1
e salvatrice, M. de Montherlant ne s’est même pas
demandé
si ces deux contrepoisons pouvaient être administrés ensemble. L’opér
2
se entre les dix qui sont à lui. Il dit : « Je ne
demande
pas qu’on m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « T
3
ui. Il dit : « Je ne demande pas qu’on m’aime. Je
demande
qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es notre capitaine. » Ces c
4
er des maladresses et des négligences. Mais on ne
demande
pas non plus au puissant boxeur sur le ring d’être bien peigné. Rabe
5
s cet essai me paraît encore ambiguë : on peut se
demander
s’il nie vraiment l’interaction de la vie et de l’art, ou s’il la con
6
onner quelque bénéfice en retour. Certes, nous ne
demandons
pas qu’on prenne toutes nos obscurités pour des profondeurs. Et nous
7
uptueux que philosophe, c’est à l’amour qu’il ira
demander
la souffrance indispensable au perfectionnement de son âme. Et qu’imp
8
e les dire. Enfin, avant-hier, à ce bal. J’avais
demandé
à un de mes amis, qui vous connaît4, de me présenter. Il m’en avait d
9
e lassitude me saisir et m’assis à l’écart. On me
demandait
, en passant, si j’étais malade. Je désignais d’un geste incertain que
10
agédie de l’amour conjugal ». Vraiment, nous n’en
demandions
pas tant… g. « Orphée sans charme », Revue de Belles-Lettres, Lausan
11
Dubardeau pour cette ambassade). Parfois l’on se
demande
si l’Auber de Jean Cassou ne va pas s’attabler au café en face des pe
12
maine du merveilleux moderne. Un peu plus et nous
demandions
grâce de trop de plaisir. Mais je ne suis pas sûr que le plaisir du p
13
hèses rassurantes de la « saine raison », sans se
demander
jamais si cela ne condamne pas et la santé et la raison. Il s’est tro
14
assez révolution ; parce que cette révolution ne
demandait
qu’à s’asseoir et que son siège était fait. Nous aimions la Révolutio
15
illet (simple course) pour Moscou, ou encore pour
demander
à qui, enfin, à quoi nous en voulons, et finalement nous écraser par
16
hangeante et toujours évidente, de laquelle il se
demande
vainement pourquoi il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce c
17
mps de songer sérieusement à m’en guérir. Vous me
demanderez
« alors » ce que j’attends de ma vie. Je serais tenté de vous répondr
18
âmes comme enjeu nos consommations. Je gagnai. Il
demanda
des portos. Je les gagnai et je les bus. D’autres encore. Ma tête com
19
ps approche où elles seront atteintes. On peut se
demander
jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son
20
t qui combat les techniciens imparfaits. Il ne se
demande
jamais si la technique même la plus perfectionnée mérite les sacrific
21
ore que son travail aux lois d’une offre et d’une
demande
sans rapport avec ses désirs réels, et dont il subit docilement l’abs
22
fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais
demandé
au hasard d’arranger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare de tout
23
mprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui
demander
je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup p
24
si. La fidélité véritable est une œuvre d’art qui
demande
un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des
25
omme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ?
demanda-t
-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très, très longt
26
semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en
demanda
donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sorte
27
gné et m’en sais plus dépourvu si possible. Je ne
demande
aux écrivains que des révélations, ou mieux, qu’ils les favorisent pa
28
cet « illustre réfractaire ». N’est-ce point trop
demander
à une existence bien indécise, que son échec même ne relève pas, et q
29
e sa curiosité. Sans doute est-il trop impatient,
demande-t
-il aux êtres plus qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit
30
Le contraire de la poésie, bien sûr. Mais on n’en
demande
pas tant dans les familles. Et qu’importe si la perspective manque so
31
d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’on lui
demande
l’impossible. Et quand bien même elle croirait n’en avoir plus besoin
32
sait à une femme blonde assise près de lui. Ayant
demandé
un timbre pour attirer l’attention de la femme blonde — sans résultat
33
miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je
demande
le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
34
e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on
demande
à ces petits. Là encore il y a une exagération absurde, une généralis
35
la main, et dira : je lève la main, — au lieu de
demander
ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
36
crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je
demande
seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
37
n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je
demanderai
poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
38
gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous
demande
un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
39
Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en
demander
tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
40
la congrégation radicale des instituteurs. On me
demande
encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
41
triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir
demander
à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
42
ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous
demande
une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
43
cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne
demande
pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse
44
miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je
demande
le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
45
e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on
demande
à ces petits. Là encore, il y a une exagération absurde, une générali
46
la main, et dira : je lève la main, — au lieu de
demander
ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
47
crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je
demande
seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
48
n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je
demanderai
poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
49
gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous
demande
un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
50
Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en
demander
tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
51
la congrégation radicale des instituteurs. On me
demande
encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
52
triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir
demander
à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
53
ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous
demande
une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
54
cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne
demande
pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse
