1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 urmente humaine ne la moleste ni ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette « flamme pensante » dans l’ossuaire de Douaumo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
2 resse que ranime un soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie. Pourquoi, Henri de Closain, quitter le domaine enchanté o
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 r de ces êtres dont la détresse est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue sous des dehors trop polis. Une fois fermé le li
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
4 aisir n’a pas exténués. Mais alors quelle avidité cruelle , et peut-être tendre, à se faire souffrir rejette l’un vers l’autre c
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 er sur le monde. Aigles d’amours, oiseaux doux et cruels , nous parlerons vos langues aériennes. On n’acceptera plus que des va
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
6 uis Salomon le danseur triste baisa cette main cruelle … et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes comme u
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 es complaisantes. Meili est devenu plus net, plus cruel aussi. À Marin, près Neuchâtel, dans cette petite maison qu’on reconn
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
8 ici qu’une tache de couleur, plus sentimental que cruel . « J’ai la beauté facile et c’est heureux. » Il y a aussi un certain
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
9 traduction en actes de jeux de mots plus ou moins cruels … » — Je vous entends, interrompit Saint-Julien, par pitié pour Isidor
10 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
10 s’épanouir sur son visage je ne sais quel plaisir cruel . C’était un jeu très simple où l’esprit libre de calculs se tend arde
11 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
11 — l’orgueil t’aveugle-t-il ? Veux-tu conserver, ô cruel , des ailes qui donnent des rhumes à ton grand-père et sont en scandal
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
12 la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels qui les caractérisent. « Naturellement, vous allez à l’église le dima
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
13 ait tout entière à citer, dans son inénarrable et cruelle vérité, pourtant fort émouvante par moments. C’est là qu’il retrouve
14 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
14 ls manifestent en même temps avec une ironie plus cruelle souvent que la stérilité. Sécheresse désolée de Benjamin Constant, im
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
15 là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel , qui faisait fête à des adieux… Petits déjeuners suisses sur un balco
16 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
16 trop prendre au sérieux les questions étranges et cruelles que poserait sinon la vie de tous les jours, — on conçoit que ce brav
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
17 ietzsche exagère ; plus difficile de contester la cruelle pénétration dont témoigne un passage de ce genre. Mais si l’on donne
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
18 uerre, à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu’auparavant, et qui en faisait un pays pauvre, abattu, désuni et im
19 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
19 ment, impatient à l’égard de qui veut l’éclairer, cruel et méprisant pour les sages et les faibles. Qui donc oserait le blâme
20 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
20 ment, impatient à l’égard de qui veut l’éclairer, cruel et méprisant pour les sages et les faibles. Qui donc oserait le blâme
21 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
21 ntrerait aisément — ou pour mieux dire : avec une cruelle facilité — que la relation de l’homme et de la femme n’est guère mieu
22 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
22 du ciel entier. Certes, elle n’est pas seulement cruelle et folle, l’époque qui nous offre de si grandes chances. Et c’est une
23 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
23 ternité doit apparaître comme une espèce d’ironie cruelle  ; mais du point de vue de l’éternité, le sérieux humain apparaît affe
24 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
24 lui et contre moi, et je saurai forcer mes mains cruelles et joyeuses sur leur prise solide, et je le pétrirai selon la loi nou
25 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
25 lui et contre moi, et je saurai forcer mes mains cruelles et joyeuses sur leur prise solide, et je le pétrirai selon la loi nou
26 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
26 d’un rêve, d’un rêve de vie tendue, disciplinée, cruelle , c’est vrai, rêve pourtant, grande image collective exprimant le dési
27 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
27 gentes, et c’est encore l’aveu d’une inadaptation cruelle aux mœurs et coutumes de ce temps ; ou bien on écrit simplement pour
28 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
28 gentes, et c’est encore l’aveu d’une inadaptation cruelle aux mœurs et coutumes de ce temps ; on bien l’on écrit simplement pou
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
29 gentes, et c’est encore l’aveu d’une inadaptation cruelle aux mœurs et coutumes de ce temps ; ou bien l’on écrit simplement pou
30 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
