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seront ni les lois importunes des hommes, ni les
craintes
, ni la pudeur, ni le remords, ni le respect de moi ni de mes rêves, n
2
qui nous tourmente obscurément et nous obsède de
craintes
et de réticences dont nous ne comprenons pas toujours l’objet. Peur d
3
r quoi se fondent ces poétiques espérances ou ces
craintes
imaginaires. Beaucoup pourtant subsistent encore. Or, le nouveau livr
4
heures, d’un sommeil triste, tout enfiévré par la
crainte
du réveil. Puis je suis revenu dans ces rues où je vous rencontrais p
5
t bon que le lecteur dérisoirement troublé par la
crainte
de n’avoir pas saisi le sens véritable d’un texte, trouve parfois de
6
en redingote ne répondent que du bout des doigts,
crainte
, sans doute, de troubler l’équilibre toujours instable des huit refle
7
), et avec sa foi chrétienne. Il peut livrer sans
crainte
le secret d’une telle action ; sans crainte et sans vanité non plus,
8
sans crainte le secret d’une telle action ; sans
crainte
et sans vanité non plus, car son œuvre écrite n’est encore qu’un moye
9
il y avait la redoutable réalité, et il pleura de
crainte
et de tristesse. Tout inspirait le respect : le bruit discordant des
10
e j’ai acquis plus de raison et d’expérience : la
crainte
du Seigneur est le commencement de la sagesse. » Par quel concours de
11
sur quoi s’appuie pareil optimisme — sinon sur la
crainte
instinctive de choquer un public, qui ne supporte que la mesure, par
12
euse comme les secondes voix de Schumann. Mais la
crainte
me prend qu’on aille chercher en ces remarques je ne sais quelle défe
13
en redingote ne répondent que du bout des doigts,
crainte
, sans doute, de troubler l’équilibre toujours instable des huit refle
14
gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de
crainte
, de colère et de gêne guère moins ignoble. Mais je ne suis pas scanda
15
euse comme les secondes voix de Schumann. Mais la
crainte
me prend qu’on aille chercher en ces remarques je ne sais quelle défe
16
en redingote ne répondent que du bout des doigts,
crainte
, sans doute, de troubler l’équilibre toujours instable des huit refle
17
gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de
crainte
, de colère et de gêne guère moins ignoble. Mais je ne suis pas scanda
18
de nos soucis, de nos misérables cafards, de nos
craintes
dérisoires et mesquines. « C’est un petit nuage, il passera. » Ce mot
19
me, mais d’abord une force. On peut affirmer sans
crainte
d’erreur une telle maxime : tout l’Évangile la confirme et l’illustre
20
ormisme stalinien. Nous nous étonnerons alors des
craintes
du bon père : personne en France ne peut croire sérieusement aux vert
21
’est plus la peur du sang qui lui répond, mais la
crainte
majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui connaît son pouvoir et
22
la patrie ; un pacifisme qui traduit bien plus la
crainte
de « se faire des ennemis » que la surnaturelle paix annoncée par le
23
d’aujourd’hui n’a-t-il plus, comme ses pères, la
crainte
païenne de se présenter à la table sainte dans un état « moral » insu
24
! » Pourquoi ce rire scandaleux ? Parce que « la
crainte
infinie d’un seul danger nous rendrait tous les autres inexistants ».
25
drait tous les autres inexistants ». Mais cette «
crainte
d’un seul danger » peut-elle encore, sérieusement, caractériser le ch
26
empêcher de partager dans une certaine mesure les
craintes
de Léon Blum car toutes les confusions travaillent pour le « fascisme
27
fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette
crainte
de « trahir » en servant, ces raisons que l’on s’efforce de donner, n
28
Il s’agit maintenant d’interpréter son signe. ⁂
Crainte
et Tremblement, qui vient de paraître dans la belle collection philos
29
ombera, certain d’avoir accompli sa mission. Dans
Crainte
et Tremblement, Kierkegaard se débat encore avec lui-même. A-t-il la
30
Qu’est-ce que la foi ? demandait Kierkegaard dans
Crainte
et Tremblement. Qu’est-ce que la vie chrétienne ? demande Karl Barth
31
. Et voici que nous rejoignons l’idée centrale de
Crainte
et Tremblement. Qu’est-ce, en effet, que le « chevalier de la foi »,
32
t justus qui fonda la Réforme luthérienne. 11.
Crainte
et Tremblement, par Kierkegaard, traduit du danois par P.-H. Tisseau
33
chose qu’une raisonnable division du travail. Les
craintes
éveillées chez beaucoup de jeunes personnalistes quant à l’avenir du
34
ité excessive du style des manifestes d’ Esprit .
