1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 ède, les exalte, les affole. Les plus beaux types créés par Unamuno sont ces femmes dures et passionnées, Raquel et Catherine
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 cdote purement poétique dans un monde qu’il s’est créé . Jamais banal, il est parfois facile : la description du monde qu’il
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
3 le suggèrent de toute la force du trouble qu’ils créent en nous : Markovitch par exemple, ou Sémyonov, un cynique secrètement
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 naît trop, et que plus rien ne retient. (Or on ne crée que contre quelque chose, contre soi, contre une difficulté.) Dégoût
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
5 sur soi, c’est se refuser à l’élan vital qui nous crée sans cesse : l’analyse de sa solitude le laisse en face de quelques r
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
6 troubles et inhumains de la nature. Il s’agit de créer à notre vie moderne un décor utile et beau. Or « la grande ville, phé
7 sante qui actionne notre esprit » après avoir été créée par lui, — comme la poésie. C’est ainsi que le problème de l’Urbanism
8 si notre civilisation s’avoue trop fatiguée pour créer avec ses moyens matériels formidables des ensembles soumis aux lois d
9 homme. Toutes les civilisations fortes l’ont osé. Créer un espace architectural lumineux à la place de nos cités congestionné
7 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
10 ais m’oublier, me perdre dans une vie nouvelle : ( Créer , c’est se surpasser). J’entends des phrases qu’il ne faut pas encore
11 lle confiance vont guider ce corps et cet esprit… Créer , ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon amie, — et vous, ma vie
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
12 sion spontanée (Gide), ou « perpétuel effort pour créer son âme telle qu’elle est » (Rivière), ou encore refus de choisir, vo
13 prouver. » Non. Car à supposer que l’analyse nous crée , elle ne nous crée pas n’importe comment, mais selon certaines lois o
14 à supposer que l’analyse nous crée, elle ne nous crée pas n’importe comment, mais selon certaines lois où se retrouve notre
15 ois où se retrouve notre individualité. Elle nous crée tels que nous tendons à être (plutôt inférieurs, en vertu des remarqu
16 ait la sincérité comme « un perpétuel effort pour créer son âme telle qu’elle est ». Il voyait dans cet effort sur soi le gag
17 pointe de soi, et, d’un élan, se dépasser ; c’est créer une différence. Pourquoi les romanciers modernes ont-ils tant de mal
18 uoi les romanciers modernes ont-ils tant de mal à créer des personnages ? C’est parce qu’une sorte de sincérité les retient d
19 Georges Duhamel.) … Nous ne sommes pas, nous nous créons . Certains se refusent à toute intervention qui altérerait leur moi ;
20 oujours un peu en prendre son parti. La sincérité crée en nous un fait accompli. J’appelle hypocrisie envers soi-même une vo
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
21 jeu avec leur baguette, pour moi qui chaque soir crée ma chambre en tournant un commutateur. Le vrai miracle du cinéma, c’e
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
22 . Daniel-Rops n’a-t-il pas cédé à la tentation de créer des dilemmes irréductibles, suprême et inconsciente ruse d’un inquiet
11 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
23 vendre ; dans l’intérêt de la production, il faut créer la consommation. La réclame s’en charge. Par le procédé très simple d
24 ans la conception fordienne de l’oisiveté. Ford a créé un second dimanche dans la semaine, « retouché l’œuvre de la Création
25 x : plus la production s’intensifie, plus il faut créer de besoins et de loisirs. Or, l’industrie ne peut subsister qu’en pro
12 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
26 ait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait songer à la Russ
27 esse qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son objet, de même qu’atteignant certain degré d’intensité, un état d
28 teignant certain degré d’intensité, un état d’âme crée une situation qui l’exprime — bien qu’on pense généralement le contra
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
29 us que leur raison, ce monde où l’on ne sait plus créer avec joie des formes belles, ce monde qui devient impuissant. Impossi
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
30 pprocher avec une douceur patiente, et le laisser créer en nous son silence particulier avant d’entendre les signes qu’il nou
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
31 bsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
32 t. Sinon l’on retombera dans des absurdités. On a créé par exemple des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âg
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
33 rands balayages à faire, un grand courant d’air à créer qui emportera toutes ces statistiques et ces journaux, il en restera
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
34 ucoup de personnes répondent oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publique mène le monde, paraît-il.