55
de littérature. Et c’est à un tel amour qu’on va
demander
sa revanche contre la mesquinerie morale du milieu… Étrange misère qu
56
lais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent pas
demandé
mieux que de reconnaître, etc.) Actuellement, Nietzsche est encore tr
57
opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Cela
demanderait
certains sacrifices, certains mépris qui passent tellement la « mesur
58
ules César s’imposait de longues marches. Mais ne
demandons
pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La
59
s qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche,
demandera
pourquoi il faut faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme dé
60
e » et des révoltes au hasard d’un Maldoror. Elle
demande
une pensée forte et orientée plutôt que ces éclats de voix sarcastiqu
61
honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me
demandent
où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
62
tes-vous venu chercher jusque chez nous ? » On me
demandera
donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
63
? » Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez
demander
raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
64
atrains sont ici précédés de Fragments dont je me
demande
s’il était bien légitime de les traduire. On a respecté scrupuleuseme
65
grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? »
demande
certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
66
urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis
demandé
s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
67
deux disciplines. Car la science à peine libérée,
demande
la tête de la métaphysique. Elle n’entend que ses intérêts. Elle eut
68
able conduit « au seuil » : et qu’irions-nous lui
demander
de plus, s’il laisse en blanc la place de Dieu. Mais où trouver les l
69
lles prises, en effet, dispose cet idéalisme ? se
demande
M. G. Marcel. L’orgueil tout d’abord, je n’hésite pas à le déclarer.
70
u en enfant : il y a lieu de s’attrister. Si vous
demandez
au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il
71
hrétien, qui sait un peu ce qu’est ce monstre, se
demande
, songeant à l’Europe, s’il y aura dix justes dans Sodome. 12. Aden
72
ringante et bariolée. Il y a là quelque mystère ;
demandons
-en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue. Parce qu’i
73
our nous et parce qu’ils nous parlent, nous avons
demandé
à ces artistes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus grand af
74
tes nés dans le protestantisme. Et l’on pourra se
demander
alors : qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez ces peintres ?
75
e. Certains critiques de cette exposition se sont
demandé
non sans ironie où était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils po
76
s non plus ; mais je sais que c’est beaucoup leur
demander
. » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger ces critiques d’une tâ
77
s gens de cette sorte, mais est-ce à eux que l’on
demande
de définir la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels q
78
glise le dimanche, tout était bien ; inutile d’en
demander
plus. » Parlant de son pasteur préféré, la même tante Harriet a ce mo
79
nent apporter ce dur message à l’âme de celle qui
demandait
d’être apaisée. Admirables dialogues, déchirants et triomphants, qui
80
Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous
demande
seulement de prier pour moi, car j’ai parfois la sensation que ma mis
81
ster est-il vraiment de la lignée des Apôtres, se
demande-t
-il ? Les prêtres sont-ils, dans le vrai sens du mot, les successeurs
82
retourner chez lui la nuit même, et après s’être
demandé
avec quelque anxiété comment il ferait face aux dépenses du voyage, i
83
La bonté est le sel de la vie. L’organisme social
demande
des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le conflit intérieur s’in
84
actuel, si ce n’est par une révolution ? Je vous
demande
de me dire clairement votre pensée à ce sujet. Eiichi se taisait. Une
85
hrier du jardin, joyeux et insouciants. Eiichi se
demanda
s’il y avait des procureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait
86
re seul critère de cohérence. C’est dire que nous
demandons
aux œuvres que nous aimons de témoigner d’une certaine force de révol
87
u ciel ou qu’elle éclate dans les choses, on nous
demande
seulement l’acte de la saisir dans son impérieuse évidence et dans sa
88
cquérir l’opinion, en Amérique par exemple. On se
demande
par quel sophisme un régime d’opinion put jamais être confondu avec u
89
its purs, faut-il rire ou se fâcher ? Ceux qui se
demandent
si je suis bien « dans la ligne », ceux qui se demandent si je « remp
90
nt si je suis bien « dans la ligne », ceux qui se
demandent
si je « remplis les conditions nécessaires » ; tous les suiveurs qui
91
la révolution nécessaire ». Certes, on ne saurait
demander
à un recueil d’essais réunis après coup de fournir une doctrine. Mais
92
us vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan
demande
inlassablement ce que les philosophes bourgeois font et comptent fair
93
omptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le
demandons
aussi. (Nous avons même un scepticisme plus profond que le sien à l’e
94
philosophie.) Mais ensuite, et à notre tour, nous
demanderons
: que fait, que compte faire M. Nizan pour les hommes ? — Il compte l
95
tidienne, répète M. Nizan. Et il propose Marx. Je
demande
en quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je demande à M. Nizan
96
n quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je
demande
à M. Nizan, qui est marxiste, si la lecture et la pratique de Marx pe
97
est à chaque instant total, éternel et urgent. Je
demande
à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les
98
ible et réelle dans le message évangélique. Et je
demande
maintenant aux chrétiens s’ils le savent eux-mêmes ; s’ils prouvent q
99
toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me
demandait
, à la sortie : « Avez-vous jamais vu un soldat défensif ? Comment est
100
laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se
demande
en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
101
des nations, les intérêts (?) du monde. Sylveire
demande
: que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «
102
c’est à l’Orient, d’instinct, que cette pensée va
demander
non point seulement sa revanche, mais sa mort et son devenir. Ne po
103
fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais
demandé
au hasard d’arranger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare bientôt
104
mprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui
demander
je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup p
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si. La fidélité véritable est une œuvre d’art qui
demande
un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des
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omme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ?
