1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 andeur désolée qu’un Greco. Mais il n’y a pas les couleurs , ni l’amère volupté des formes. Une sensation de barre d’acier sur la
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)p Au creux des couleurs assourdies d’un divan le soir, tandis que les fenêtres s’ouvraient ve
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 iculier, il prêtait à des abus de pittoresque, de couleur locale, de détails techniques ou de fastidieuses explications nécessa
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 nous, les arbres se brouillent dans une buée sans couleurs , nous quittons un mystère à jamais impénétrable pour l’homme, nous fu
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
5 p claire où les cris se font un peu aigres et les couleurs fluides. Toute la tendresse que ranime un soleil lointain va tourner
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 Il y a de la sensualité dans l’écrasement de ses couleurs , une sensualité qui sait se faire délicate quand du haut de San Minia
7 est un des rares peintres de ce pays pour qui la couleur existe avant tout. Mais la nostalgie de Bouvier l’entraîne à mille li
8 ude intérieure. Les visages sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point de reparaître… Charles Humbert
9 sa maîtrise avec une toile comme le Potier. Si la couleur n’est pas encore aussi plantureuse que les formes, il y a une belle r
10 Barraud, qui lui, passe ses journées à vendre des couleurs , à encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les visages qui s’y r
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
11 s » ; et le mot sang n’évoque ici qu’une tache de couleur , plus sentimental que cruel. « J’ai la beauté facile et c’est heureux
8 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
12 s notre modeste salle à manger ; des jaquettes de couleur pour ma femme… Mais l’homme avait posé son journal. Soudain, portant
13 ore. Ma tête commençait à osciller vaguement. Les couleurs du bar me remplissaient d’une joie inconnue. Et je me refusais sans c
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
14 rougi : il conserva toute la nuit une magnifique couleur orangée. Gérard semblait habitué à ces sortes de scènes. On reparla d
15 aissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les paupières, s’élargissent, se fondent, se superposent. Cinéma
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
16 ntraîne tout un branle-bas d’évocations hautes en couleur , de rêves, de visages, tandis que ç[à] et là s’ouvrent des perspectiv
11 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
17 stre ne vient troubler, aucune voix haute, aucune couleur vive. Les journaux qu’ils lisent annoncent chaque jour quelque catast
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
18 radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des couleurs familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
19 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
20 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… 12. R
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
21 certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs , mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
22 e fou, semait en nous toutes les curiosités de la couleur et de la vie. Nous reprenions toutes les mesures, tout redevenait neu
23 res, tout redevenait neuf : les mots « forme », «  couleur  », « architecture ». Et Dieu avait une place plus grande dans la joye
24 ns, avec une « Peinture » d’un intense lyrisme de couleurs . Zingg avec un « Enterrement au Pays de Montbéliard » grave et serein
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
25 ide qu’il avait cherché, étaient merveilleux. Les couleurs , la lumière du soleil, les dessins, les roses, les lèvres rouges des
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
26 rougi : il conserva toute la nuit une magnifique couleur orangée. Gérard semblait habitué à ces sortes de scènes. On reparla d
27 aissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les paupières ; s’élargissent, se fondent, et se superposent, re
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
28 radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des couleurs familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
29 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
30 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… xi L
31 certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs , mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
32 oses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’arbres ; plus près
33 l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre, et quelque bienveillance lorsqu’il a compris. Est-ce tout ? I
34 un petit théâtre. La rampe a des feux stellaires, couleur d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un pr
19 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
35 sent toujours le même paysage de carte postale en couleurs , idéal inévitable de ceux qui n’ont pas de point de vue sur le beau t
36 mour se réfèrent en vérité à une carte postale en couleurs . Et non pas à la réalité. Car vous n’aimez pas réfléchir à la souffra
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
37 radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des couleurs familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
38 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
39 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le re
40 certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs , mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
41 oses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’arbres ; plus près
42 l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre, et quelque bienveillance lorsqu’il a compris. Est-ce tout ? I
43 un petit théâtre. La rampe a des feux stellaires, couleur d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un pr
44 ate.) Telle a donc été ma « vision » : formats et couleurs très nettement perçus, mais rien de plus, donc rien d’utilisable éven
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
45 essus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de com
23 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
46 de toutes parts avec ses grands panneaux hauts en couleur promenés par les rues allemandes et italiennes, et jusque dans les pa
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
47 substitution de l’insigne du Parti aux anciennes couleurs nationales. La croix gammée, le faisceau du licteur, remplacent les d
25 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
48 substitution de l’insigne du Parti aux anciennes couleurs nationales. 44. Voilà sans doute la raison pour laquelle le fascisme
26 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
49 ison, si j’en crois l’amitié, les visages, et les couleurs si pures qu’il laisse dans le souvenir. m. « Roger Breuil, Les Uns
27 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
50 sauvera l’Europe menacée par tous les peuples de couleur  ? Aux dernières pages, nous voyons Bell, le chef du groupe, agoniser
28 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
51 sera, dans la féerie de l’eau des lumières et des couleurs , le ballet vertigineux des ondes. Ce sera aussi la fête de l’esprit.
