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t libératrice. Mais tu m’offrais un visage un peu
crispé
, signe d’une ironie secrète et pour moi douloureuse encore. Pitoyable
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L’école me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans,
crispé
et méfiant, sans cesse en garde contre moi-même à cause des autres de
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L’école me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans,
crispé
et méfiant, sans cesse en garde contre moi-même à cause des autres de
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orce. » Ainsi Beausire nous montre un Barrès tout
crispé
sur quelques certitudes et quelques doutes immédiatement utilisables.
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jours est entamée. Toute la germination est comme
crispée
dans son essor depuis le début de la tempête ; elle s’est mise sur la
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és de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur
crispé
, le cerveau délirant en plein midi du grand corps de la France étirée
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jours est entamée. Toute la germination est comme
crispée
dans son essor depuis le début de la tempête ; elle s’est mise sur la
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és de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur
crispé
, le cerveau délirant en plein midi du grand corps de la France étirée
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ingt sectes politiques contradictoires, tantôt se
crispe
en tyrannies, qui sont des désordres fixés. Seul l’effort de la scien
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s disent. » Il a pris une expression angoissée et
crispée
. « Je vous parle très sincèrement, je vous parle de choses qui ont jo
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que chose de solide. L’état d’esprit de défensive
crispée
, peu propice aux vues larges et imaginatives, va faire place à une ju
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oir mérité cette liberté… De là sans doute le ton
crispé
, voire coléreux, de beaucoup de jeunes théoriciens. On les sent bien
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ont toujours exalté les masochistes. L’éloquence
crispée
d’un Saint-Just15 était leur idée de la « pureté », les sentences bru
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e, qu’ils se gardent bien d’exprimer. Théâtral et
crispé
, un communiste français annonce que le Marché commun vient d’avoir po
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ont toujours exalté les masochistes. L’éloquence
crispée
d’un Saint-Just40 était leur idée de la « pureté », les sentences bru
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disent… ». Il a pris une expression angoissée et
crispée
. « Je vous parle très sincèrement, je vous parle de choses qui ont jo
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petitesses. « Besoin de grandeur », gémit Ramuz,
crispé
. Mais démontrer aux hommes qu’ils voient trop court n’est pas le meil
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oir mérité cette liberté… De là sans doute le ton
crispé
, voire coléreux, de beaucoup de jeunes théoriciens. On les sent bien
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du fusil. « Voyez, dit-il, comme vos doigts sont
crispés
. Rien d’étonnant si vous tirez trop bas. Vous arrachez… Voulez-vous a
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petitesses. « Besoin de grandeur », gémit Ramuz,
crispé
. Mais démontrer aux hommes qu’ils voient trop court n’est pas le meil
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ingt sectes politiques contradictoires, tantôt se
crispe
en tyrannies, qui sont des désordres fixés. Seul l’effort de la scien
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t de silence. Puis il dit, devant lui, sur un ton
crispé
: « Excusez-moi… Je ne peux pas vous reconnaître… Je ne veux pas… Je