1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 arle, en art culinaire, du style d’un rôti, et en cuisine littéraire, de pensers mis à toutes sauces. Si M. Thibaudet connaissa
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 a « Gnädige » fait avec bonne humeur la meilleure cuisine possible au Wurtemberg, et de ces gâteaux compliqués qu’elle orne d’u
3 ma bonne mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons bon,
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
4 arle, en art culinaire, du style d’un rôti, et en cuisine littéraire, de pensers mis à toutes sauces. Mais qui donc, parmi nos
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 a « Gnädige » fait avec bonne humeur la meilleure cuisine possible au Wurtemberg, et de ces gâteaux compliqués qu’elle orne d’u
6 ma bonne mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons bon,
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
7 , qu’il suffit de les voir, tout noirs dans leurs cuisines , fatalistes et irréductibles… J’aime tous ceux qui prolongent ou qui
6 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
8 Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuisine , son grec allégorique et son allemand mal accordé pour fabriquer ce p
7 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
9 euner vous vous mettez à frotter le parquet de la cuisine à genoux ; à l’aide d’une petite brosse à mains, vous frottez les vie
8 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
10 ille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dans une cuisine de ferme mais la fermière nous reçoit comme une « dame », ou plutôt u
11 ous a dit que la mère a la grippe. Je trouve à la cuisine la fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est
12 seul moyen de gagner). Carré sur son tabouret de cuisine , le doigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’assurances — e
13 de fois ne sommes-nous pas entrés dans la grande cuisine qui était, pensions-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendr
14 uit d’effroyables discussions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours a
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
15 n air, dans de grandes salles publiques, dans une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café, dans une salle d’Université
16 de fois ne sommes-nous pas entrés dans la grande cuisine qui était, pensions-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendr
17 uit d’effroyables discussions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours a
18 ite de deuil, chez nous, ça doit se faire dans la cuisine . Aussi, je lui ai dit, à Fernann, il aurait dû venir chez vous pour d
10 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
19 ’instituteur vendéen. — Nous étions assis dans sa cuisine avec sa femme et ses deux enfants. C’est un homme de quarante ans, au
11 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
20 deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par un petit escali
21 ent par un petit escalier qui prend au fond de la cuisine , deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le to
22 s-poste découpés. Je m’attarde à causer dans leur cuisine , qui est leur habitation ordinaire. On ne peut rien désirer de plus p
23 le Bretonne sans ressources, qui aide un peu à la cuisine et casse beaucoup d’assiettes. Dans cette île, qui fut presque entièr
12 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
24 deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par un petit escali
25 ent par un petit escalier qui prend au fond de la cuisine , deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le to
13 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
26 deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par un petit escali
27 ent par un petit escalier qui prend au fond de la cuisine , deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le to
28 s-poste découpés. Je m’attarde à causer dans leur cuisine , qui est leur habitation ordinaire. On ne peut rien désirer de plus p
29 répondu à mon salut. 11 décembre 1933 À la cuisine . — Les jours où il n’est plus possible de se chauffer dans la grande
30 fer dans la grande pièce, je vais travailler à la cuisine , pendant que ma femme prépare les repas. On est très bien, dans les c
31 mme prépare les repas. On est très bien, dans les cuisines , pour travailler. Je ne conçois, en somme, que trois types de pièces
32 aux ; chambre encombrée de livres et de papiers ; cuisines paysannes, confortables et richement odorantes. Le confort de celle-c
33 le Bretonne sans ressources, qui aide un peu à la cuisine et casse beaucoup d’assiettes. Dans cette île, qui fut presque entièr
34 ’instituteur vendéen. — Nous étions assis dans sa cuisine avec sa femme et ses deux enfants. C’est un homme de quarante ans, au
14 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
35 ille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dans une cuisine de ferme, mais la fermière nous reçoit comme une « dame », ou plutôt
36 nous a dit que la mère est malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est
37 à vider et à rallumer. Le gaz butane épuisé à la cuisine . Les bûches humides. Plaisir de retrouver les choses qui vous résiste
38 seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine , le doigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’assurances — e
39 n air, dans de grandes salles publiques, dans une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café, dans une salle d’Université
40 de fois ne sommes-nous pas entrés dans la grande cuisine qui était, pensions-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendr
41 uit d’effroyables discussions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours a
42 ite de deuil, chez nous, ça doit se faire dans la cuisine . Aussi, je lui ai dit, à Fernane, il aurait dû venir chez vous pour d
43 es femmes ne s’arrachent pas les cheveux dans les cuisines communes, et soient fidèles… La grande affaire, c’est de se méfier d’
15 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
44 totalitarisme. Un communiste. — Dans sa petite cuisine , où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarr
16 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 i ». Quatre jeunes ménages et trois célibataires. Cuisine commune. Nous aurons le rez-de-chaussée : trois pièces immenses et so
46 gime détesté9.   Un communiste. — Dans sa petite cuisine , où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarr
17 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
47 ers où l’on écrase des pommes mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre boisée… Confort paysan, seul authentique
18 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
48 arguerite aux pommes. Catherine et Véronique à la cuisine . Marche, marche ! À six heures tout le monde ici. Compris ? (Refrain
49 choisir. Démons et soldats. —  Hou ! Hou ! Aux cuisines  ! À la ferme ! Nicolas. —  J’ai choisi ! Je quitte l’armée. Je qui
19 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). V. Des hommes nouveaux !