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
35 bsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
36 . Sinon l’on retombera dans des absurdités. On a créé par exemple des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âg
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
37 rands balayages à faire, un grand courant d’air à créer qui emportera toutes ces statistiques et ces journaux, il en restera
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
38 ucoup de personnes répondent oui, cela finira par créer un courant d’opinion. Et l’opinion publique mène le monde, paraît-il.
23 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
39 t, mais il faudrait donner une œuvre. Il faudrait créer , si rien n’existe qui vaille qu’on s’y dévoue. Mais quoi ! cela peut
40 héroïquement sa vérité — une vérité qu’il doit se créer de toute sa volonté, telle inéluctablement qu’elle est en Dieu — et s
24 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
41 rit parviendra par sa puissance d’adoration, à se créer une part angélique. III L’amour, loin de causer une « désorganisatio
25 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
42 s qu’il n’est peut-être pas donné à une race d’en créer plus d’un, c’est-à-dire de s’en libérer. Ainsi la France conçut l’hom
26 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
43 rayer la science ? Non, mais que l’esprit qui l’a créée , la surpasse7. Seul un parti pris constant en faveur de l’esprit peut
44 laquelle tout humanisme paraît enclin : celle de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin,
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
45 u personnage un relief étonnant, mais contribue à créer des obscurités que le style très tendu de M. Malraux n’est pas fait p
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
46 e des hauteurs, que l’air y est vif. Il faut être créé pour cette atmosphère, sinon l’on risque beaucoup de prendre froid. L
47 ion des idées citadines, éprouveront le besoin de créer véritablement quelques valeurs nouvelles, il se peut que certains se
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
48 , plus ou moins inconsciemment, ils contribuent à créer leur légende. Ici, bien au contraire, et surtout dans le premier volu
30 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
49  ». Ainsi le chrétien existe en tant que le péché crée une tension entre lui et Dieu. Mais le péché ne devient réalité que p
50 er sur des idées et des combinaisons d’idées mais créer de tout son être spirituel des faits nouveaux et vrais, dans un certa
51 lement sans « réaliser ». Il faut que les pensées créées ne soient concevables qu’en elles-mêmes et comme à l’état sauvage, no
31 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
52 e à celle qui éclate dans cet ouvrage entièrement créé , entièrement « autorisé ». Art, on le sait, avant tout visuel, qui re
53 Ramuz ce qu’elle fut pour d’autres : un moyen de créer du mystère en brouillant les plans ; mais un moyen de rendre plus tot
32 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
54 ont les conclusions de cet essai. Penser serait : créer de tout son être spirituel des faits nouveaux et vrais, dans un certa
55 corps » pour qu’il devienne « applicable ». On ne crée rien de vivant avec ce qu’on a, mais seulement avec ce qu’on est. C’e
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
56 gonie se poursuit. Seulement l’effort d’équilibre crée des énergies nouvelles. Le silence mûrit à la faveur du secret, et da
57 renoncer violemment à tout un monde faux pour en créer un autre. Sa vie en Afrique est un second renoncement. Nous aurions c
34 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
58 t blessé que ces jeunes gens se sont connus. Cela crée le sous-entendu fondamental. Ensuite on confronte les buts et les moy
59 é par Plans a révélé cette unité fondamentale que créent en nous non pas des maîtres ni des noms, mais la consternante misère
35 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
60 voies que la force nouvelle, à leur défaut, devra créer par des percées brutales et destructives. Toutes les révolutions ont
36 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
61 nifier rien d’autre qu’une invitation pressante à créer ce lien et ce lieu : ce lieu de témoignage où puissent être dites ave
37 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
62 iser ces oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surto
38 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
63 upe en croissance rapide, le Gegner, s’efforce de créer une unité révolutionnaire au-dessus des partis existants. En Angleter
39 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
64 ssentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité d
40 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
65 s, le mensonge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas u
66 er ce vide. Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa réponse — en vain. Le sentiment mesure une défaillance de l’être.
