1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 le sensation physique de bonheur, dans une rue au coucher du soleil, des phares d’automobiles étoilent le brouillard, les visag
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
2 et de gris l’on pût recréer toute la ferveur d’un coucher de soleil. Des formes purifiées, un relief net, une heureuse alliance
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 au du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait , nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en E
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 au du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait , nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en E
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 es monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue les masses confort
6 dans la campagne. La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un voile de brume bleue, dan
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 er un chat qui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en de
8 urvues d’articulations, en sorte qu’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres. Pour le capturer, les indigènes sci
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 au du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait , nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en E
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 er un chat qui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en de
11 urvues d’articulations, en sorte qu’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres. Pour le capturer, les indigènes sci
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 es monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue les masses confort
13 dans la campagne. La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un voile de brume bleue, dan
10 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
14 soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couché dans un bateau « qui dérive au gré de l’eau ». Image assez frappante
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
15 parois de la pièce pour permettre à chacun de se coucher . Kagawa les nourrit de son travail. Parfois, ils se révoltent contre
12 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
16 mobiles, des divans, des hommes et des femmes qui couchaient tellement ensemble qu’ils en étaient perpétuellement imbriqués comme
13 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
17 ffaut, parce qu’une baronne juive avait refusé de coucher avec un certain prince Nevidoff, propriétaire de bassins pétrolifères
14 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
18 octurnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher . Elle m’y contraint un peu… Quelle résistance absurde opposerais-je,
15 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
19 e et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée , sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfié. Autour d’
20 ignées de terre sur tous ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défilent en silence. « J’ai pris la n
16 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
21 u, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fils iront
17 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
22 eut guère que se tremper quelques instants, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-dessus des lagu
23 eurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher , j’ai été voir au poulailler. (Nous attendions depuis deux jours l’éc
18 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
24 arrange, ça délasse, et avec ça on peut aller se coucher  ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai
25 n peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher . C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre.
19 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
26 u, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fils iront
27 arrange, ça délasse, et avec ça on peut aller se coucher  ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai
28 n peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher . C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre.
29 eut guère que se tremper quelques secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagune
30 eurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher , j’ai été voir encore au poulailler. (Nous attendions depuis deux jou
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
31 s verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché  ; tout au plus, l’homme assis. Celui qui se fait servir. Mais quoi, j
32 octurnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher . Elle m’y contraint un peu… Quelle résistance absurde opposerais-je,
33 re voisin, c’est qu’à deux reprises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra
34 e et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée , sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfié. Autour d’
35 ignées de terre sur tous ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défilent en silence. « J’ai pris la n
21 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
36 utaire. À partir du xviiie siècle, le thème du «  Coucher de la mariée » n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries pict
22 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
37 l dût, jour pour jour, se lever avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner après lui, à chaque pas, son moi détesté…, qu’
23 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
38 quoi que ce soit, hors l’envie de boire et de se coucher . Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cela précisément qui
39 toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terr
24 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
40 nétrant dans la retraite des amants « vit Tristan couché , et de l’autre côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés
41 re côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés pour se reposer à cause de la forte chaleur, et dormaient ainsi sépar
25 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
42 alement : position de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous (cf. l’expression « avoir le dessous »). Rappelons aussi l
26 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
43 utaire. À partir du xviiie siècle, le thème du «  Coucher de la mariée » n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries pict
27 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
44 es faisait crier devant l’armée : « Le lion ne se couchera plus qu’il n’ait dévoré sa proie ! » Eh bien ! après Grandson, il ne
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
45 nétrant dans la retraite des amants « vit Tristan couché , et de l’autre côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés
46 re côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés pour se reposer à cause de la forte chaleur, et dormaient ainsi sépar
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
47 alement : position de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous. (Cf. l’expression « avoir le dessous ».) Rappelons aussi
30 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
48 utaire. À partir du xviiie siècle, le thème du «  Coucher de la mariée » n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries pict
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
49 nétrant dans la retraite des amants « vit Tristan couché , et de l’autre côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés
50 re côté de la grotte, Isolt. Les amants s’étaient couchés pour se reposer à cause de la forte chaleur, et dormaient ainsi sépar
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
51 alement : position de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous. (Cf. l’expression « avoir le dessous ».) Rappelons aussi
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
52 utaire. À partir du xviiie siècle, le thème du «  Coucher de la mariée » n’est plus qu’une occasion d’anodines galanteries pict
34 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
53 ue New York est une île en forme d’un gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
35 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
54 arce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couchés chez nous. Je ne sais combien de temps cela va durer. Elle délire et
36 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
55 arce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couchés chez nous. Je ne sais combien de temps cela va durer. Elle délire et
37 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
56 arce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couchés chez nous. Je ne sais combien de temps cela va durer. Elle délire et
38 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
57 arce que tu es venu, tout simplement. Nous étions couchés chez nous. Je ne sais combien de temps cela va durer. Elle délire et
39 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
58 l dût, jour pour jour, se lever avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner avec lui, à chaque pas, son moi détesté … qu’i
40 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
59 que New York est une île en forme de gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
60 ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues
41 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
61 quoi que ce soit, hors l’envie de boire et de se coucher . Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cela précisément qui
62 toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terr
42 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
63 n, si tout va bien, nous atteindrons Lisbonne. Où coucherons -nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de milliers de réfu
43 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
64 que New York est une île en forme de gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
65 ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues
44 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
66 une part inavouable de libération. Avouons-la, et couchons -nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avan
67 s dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus ancie
45 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
68 ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vo
46 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
69 mais il était minuit, et les rieurs sont allés se coucher chacun de son côté, et sur sa position. Ce matin, le docteur a voulu
47 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
70 mais il était minuit, et les rieurs sont allés se coucher chacun de son côté, et sur sa position. Ce matin, le docteur a voulu
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
71 er un chat qui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en de
72 urvues d’articulations, en sorte qu’il ne peut se coucher et doit dormir appuyé aux arbres. Pour le capturer, les indigènes sci
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
73 au du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait , nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes rentrés en E
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
74 es monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il distingue les masses confort
75 dans la campagne. La petite ville au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un voile de brume bleue, dan
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
76 u, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fils iront
77 arrange, ça délasse, et avec ça on peut aller se coucher  ! Ils mangent et on va se coucher. C’est le lendemain matin que j’ai
78 n peut aller se coucher ! Ils mangent et on va se coucher . C’est le lendemain matin que j’ai vu qu’ils avaient pris la chèvre.
