1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 d la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmagorie sensuelle de Boccace, le roman
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
2 d la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmagorie sensuelle de Boccace, le roman
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
3 d la rose de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmagorie sensuelle de Boccace, le roman
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
4 t ce que l’on a écrit de plus alpestre, aérien et cristallin — le sommet de sa poésie. Après lui, il y a Frank Martin, qui atteint
5 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
5 iteur » — tantôt par un lyrisme aérien, alpestre, cristallin , comme dans le chœur fugué : « Étoile du matin ». La part du cœur
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
6 on à un monde entièrement calculable, métallique, cristallin , abstrait ; je vois une volonté de puissance mise sur la défensive ;
7 1977, Articles divers (1974-1977). Souvenir de 1938 (1977)
7 st révélé tantôt par un lyrisme aérien, alpestre, cristallin , comme dans le chœur fugué : « Étoile du matin ». Plus tard, je lui