Crainte
de l’index ou incertitudes doctrinales ? Certains accents humanitaris
35
où nous les prononçons sans foi, hors de toute «
crainte
et tremblement ». Mais elles n’en sont pas moins, comme le Baptême et
36
vue. C’est pour cela qu’il faut prêcher, dans la
crainte
et le tremblement, son espérance. ⁂ Nous nous séparâmes sur ces mots.
37
es vocations précises reçues dans la prière, avec
crainte
et tremblement, et non pas revendiquées par le désir des hommes, à l’
38
t son succès — devraient suffire à mettre fin aux
craintes
qu’avait pu faire naître le silence prudent de M. de la Rocque. Le fa
39
le au « Cur Deux Homo ? » de saint Anselme. 14.
Crainte
et tremblement. 15. Actes de l’amour. 16. Traduction française sou
40
le : « Je n’ai jamais rencontré personne ». 21.
Crainte
et tremblement. b. « Forme et transformation, ou l’acte selon Kierke
41
à quel souci très légitime d’honnêteté, à quelle
crainte
très légitime de me voir combattre une caricature peut correspondre u
42
s, avec une patience ironique, mais aussi dans la
crainte
et le tremblement d’une foi sans cesse combattue, d’une vraie foi. Pu
43
fausse honte ou cette mauvaise conscience, cette
crainte
de « trahir » en servant, ces raisons que l’on s’efforce de donner, n
44
ndre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette
crainte
, comme tout vertige, ne cache pas une secrète attirance, une secrète
45
De ces deux Europes d’aujourd’hui, de cette seule
crainte
qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des
46
guère qu’à coloniser. Ils ont pu appliquer, sans
crainte
d’aucune sanction directe de la part des faits, une vieille doctrine
47
ndre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette
crainte
, comme tout vertige, ne cache pas une secrète attirance, une secrète
48
De ces deux Europes d’aujourd’hui, de cette seule
crainte
qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des
49
e et qui leur ont dicté leurs réactions. Et cette
crainte
n’est pas théorique. Car si notre culture libérale se révèle impuissa
50
guère qu’à coloniser. Ils ont pu appliquer, sans
crainte
d’aucune sanction directe de la part des faits, une vieille doctrine
51
ndre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette
crainte
, comme tout vertige, ne cache pas une secrète attirance, une secrète
52
De ces deux Europes d’aujourd’hui, de cette seule
crainte
qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des
53
e et qui leur ont dicté leurs réactions. Et cette
crainte
n’est pas théorique. Car si notre culture libérale se révèle impuissa
54
ne fait que traduire les humeurs, les goûts, les
craintes
et les vapeurs du bourgeois sensible, il ne cherche pas à les combatt
55
’un idéal révolutionnaire cohérent. Il n’a qu’une
crainte
: celle de passer pour autre chose qu’un « pur artiste », celle de pa
56
r un auteur à thèse, pour un propagandiste. Cette
crainte
— qui ne fut jamais celle des grands artistes — fait de notre romanci
57
e que nos objections « philosophiques », et notre
crainte
du « fatalisme » ne reposent pas, le plus souvent, sur cette erreur d
58
changeront rien : « Travaillez à votre salut avec
crainte
et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et
59
t des trois fascismes le démontre avec éclat : la
crainte
de la violence suscite mécaniquement une brutalité qui, à son tour, n
60
s les propos du gérant, ce n’est pas seulement la
crainte
, après tout légitime, qu’on sache combien ils ont « mis de côté », qu
61
ans une volonté de synthèse, et non point dans la
crainte
perpétuelle de n’aboutir qu’à des mélanges bâtards. Notre unité exist
62
storiquement — de même que la neutralité — qu’une
crainte
, un resserrement des rangs devant la menace extérieure81. » Rien n’es
63
nse le voisin trahit sans doute, à l’origine, une
crainte
obscure qu’on a de lui ; révèle ensuite que l’on nourrit soi-même à s
64
sité est vide de sens, s’il ne recouvre pas cette
crainte
ou cette entreprise projetée, ou encore les deux à la fois. En dépit
65
s les propos du gérant, ce n’est pas seulement la
crainte
, après tout légitime, qu’on sache combien ils ont « mis de côté », qu
66
moins de quelque obscur désir, de quelque obscure
crainte
— c’est identique — de sa mort. Noël 1934 C’est dans la pauvre
67
ce que nos objections « philosophiques » et notre
crainte
du « fatalisme » ne reposent pas, le plus souvent, sur cette erreur d
68
changeront rien : « Travaillez à votre salut avec
crainte
et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et
69
s ouvrages, signés de pseudonymes (La Répétition,
Crainte
et Tremblement) et deux recueils de Discours édifiants, signés de son
70
nt et qu’on juge très vulgaire.) Partout, la même
crainte
paralyse en germe tout essai de résister : si ce n’étaient pas les br
71
i bien à n’importe quel malade sans génie. 108.