30 et incapable désormais de concevoir les vérités «  cruelles  » de l’esprit, dont parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a
31 ux humeurs et désirs spontanés) par un absurde et cruel parti pris ; ou comme une abstention prudente… Ou encore ils y voient
31 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
32 d’autres apparences, de plus en plus angoissé et cruel … S’il le trouvait, ce « type » de femme rêvé ! J’imagine cette métamo
32 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
33 éalité et les désirs profonds du moi. Blessure si cruelle et intime que sa conscience en évite le souvenir (ou le refoule comme
33 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
34 tous les cas d’exception, mais la statistique est cruelle  : elle réfute notre poésie. Vivons-nous dans une telle illusion, dans
34 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
35 mé » des troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, i
35 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
36 divin, tourment suprême ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens qui peuvent consoler l’âme, savoir
36 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
37 ère et à la vie : c’est une nuit infernale et une cruelle mort. Et pourtant ! (voici bien ce qu’on peut appeler le comble des m
38 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la «  cruelle mort » une Vie nouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sub
39 qui nuisent à ses projets de grandeur ? Des lois cruelles , arbitraires, impérieuses, pourront de même assassiner chaque siècle
40 fait de la femme une espèce de divinité coquette, cruelle et vampirique. Vos femmes fatales, et vos femmes adultères, et vos fe
41 hérèse : « C’est un martyr à la fois délicieux et cruel  ». 125. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir finir son
37 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
42 et incapable désormais de concevoir les vérités «  cruelles  » de l’esprit, dont parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a r
43 ux humeurs et désirs spontanés) par un absurde et cruel parti pris ; ou comme une abstention prudente… Ou encore ils y voient
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
44 Mille et mille seront sauvées. Dure peine, voix cruelle , De toi seule vient la paix. Ô récompense éternelle De ton bonheur im
39 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
45 sez de pain, c’est une chose très injuste et très cruelle . Mais celui qui n’a rien du tout, celui qui vit du pain céleste, pour
46 hœur des suisses. (À gauche.) Heure maudite et cruelle misère ! Nicolas ! Dieu nous abandonne ! Chœur des français. Ré
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
47 tous les cas d’exception, mais la statistique est cruelle  : elle réfute notre poésie. Vivons-nous dans une telle illusion, dans
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
48 vec l’instinct. Elles furent tantôt des artifices cruels , tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des di
49 mé » des troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, i
50  : l’instinct sexuel est ressenti comme un destin cruel , une tyrannie ; orgueil : cette tyrannie sera conçue comme une force
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
51 divin, tourment suprême ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens qui peuvent consoler l’âme, savoir
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
52 ère et à la vie : c’est une nuit infernale et une cruelle mort. Et pourtant ! (voici bien ce qu’on peut appeler le comble des m
53 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la «  cruelle mort » une Vie nouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sub
54 qui nuisent à ses projets de grandeur ? Des lois cruelles , arbitraires, impérieuses, pourront de même assassiner chaque siècle
55 fait de la femme une espèce de divinité coquette, cruelle et vampirique. Vos femmes fatales, et vos femmes adultères, et vos fe
56 érèse : « C’est un martyre à la fois délicieux et cruel . » 143. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir finir son
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
57 et incapable désormais de concevoir les vérités «  cruelles  » de l’esprit, dont parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a r
58 ux humeurs et désirs spontanés) par un absurde et cruel parti pris ; ou comme une abstention prudente… Ou encore ils y voient
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
59 tous les cas d’exception, mais la statistique est cruelle  : elle réfute notre poésie. Vivons-nous dans une telle illusion, dans
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
60 vec l’instinct. Elles furent tantôt des artifices cruels , tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des di
61 mé » des troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, i
62  : l’instinct sexuel est ressenti comme un destin cruel , une tyrannie ; orgueil : cette tyrannie sera conçue comme une force
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
63 divin, tourment suprême ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens qui peuvent consoler l’âme, savoir
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
64 ère et à la vie : c’est une nuit infernale et une cruelle mort. Et pourtant ! (voici bien ce qu’on peut appeler le comble des m
65 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la «  cruelle mort » une Vie nouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sub