41 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
67 it. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait songer à la Russ
68 esse qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son objet, de même qu’atteignant un certain degré d’intensité, un éta
69 gnant un certain degré d’intensité, un état d’âme crée une situation qui l’exprime — bien qu’on pense généralement l’inverse
42 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
70 sol, pique, bruisse exquisement au vent. Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces cheminements brisés
43 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
71 dée, contrecarrée, découragée sournoisement. Nous créons par nos préceptes, et par toute notre ambiance éducatrice, un organe
72 perpétuellement syncopé du travail et du loisir, créé par l’économie citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes
73 dire : du droit des choses telles que Dieu les a créées . Aristocratie de l’être et de la fonction, non de la considération. E
44 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
74 nt qu’il ne faut pas choisir parmi tant de choses créées , mais seulement distinguer en toi-même leur convenable sens. Et quand
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
75 s, le mensonge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un
76 er ce vide. Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa réponse — en vain. Le sentiment mesure une défaillance de l’être.
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
77 dée, contrecarrée, découragée sournoisement. Nous créons par nos préceptes, et par toute notre ambiance éducatrice, un organe
78 perpétuellement syncopé du travail et du loisir, créé par l’économie citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes
79 dire : du droit des choses telles que Dieu les a créées . Aristocratie de l’être et de la fonction, non de la considération. E
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
80 sol, pique, bruisse exquisement au vent. Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces cheminements brisés
48 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
81 trines. Ce que je veux dissiper, c’est le malaise créé chez vos lecteurs, — que vous l’ayez ou non voulu, par la première pa
49 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
82 ravail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religio
83 il ; mais son effort réel consiste d’autre part à créer des possibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle
84 même où son effort pratique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l
85 t : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capita
86 oître dans des proportions telles que les loisirs créés théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés par d
50 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
87 res ? Cent-mille mains saluent le tyran, une main crée . Le temps est peut-être venu de penser avec ses mains. 26. « J’aime
51 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
88 conomie, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer , son « travail » n’est plus que souffrance. Il ne s’agit plus d’accou
89 l des classes chargées d’assurer ce loisir. C’est créer un monde impensable, le nôtre. Car si le loisir est simplement le con
90 essité et le jeu, les combinant selon sa loi pour créer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul n’y pourra
52 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
91 tte vision donnée à l’homme, est la plus propre à créer en lui l’organe d’une haute poésie. 3° Enfin toute poésie ne serait-
53 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
92 on affirmerait par là même que l’acte créateur se crée soi-même et se suffit en soi. Si l’on refusait de poser la question d
54 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
93 onomique et social. Elle est, d’abord, l’acte qui crée de nouvelles déterminations, qui, par suite, bouleverse les anciennes
94 de démission de la personne devant les mécanismes créés par d’autres. Alors le pouvoir efficace et valable se déplace. Il pas
55 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
95 ront que les régimes qu’ils servent, loin d’avoir créé un ordre nouveau, ont bien plutôt consolidé les pires tyrannies matér
56 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
96 somols a ceci de spécifiquement ennuyeux qu’il ne crée pas en eux le moindre refoulement. Ce qui suppose une remarquable abs
57 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
97 s de la race. À supposer qu’une science, encore à créer , parvienne encore à le déterminer, la libération de l’homme bénéficia
98 alisme libéral. L’individu libéral, tel que l’ont créé les théoriciens du suffrage universel, tout le monde croit aujourd’hu
58 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
99 réateur de systèmes. Depuis lors on nous parle du créé et du créant. Mais nous voudrions des créateurs qui parlent.   Peu no
59 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
100 cents succédanés.   Le lieu de toute décision qui crée , c’est la personne. Toute l’agitation du monde n’est rien de plus qu’
60 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
101 -t-on ? Trois dimensions plutôt. Cela suffit pour créer un espace, un climat, une invite à naître — une légèreté nouvelle dan
61 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
102 ne nouvelle, au lieu de libérer des travailleurs, crée du chômage. Et, cependant, les peuples de toute la terre continuent d
103 e nous réfugier derrière des complexités que nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de pr