Crainte
et Tremblement, trad. d’après la version allemande de E. Geismar et R
72
bandes insolentes, et donnant leurs pfennigs par
crainte
des listes noires, produit un sentiment de honte générale. Tâchons du
73
ent et qu’on juge très vulgaire.) Partout la même
crainte
paralyse en germe tout essai de résister : si ce n’étaient pas les br
74
r que s’ils ne m’ont rien dit, ce n’est point par
crainte
ou par méfiance, mais simplement parce qu’ils n’ont point d’idées là-
75
affirmerait malgré elle, non par volonté mais par
crainte
, pour assurer le « salut » de nos libertés… Ils ont écrit et dit tout
76
vivons ! Et notre vie, loin de se replier dans la
crainte
, s’exalte aux approches du péril et s’en nourrit plus qu’on n’oserait
77
isseur d’un scrupule d’orthodoxie, d’une dernière
crainte
de confondre l’homme et Dieu. Troxler esquive non sans adresse la dif
78
it en fait ou en rêve, dans le remords ou dans la
crainte
, dans le plaisir de la révolte ou l’anxiété de la tentation, il est p
79
s dit plus haut pour quelles raisons impérieuses (
crainte
de la persécution et serment d’initiation) ces poètes ne pouvaient pa
80
l prix que ce soit, il faut rompre mes chaînes De
crainte
qu’un hymen, m’en ôtant le pouvoir, Fît d’un amour par force un amour
81
uérir » (entendons : de brûler, donc en fait : sa
crainte
de guérir !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Cor
82
une atmosphère d’orageuse et secrète dévotion. La
crainte
morbide des entraînements « naïfs » et des « duperies du cœur », alli
83
e quel malade sans génie, et non chrétien. 210.
Crainte
et Tremblement, traduit d’après la version allemande de E. Geismar et
84
it en fait ou en rêve, dans le remords ou dans la
crainte
, dans le plaisir de la révolte ou l’anxiété de la tentation, il est p
85
l prix que ce soit, il faut rompre mes chaînes De
crainte
qu’un hymen, m’en ôtant le pouvoir, Fît d’un amour par force un amour
86
guérir » (entendons : de brûler donc en fait : sa
crainte
de guérir !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Cor
87
une atmosphère d’orageuse et secrète dévotion. La
crainte
morbide des entraînements « naïfs » et des « duperies du cœur », alli
88
comprise qui peut nous conduire à la foi. 228.
Crainte
et Tremblement, traduit d’après la version allemande de E. Geismar et
89
mettrait fin aux problèmes que j’étudiais. Cette
crainte
a bien failli se voir justifiée, et je ne puis que la reporter sur le
90
it en fait ou en rêve, dans le remords ou dans la
crainte
, dans le plaisir de la révolte ou l’anxiété de la tentation, il est p
91
l prix que ce soit, il faut rompre mes chaînes De
crainte
qu’un hymen, m’en ôtant le pouvoir, Fît d’un amour par force un amour
92
érir » (entendons : de brûler ; donc en fait : sa
crainte
de guérir !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Cor
93
une atmosphère d’orageuse et secrète dévotion. La
crainte
morbide des entraînements « naïfs » et des « duperies du cœur », alli
94
comprise qui peut nous conduire à la foi. 210.
Crainte
et Tremblement, traduit d’après la version allemande de E. Geismar et
95
enons pas conscience, alors seulement j’aurai des
craintes
sérieuses pour notre indépendance. Mais pourquoi la trahirions-nous ?
