1
ns la description du milieu patricien que dans la
création
d’un caractère de grand peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on n
2
ion secrète qui fait naître l’amour. Parce que la
création
est venue après la théorie. Parce qu’une fois de plus, Cocteau a comp
3
, réactions physiques, etc., qui accompagnent une
création
littéraire. Bien sûr, c’est cela, le malaise d’écrire. Bopp est très
4
imanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la
Création
», comme dit Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne peut voir la dup
5
otre système de concurrence, tout notre effort de
création
, tout le jeu de nos facultés semblent dirigés uniquement vers la prod
6
leur égaler notre conscience. C’est un effort de
création
— car toute découverte du monde spirituel revêt pour nous, normalemen
7
tuel revêt pour nous, normalement, l’aspect d’une
création
. Il s’agit de maintenir cet effort sous le signe de la sobriété la pl
8
l parviendra de moins en moins à « réfléchir » sa
création
. De là sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des ph
9
e nécessaire entre nos gestes et nos pensées, nos
créations
et notre connaissance ; le sentiment d’une harmonie à sauvegarder au
10
oxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la
création
intéresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de principes définis
11
nt animer des êtres, lorsqu’à chaque moment de la
création
intervient une autocritique à la fois peureuse et agressive ? Il y fa
12
e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la
création
du monde. 6. S’il est vrai, comme l’a montré M. Spaïer, que toute pe
13
ent avec ce qu’on est. C’est pourquoi il n’y a de
création
possible que par les individus. Et de là vient que toute création abs
14
e que par les individus. Et de là vient que toute
création
absolue est héroïque. Socialisme (ou marxisme). Penser en actes : ce
15
blement, n’existent pas. Elles font partie de ces
créations
pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
16
apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs
créations
politiques (nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de
17
lus profond de l’âme allemande, qui la porte à la
création
volontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’el
18
lus profond de l’âme allemande, qui la porte à la
création
volontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’el
19
la construction des voies de communication, ou la
création
d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 4.
20
ice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de
création
, l’esprit de liberté. Et vous venez lui dire que ça n’existe pas. À v
21
icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
création
, un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
22
es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la
création
de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
23
e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la
création
. Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
24
ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la
création
. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
25
dans une activité qui est la négation même de la
création
; activité purement « nécessitée » par la révolte de 17, qui décréta
26
un conflit et un risque nouveaux, générateurs de
créations
nouvelles. L’acte et la personne apparaissent ainsi indivisibles. Tel
27
Le Deuxième Jour de la
Création
, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)n Ce titre curieusement bibliq
28
communion humaine. n. « Le Deuxième Jour de la
Création
, par Ilya Ehrenbourg », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 243, d
29
’origine et la fin de toute incarnation, de toute
création
, de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
30
ifs ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des
créations
de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
31
utour de sa doctrine, révolution signifie d’abord
création
de l’ordre. L’action sociale ne saurait être que la résultante irrépr
32
pas de défense. Mais de choix, d’affirmation, de
création
, de Révolution. Nous sommes sur la terre décisive. L’heure est venue.
33
ns sa condition éternelle, une réponse à toute la
création
, désormais replacée dans l’ordre originel. À cet instant, parce qu’il
34
placer l’homme dans la perspective biblique de la
Création
. Il faut lire ce chef-d’œuvre qu’est son dernier roman, Adam et Ève.