104 descend du singe, les autres croient qu’il a été créé par Dieu. Ils se disputent énormément. Je crois qu’ils ont tort de se
105 ent une race à part, à côté de la race des hommes créés par Dieu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Die
106 eu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Dieu. » Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux par
62 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
107 ux. Or ces égaux n’existaient pas. Il fallait les créer . L’égalité, ce fut en fait l’égalisation à tout prix. À la fois pour
108 dre policier de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui ap
109 tre particulière. Mais dès qu’il la manifeste, il crée une nouveauté, c’est-à-dire un risque. Et toute sa dignité consiste à
110 e soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie publique. Nous en voyons les c
63 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
111 te, et parfois voluptueux, d’un moi qui renonce à créer , qui renonce à souffrir, qui se rend sourd à la question des choses e
64 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
112 la plus révélatrice, mais aussi la plus propre à créer du malentendu. Le titre même, que lui a donné le traducteur, prête à
113 e. Le génie familier et ironique de Kierkegaard a créé dans cette œuvre une abondance d’illustrations inoubliables. Par aill
65 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
114 sence activement perpétuée ». Et tout cela tend à créer dans l’âme une disponibilité paradoxale : « parce que l’âme sait qu’e
115 te reconnaissance qu’elle peut agir, qu’elle peut créer  » (p. 297). Je sens bien qu’un aperçu si schématique fait tort au car
66 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
116 ni dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui crée , c’est la personne. Ici le rôle des jeunes intellectuels apparaît dan
67 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
117 le modèle des Équipes sociales de Robert Garric. Créer des contacts vivants avec les milieux ouvriers athées, par le moyen d
118 e cesse d’invoquer au risque, il faut le dire, de créer provisoirement, dans certains cerveaux, les plus graves malentendus.
68 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
119 brer la liberté. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’Union des paysans. Il évangélise. Il devient le « fou du Christ ».
120 re reconnaître légalement le syndicalisme qu’il a créé , le voilà qui lance une campagne pour la christianisation du Japon, u
69 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
121 forme déchue, s’oppose au monde tel que Dieu l’a créé , s’oppose à la transformation que veut l’Esprit, s’oppose à l’Ordre.
70 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
122 s nés, d’où viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insultant la mort. Il faudra se tourner ailleurs. Il fa
123 chappent à toutes les « espèces » parce qu’ils en créeront de nouvelles. Quelques-uns, deux ou trois, qui ne sont pas littérateu
124 création suppose une liberté, ou plus exactement, créer , c’est être libre. Un art nouveau, c’est une liberté nouvelle. Mais c
125 qu’elle tiendra la mesure de l’humain et qu’elle créera dans la perspective commune. Restaurer le prestige de la culture, cel
71 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
126 ertitude assez impressionnante : partout où il se crée quelque chose de durable dans le monde, c’est l’œuvre d’un blanc. Les
127 c’est l’œuvre d’un blanc. Les blancs seuls ont su créer des empires solides, des valeurs morales stables, de la fidélité. Les
72 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
128 ncore : « Le problème consiste simplement (sic) à créer les conditions d’une liberté réelle, et en attendant d’y parvenir, à
73 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
129 rieure, une morale qui mette des obstacles et qui crée des conflits dramatiques dans les vies les plus dépourvues d’apparenc
74 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
130 les acteurs qui jouent leur rôle d’hommes et qui créent leur destin : ceux-là seuls sont les dramatis personae, ceux-là seuls
75 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
131 nière analyse au refus pur et simple d’agir et de créer , j’entends, de se poser comme auteur responsable de son acte ? Alors
132 nne un ton tranchant lorsqu’on attaque, lorsqu’on crée , je serais le dernier à m’en plaindre. Mais il s’agit ici, tout simpl
76 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
133 ne nouvelle, au lieu de libérer des travailleurs, crée du chômage13. Et, cependant, les peuples de toute la terre continuent
134 e nous réfugier derrière des complexités que nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de pr
135 descend du singe, les autres croient qu’il a été créé par Dieu. Ils se disputent énormément. Je crois qu’ils ont tort de se
136 ent une race à part, à côté de la race des hommes créés par Dieu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Die
137 eu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Dieu. Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux part
138 ois de l’évolution. Le lieu de toute décision qui crée , c’est la personne. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-dire d’intelle
77 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
139 siècles peut-être, à un homme nouveau capable de créer un « spirituel » également rénové. C’était là, très exactement, comme
140 ait pas de la liberté avec de la nécessité, on ne crée pas des personnes par le moyen des dictatures, pas plus qu’on ne fait