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
52 tableau. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire poser à côté d’un rou
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
53 sont distants ou proches de l’unité ; toutes les couleurs sont mesurées par leur rapport au blanc originel, et sont dites plus
31 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
54 t que porteurs d’uniformes ou de chemises de même couleur . En son principe, l’erreur fasciste consiste à imposer cette communio
32 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
55 sont distants ou proches de l’unité ; toutes les couleurs sont mesurées par leur rapport au blanc originel, et sont dites plus
33 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
56 t que porteurs d’uniformes ou de chemises de même couleur . En son principe, l’erreur fasciste consiste à imposer cette communio
34 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
57 on dénués d’à-propos, album de cartes postales en couleur  : soir de Capri, jeune princesse peignant à l’aquarelle, baisers dans
35 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
58 ère rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui de loin
59 ignorent obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fa
36 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
60 llon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la ressemblanc
61 laine bleue rosée piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’hori
37 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
62 is, devenait légendaire, prenait le rythme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distanc
38 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
63 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
64 oto de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec
39 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
65 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
40 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
66 aguement américain et militaire, sous un ciel bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de nov
41 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
67 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
68 Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs , apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la ve
69 oto de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec
70 légendaire et généreux, prenait le rythme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distanc
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
71 ère rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui de loin
72 ignorent obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fa
73 llon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la ressemblanc
74 plaine bleu rosé piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’hori
43 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
75 un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anatomie. Le torse véritablement énorme bombe une chemis
44 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
76 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
77 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… ⁂ N’est-
45 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
78 a peu à peu nos sentiments, en leur prêtant des «  couleurs  » religieuses. Et cette immense « mystification » de l’instinct fauss
46 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
79 tableau. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire poser à côté d’un rou
47 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
80 colas de Flue : naissance d’un drame », Formes et couleurs , Lausanne, n° 1, Noël 1939, 2 p.