35
é contre les conventions civilisées — inoubliable
création
, ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temps de sa misère. Puis un
36
dont l’apparition fait songer aux plus radieuses
créations
d’Andersen. On a fait un succès depuis quelques années à tant de trad
37
ure de Kierkegaard eut légitimé, à elle seule, la
création
de cet Office et ses soins les plus diligents. Que d’impairs n’a-t-on
38
pparaît ici très « dialectique » — démarche de la
création
qui va toujours dans le sens de l’être, à condition qu’elle soit sout
39
déterminismes historiques » ne sont rien que des
créations
de l’homme. Et de quel homme ? De cet individu des libéraux rationali
40
rtain aménagement des activités, de la durée, des
créations
humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
41
de mai 1933, est essentiellement orienté vers la
création
. C’est en vain que l’on chercherait dans ces minces cahiers les pitto
42
r n’était qu’anathème au présent, où serait notre
création
? Et si l’ordre que nous voulons n’était rien d’autre que la subversi
43
end à dévaloriser, à disqualifier humainement les
créations
intellectuelles. Si l’on voulait trouver un critère général qui nous
44
à rendre compte des seules œuvres mineures, toute
création
réelle étant la position d’un acte indépendant des mécanismes de la s
45
’homme rendu à la conscience de sa liberté. Toute
création
suppose une liberté, ou plus exactement, créer, c’est être libre. Un
46
é contre les conventions civilisées — inoubliable
création
, ce Norenius ! — qui prend soin d’elle au temps de son malheur. Puis
47
re, n’avaient pas trouvé le corps de Jésus. Cette
création
s’est faite sans qu’il soit nécessaire ou légitime de supposer à son
48
, si l’homme est un événement, une rupture et une
création
, un fauteur de nouveauté pure, un poseur de questions, un « prochain
49
u’initie l’acte de présence, c’est le temps de la
création
qui naît de l’acte, c’est le rythme imprimé à l’action générale par c
50
loi perde à la fois son risque et son pouvoir de
création
(démocratie libérale). Le droit de la personne à primer sur l’ensembl
51
elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses
créations
, par l’État et par les bavards. Elle refuse la dictature, parce que l
52
ber ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des
créations
de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
53
la nécessité. L’esprit est d’abord jeu, liberté,
création
imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la dialectique hég
54
mologique. Des hommes incapables d’actualiser une
création
, c’est-à-dire incapables de concevoir un spirituel véritable. Seule u
55
rtain aménagement des activités, de la durée, des
créations
humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
56
oles. Quelles sont donc nos idoles ? Ce sont les
créations
de nos désirs divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons a
57
ersonne et des églises, ainsi que toute espèce de
création
spirituelle. Le véritable malheur du fascisme, c’est d’avoir voulu ét
58
blement, n’existent pas. Elles font partie de ces
créations
pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
59
apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs
créations
politiques (nationalisme, SDN60, etc.), condamnation de l’individu, d
60
imposé par l’État détend tous les ressorts de la
création
personnelle ? S’il n’y a plus d’élite ? Il n’y aura plus personne pou
61
la construction des voies de communication, ou la
création
d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 72.
62
icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
création
, un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
63
es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la
création
de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
64
e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la
création
. Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
65
ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la
création
. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
66
dans une activité qui est la négation même de la
création
; activité purement « nécessitée » par la révolte de 17, qui décréta
67
de mai 1933, est essentiellement orienté vers la
création
. C’est en vain que l’on chercherait dans ces minces cahiers les pitto
68
elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses
créations
, par l’État et par les bavards. Elle refuse la dictature, parce que l
69
ber ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des
créations
de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
70
la nécessité. L’esprit est d’abord jeu, liberté,
création
imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la dialectique hég
71
ologique. Des hommes, incapables d’actualiser une
création
, c’est-à-dire incapables de concevoir un spirituel véritable. Seule u
72
rtain aménagement des activités, de la durée, des
créations
humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
73
doles. Quelles sont donc nos idoles ? Ce sont les
créations
de nos désirs divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons a
74
ersonne et des églises, ainsi que toute espèce de
création
spirituelle. Le véritable malheur du fascisme, c’est d’avoir voulu ét
75
blement, n’existent pas. Elles font partie de ces
créations
pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
76
apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs
créations
politiques, condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (
77
imposé par l’État détend tous les ressorts de la
création
personnelle ? S’il n’y a plus d’élite ? Il n’y aura plus personne pou
78
la construction des voies de communication, ou la
création
d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 75.