demanda-t
-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très longtemps,
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semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en
demanda
donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sorte
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honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me
demandent
où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
109
out prix il vous faut un prétexte avouable… On me
demandera
donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
110
» — Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez
demander
raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
111
grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? »
demande
certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
112
urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis
demandé
s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
113
réflexion confiante et substantielle… Qu’irai-je
demander
d’autre à cette « Germanie aimée18 » ? Ah ! les livres nous avaient b
114
ce que je venais d’écrire, la faim me prit et je
demandai
une paire de saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal
115
Il s’agirait plutôt du seul plaisir de vivre. Que
demander
à un milieu social ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’o
116
ue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je
demande
que les journalistes cessent de déverser sur une classe qu’ils ne peu
117
c’est à l’Orient, d’instinct, que cette pensée va
demander
non point seulement sa revanche, mais sa mort et son devenir. Ne pou
118
honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me
demandent
où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
119
out prix il vous faut un prétexte avouable… On me
demandera
donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
120
» — Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez
demander
raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
121
grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? »
demande
certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
122
urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis
demandé
s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
123
oue chaque soir, plusieurs fois. Je suis allé lui
demander
ce que c’était. « L’hymne d’un mouvement clandestin, dont le chef est
124
Il s’agirait plutôt du seul plaisir de vivre. Que
demander
à un milieu social ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’o
125
ue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je
demande
que les journalistes cessent de déverser sur une classe qu’ils ne peu
126
réflexion confiante et substantielle… Qu’irai-je
demander
d’autre à cette « Germanie aimée16 » ? Ah ! les livres nous avaient b
127
ce que je venais d’écrire, la faim me prit et je
demandai
une paire de saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal
128
oute n’est plus permis. J’aime l’Amérique. Ils me
demanderont
pourquoi, je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais pourquoi l’on aim
129
logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me
demandent
-ils non sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y connaissez de
130
act. La brusquerie des employés intacte, quand on
demande
un petit renseignement et qu’on les voit s’identifier en un clin d’œi
131
Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se
demande
quels talents les méritent. Ce qu’il y a de plus intact en Suisse, pe
132
a réserve au cours du dernier épisode, on ne leur
demande
ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre, mais de se préparer pour la
133
? Attendez, Neuchâtel, rappelez-moi… Ainsi je me
demandais
parfois ce qu’on sait de Neuchâtel dans le vaste monde. Je trouvais à
134
ac, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui
demande
aux voyageurs, en grandes lettres de tuiles blanches : êtes-vous sauv
135
e elle-même). Que doit lire un homme pressé, s’il
demande
aux livres autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal
136
lui offrir le conte du journal, c’est-à-dire s’il
demande
une nourriture rapidement assimilable, mais tout de même reconstituan
137
eois qui rentre chez lui après 8 heures de bureau
demande
aux livres une évasion facile hors de la médiocre existence quotidien
138
mée, comme les fusées d’une fête intempestive. On
demande
des lumières qui ne soient plus seulement aveuglantes. On voudrait êt
139
« chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut
demander
à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
140
: « Je ne comprends plus ! » En réalité, ils nous
demandent
des thèmes de discussion, c’est-à-dire des prétextes à différer toute
141
des ordres 1. Celui qui veut vraiment agir ne
demande
pas d’abord un programme, mais d’abord une force. On peut affirmer sa
142
e qui est dans la foi sait bien qu’il n’y a pas à
demander
de « solutions pratiques », car la foi est précisément une force qui
143
espace : voici ce que tu dois faire. À celui qui
demande
: que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre, en princi
144
ore que vous ne l’imaginez peut-être, car si vous
demandez
des solutions pratiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas hu
145
point justement, et nulle part ailleurs. On nous
demande
des réponses ? Mais nous ne pouvons que mettre et remettre en questio
146
aison en est pourtant bien claire. Nous préférons
demander
aux hommes ces ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce q
147
as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se
demande
parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
148
parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se
demande
à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
149
al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour
demander
à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
150
d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois. On se
demande
, non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jour qu’il convien
151
pas de satisfaire nous promettons d’envoyer, sur
demande
, des précisions et les numéros de l’Officiel. D’ailleurs ce serait un
152
la jeunesse russe malgré les sacrifices qu’on lui
demande
— ou à cause d’eux — ne sauraient être mises en doute. Mais qu’advien
153
oderne » décontenancée par l’échec de ses idéaux,
demande
des apaisements ou des directions positives. Faut-il encore ajouter à
154
s privilèges ? Mais tous les hommes ou presque en
demandent
. Seulement, il en est d’injustifiés. Et c’est ce que nous voulons dét
155
eurs, à connaître d’une vérité absolue, on put se
demander
si la philosophie n’allait pas démissionner, purement et simplement.