141 ion et de réaction. Elles modèlent l’homme, elles créent des habitudes de pensée et de vie entièrement soumise aux lois du nom
78 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
142 iser ces oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surto
79 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
143 ssentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité d
80 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
144 ux. Or ces égaux n’existaient pas. Il fallait les créer . L’égalité, ce fut en fait l’égalisation à tout prix. À la fois pour
145 dre policier de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui ap
146 tre particulière. Mais dès qu’il la manifeste, il crée une nouveauté, c’est-à-dire un risque. Et toute sa dignité consiste à
147 e soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie publique.
81 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
148 lles entravent le cours habituel de la vie. Elles créent une aigreur permanente, surtout sensible dans la petite bourgeoisie.
149 nouveau et qui prouve qu’elle est en train de se créer un nouveau style de vie. Prendre ses responsabilités, c’est renoncer
150 lution. La révolution est créatrice. Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’
151 ce. Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’homme tel qu’il est. L’homme n’es
152 te quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’homme tel qu’il est. L’homme n’est égal à son humanité totale que l
82 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
153 blème de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduite de la nature de la personne en acte. Pouvoir d
154 finalité vraiment nouvelle. C’est la doctrine qui crée , avec des révoltes confuses, une révolution véritable. La doctrine es
83 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
155 ravail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religio
156 il ; mais son effort réel consiste d’autre part à créer des possibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle
157 même où son effort pratique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l
158 t : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capita
159 oître dans des proportions telles que les loisirs créés théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés par d
84 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
160 conomie, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer , son « travail » n’est plus que souffrance. Il ne s’agit plus d’accou
161 l des classes chargées d’assurer ce loisir. C’est créer un monde impensable, le nôtre. Car si le loisir est simplement le con
162 essité et le jeu, les combinant selon sa loi pour créer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul n’y pourra
85 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
163 he » un parti négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui ne correspond nullement à celle qu’opére
164 eux tares qui l’empêcheront toujours d’agir et de créer  : la mystique parlementaire et le marxisme — l’une trop française, au
165 e cesse d’invoquer au risque, il faut le dire, de créer provisoirement, dans certains cerveaux, les plus graves malentendus.
166 ssion de la condition prolétarienne. Ses moyens ? Créer un service de travail analogue au service militaire, et destiné à ass
86 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
167 quelque part, mais bien de marcher, de vivre, de créer et d’abattre, à droite, à gauche, au centre, peu importe, — partout o
87 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
168 ici deux aspects seulement, et les plus propres à créer des malentendus : celui du philosophe abstrus, désespéré, voire nihil
88 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
169 ne nouvelle, au lieu de libérer les travailleurs, crée du chômage8. Et, cependant, les peuples de toute la terre continuent
170 e nous réfugier derrière des complexités que nous créons à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de pr
171 descend du singe, les autres croient qu’il a été créé par Dieu. Ils se disputent énormément. J’estime qu’ils ont tort de se
172 ent une race à part, à côté de la race des hommes créés par Dieu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Die
173 eu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Dieu. Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux part
174 ois de l’évolution. Le lieu de toute décision qui crée , c’est la personne. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-dire d’intelle
89 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
175 siècles peut-être, à un homme nouveau capable de créer un « spirituel » également rénové. C’était là, très exactement, comme
176 ait pas de la liberté avec de la nécessité, on ne crée pas des personnes par le moyen des dictatures, pas plus qu’on ne fait
177 ion et de réaction. Elles modèlent l’homme, elles créent des habitudes de pensée et de vie entièrement soumise aux lois du nom
90 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
178 iser ces oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surto
91 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
179 ssentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité d
92 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
180 x. Or ces égaux n’existaient pas. Il fallait les créer . L’égalité, ce fut en fait l’égalisation à tout prix. À la fois pour
181 dre policier de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui ap
182 tre particulière. Mais dès qu’il la manifeste, il crée une nouveauté, c’est-à-dire un risque. Et toute sa dignité consiste à
183 e soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie publique.
