1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 t des Amants qu’exalte l’angoissant et vampirique crescendo du second acte de Wagner, tel est le premier objet de cet ouvrage ; e
2 au sein duquel chacun d’eux reste seul ; d’où le crescendo romanesque et la mortelle apothéose. Dualité irrémédiable et désirée 
3 les variations et les retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez n
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
4 t des Amants qu’exalte l’angoissant et vampirique crescendo du second acte de Wagner, tel est le premier objet de cet ouvrage ; e
5 au sein duquel chacun d’eux reste seul ; d’où le crescendo romanesque et la mortelle apothéose. Dualité irrémédiable et désirée 
6 les variations et les retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez n
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
7 t des Amants qu’exalte l’angoissant et vampirique crescendo du second acte de Wagner, tel est le premier objet de cet ouvrage ; e
8 au sein duquel chacun d’eux reste seul ; d’où le crescendo romanesque et la mortelle apothéose. Dualité irrémédiable et désirée 
9 les variations et les retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez n
4 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
10 t aux Américains, ils exultaient de confiance, en crescendo , jusqu’à la « Marseillaise » finale. On peut penser tout ce que l’on
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
11 s, qui y allaient de confiance, ils exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise finale. On peut penser tout ce que l’on veut
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
12 s, qui y allaient de confiance, ils exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise finale. On peut penser tout ce que l’on veut
7 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
13 ns ». En fait, on n’entendit qu’une cacophonie en crescendo perpétuel, et le bruit des canons devait en marquer l’inévitable conc
8 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
14 ns ». En fait, on n’entendit qu’une cacophonie en crescendo perpétuel et le bruit des canons devait en marquer l’inévitable concl