66 qui nuisent à ses projets de grandeur ? Des lois cruelles , arbitraires, impérieuses, pourront de même assassiner chaque siècle
67 fait de la femme une espèce de divinité coquette, cruelle et vampirique. Vos femmes fatales, et vos femmes adultères, et vos fe
68 érèse : « C’est un martyre à la fois délicieux et cruel . » 132. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir finir son
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
69 et incapable désormais de concevoir les vérités «  cruelles  » de l’esprit, dont parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a r
70 ux humeurs et désirs spontanés) par un absurde et cruel parti pris ; ou comme une abstention prudente… Ou encore ils y voient
50 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
71 se lamenter. Il faut voir ce que signifie une si cruelle disharmonie, quelles sont ses causes, et s’il existe des remèdes. Car
51 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
72 se lamenter. Il faut voir ce que signifie une si cruelle disharmonie, quelles sont ses causes, et s’il existe des remèdes. Car
52 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
73 de sensations spirituelles provoquées soit par la cruelle déesse de la Misère, soit par la torche de la parole jetée dans les m
53 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
74 onsumante, feu qui glace, tortures aimées, ardeur cruelle , « tout et rien ». Le passionné finit par voir dans ses souffrances l
54 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
75 de sensations spirituelles provoquées soit par la cruelle déesse de la Misère, soit par la torche de la parole jetée dans les m
55 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
76 onsumante, feu qui glace, tortures aimées, ardeur cruelle , « tout et rien ». Le passionné finit par voir dans ses souffrances l
56 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
77 de sensations spirituelles provoquées soit par la cruelle déesse de la Misère, soit par la torche de la parole jetée dans les m
57 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
78 onsumante, feu qui glace, tortures aimées, ardeur cruelle , — « tout et rien ». Le passionné finit par voir dans ses souffrances
58 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
79 Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)l Je trouve deux hommes en moi. Ils mènent
80 dogmes chrétiens, etc., etc. l. « Quelle guerre cruelle  », L’Arche, Alger, n° 6, octobre-novembre 1944, p. 69-78.
59 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
81 écisions les plus terribles de la réalité la plus cruelle . » Et encore : « On a relégué le christianisme dans une commensurabil
60 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
82 cela suffisait à lui faire prendre une conscience cruelle de « l’arrêt » ; mais il ne pouvait croire à la réalité de ce chemin,
83 directes… Incertitudes, retards de transmission, cruels échecs de la bonne volonté, succès décevants dus au hasard ou au capr
61 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
84 meure une pure et simple absurdité. « Cela paraît cruel , injuste et intolérable à la raison, qu’on puisse affirmer que Dieu d
62 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
85 éalité et les désirs profonds du moi. Blessure si cruelle et intime que sa conscience en évite le souvenir (ou le refoule comme
63 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
86 t la Suisse — je simplifie à peine, et c’est déjà cruel — il semble qu’il n’y ait plus qu’un no man’s land où s’affrontent so
64 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
87 r les terres où s’étend l’ombre du destin le plus cruel qu’ait jamais mérité notre Europe. Vers trois heures du matin, si tou
65 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
88 us qu’un vertige de possibilités qui lui semblent cruelles , parce que chacune naît de la mort d’une habitude qu’il chérissait, o
66 1946, Journal des deux mondes. Virginie
89 hance ! » Est-ce un reproche ? Ou bien une ironie cruelle sur les héros ? Qui n’auraient donc été héros que par malchance, ou p
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
90 gentes, et c’est encore l’aveu d’une inadaptation cruelle aux mœurs et coutumes de ce temps ; ou bien l’on écrit simplement pou
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
91 r les terres où s’étend l’ombre du destin le plus cruel qu’ait jamais mérité notre Europe. Vers trois heures du matin, si tou
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
92 us qu’un vertige de possibilités qui lui semblent cruelles , parce que chacune naît de la mort d’une habitude qu’il chérissait, o
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
93 hance ! » Est-ce un reproche ? Ou bien une ironie cruelle sur les héros ? Qui n’auraient donc été héros que par malchance, ou p
71 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
94 d’autres apparences, de plus en plus angoissé et cruel … S’il le trouvait, ce « type » de femme rêvé ! J’imagine cette métamo
72 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
95 là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel , qui faisait fête à des adieux… Petits déjeuners suisses sur un balco
73 1948, Suite neuchâteloise. VII
96 là j’étais seul… Rade de Genève par un beau temps cruel , qui faisait fête à des adieux… Petits déjeuners suisses sur un balco
74 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