79
icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
création
, un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
80
es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la
création
de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
81
e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la
création
. Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
82
ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la
création
. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
83
dans une activité qui est la négation même de la
création
; activité purement « nécessitée » par la révolte de 1917, qui décrét
84
llectuels du Front populaire. On attend d’elle la
création
d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse
85
ée. Cette distinction conduit nécessairement à la
création
d’une caste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de
86
n but nouveau. Cette double activité aboutit à la
création
de l’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle im
87
nisation devant être normalement subordonnée à la
création
. Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans
88
’autre part, il ne peut créer dans le vide, et sa
création
, quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa valeur dans le d
89
ples, de ce qui est organisation et de ce qui est
création
; et à subordonner à tous les étages les moyens aux fins, les outils
90
avec l’économique, le social et le politique, la
création
intellectuelle ne sera plus séparée des « masses ». Une culture isol
91
pparences actuelles », mais dans les lignes de la
création
. L’imagination de la forme saisit d’abord la loi de formation ; et c’
92
. L’imagination de la forme est sympathie avec la
création
. Mais nous tenons ici la clef du monde de l’incarnation, le secret de
93
tions naturelles, où l’homme est microcosme de la
Création
. Paracelse, Bruno, Nicolas de Cuse dominent de loin ce grand mouvemen
94
elles en expriment la tension créatrice, — toute
création
naissant d’une tension établie par quelque unité dominante entre la c
95
refuser ce qui existe qu’au nom d’une volonté de
création
. Je vous proposerai donc deux exemples concrets de vocation chrétienn
96
s de Kobé et de plusieurs villes japonaises, à la
création
d’importantes œuvres sociales, enfin à la constitution d’un grand mou
97
er sa vitalité, sa puissance d’assimilation et de
création
, le génie de ses ouvriers, de ses artisans, de ses artistes, de ses «
98
valeur spirituelle de ces écrits. Ce n’est pas la
création
, c’est le rabâchage qui rapporte. Publiez un poème, un essai, un roma
99
ns l’édition. Moins un livre comporte d’idées, de
création
, d’esprit actif, mieux il se vend. La crise force les éditeurs à se f
100
pas vers la révolution réelle. Et non pas vers la
création
; et non pas vers la construction réfléchie d’un ordre nouveau. Si bi
101
lors, devient celui de l’acte, c’est-à-dire de la
création
d’une possibilité nouvelle, sans précédent. Y a-t-il des actes ? L’ho
102
de tout acte véritable, de toute marche, de toute
création
, de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un c
103
s connaître maintenant que seul l’acte de foi est
création
, transformation, nouveauté pure dans le monde, vocation et personne é
104
t au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait
création
absolue, mais un acte de l’homme n’est jamais qu’une rédemption. Dist
105
r à l’acte n’est pas seulement renversement, mais
création
irréversible. Et cela tient à la nature de l’acte, — mieux encore : à
106
rrait-il faire un acte ? Car l’acte est immédiat,
création
et initiation, c’est-à-dire sobriété pure, — quand l’être même du dés
107
solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ;
création
et automatisme ; libéralisme et discipline ; fédéralisme et étatisme
108
mmateur, — de même la production littéraire et la
création
intellectuelle se voient soumises de plus en plus à des nécessités co
109
tait vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de toute
création
est dans le visage de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créate
110
nnaît dans leur sens primitif, dans le sens de la
création
qui tout entière advient à l’homme. Ainsi l’Adam d’avant le Temps, d’
111
ci au lieu de l’incarnation des images — ou de la
création
imaginée. Il faut rendre à ce mot d’imagination son sens fort : c’est
112
; elle est dans la volonté, dans l’amour, dans la
création
du contact avec l’objet. » Mais on peut dire cela de Goethe aussi ? E
113
e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la
création
du monde. 48. Il dit des personnages de ses romans : « Je ne les aim
114
49. Pour autant, bien entendu, qu’il implique une
création
, qu’il résulte d’une mise en présence effective de l’homme et de ce q
115
e prendre un peu de repos à l’abri de ses propres
créations
. Mais dès qu’il a rompu le contact avec les résistances concrètes qu’
116
llectuels du Front populaire. On attend d’elle la
création
d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse
117
ée. Cette distinction conduit nécessairement à la
création
d’une caste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de
118
n but nouveau. Cette double activité aboutit à la
création
de l’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle im
119
nisation devant être normalement subordonnée à la
création
. Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans
120
d’autre part il ne peut créer dans le vide, et sa
création
, quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa valeur dans le d
121
ples, de ce qui est organisation et de ce qui est
création
; et à subordonner à tous les étages les moyens aux fins, les outils
122
sent-ils à animer toutes les facultés humaines de
création
, d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
123
emple : les disciplines imposées par le Plan à la
création
artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