50 . Des hommes qui ne se sont pas compromis dans la cuisine de certaines factions, de certains fronts. Des hommes qui désirent un
20 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
51 s auberges inconnues des touristes, nous dans des cuisines accueillantes, où le confort moderne et le confort paysan se mariaien
21 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
52 oute simplicité, on divorce pour des questions de cuisine , on se console vite, on n’admet pas la jalousie. Le « réalisme terre-
22 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
53 strie américaine qui aura mis dans un coin de nos cuisines ces appareils où tout respire l’innocence et ronronne l’hygiène. Ceux
23 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
54 calier jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine . En face du fourneau à charbon, qui est censé chauffer l’appartement,
55 udrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cuisine , on passe par une baie sans porte dans le frontroom, qui donne sur la
56 room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisine , deux petites chambres sans fenêtres ni portes. Au fond, une autre pi
24 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
57 ers où l’on écrase des pommes mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre boisée… Confort paysan, seul authentique
25 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
58 me bric-à-brac. De quoi fournir les six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un jardin, à Forest Hills (Long Island). La vi
59 lle qui sépare mon petit bureau du corridor de la cuisine . J’ai proposé un simple coup de rabot. Ils ont pris un air écœuré. J’
26 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
60 calier jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine . En face du fourneau à charbon, qui est censé chauffer l’appartement,
61 udrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cuisine on passe par une baie sans porte dans le frontroom, qui donne sur la
62 room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisine , deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre p
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
63 a « Gnädige » fait avec bonne humeur la meilleure cuisine possible au Wurtemberg, et de ces gâteaux compliqués qu’elle orne d’u
64 ma bonne mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons bon,
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
65 deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par un petit escali
66 ent par un petit escalier qui prend au fond de la cuisine , deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le to
67 s-poste découpés. Je m’attarde à causer dans leur cuisine , qui est leur habitation ordinaire. On ne peut rien désirer de plus p
68 répondu à mon salut. 11 décembre 1933 À la cuisine . — Les jours où il n’est plus possible de se chauffer dans la grande
69 fer dans la grande pièce, je vais travailler à la cuisine , pendant que ma femme prépare les repas. On est très bien, dans les c
70 mme prépare les repas. On est très bien, dans les cuisines , pour travailler. Je ne conçois, en somme, que trois types de pièces
71 aux ; chambre encombrée de livres et de papiers ; cuisines paysannes, confortables et richement odorantes. Le confort de celle-c
72 le Bretonne sans ressources, qui aide un peu à la cuisine et casse beaucoup d’assiettes. Dans cette île, qui fut presque entièr
73 ’instituteur vendéen. — Nous étions assis dans sa cuisine avec sa femme et ses deux enfants. C’est un homme de quarante ans, au
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
74 ille jusqu’à la nuit tombée. Nous sommes dans une cuisine de ferme, mais la fermière nous reçoit comme une « dame », ou plutôt
75 nous a dit que la mère est malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine. Elles se plaignent du froid. Le fourneau est
76 à vider et à rallumer. Le gaz butane épuisé à la cuisine . Les bûches humides. Plaisir de retrouver les choses qui vous résiste
77 seul moyen de gagner.) Carré sur son tabouret de cuisine , le doigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’assurances — e
78 n air, dans de grandes salles publiques, dans une cuisine de paysans, dans un temple, dans un café, dans une salle d’Université
79 de fois ne sommes-nous pas entrés dans la grande cuisine qui était, pensions-nous, tout leur logis — nous avions cru comprendr
80 uit d’effroyables discussions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours a
81 ite de deuil, chez nous, ça doit se faire dans la cuisine . Aussi, je lui ai dit, à Fernane, il aurait dû venir chez vous pour d
82 es femmes ne s’arrachent pas les cheveux dans les cuisines communes, et soient fidèles… La grande affaire, c’est de se méfier d’
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
83 i ». Quatre jeunes ménages et trois célibataires. Cuisine commune. Nous aurons le rez-de-chaussée : trois pièces immenses et so
84 me détesté 55.   Un communiste. — Dans sa petite cuisine , où nous sommes attablés, depuis deux heures il me raconte ses bagarr
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
85 n train, à l’heure actuelle, de pérorer dans leur cuisine en compagnie de professeurs étrangers bienveillants et objectifs. Ou
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
86 ers où l’on écrase des pommes mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre boisée… Confort paysan, seul authentique
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
87 me bric-à-brac. De quoi fournir les six pièces et cuisine d’un cottage entouré d’un jardin, à Forest Hills (Long Island). La vi
88 lle qui sépare mon petit bureau du corridor de la cuisine . J’ai proposé un simple coup de rabot. Ils ont pris un air écœuré. J’