48 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
81 rvit pas à sa naissance. D’où le nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le ro
49 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
82 e les aventures des sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Châ
83 e celle-ci ait revêtu chez les poètes du Nord des couleurs assombries et plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du ciel or
84 oèmes incohérents, personnages sans caractères ni couleurs , mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nou
50 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
85 intives, les figures du discours passionné, les «  couleurs  » de sa rhétorique ne seront jamais que les exaltations d’un crépuscu
51 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
86 rs de l’ignorance, aveugles qui veulent juger des couleurs , oies essayant de rivaliser avec l’aigle… » Au Purgatoire, Dante renc
87 que c’est au crépuscule que se révèlent les sept couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à force d’évi
52 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
88 comme jamais plus nous ne le ferons plus tard, la couleur de nos pierres après la pluie, et l’odeur du lac immobile… Tout cela
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
89 rvit pas à sa naissance. D’où le nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le ro
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
90 te les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Châ
91 e celle-ci ait revêtu chez les poètes du Nord des couleurs assombries et plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du ciel or
92 oèmes incohérents, personnages sans caractères ni couleurs , mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nou
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
93 intives, les figures du discours passionné, les «  couleurs  » de sa rhétorique ne seront jamais que les exaltations d’un crépuscu
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
94 rs de l’ignorance, aveugles qui veulent juger des couleurs , oies essayant de rivaliser avec l’aigle… » Au Purgatoire, Dante renc
95 que c’est au crépuscule que se révèlent les sept couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à force d’évi
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
96 rvit pas à sa naissance. D’où le nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel d’orage qui couvre la légende. Le roi Ma
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
97 te les aventures de sept jeunes filles vêtues aux couleurs des planètes et que visite un roi-chevalier. Nous retrouverons le Châ
98 e celle-ci ait revêtu chez les poètes du Nord des couleurs assombries et plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du ciel or
99 oèmes incohérents, personnages sans caractères ni couleurs , mannequins dont les froides aventures s’enchaînent à l’infini », nou
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
100 intives, les figures du discours passionné, les «  couleurs  » de sa rhétorique ne seront jamais que les exaltations d’un crépuscu
60 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
101 rs de l’ignorance, aveugles qui veulent juger des couleurs , oies essayant de rivaliser avec l’aigle… » Au Purgatoire, Dante renc
102 que c’est au crépuscule que se révèlent les sept couleurs dont le grand jour faisait une seule lumière, trompeuse à force d’évi
61 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
103 elle s’était fait montrer les fameuses photos en couleur d’écrivains français et étrangers — et José Ortega y Gasset. Il y a t
104 n journal d’attente (pages démodées) », Formes et Couleurs , Lausanne, n° 1, avril 1940, p. 29-32.
62 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
105 les métamorphoses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plus
106 r même l’existence, soit qu’ils rêvassent dans la couleur ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveu
63 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
107 je ne tiens pas compte de leur format ou de leur couleur , mais de ce que j’ai écrit dessus. Et c’est pourquoi je m’y retrouve
108 drapeau rouge à la croix blanche, où le rouge est couleur d’Empire, c’est-à-dire d’union des nations, et la croix signe de salu
64 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
109 t flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois rocheuses alors que
65 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
110 par cent, par mille panneaux de toutes formes et couleurs . Sans relâche, ils croissent en gros plan et disparaissent en coup de
66 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
111 et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture. Il n
67 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
112 et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture. Il n
68 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
113 l peut être le sens de son nom, des formes et des couleurs dont il s’entoure, des phrases qu’il répète, ou de l’argent qu’il gag
69 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
114 et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture. Il n
70 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
115 l peut être le sens de son nom, des formes et des couleurs dont il s’entoure, des phrases qu’il répète, ou de l’argent qu’il gag
71 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
116 et les lampes rouges, comme lorsqu’on choisit une couleur au jeu de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture. Il n
72 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
117 plémentaires comme la virilité et la féminité, la couleur et le dessin, la poussée vitale et la retenue formelle. Et j’entrevoi
73 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
118 z pas la sensation du blanc en décrivant les sept couleurs . C’est pourquoi le langage de la vision ou de la foi, s’il était pur,
74 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
119 un faux universalisme fruit d’une éducation sans couleur confessionnelle, philosophique ni régionale, et sans aucun lien défin
75 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
120 au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en rien à la photographie pour « le brillan
76 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
121 Cabbale) 5. un élément (selon l’alchimie) 6. une couleur 7. une note de musique 8. un nom à quoi l’occultiste Lenain a cru pou
122 quant au parallélisme à établir entre les quatre couleurs des tarots et les quatre couleurs du jeu de cartes moderne. Bornons-n
123 ntre les quatre couleurs des tarots et les quatre couleurs du jeu de cartes moderne. Bornons-nous à livrer à l’étude du lecteur
124 à l’analyse et à la synthèse, à l’évaluation des couleurs et des formes, et surtout il entraînait cette faculté maîtresse qui é
125 leil blanc, en haut à droite, contient toutes les couleurs du spectre encore indifférenciées ; la couleur jaune du fond est cell
126 s couleurs du spectre encore indifférenciées ; la couleur jaune du fond est celle de l’intellect, de l’air, de la respiration ;
127 s de symboles ou de nombre qui la relie à une des couleurs … Cette figure solitaire montre un vagabond errant sans but, avec la d
128 s réalités particulières exprimées par les quatre couleurs et les arcanes. C’est pourquoi, prenons garde, s’il nous advient jama
77 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
129 essus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rosé clair ou de noir achèvent de com
78 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
130 te, des provinciaux vêtus de noir — « le noir, la couleur nationale ! » s’écrie un personnage de Giraudoux — sans parler des dé
79 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
131 itre pour la Bible, d’où pend un ruban large à la couleur de la saison ou de la fête liturgique. Plus haut, l’église collégiale
80 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
132 peut pas impunément se vêtir de n’importe quelle couleur , sous prétexte que cela « fait bien », construire une banque qui a l’
81 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
133 au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en rien à la photographie pour « le brillan
82 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
134 t flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêtes des parois rocheuses, alors qu
135 par cent, par mille panneaux de toutes formes et couleurs . Sans relâche, ils croissent en gros plan et disparaissent en coup de
83 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
136 ribution à l’étude du coup de foudre », Formes et Couleurs , Lausanne, n° 2, 1946, 4 p. (non paginé).