124
e. Mais elle est réfutée dans son principe par la
création
culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extéri
125
pe par la création culturelle, dès lors que cette
création
vient s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses
126
Mais il est totalement impuissant à provoquer la
création
, et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
127
par son origine coupé des sources mêmes de toute
création
culturelle, qui jaillissent de la personne, de l’aventure personnelle
128
lut, à nous autres nations libérales, est dans la
création
d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
129
s ne marquons pas notre avance historique par des
créations
aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
130
d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en
créations
toujours nouvelles le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6
131
ter le déficit que représente pour la culture, la
création
de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
132
a part active que prend l’homme à tout ce qui est
création
dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 24. Ext
133
érience : toute tentative de déification (ici, la
création
d’un « homme nouveau ») se termine par d’horribles brûlures — ou par
134
ment de tous les êtres, le branle-bas de toute la
création
vers son achèvement intelligible, c’est là vraiment « poétiser », col
135
re qu’il s’isole et s’abstrait du mouvement de la
Création
. « Et c’est pourquoi une fin lui fut en effet donnée » — qui est sa m
136
disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la
création
attend la révélation des enfants de Dieu, parce que ce n’est pas de s
137
esprit qui le remue ». Penser dans le train de la
création
, reformer sans cesse toutes les formes selon l’intention qu’elles exp
138
r qu’elle procède au contraire d’un parti pris de
création
dont j’espère bien que le lecteur éprouvera çà et là la poussée, le c
139
. 1. Mais Proust, ou Joyce, n’est-ce pas de la
création
? Ce style nouveau, ces abîmes entrouverts, et ce maelstrom verbal qu
140
e entreprise de démolitions. Cela ressemble à une
création
comme un inventaire de liquidation ressemble à un plan quinquennal. Q
141
ersonnage de Claudel). Du nouveau qui ne soit pas
création
absolue et imprévisible, mais développement rationnel de l’acquis : e
142
ater le déficit que représente pour la culture la
création
de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
143
a part active que prend l’homme à tout ce qui est
création
dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 34. Les
144
sent-ils à animer toutes les facultés humaines de
création
, d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
145
emple : les disciplines imposées par le Plan à la
création
artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
146
e. Mais elle est réfutée dans son principe par la
création
culturelle, dès lors que cette création vient s’« insérer de l’extéri
147
pe par la création culturelle, dès lors que cette
création
vient s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses
148
ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur les
créations
futures. L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel po
149
tes des deux ordres de travail, davantage qu’à la
création
d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organi
150
Mais il est totalement impuissant à provoquer la
création
, et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
151
par son origine coupé des sources mêmes de toute
création
culturelle : la personne, l’aventure personnelle, la liberté et le ri
152
nce collectiviste, qui veut que la culture, cette
création
, naisse spontanément d’un état matériel ou politique acquis au prix d
153
lut, à nous autres nations libérales, est dans la
création
d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
154
s ne marquons pas notre avance historique par des
créations
aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
155
d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en
création
toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° L
156
ait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de
création
spirituelle peut s’insérer dans le donné, s’assurer une vitesse de ch
157
imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux
créations
coupables de contredire l’histoire telle que la veut la Troisième Rép
158
’autres. La pensée prolétarisée ne vit pas de ses
créations
— elle ne crée pas —, mais elle reflète des processus d’évolution, qu
159
te et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une
création
antihistorique (corrigée chez Marx par son empirisme, sa passion polé
160
transcendant. Il n’y a de problème réel que de la
création
et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux moyennes, elles so
161
ssumer les conflits vitaux, et de les résoudre en
création
. Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
162
altération qui rend toute chose autre sans nulle
création
. Dégradation, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces cou
163
ée en tant que telle n’est jamais séparable de sa
création
, qui la sanctionne au double sens du mot. Les clercs défendent et déf
164
s, des ingénieurs ou des politiciens parlent de «
créations
».) On s’imagine que la révolution doit apporter de l’inédit, du jama
165
es lois qui ne sont en réalité que les résidus de
créations
anciennes. L’esprit s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le ré
166
’origine et la fin de toute incarnation, de toute
création
, de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
167
’il s’agisse du commandement des armées, ou de la
création
géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant qu’il entre en for
168
ctes que nous osons faire nous apparaît comme une
création
absolue. Chacune de nos victoires est une nouveauté absolue dans les
169
acte est à la fois créateur, et transcendant à sa