97 politique, prise pour fin absolue devient la plus cruelle des religions, en même temps qu’elle perd ses vertus de science prati
75 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
98 nes nous semblent tour à tour follement belles ou cruelles , hideuses ou fascinantes comme les figures d’un rêve, intensément pré
76 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
99 écisions les plus terribles de la réalité la plus cruelle . Nous avons dénaturé le christianisme, nous l’avons pris à bon marché
100 endant qu’il avoue en aparté : « Je dois paraître cruel , mais c’est pour être tendre… » Il convient de marquer ici, en toute
77 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
101 vec l’instinct. Elles furent tantôt des artifices cruels , tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des di
78 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
102 aits connus de tous : 1. que Staline était un fou cruel et rusé (le « Caligula du Kremlin », écrivaient Preuves et le BEIPI),
79 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
103 cruauté des Orientaux ? Nous ne sommes pas moins cruels , mais nous le sommes autrement. Car nous le sommes dans le drame, eux
80 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
104 cruauté des Orientaux ? Nous ne sommes pas moins cruels , mais nous le sommes autrement. Car nous le sommes dans le drame, eux
81 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
105 il faille composer avec les circonstances est une cruelle et scandaleuse nécessité, à laquelle les partis ne se plieront qu’à l
82 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
106 ocher la fin de cette ère primitive, inhumaine et cruelle , de la technique occidentale. Chose étrange et bien remarquable, ce n
83 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
107 s ce qu’il a de fatal, de cynique, de candide, de cruel … L’amour dont la guerre est le moyen, dont la haine mortelle des sexe
84 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
108 ocher la fin de cette ère primitive, inhumaine et cruelle , de la technique occidentale. Chose étrange et bien remarquable, ce n
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
109 ux mœurs si douces, observent tous des rites plus cruels l’un que l’autre, afin de sacraliser et de socialiser l’événement de
86 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
110 écisions les plus terribles de la réalité la plus cruelle  ». Nous avons dénaturé le christianisme, nous l’avons pris à bon marc
111 Cependant qu’il avoue en aparté : « Je dois être cruel , mais c’est pour être tendre… » Il convient de marquer ici, en toute
87 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
112 d’autres apparences, de plus en plus angoissé et cruel … S’il le trouvait, ce « type » de femme rêvé ! J’imagine cette métamo
88 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
113 s ce qu’il a de fatal, de cynique, de candide, de cruel … L’amour dont la guerre est le moyen, dont la haine mortelle des sexe
89 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
114 de sa femme. Il en parle tantôt comme d’un destin cruel , tantôt comme de son choix « quasi mystique » et finalement comme d’u
115 rsonne. Gide fut-il la victime d’une fin d’époque cruelle et déjà tout absurde à nos yeux, comme peuvent paraître absurdes ou d
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
116 s. L’Allemand ne s’entend pas avec le Français. Ô cruelle perversité humaine ! La diversité des noms qu’ils portent suffit à el
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
117 nature héroïque, c’est la religion effrayante et cruelle , des dieux terribles couverts d’armes redoutables. Les missionnaires
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
118 s, des gouvernements si modérés et des guerres si cruelles  : on sait à peine comment concilier ces étranges contrariétés ; et ce
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
119 our le réaliser. Et là encore, le démenti le plus cruel ne tardera pas à le frapper… 136. W. Robertson : Histoire du règne
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
120 its ! Et s’ils conservent leur système pervers et cruel , que la colère universelle s’abatte sur la tête branlante de nos pers
121 opolite, et ils n’ont réussi qu’à allumer la plus cruelle guerre mondiale qui ait jamais ébranlé et déchiré la société. À l’épo
95 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
122 r l’Europe politique des jugements d’une lucidité cruelle . Dans son célèbre discours « Sur la situation générale de l’Europe »
96 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
123 les entiers, habitués depuis des siècles aux plus cruels régimes d’oppression autochtone. C’est tout cela que l’on confond auj
97 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
124 les entiers, habitués depuis des siècles aux plus cruels régimes d’oppression autochtone. C’est tout cela que l’on confond auj
98 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
125 tion presque incroyable demande avec une sorte de cruel bon sens : « En quoi le fait d’avoir un programme discréditerait-il l
99 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
126 tion presque incroyable demande avec une sorte de cruel bon sens : « En quoi le fait d’avoir un programme discréditerait-il l
100 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
127 s à l’appui de ses thèses initiales : Tell et les cruels baillis n’apparaissent nulle part dans l’histoire de nos origines, et