1
s, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité
cyclique
. Les dieux locaux me seraient-ils donc défavorables ? Je me vengerai
2
s, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité
cyclique
. Les dieux locaux me seraient-ils donc défavorables ? Je me vengerai
3
s, me voici au bout de mon rouleau. Impécuniosité
cyclique
. Les dieux locaux me seraient-ils donc défavorables ? Je me vengerai
4
et enseignaient que le monde évolue d’une manière
cyclique
, comme une roue qui tourne sur son axe et n’avance pas, la destructio
5
es du temps, et presque toutes décrivent un temps
cyclique
. Elles croient aussi à la métempsycose, à l’astrologie et aux castes.
6
la croyance unanime aux retours éternels du temps
cyclique
. Dans le prolongement du temps dramatique des Prophètes s’ouvre alors
7
traditionnelles ont développé des mythes du temps
cyclique
et de l’éternel retour, c’est parce que l’homme a peur du temps. Voil
8
à ceux de l’âme. Ainsi le rêve universel du temps
cyclique
et du retour sans fin de toutes les situations dévalorise le temps vé
9
e Moyen Âge résiste par un retour aux conceptions
cycliques
et par une nette limitation des dimensions du passé et de l’avenir :
10
tion du capitalisme exploiteur, promis aux crises
cycliques
et à la paupérisation croissante des travailleurs. L’URSS était donc
11
se répète, il a lieu « chaque fois que… », il est
cyclique
, archétypal, et dans ce sens, an-historique, tandis que l’Incarnation
12
es du temps, et presque toutes décrivent un temps
cyclique
. Elles croient aussi à la métempsycose, à l’astrologie et aux castes.
13
la croyance unanime aux retours éternels du temps
cyclique
. Dans le prolongement du temps dramatique des Prophètes s’ouvre alors
14
traditionnelles ont développé des mythes du temps
cyclique
et de l’éternel retour, c’est parce que l’homme a peur du temps. Voil
15
à ceux de l’âme. Ainsi le rêve universel du Temps
cyclique
et du retour sans fin de toutes les situations dévalorise le temps vé
16
e Moyen Âge résiste par un retour aux conceptions
cycliques
et par une nette limitation des dimensions du passé et de l’avenir :
17
personnelle et le temps continu (au lieu du temps
cyclique
). Il est même intéressant de noter que l’existence de Dieu s’imposait
18
lative acceptation du temps linéaire (et non plus
cyclique
) de l’Histoire se trouvent liées, en Occident, à la découverte et à l
19
r inconscient (par angoisse) aux formes de pensée
cycliques
. Pourquoi la recherche ? La civilisation née en Europe a dominé
20
dans l’apaisante horreur d’un Sacré hiératique ou
cyclique
. Quelle est l’autre culture ou civilisation qui propose aujourd’hui p
21
se sont fait ou se font encore du temps, une idée
cyclique
. Pour les hindous, par exemple, la durée du monde se calcule en jours
22
alraux. Par son recours à la comparaison des lois
cycliques
de formation, d’essor, d’apogée et de déclin des cultures et des civi
23
tion du capitalisme exploiteur, promis aux crises
cycliques
et à la paupérisation croissante des travailleurs. L’URSS était donc
24
tres civilisations se faisaient du temps une idée
cyclique
. Ainsi la civilisation hindoue : la durée du monde s’y calcule en jou
25
histoire, alors qu’au contraire l’idée d’un temps
cyclique
qui domine la pensée antique et les grandes religions de l’Asie, rend
26
yaient — et croient encore — au retour éternel et
cyclique
des mêmes événements, donc à un temps circulaire, sans progressions d
27
e l’idée d’histoire linéaire contre la conception
cyclique
; l’idée de progrès possible contre celle de décadence inévitable ; l
28
viron quinze siècles, pendant lesquels conception
cyclique
et conception historique subsisteront côte à côte. 24 juin 1977 Marx