93 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
184 lles entravent le cours habituel de la vie. Elles créent une aigreur permanente, surtout sensible dans la petite bourgeoisie.
185 nouveau et qui prouve qu’elle est en train de se créer un nouveau style de vie. Prendre ses responsabilités, c’est renoncer
186 lution. La révolution est créatrice. Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’
187 ce. Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’homme tel qu’il est. L’homme n’es
188 te quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’homme tel qu’il est. L’homme n’est égal à son humanité totale que l
94 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
189 blème de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduite de la nature de la personne en acte. Pouvoir d
190 finalité vraiment nouvelle. C’est la doctrine qui crée , avec des révoltes confuses, une révolution véritable. La doctrine es
191 travailler avec « les masses »62 !) 5. L’ordre à créer doit se manifester dès maintenant comme mise en ordre. Cela signifie
192 de choc sont instruments de dictature. L’ordre à créer sera l’œuvre d’un « ordre » analogue aux anciens ordres de chevalerie
95 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
193 ravail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religio
194 il ; mais son effort réel consiste d’autre part à créer des possibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle
195 même où son effort pratique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l
196 t : au lieu de créer de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capita
197 oître dans des proportions telles que les loisirs créés théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés par d
96 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
198 conomie, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer , son « travail » n’est plus que souffrance. Il ne s’agit plus d’accou
199 l des classes chargées d’assurer ce loisir. C’est créer un monde impensable, le nôtre. Car si le loisir est simplement le con
200 essité et le jeu, les combinant selon sa loi pour créer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul n’y pourra
97 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
201 he » un parti négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui ne correspond nullement à celle qu’opére
202 eux tares qui l’empêcheront toujours d’agir et de créer  : la mystique parlementaire et le marxisme — l’une trop française, au
203 e cessa d’invoquer au risque, il faut le dire, de créer provisoirement, dans certains cerveaux, les plus graves malentendus.
98 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
204 e personne, lorsqu’elle se manifeste comme telle, crée aussitôt une tension. D’une part, elle organise ses appuis matériels,
205 elle assurée par l’État, d’autre part, il ne peut créer dans le vide, et sa création, quelle qu’elle soit, se répercute et pr
206 n, sa raison d’être, sa raison de subsister et de créer  ? A-t-elle une politique intérieure qui corresponde au rôle que les a
99 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
207 rreur initiale identique, par là même plus apte à créer de la grandeur — mais cette grandeur est inhumaine —, moins riche aus
208 monde communautaire seulement que la culture peut créer librement. Elle créera certes en toute liberté, selon ses voies, pour
209 ulement que la culture peut créer librement. Elle créera certes en toute liberté, selon ses voies, pour ses fins propres. Mais
210 dance naturelle à la division du travail. Il faut créer des êtres dirigeants qui conservent une vue d’ensemble, qui contemple
211 mme immédiat à la révolution. Si elle échoue à le créer , c’est qu’elle n’est pas une vraie révolution, mais simplement une di
212 r ce n’est pas avec les dictatures qu’on a jamais créé de la liberté : nous entendons la seule liberté effective, celle d’ac
100 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
213 qui donne à l’homme la vision réaliste du péché, crée la crise bien davantage qu’elle n’en résulte. Ce qui résulte inévitab