1
tres, que Bonaparte ne sera Français aux yeux des
Corses
. Il n’y a pas, en cette fin du xiiie siècle, de conflit entre deux n
2
ses Flamands, ses Provençaux, ses Italiens et ses
Corses
— et que sera-ce demain en Tchécoslovaquie, en Roumanie, en Yougoslav
3
s, des Béarnais, des Savoyards, des Lorrains, des
Corses
, et j’en passe. La France, la Suisse et les autres nations ne sont pa
4
aux Bretons et aux Alsaciens, aux Provençaux, aux
Corses
, aux Sardes, aux Siciliens, aux Bessarabiens et aux Ruthènes, aux Sud
5
Bretons, Alsaciens, Flamands, Basques, Catalans,
Corses
, Provençaux et Occitans, qui persistent à parler leur langue maternel
6
nguinetti. Cet ilote ivre du nationalisme non pas
corse
ou occitan, comme on eût pu s’y attendre, mais uniquement français, p
7
ntillesse native ; chez le Valaisan, un fanatisme
corse
; et chez le Genevois, un bien curieux mélange de gouaille à la franç
8
asques, provençaux, bretons, lorrains, alsaciens,
corses
». (Je n’ai jamais rien écrit de pareil, ni dans mon dernier livre, i
9
ébellion. On pense aux Gallois, aux Bretons, aux
Corses
, aux Tyroliens du Sud, aux Catalans naguère, à cent autres régions en
10
ns ethniques, par exemple, selon les Basques, les
Corses
et les Bretons qui se rappellent au monde par des explosions, quand o
11
», écrit-il, de l’École de Brienne, au grand chef
corse
Paoli73. Quant à Lénine, il détruisit en fait le pouvoir des soviets