
ns la recherche d’une bonne administration, d’une
coopération
internationale nécessaire, ou de l’application d’un idéal. On fait à
24
cale. Il a ainsi doté l’Europe d’un instrument de
coopération
intellectuelle ; d’un réseau d’échanges, de personnes, de publication
25
n besoin très réel et de possibilités précises de
coopération
. Lors d’une rencontre récente avec la section culturelle hollandaise,
26
tante de cette double nécessité d’autonomie et de
coopération
s’est trouvée coïncider — à la faveur de l’ouverture du col du Gothar
27
n’insister que sur les avantages d’un peu plus de
coopération
sans douleur, tout en se gardant d’attaquer de front les préjugés nat
28
é dans la mise au point d’une méthode pratique de
coopération
supranationale. La culture a toujours vécu d’échanges en Europe. Réta
29
e, un prétexte à refuser toute mesure réaliste de
coopération
et à autoriser les tricheries les plus effrontées dans le domaine com
30
ionalistes, incapables de nier la nécessité d’une
coopération
continentale, ne proposent que des marchandages entre autarcies natio
31
ratiques, tendant toutes à manifester l’esprit de
coopération
européenne qui l’anime, en même temps qu’à resserrer les liens profes
32
fiques ; de passer des accords entre États sur la
coopération
culturelle ; enfin d’élargir les échanges de livres, magazines, journ
33
curiosités qui ouvre une possibilité pratique de
coopération
. Un groupe restreint de sociologues européens et de sociologues russe
34
a fait échouer jusqu’ici toutes les tentatives de
coopération
internationale (et même nationale) dans ce domaine. Pourtant le besoi
35
tit à la création de l’Organisation européenne de
coopération
économique (OECE), groupant 16 pays, dont la Suisse. Mais le continen
36
tout amical, spontanément formé dans un esprit de
coopération
européenne, l’association ne prétend pas représenter la seule formule
37
e pour examiner avec eux : 1° les possibilités de
coopération
entre les organisations de types variés visant à compléter ou à prolo
38
avec le succès que l’on sait. Dans les deux cas —
coopération
de compétences éprouvées et promotion de nouveaux responsables — on p
39
tions provoquées par le CEC dans le domaine de la
coopération
des savants, des ingénieurs, des musiciens et des mécènes de la cultu
40
année d’une centaine de titres. Et des projets de
coopération
professionnelle au niveau européen et pour l’Europe se dessinent chez
41
venir si elle s’unit. 3° Créer des instruments de
coopération
pour les différentes branches de la culture, sans tenir compte des fr
42
s institutions tout en assurant leur plus étroite
coopération
. ⁂ Perspectives Contrairement à une opinion fort répandue, mais
43
ïsme au contraire — à l’entreprise universelle de
coopération
pacifique, initiée par l’Europe au nom de sa religion et rendue pour
44
t très souple et d’un esprit vraiment européen de
coopération
constructive et tolérante, chez les membres de l’association. Pour r
45
rrence tue les initiatives, qu’un peu d’esprit de
coopération
ferait réussir. Il faut un Centre, et il se crée, à la suite des cong
46
es résoudre. Cinq ans plus tard, 1955 : l’idée de
coopération
est entrée dans les mœurs, même culturelles. Les associations se sont
47
érales (telles que l’interdépendance mondiale, la
coopération
pour la paix, la révolution scientifique, la poussée démographique, l
48
aul van Zeeland, il créait la Ligue européenne de
coopération
économique (d’abord nommée Ligue indépendante, dans l’idée de ne pas
49
litiques et financiers. C’est Retinger en étroite
coopération
avec Duncan Sandys, alors président du Mouvement européen, qui met su
50
syndicaliste aux débuts, l’union européenne ou la
coopération
atlantique, à la fin de sa vie. Les yeux non avertis ne le distinguai
51
probabilités de la vie », et le précurseur de la
coopération
scientifique internationale139. Nous citerons les pages de l’Esquisse
52
endre d’autre salut pour l’Europe que de la libre
coopération
de l’État et de l’Église, seule base d’une union durable des peuples
53
er à s’affirmer encore plus consciemment, dans sa
coopération
particulière à l’œuvre collective, sous un régime d’Union fédérale pl
54
lles-mêmes et que la voie suivie soit celle d’une
coopération
organisée des États, en attendant d’en venir, peut-être, à une imposa
55
z nous », aux avantages que pourrait procurer une
coopération
sans réserve avec d’autres cantons ou pays. Votre congrès ayant pour
56
de type américain. Elle paraît être la formule de
coopération
idéale entre l’économie et la culture. Elle est nourrie par l’économi
57
cette région ; offrir un lieu de rencontre et de
coopération
aux hommes qui peuvent résoudre ces problèmes ; puis placer les résul