84 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
137 elle s’était fait montrer les fameuses photos en couleur d’écrivains français et étrangers) et José Ortega y Gasset. Ortega s
85 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
138 les métamorphoses de sa vie : toujours vêtue aux couleurs de sa fièvre et de sa nouvelle aventure. Pourquoi les hommes les plu
139 r même l’existence, soit qu’ils rêvassent dans la couleur ou cernent brutalement des figures sans mystère. Manuel est un nerveu
86 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
140 t flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur orangée, aérienne qu’on voit aux crêtes des parois rocheuses alors qu
87 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
141 s’éloignent, tenant mes pages de toutes formes et couleurs entre deux doigts, feignant de les lire — probablement à l’envers, co
88 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
142 ur lequel se jeter, il en fait voir de toutes les couleurs aux rudiments d’idées qui le traversent. Il s’empare de leurs mots si
89 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
143 au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en rien à la photographie pour « le brillan
90 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
144 essus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur de temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de com
91 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
145 ais on vote des budgets militaires, on discute la couleur des parements, et l’Amérique parle d’établir la conscription obligato
92 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
146 ais on vote des budgets militaires, on discute la couleur des parements, et l’Amérique parle d’établir la conscription obligato
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
147 aux espacés sur une vingtaine d’années modifie la couleur , la résonance et le sens même de chacun d’eux, et fait de l’ensemble
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
148 radiateur — les voici, pères et fils, revêtus des couleurs familiales. Ils se tiennent très droits, appuyés sur leurs sabres d’o
149 nt bon, avec des livres sur des divans aux riches couleurs , des boissons préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambr
150 aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs , le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le re
151 certain son spirituel… Un objet de musique et de couleurs , mais aussi une forme symbolique de tout… Enfin, tellement inconnu et
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
152 oses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près, des reflets d’arbres ; plus près
153 l’espèce dite « schnauzer », il montre un poil de couleur neutre, et quelque bienveillance lorsqu’il a compris. Est-ce tout ? I
154 un petit théâtre. La rampe a des feux stellaires, couleur d’Aldébaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15 tableaux, un pr
155 ate.) Telle a donc été ma « vision » : formats et couleurs très nettement perçus, mais rien de plus, donc rien d’utilisable éven
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
156 minables au-dessus d’une enceinte de briques. Les couleurs du monde sont éteintes, courant coupé, musique interrompue. Je ne voi
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
157 aguement américain et militaire, sous un ciel bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orage de nov
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
158 tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière subtile et pr
159 Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs , apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la ve
160 oto de bateau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec
161 légendaire et généreux, prenait le rythme et les couleurs grandioses et irréelles de la page d’histoire. Mensonge de la distanc
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
162 ère rapide qui débouche d’une gorge étroite, cité couleur de rocher, de rivière et de vieilles tuiles romaines, A… qui de loin
163 ignorent obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fa
164 llon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la ressemblanc
165 plaine bleu rosé piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’hori
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
166 un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anatomie. Le torse véritablement énorme bombe une chemis