79 eut guère que se tremper quelques secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagune
80 eurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher , j’ai été voir encore au poulailler. (Nous attendions depuis deux jou
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
81 s verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’homme couché  ; tout au plus, l’homme assis. Celui qui se fait servir. Mais quoi, j
82 octurnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher . Elle m’y contraint un peu… Quelle résistance absurde opposerais-je,
83 re voisin, c’est qu’à deux reprises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma lampe allumée. Si cela continue, il me prendra
84 e et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée , sur le flanc, haletant doucement, l’arrière-train tuméfié. Autour d’
85 ignées de terre sur tous ces ventres. Ils vont se coucher un peu plus loin. Un ou deux se défilent en silence. « J’ai pris la n
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
86 Porte d’Italie vers cinq heures du matin et je me couchais tremblant de fièvre. Quelques jours plus tard, à peu près guéri d’une
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
87 quoi que ce soit, hors l’envie de boire et de se coucher . Eh bien ! de tout cela se dégage un lyrisme. De cela précisément qui
88 toute la nature, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terr
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
89 n, si tout va bien, nous atteindrons Lisbonne. Où coucherons -nous ? Le Portugal a vu passer déjà des centaines de milliers de réfu
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
90 que New York est une île en forme de gratte-ciel couché . C’est la ville la plus simple du monde. Douze avenues parallèles, da
91 ouvre l’espace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
92 une part inavouable de libération. Avouons-la, et couchons -nous. 21 juillet 1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avan
93 s dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe, je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus anci
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
94 ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vo
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
95 ue nous pouvons imaginer de lui… Avant d’aller me coucher , je lui donne Le Nouvel Esprit scientifique de Bachelard. J’ai soulig
60 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
96 ne pas « dépasser ». Je pose pour le Petit Prince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vo
61 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
97 t nues, jusqu’à cette rangée d’écussons aux lions couchés trois par trois. Plus bas, des tapis suspendus. Au-dessus de ma tête,
62 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
98 t deux ou trois notes toujours pareilles. D’abord couchés à terre, dos à dos, les danseurs frappent très faiblement l’un contre
99 sol d’une main, frappant de l’autre ; puis ils se couchent , frappent encore faiblement, s’immobilisent et la musique s’arrête sa
100 ntourner sans les frôler les vaches accroupies ou couchées sur le flanc en plein milieu de la chaussée. Mieux vaut aller à pied
63 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
101 acovie. Comme on ne trouvait pas de place pour le coucher , le jeune Celt, qui l’accompagnait avec un infirmier, alla trouver le
64 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
102 ientifique ou d’éducation morale… Dans tout pays, coucher avec une femme sans l’aimer est le dernier degré de l’avilissement qu
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
103 leurie, dans le lointain un panorama féerique, un coucher de soleil séducteur… impossible de rendre cela en paroles. C’est l’hu
66 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
104 cs à l’herbe rase d’une montagne en forme de lion couché . Je me souviens de l’élasticité du sol un peu glissant sous nos semel
105 — on nous donna la permission inattendue de nous coucher pendant une heure. Sur des matelas et des paillasses, sur les housses
67 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
106 « concilier dans la pratique les incompatibilités couchées sur le papier » ; d’une forme d’esprit qui érige la prudence en vertu
68 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
107 ue nous pouvons imaginer de lui… Avant d’aller se coucher , je lui donne le Nouvel Esprit scientifique de Bachelard. J’ai soulig
69 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
108 t nues, jusqu’à cette rangée d’écussons aux lions couchés trois par trois. Plus bas, des tapis suspendus. Au-dessus de nous, un
70 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
109 arzifal de Wolfram d’Eschenbach, où les amants se couchent ensemble nus, mais séparés par une épée, ou un agneau, ou un enfant ;
110 s, p. 272.) (« S’ils se révèlent incapables de se coucher dans un lit, nu contre nue, sans accomplir l’acte charnel. ») J’ai de
111 ut pour lui, il violerait le tabou courtois. S’il couchait avec elle mariée à Marc, il violerait le tabou de l’inceste, et tout
71 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
112 us faut accepter ce risque. Autrement, allez vous coucher .   7. — « La région serait-elle une panacée ? » Oui sans doute, dans
72 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
113 aie, d’une menace invisible. « Il y a eu comme un coucher de l’astre, intérieur, intérieur à vous, dans une nouvelle couleur, u