1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 tion du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire , immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessur
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
2 tion du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire , immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessur
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
3 tion du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire , immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée par la blessur
4 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
4 prudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépusculaires et larvaires où le Prince des ténèbres attend notre fatigue ; qu’elle
5 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
5 prudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépusculaires et larvaires où le Prince des ténèbres attend notre fatigue ; qu’elle
6 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
6 prudemment évoqués dans ces pages, les confusions crépusculaires et larvaires où le Prince des ténèbres attend notre fatigue ; qu’elle
7 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
7 ce bar souterrain règne toujours la même pénombre crépusculaire . Nul mouvement, nul bruit de la rue n’est perceptible ici. L’on dirai
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
8 st en train de rajeunir et que cette spiritualité crépusculaire dont ses écrivains et ses artistes font preuve, n’est pas la merveill
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
9 qui surgit ; sur sa musique est épandue la lueur crépusculaire d’une éternelle déception, et d’une éternelle et errante espérance, —
10 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
10 rie de spleen urbain et de nostalgie d’un horizon crépusculaire , horizon de mysticité qu’il oppose à la pure sensualité. Entrant malg