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
89 est-ce pas ? Les enfants prennent à table ou à la cuisine ce dont ils ont besoin. Il n’y a pas d’achat ni de transactions légal
90 à aller chercher les provisions, puis à faire la cuisine , puis à manger, puis à laver la vaisselle, et on recommence… » (Toujo
91 calier jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine . En face du fourneau à charbon, qui est censé chauffer l’appartement,
92 udrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cuisine on passe par une baie sans porte dans le frontroom, qui donne sur la
93 room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisine , deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre p
35 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
94 calier jusqu’au troisième. La porte donne dans la cuisine . En face du fourneau à charbon, qui est censé chauffer l’appartement,
95 udrait monter sur une chaise pour y entrer. De la cuisine , on passe par une baie sans porte dans le front room, qui donne sur l
96 room, qui donne sur la rue. De l’autre côté de la cuisine , deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre p
36 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
97 achines. Si ces dernières se multiplient dans une cuisine et un sous-sol américain, c’est justement pour libérer la femme des s
98 fants, et tous les repas sont pris dans la petite cuisine blanche, parfois ornée d’un bar, toujours d’un frigidaire. Mais alors
99 rouvera d’autres, plus précis. Il n’aimait que la cuisine du Nord, elle lui servait des ratatouilles à la mode de la Louisiane 
37 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
100 trie américaine, qui aura mis dans un coin de nos cuisines ces appareils où tout respire l’innocence et ronronne l’hygiène. Ceux
38 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
101 achines. Si ces dernières se multiplient dans une cuisine et un sous-sol américain, c’est justement pour libérer la femme des s
102 fants, et tous les repas sont pris dans la petite cuisine blanche, parfois ornée d’un bar, toujours d’un frigidaire. Mais alors
103 rouvera d’autres, plus précis. Il n’aimait que la cuisine du Nord, elle lui servait des ratatouilles à la mode de la Louisiane 
39 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
104 oute simplicité, on divorce pour des questions de cuisine , on se console vite, on n’admet pas la jalousie. Le « réalisme terre-
40 1948, Suite neuchâteloise. VIII
105 , qu’il suffit de les voir, tout noirs dans leurs cuisines , fatalistes et irréductibles… J’aime tous ceux qui prolongent ou qui
41 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
106 aches sacrées, dont ils enduisent le four de leur cuisine , ou qu’ils s’appliquent sur les cheveux et sur le front en triples tr
42 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
107 t. Elle le doit en partie à son électrification : cuisines astiquées, trains sans fumée, peu de cheminées d’usines, luxueuse ill
43 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
108 formule : Kinder, Küche, Kirche (les enfants, la cuisine , l’église). Et de fait, les femmes suisses, en société, laissent parl
44 1956, Articles divers (1951-1956). « Je vivais en ce temps-là… » (janvier 1956)
109 alery Larbaud. Je nous vois encore dans sa petite cuisine , en train de peler de fines patates pour un dîner improvisé. Je rentr
45 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
110 s passions meurtrières de l’homme : le couteau de cuisine , perfectionné ou non, a sûrement fait plus de victimes dans notre his
46 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
111 d’uniformes, un millier de tonnes d’ustensiles de cuisine , des machines-outils, etc., pour une somme totale d’environ 4 million
47 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
112 s passions meurtrières de l’homme : le couteau de cuisine a sûrement fait plus de victimes dans notre histoire que les bombes a
113 activité réelle, c’est un mélange de poésie et de cuisine . Les procédés techniques et l’élaboration mathématique viennent plus
48 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
114 omprends qu’il s’agit de deux vieillards dans une cuisine regardant par la fenêtre une fin d’automne. Mais le réalisme du sujet
49 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
115 une romance ne pourrait subsister dans l’odeur de cuisine qui baigne nos trois petites pièces… Et Sally pense de son côté qu’el
50 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
116 e, elle la doit en partie à son électrification : cuisines astiquées, trains sans fumée, peu de cheminées d’usines, luxueuse ill
51 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
117 est-ce pas ? Les enfants prennent à table ou à la cuisine ce dont ils ont besoin. Il n’y a pas d’achat ni de transactions légal
118 à aller chercher les provisions, puis à faire la cuisine , puis à manger, puis à laver la vaisselle, et on recommence… » (Toujo
52 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
119 s passions meurtrières de l’homme : le couteau de cuisine a sûrement fait plus de victimes dans notre histoire que les deux eng
120 activité réelle, c’est un mélange de poésie et de cuisine . Les procédés techniques et l’élaboration mathématique viennent plus
53 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
121 ls se tiennent immobiles et tout noirs dans leurs cuisines  ? Jusqu’à Bordeaux, ce sont des musulmans… Ici, nous sommes Savoyards
54 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
122  intervention de la Confédération jusque dans nos cuisines et salles de bains. » Je n’ai pas à entrer en discussion avec un dire