58
endre les deux tâches suivantes : 1° organiser la
coopération
des forces culturelles au-delà des frontières nationales ; 2° créer u
59
s, mais aussi et surtout par l’exemple vécu d’une
coopération
supranationale des savants, des sociologues, des éducateurs, des édit
60
é et pratiqué la libre concurrence, mais aussi la
coopération
, le nationalisme, mais aussi le fédéralisme, la spécialisation techni
61
yennant une souplesse suffisante de la formule de
coopération
organisée. Quatre ou cinq éditeurs par langue, au lieu d’un seul ; un
62
s’imposait donc de toute urgence. Il exigeait la
coopération
de tous les organismes préoccupés d’éducation européenne et travailla
63
utarcie, refermés sur eux-mêmes, hostiles à toute
coopération
, voire à tout échange avec le monde extérieur. Car le fédéralisme, s’
64
z nous », aux avantages que pourrait procurer une
coopération
sans réserve avec d’autres cantons ou pays. Votre congrès ayant pour
65
utarcie, refermés sur eux-mêmes, hostiles à toute
coopération
, voir à tout échange avec le monde extérieur. Car le fédéralisme, s’i
66
contre les abus de pouvoirs locaux. Il cherche la
coopération
organique de ses membres et non cette caricature de l’ordre qu’est l’
67
u Service d’information. Plus tard, le Conseil de
coopération
culturelle (CCC) s’étant constitué, [le Conseil de l’Europe] a délégu
68
s de 800 pages de texte, y compris le Bilan de la
coopération
européenne en matière culturelle. Ces quelque 50 rapports ont été att
69
ail humain bien concerté, la Suisse est née de la
coopération
. Un pour tous, tous pour un, c’est moins un idéal qu’une vitale oblig
70
vision large, qui fut un membre très actif de la
Coopération
intellectuelle, aux beaux temps de la SDN. Tous ces traits font de lu
71
autant plus efficace, elle reste un instrument de
coopération
. À vrai dire, les cantons n’en ont pas d’autre. Il est frappant de co
72
solidarité, les liens d’entraide, les contrats de
coopération
. C’est dire qu’elle n’exclut pas, bien au contraire, les relations d’
73
e ou d’intégration sociale, de contestation ou de
coopération
, de gratuité ou d’efficacité, etc., et selon qu’on préfère ceux qui s
74
ail humain bien concerté, la Suisse est née de la
coopération
. Un pour tous, tous pour un, c’est moins un idéal qu’une vitale oblig
75
n nouveau milieu où il fait l’apprentissage de la
coopération
. Alors s’affirme, grâce au décentrement nécessaire, la personnalité,
76
une totalité cohérente »… … S’il est vrai que la
coopération
est la « réciprocité entre individus autonomes », il faut reconnaître
77
r son compte et tant bien que mal ; il suppose la
coopération
et la mise en commun des faiblesses, d’où naîtra seule la force requi
78
Leurs relations normales sont de rivalité, non de
coopération
. Leur mode de contact normal n’est pas l’échange, mais le choc. Bakou
79
e polytechnique pour tel autre : elles exigent la
coopération
de plusieurs cantons, ou la dimension nationale. De même, les recherc
80
s les mouvements qui se dessinent en faveur d’une
coopération
au niveau culturel. Nous avons réuni pour la première fois les direct
81
e commande de se borner à des mesures modestes de
coopération
, résultant de consultations entre gouvernements. Parlant aussitôt apr
82
au lendemain de la guerre, la Ligue européenne de
coopération
économique, au nom de laquelle il était venu à Montreux. Je devais dé
83
et André Siegfried), et de la Ligue européenne de
coopération
économique (van Zeeland, Serruys) se rencontraient avec ceux de l’UEF
84
s les mouvements qui se dessinent en faveur d’une
coopération
au niveau culturel ; nous avons réuni pour la première fois les direc
85
Leurs relations normales sont de rivalité non de
coopération
. Leur mode de contact normal n’est pas l’échange, mais le choc. Bakou
86
tats plus que de fonction, de défense plus que de
coopération
. Aujourd’hui, le fédéralisme doit se détacher, comme j’ai tenté de vo
87
ussi à trouver les moyens d’une espèce non pas de
coopération
— c’est encore trop tôt — mais de coexistence. C’était aussi l’opinio
88
ais d’autre part elle suppose certaines formes de
coopération
discrète et en tout cas de coexistence. Lénine dit aussi : « Il faudr
89
Committee (W. Churchill) ; Ligue indépendante de
coopération
économique (Paul van Zeeland) ; Comité français pour l’Europe unie (E
90
Europe débarrassée de ses barrières, doublé d’une
coopération
organisée à l’échelle européenne pourraient sauver d’une ruine immine
91
rrence tue les initiatives, qu’un peu d’esprit de
coopération
ferait réussir. Il faut un Centre, et il se crée, à la suite des cong
92
es résoudre. Cinq ans plus tard, 1955 : l’idée de
coopération
