1 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
1 par leur nature, ou par leur portée, ou par leur coût de production, ou enfin par les échanges que ces techniques multiplie
2 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
2 charger des experts d’étudier les modalités et le coût de l’opération. Ils concluent que rien n’est possible dans l’état act
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Interaction de l’économique et du politique
3 perfectionnement du bien-être, quand l’indice du coût de la vie devient le pivot des choix politiques. Les programmes des p
4 te la création de centrales nucléaires, mais leur coût serait trop élevé pour un canton et pour les industries privées ; et
4 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
5 pour dogme l’expansion indéfinie à n’importe quel coût humain et naturel, et pour unique article de foi la croyance en l’éte
5 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « L’homme se voit contraint de choisir librement son avenir »
6 ibré un budget qui ne prendrait pas en compte les coûts humains et les destructions naturelles, et qui ne ferait pas figurer
6 1973, Articles divers (1970-1973). Sur la taille des régions (octobre 1973)
7 la région, et ses déficits seuls, sous forme de «  coûts externes » (forêts détruites, pollution en tous genres, épuisement de
7 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
8 antages économiques d’un projet, pour établir son coût réel, tantôt de promoteurs qui n’invoquent que les besoins supposés e
8 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
9 eprendre des tâches qui, par leur ampleur et leur coût , restent interdites à ceux-ci. Il servirait à coordonner les recherch
10 ans son chapitre de la recherche scientifique, le coût sans cesse plus élevé des installations nécessaires et sa disproporti
11 précisa qu’il appartenait à l’Unesco d’étudier le coût et l’emplacement de ces centres, d’apporter son aide dans l’établisse
12 régionaux, de procéder à des estimations de leur coût et d’examiner leurs sites possibles, d’aider dans la formulation de l
13 puissant accélérateur de particules du monde ! Le coût de cet instrument projeté ne pouvait être fixé exactement, mais on pa
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
14 ide au logement fournie par l’État, tandis que le coût de la vie12 ne cesse de monter dans les villes à proportion de leurs
15 les villes à proportion de leurs dimensions : ce coût serait donc théoriquement incalculable dans une cité illimitée. Mais
16 ? Non, car elle est encore beaucoup trop chère en coûts humains et naturels, et trop mal adaptée à nos pouvoirs comme à nos v
17 qu’en rejetant sur la commune ou sur l’État ses «  coûts externes », de manière à garder « privés » les bénéfices mais à socia
18 la route » ou à leurs familles, il s’accroîtra du coût des centrales nucléaires et de quelques accidents majeurs : tout cela
19 liards de dollars par an si l’on tenait compte du coût de la pollution de l’air, qui ne paraît pas dans les statistiques off
20 au prix des principaux facteurs de maladies, les coûts aux contre-coûts et, finalement, les pertes humaines aux profits maté
21 ts jusqu’au lieu de travail pour les administrés, coût des services par tête d’habitant pour l’administration. 13. Les New-
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
22 ser dans l’ordre exact que l’on pouvait prévoir : coût calculé en termes financiers, non pas encore d’environnement ; sécuri
23 ancières de tous ordres conduisent les calculs de coûts . Une autre approche du problème, celle de l’économiste américain E. S
24 a-t-il de si grave s’il en résulte une hausse des coûts de distribution ? On peut dire en tout cas qu’aucune économie ne just
25 de service public — est de satisfaire au moindre coût les besoins en énergie électrique de la collectivité nationale50 ». A
26 radors hérissés de détecteurs électroniques ; les coûts énormes, démesurés au regard des possibilités privées ; l’aura du dan
11 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
27 eurs de ces méfaits ; il est probable qu’alors le coût de la production de ces fléaux sociaux pousserait à les éviter. » Not
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
28 e des distances, des hauteurs, des nombres et des coûts de toute espèce. Et, pourtant, beaucoup pensent qu’à la fin de ce siè
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
29 a région ; et ses déficits seuls, sous forme de «  coûts externes » (forêts détruites, pollution en tous genres, épuisement de
14 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
30 cela serait à la fois économique (temps, énergie, coûts , efficacité) et favorable au moral des usagers. Un projet alimentaire
15 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
31 es réserves exploitables dans des délais et à des coûts supportables — se fera sentir : — pour le pétrole dès 1985 ou 1995, o
32 ons de stockage des déchets, financement) ; — les coûts astronomiques et sans cesse croissants des centrales nucléaires, qui
33 ien plus élevé que les prix annoncés, à cause des coûts toujours occultés du démantèlement des centrales après trente ans, et
16 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
34 , durée, irréversibilité dans la plupart des cas, coûts irréels de la restauration des villes et des cultures irradiées — que
35 tries. — La réduction des pollutions augmente les coûts et les délais de production. La politique des grandes firmes consiste
17 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’Europe et le tiers-monde
36 urels ; de rentabilité qui stupidement ignore les coûts humains, sociaux et naturels ; de potentiel de défense qui ne veut co
18 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Programme pour les Européens
37 cesserait de l’être si l’on prenait en compte ses coûts et contrecoups sociaux, médico-psychologiques, belligènes, environnem
19 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
38 s d’une opération se traduit en termes de moindre coût et d’efficacité accrue. Mais dans tous les autres domaines : biologiq
20 1982, Articles divers (1982-1985). De la personne à l’Europe des régions (25 mars 1982)
39 en plus importantes par leurs dimensions et leur coût la fédération grandit allant jusqu’au continent. Tout cela se tient.
21 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
40 calement de méthode et de technique. » Certes, le coût des armes décuple, mais « les armées renforcent la cohésion des États