96
de nos soucis, de nos misérables cafards, de nos
craintes
dérisoires et mesquines. « C’est un petit nuage, il passera. » Ce mot
97
l’unique nécessaire : « L’amour parfait bannit la
crainte
. » Quoi qu’il arrive. 4. Le budget annuel de la « défense spirituel
98
l’unique nécessaire : « L’amour parfait bannit la
crainte
». Quoi qu’il arrive. 7. Le budget annuel de la « défense spirituel
99
et dissipé certaines brumes de défaitisme. 2. La
crainte
de la concurrence a produit une émulation inattendue du côté des part
100
nons pas conscience, alors seulement j’aurais des
craintes
sérieuses pour notre indépendance nationale. Mais pourquoi les trahir
101
ans une volonté de synthèse, et non point dans la
crainte
perpétuelle de n’aboutir qu’à des mélanges bâtards. Notre unité exist
102
storiquement — de même que la neutralité — qu’une
crainte
, un resserrement des rangs devant la menace extérieure29 ». Rien n’es
103
e à l’égard du voisin de langue ou de confession,
crainte
perpétuelle d’être majorisé. Notons que cette maladie a fait son appa
104
udence par gain de paix ou par faiblesse. D’où sa
crainte
de s’affirmer trop nettement différent. D’où finalement l’espèce de g
105
ancs aux soldats, en échange de leurs fusils, par
crainte
d’une révolution. Hitler fit désarmer ses propres troupes de choc, ap
106
ons ; dans notre besoin de sensation ; dans notre
crainte
des responsabilités ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté
107
diable ne peut rien. « L’amour parfait bannit la
crainte
. » 37. diable et sexe Le jeune lecteur qui parcourt le sommaire
108
ravers les murs de la cellule que bâtissaient nos
craintes
et nos vanités faibles, et qu’elle nous permet d’être libres comme ce
109
ons ; dans notre besoin de sensation ; dans notre
crainte
des responsabilités ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté
110
diable ne peut rien. « L’amour parfait bannit la
crainte
. » 53. diable et sexe Le jeune lecteur qui parcourt le sommair
111
ravers les murs de la cellule que bâtissaient nos
craintes
et nos vanités faibles, et qu’elle nous permet d’être libres comme ce
112
ns ; dans notre besoin de sensations ; dans notre
crainte
des responsabilités ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté
113
diable ne peut rien. « L’amour parfait bannit la
crainte
. » 53. diable et sexe Le jeune lecteur qui parcourt le sommaire
114
ravers les murs de la cellule que bâtissaient nos
craintes
et nos vanités faibles, et qu’elle nous permet d’être libres comme ce
115
sions, dans notre besoin de sensation, dans notre
crainte
des responsabilités, dans notre inertie civique, dans notre lâcheté v
116
! » Pourquoi ce rire scandaleux ? Parce que « la
crainte
infinie d’un seul danger nous rendrait tous les autres inexistants. »
117
endrait tous les autres inexistants. » Mais cette
crainte
d’un seul danger peut-elle encore, sérieusement, caractériser le chré
118
le au « Cur Deus Homo ? » de saint Anselme. 38.
Crainte
et tremblement. 39. Actes de l’amour. 40. Traduction française sou
119
re : « Je n’ai jamais rencontré personne. » 45.
Crainte
et tremblement. 46. Journal, tome X. 47. « Là encore le clerc mode
120
ustre une situation analysée par Kierkegaard dans
Crainte
et Tremblement : la suspension de l’éthique par Dieu lui-même, en vue
121
’est au nom d’un Absurde qu’il fuit, au nom de la
crainte
d’un Dieu inaccessible, et qui se rit de notre lucidité, sans parler
122
Est-ce que nos objections philosophiques et notre
crainte
du « fatalisme » ne reposent pas le plus souvent sur cette erreur des
123
changeront rien : « Travaillez à votre salut avec
crainte
et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et
124
e dont les bourgeois eussent dû concevoir plus de
crainte
que de satisfaction. Ramuz fait au système soviétique certains reproc
125
isseur d’un scrupule d’orthodoxie, d’une dernière
crainte
de confondre l’homme et Dieu. Troxler esquive non sans adresse la dif
126
et de religion, libération de la misère et de la
crainte
. Donc les Nations unies ayant gagné la guerre, il est temps de nous d
127
ire pour peu que je passe une frontière. Sujet de
crainte
en deçà du Jura, occasion de pitié au-delà. Mais je m’aperçois aussit
128
’ai dites. Considérons dans cette perspective les
craintes
de ceux qui vont disant : « Ne retombons pas dans les erreurs ancienn
129
pose ces questions simplistes pour répondre à vos
craintes
vagues.) Ce qui détruit aujourd’hui les nations, dans le sens valable
130
onne à personne. Me voici libéré de mes dernières
craintes
, et tout libre d’imaginer, de choisir et de m’orienter personnellemen
131
nde, c’est que la curiosité est plus forte que la
crainte
chez les enfants. Or l’opinion publique est un enfant que rien au mon
132
fisait à repousser les objets qu’il désire, et sa
crainte
l’objet qu’il redoute. Quand il se penche vers la surface de la riviè
133
uits. Si un homme veut la Vie éternelle par seule
crainte
de mourir à cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses lèvres ;