est entrée dans les mœurs, même culturelles. Les associations se sont
93
t d’offrir un lieu de rencontres et des moyens de
coopération
aux forces culturelles de toute l’Europe à la recherche de l’union. N
94
commun. Elle a des buts analogues : substituer la
coopération
aux rivalités stériles, favoriser les échanges, qui sont la santé de
95
aissant de côté tous les aspects techniques de la
coopération
organisée dans les divers domaines de la publicité, des échanges d’ex
96
ra en effet accessible que si, parallèlement à la
coopération
entre les Nations s’instaure une coopération entre les régions. Celle
97
à la coopération entre les Nations s’instaure une
coopération
entre les régions. Celles-ci développeront progressivement de façon n
98
s diverses : formation professionnelle, tourisme,
coopération
culturelle, environnement, etc. À défaut d’entente entre les nations,
99
rait même rendue plus aisée dans certains cas. La
coopération
des cantons avec des régions différentes n’irait pas à l’encontre de
100
e, un prétexte à refuser toute mesure réaliste de
coopération
et à autoriser les tricheries les plus effrontées dans le domaine com
101
Leurs relations normales sont de rivalité, non de
coopération
. Leur mode de contact normal n’est pas l’échange, mais le choc. Bakou
102
’union de l’Europe implique un certain sens de la
coopération
honnête. Or on lit tous les jours dans les journaux des six pays de l
103
ennent sans doute le pragmatisme, la morale de la
coopération
dans la différence cultivée et le goût du dialogue qui caractérisent
104
nt initiateur de la nouvelle critique. Sens de la
coopération
dans la diversité et besoin vital du dialogue expliquent enfin ce que
105
frontalières et des responsables techniques de la
coopération
dans ces régions. Elle s’est tenue dans la Maison de l’Europe, les sé
106
Aspects culturels de la
coopération
dans les régions frontalières (été 1972)ch I. Définitions App
107
tale, et non pas les mentalités régionales. c) La
coopération
interuniversitaire au niveau régional paraît à la fois plus utile, pl
108
e à réaliser qu’au niveau national. Des essais de
coopération
, limitée mais précise, ont été faits dans la région Bâle-Strasbourg-F
109
gion Bâle-Strasbourg-Freiburg. Un autre projet de
coopération
est à citer : celui qui tend à grouper dans une coopération régionale
110
n est à citer : celui qui tend à grouper dans une
coopération
régionale les universités de Neuchâtel, Fribourg, Lausanne (I et II),
111
de 27 et Malte 10. ch. « Aspects culturels de la
coopération
dans les régions frontalières », Bulletin du Centre européen de la cu
112
lus propres à faire comprendre la nécessité de la
coopération
régionale transfrontalière. » 27 ⁂ L’enseignement vivant de l’écolog
113
les et leurs voisines de l’intérieur des liens de
coopération
pratique, dans les différents domaines que j’ai cités : socioéconomiq
114
continentaux, des recherches scientifiques, de la
coopération
universitaire, des relations avec d’autres continents — tout à fait c
115
ulait ouvrir. M. Messmer explique, à Lyon, que la
coopération
des régions périphériques doit s’arrêter à la frontière et s’exercer
116
manant du Conseil de l’Europe, « la Convention de
coopération
culturelle et le programme du Conseil en matière d’éducation et de cu
117
et ses mesures sont affaire de personnes, donc de
coopération
et de propriété communautaire. ⁂ Et pourtant, si je relis — comme je
118
manant du Conseil de l’Europe, « la Convention de
coopération
culturelle et le programme du Conseil en matière d’éducation et de cu
119
étendait interdire aux régions frontalières toute
coopération
avec « l’étranger ». J’ai écrit alors : « La différence (entre les de
120
invite à imaginer la richesse des possibilités de
coopération
qu’ouvrirait l’organisation d’une région universitaire. Englobant cel
121
it en cause sa suprématie. Un régime fondé sur la
coopération
volontaire, qui aurait partagé équitablement les avantages et les res
122
l aura fallu des années. Il y a le problème de la
coopération
entre les universités de la grande région Besançon – Lyon – Saint-Éti
123
re, il apparut bientôt que… l’établissement d’une
coopération
internationale dans le cadre européen, en ce qui concerne les recherc
124
fois, posé sur le plan européen le problème de la
coopération
en matière de recherche nucléaire. Dans une résolution adoptée à la q
125
e l’une de ses premières tâches. La Commission de
coopération
scientifique du Centre, présidée par Raoul Dautry, administrateur gén
126
différentes nations participantes. Résultat de la
coopération
d’un grand nombre d’États européens, cet organisme pourrait être doté
127
ts pays, centralisant les ressources, assurant la