création
. Il est créateur en ceci qu’il introduit dans les choses un rapport n
170
n changeant de plan, en allant de l’angoisse à la
création
, de l’impasse du désordre à l’ordre nouveau, la personnalité accentue
171
s sont assez nettement brisées pour conférer à la
création
issue de l’acte comme une forme d’éternité. Partout ailleurs, les rés
172
té explosive sous forme d’individualisation ou de
création
intellectuelle. Notre science n’est à l’aise que dans le continu et e
173
e qui va suivre et qui procède d’un parti pris de
création
dont j’espère bien que le lecteur éprouvera çà et là la poussée, le c
174
ersonnage de Claudel). Du nouveau qui ne soit pas
création
absolue et imprévisible, mais développement rationnel de l’acquis : e
175
ater le déficit que représente pour la culture la
création
de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab
176
a part active que prend l’homme à tout ce qui est
création
dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 35. Les
177
sent-ils à animer toutes les facultés humaines de
création
, d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin
178
emple : les disciplines imposées par le Plan à la
création
artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra
179
e. Mais elle est réfutée dans son principe par la
création
culturelle, dès lors que cette création vint s’« insérer de l’extérie
180
pe par la création culturelle, dès lors que cette
création
vint s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses ;
181
ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur les
créations
futures. L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel po
182
tes des deux ordres de travail, davantage qu’à la
création
d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organi
183
Mais il est totalement impuissant à provoquer la
création
, et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de
184
par son origine coupé des sources mêmes de toute
création
culturelle : la personne, l’aventure personnelle, la liberté et le ri
185
ance collectiviste qui veut que la culture, cette
création
, naisse spontanément d’un état matériel ou politique acquis au prix d
186
lut, à nous autres nations libérales, est dans la
création
d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan
187
s ne marquons pas notre avance historique par des
créations
aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé
188
d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en
création
toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° L
189
ait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de
création
spirituelle peut s’insérer dans le donné, s’assurer une vitesse de ch
190
imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux
créations
coupables de contredire l’histoire telle que la veut la Troisième Rép
191
’autres. La pensée prolétarisée ne vit pas de ses
créations
— elle ne crée pas —, mais elle reflète des processus d’évolution, qu
192
te et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une
création
antihistorique (corrigée chez Marx par son empirisme, sa passion polé
193
transcendant. Il n’y a de problème réel que de la
création
et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux moyennes, elles so
194
assumer les conflits vitaux et de les résoudre en
création
. Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
195
altération qui rend toute chose autre sans nulle
création
. Dégradation, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces cou
196
ée en tant que telle n’est jamais séparable de sa
création
, qui la sanctionne au double sens du mot. Les clercs défendent et déf
197
s, des ingénieurs ou des politiciens parlent de «
créations
».) On s’imagine que la révolution doit apporter de l’inédit, du jama
198
, des lois qui ne sont en fait que les résidus de
créations
anciennes. L’esprit s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le ré
199
’origine et la fin de toute incarnation, de toute
création
, de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo
200
’il s’agisse du commandement des armées, ou de la
création
géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant qu’il entre en for
201
ctes que nous osons faire nous apparaît comme une
création
absolue. Chacune de nos victoires est une nouveauté absolue dans les
202
s les groupements qui ont pris l’initiative de la
création
et du fonctionnement des clubs de presse. Les « Clubs de presse » son
203
aturalisation de leur œuvre), il est clair que la
création
artistique requiert toutes les forces d’un homme, et s’accommode très
204
éserves, enfin à une crise et à une carence de la
création
. Malgré ces difficultés, conclut-il, on ne saurait guère douter que
205
t viennois. Elles englobent tout le mystère de la
création
poétique, elles font une part notable aux facteurs spirituels, religi
206
ssayiste, avec tout ce que cela peut comporter de
création
personnelle, c’est-à-dire, dans ce cas, ordonnée à une loi qui n’est
207
avec ce que tout acte comporte de risque dans la
création
. 4. De la philosophie, qu’à la suite du Dr Minkowski, l’on serait tou
208
sémantique présentée par des termes tels qu’acte,
création
, etc. Puis des rapports indiqués par Kierkegaard entre sexualité, ang
209
s mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de
création
! Ton éternité immobile, c’est l’image même de la mort. L. — Que sav
210
au contraire, la source de tout acte et de toute
création
, une invention totale et perpétuelle, une actualité permanente, la se
211
lus profond, le plus sacré, qui est le pouvoir de
création
que l’on possède, c’est naturel ; mais non du tout qu’on en ait honte
212
e de l’Ombre, c’est le symbole de la puissance de
création
qui vient à se détacher de l’auteur pour prendre corps dans l’œuvre p
213
tre pauvres en amour du prochain » ; et : « Toute
création
est communication. Celui qui connaît, celui qui crée, celui qui aime