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dans deux plans différents. Le drill est un yoga
corporel
, le yoga est un drill de l’esprit. Je sais que ces deux mots sont bie
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dans deux plans différents. Le drill est un yoga
corporel
, le yoga est un drill de l’esprit. Je sais que ces deux mots sont bie
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ature réelle n’apparaît que dans l’acte. L’aspect
corporel
de l’homme est l’expression de notre solidarité avec le monde des obj
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ui manifeste la pensée, ce qui la rend visible et
corporelle
; ce qui la rend, au double sens du terme, grave. Toute la difficulté
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ui manifeste la pensée, ce qui la rend visible et
corporelle
; ce qui la rend, au double sens du terme, grave. Toute la difficulté
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réateur. À l’inverse, la chasteté (spirituelle ou
corporelle
) rénove en l’homme son élan vers le monde. Elle le porte au-devant de
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sens même de son action, de sa pensée, de sa vie
corporelle
! Précisons, car nous ne parlons pas de vérités « purement théologiqu
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icolas comment il pouvait vivre « sans nourriture
corporelle
», il se bornait à dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnant non plus
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ait de répondre en alléguant notre double nature,
corporelle
et spirituelle. Mais d’une constatation si générale, comment passer à
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atérialiser l’élan divin, à lui donner un support
corporel
. Mais il y a plus, nous le savons depuis Freud : le « type de femme »
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réceptes de la morale ésotérique : mortifications
corporelles
, mépris de la création, dissolution de tous les « liens mondains ». S
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me ?90 » Or il ne s’agit plus ici des souffrances
corporelles
ou morales qu’entraîne la mortification des sens et de la volonté, ma
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atérialiser l’élan divin, à lui donner un support
corporel
. Mais il y a plus, nous le savons depuis Freud : le « type de femme »
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réceptes de la morale ésotérique : mortifications
corporelles
, mépris de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint
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e108 ? » Or il ne s’agit plus ici des souffrances
corporelles
ou morales qu’entraîne la mortification des sens et de la volonté, ma
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atérialiser l’élan divin, à lui donner un support
corporel
. Mais il y a plus, nous le savons depuis Freud : le « type de femme »
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réceptes de la morale ésotérique : mortifications
corporelles
, mépris de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint
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me ? »98 Or il ne s’agit plus ici des souffrances
corporelles
ou morales qu’entraîne la mortification des sens et de la volonté, ma
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phénomène peut se décrire en termes physiques et
corporels
. Tant que vous êtes en train de gravir la montagne, à grand effort, v
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ié à la créativité de l’homme, il en est l’aspect
corporel
, le symbole ou le signe physique. Or nous savons que si l’homme peut
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phénomène peut se décrire en termes physiques et
corporels
. Tant que vous êtes en train de gravir la montagne, à grand effort, v
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ié à la créativité de l’homme, il en est l’aspect
corporel
, le symbole ou le signe physique. Or nous savons que si l’homme peut
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phénomène peut se décrire en termes physiques et
corporels
. Tant que vous êtes en train de gravir la montagne, à grand effort, v
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ié à la créativité de l’homme, il en est l’aspect
corporel
, le symbole ou le signe physique. Or nous savons que si l’homme peut
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ême concentration de l’attention sur un objet non
corporel
, œuvre d’art ou pensée d’un ordre difficile, peut échouer comme par c
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ié à la créativité de l’homme, il en est l’aspect
corporel
, le symbole ou le signe physique. Or nous savons que si l’homme peut
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ait de répondre en alléguant notre double nature,
corporelle
et spirituelle. Mais d’une constatation si générale, comment passer à
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plus un homme créateur. À l’inverse, la chasteté (
corporelle
et spirituelle) rénove en l’homme son élan vers le monde. Elle le por
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ême concentration de l’attention sur un objet non
corporel
, œuvre d’art ou pensée d’un ordre difficile, peut échouer comme par u
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st-il de nature spirituelle aux yeux du corps, ou
corporelle
aux yeux de l’esprit ? Ou les deux à la fois ? Ou bien ni l’un ni l’a
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mua en taureau, c’est-à-dire qu’il prit une forme
corporelle
en prenant l’humaine chair. Comme l’un de nous il vint demeurer en ce
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à des rapports plus nobles que ceux de la nature
corporelle
. Le feu mutuel de plusieurs caractères nationaux différents et même o
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il plus ou moins ? Faut‑il rétablir les punitions
corporelles
, comme on le discute à la Chambre des communes ? Faut‑il laisser plus
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st-il de nature spirituelle aux yeux du corps, ou
corporelle
aux yeux de l’esprit ? Ou les deux à la fois ? Ou bien ni l’un ni l’a
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mua en taureau, c’est-à-dire qu’il prit une forme
corporelle
en prenant l’humaine chair. Comme l’un de nous il vint demeurer en ce
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à des rapports plus nobles que ceux de la nature
corporelle
. Le jeu mutuel de plusieurs caractères nationaux différents et même o
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sens même de son action, de sa pensée, de sa vie
corporelle
! Précisons, car nous ne parlons pas de vérités « purement théologiqu
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prise à Nicée en faveur de la réalité matérielle
corporelle
, reconnue et sanctifiée par Dieu lui-même, entraînait donc des conséq
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psychologique. Avec Sade, elle tourne aux sévices
corporels
. Le marquis de Sade écrit ses œuvres en prison : il ne peut donc s’ag
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uction publique, par conditionnement des réflexes
corporels
, affectifs et intellectuels (service militaire, modes, presse et mass
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on seulement « concrète » ou « bruiteuse » mais «
corporelle
» comme en donne Stockhausen, illustrent la même impulsion qui produi