coopération
des moyens matériels et des ressources intellectuelles, devant absolu
128
t fructueuse collaboration. Aussi, cette forme de
coopération
doit-elle être un des objectifs les plus immédiats de ceux qui endoss
129
es domaines du savoir : établissement de plans de
coopération
européens (et non pas seulement de relations surveillées et réticente
130
rence européenne de la culture considérant que la
coopération
des nations de l’Europe pour la recherche dans les sciences de la nat
131
bre 1950 au CEC : Résolution La Commission de
coopération
scientifique du Centre européen de la culture (patronné par l’Assembl
132
ntre européen de la culture, par la Commission de
coopération
scientifique du Centre, groupant les personnalités suivantes : Étaien
133
mmission ; 2. d’aboutir à un programme précis de
coopération
entre l’Unesco et le Centre européen de la culture sur cette question
134
11 au 14 octobre 1970 — une séance consacrée à la
coopération
scientifique au niveau européen donna l’occasion à M. Pierre Auger —
135
Rollier, constituaient avec moi une commission de
coopération
scientifique du Centre, et les échanges de vues sur les chances de ré
136
u monde. Il est considéré comme un modèle pour la
coopération
scientifique européenne. Je ne rappellerai pas les aventures diverses
137
hommes de science réside dans les avantages de la
coopération
au point de vue gros équipement et au point de vue de la constitution
138
e — nous pouvons nous féliciter d’avoir obtenu la
coopération
très efficace de plusieurs grandes fondations européennes, notamment
139
es problèmes extérieurs de la neutralité et de la
coopération
. La Suisse face à l’Europe Il paraît évident que le fédéralisme
140
tre adhésion à l’OECE (Organisation européenne de
coopération
économique) dès 1946, puis à la plupart des agences spécialisées de l
141
l de l’Europe. En 1972, elle signe des accords de
coopération
limitée mais réelle avec la CEE. Mais des liens plus concrets se tiss
142
vident que les Suisses ne peuvent plus limiter la
coopération
fédéraliste à leur seul territoire actuel. Autrement dit, et pour par
143
omaines indiqués plus haut, on voulait limiter la
coopération
pratique aux frontières douanières de la Suisse, celle-ci deviendrait
144
écrit tôt après la lecture de son article sur la
coopération
dans le domaine musical. Ce jeune chef prestigieux connaissait les pr
145
t d’offrir un lieu de rencontres et des moyens de
coopération
aux forces culturelles de toute l’Europe à la recherche de l’union. N
146
commun. Elle a des buts analogues : substituer la
coopération
aux rivalités stériles, favoriser les échanges, qui sont la santé de
147
aissant de côté tous les aspects techniques de la
coopération
organisée dans les divers domaines de la publicité, des échanges d’ex
148
quelques années une étude sur les possibilités de
coopération
transfrontalière au sein de cette vaste région universitaire. Et comm
149
e à l’endroit d’un régime qui serait fondé sur la
coopération
civique, les autonomies régionales et la recherche du bonheur personn
150
it en cause sa suprématie. Un régime fondé sur la
coopération
volontaire, qui aurait partagé équitablement les avantages et les res
151
usuelles, de leurs conflits occasionnels, de leur
coopération
, et de leur solidarité dans le péril. Elle est le lieu par excellence
152
s le voulons démocratique, en tant que lieu de la
coopération
grâce à laquelle les communes vont trouver les moyens qui leur manque
153
invite à imaginer la richesse des possibilités de
coopération
qu’ouvrirait l’organisation d’une région universitaire. Englobant cel
154
voie praticable aujourd’hui : celle des modes de
coopération
que les États-nations ne sauraient empêcher sans s’avouer franchement
155
ne et du cercle polaire aux Balkans, des liens de
coopération
pratique dans tous les ordres, socioéconomiques ou culturels. Ces lie
156
it donné naissance à l’Organisation européenne de
coopération
économique (OECE). Celle-ci, fortement soutenue par les USA, avait im
157
ans relâche pendant la période des congrès, d’une
coopération
instituée de nos économies nationales — la française et l’allemande d
158
turge et l’acteur qui fait triompher sa pièce, la
coopération
créatrice entre l’auteur du scénario d’un film et son cinéaste. Plus
159
it lieu d’examiner quatre ou cinq cas célèbres de
coopération
« politique » plus ou moins comparables dans leurs différences et dan
160
blances que l’histoire a pu voir et enregistrer :
coopération
entre Sully et Henri IV, à propos du Grand Dessein européen ; entre B
161
se et savoyarde. Les idéaux proprement suisses de
coopération
des langues, des races et des religions au sein d’une fédération, d’é