156
contre les paradoxes de l’existence. Ce que nous
demandons
à la philosophie, c’est de mettre en forme une problématique réelle,
157
ant ce temps, c’est à la théologie que nous irons
demander
de la pensée, c’est-à-dire de la pensée créatrice, c’est-à-dire de la
158
élargissement » de notre horizon de pensée, nous
demandons
passionnément et lourdement ce que cela peut bien signifier au concre
159
çu par moi, mais encore d’être reçu quoi qu’il me
demande
, fût-ce ma mort, n’est-ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur
160
e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il
demande
un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix
161
ait, se retourne vers la Nature et s’en aille lui
demander
précisément ce qu’il lui doit : la révélation salutaire. Il faut voir
162
re réalisé, et quel besoin alors d’un deinde. Que
demander
aux hommes, sinon qu’ils vivent bien ! On se souvient de la noble rép
163
réponse de ce proscrit de la Révolution auquel on
demandait
à son retour en France ce qu’il avait fait en exil : « J’ai vécu, Mon
164
l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se
demander
si leur rencontre, à supposer qu’elle se produise, ne signifierait pa
165
is, dit l’auteur, « je ne puis me dispenser de me
demander
du même coup : qui suis-je, moi qui questionne sur l’être ? »49 (p. 2
166
Soyez appareillez à respondre à chascun qui vont
demande
rayson de l’espérance qui est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer
167
cette indifférence théologique sont tels qu’on se
demande
parfois si nos temples sont encore fréquentés par des protestants, et
168
n nous ». À nos lecteurs comme à nous-mêmes, nous
demanderons
le simple effort de confronter la doctrine chrétienne telle que les b
169
s donc que Déat ne soit prophète après coup. Déat
demande
qu’on reconnaisse le « fait-nation » et la faillite des international
170
15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la
demande
du public. Il faut des livres faciles, des livres gais, etc. C’est, d
171
des livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on
demande
. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens » demandent. Mais saven
172
e. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens »
demandent
. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demande
173
gens » demandent. Mais savent-ils bien ce qu’ils
demandent
, et pourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais
174
-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le
demandent
? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d’abord des écriva
175
« les gens » de quoi ils ont besoin et ce qu’ils
demandent
réellement ? Car les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de dem
176
ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne
demandent
pas ce qu’ils ont l’air de demander, et ce qu’on se montre si pressé
177
les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de
demander
, et ce qu’on se montre si pressé de leur donner à bon marché. Ils s’e
178
’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour
demander
les « remèdes » qu’il faudrait. On ne le leur a pas appris. On a préf
179
qui pousse M. Goguel à les décolorer. Et l’on se
demande
ce qui subsisterait de ses conclusions si on leur appliquait les crit
180
ssaire de le dire… Pour ma part, je me refuse… Je
demande
à ce qu’on tienne pour un crétin celui qui… » Je prends ces trois déb
181
s de phrases élégants et péremptoires, et l’on se
demande
alors si ce bel « abattage » n’a pas dissimulé, aux yeux des jeunes g
182
politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se
demande
alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jam
183
urante de l’individu et de la personne. 17. Ceci
demanderait
quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on obéit est qualifié hu
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aussi en l’homme, comme avant. On ne peut pas lui
demander
de bénir ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu
185
« chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut
demander
à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
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as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se
demande
parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
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parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se
demande
à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
188
al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour
demander
à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
189
gne, une chemise. On cherche des chefs. Les chefs
demandent
de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés perso
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laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se
demande
en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
191
, des nations, les intérêts (?) du monde. On nous
demande
: que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «
192
e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il
demande
un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix
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t « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vous
demande
« à quoi ». C’est peut-être pourquoi vous ratez ? Faire quelque ch
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itent de fous par manière d’injure. Mais la folie
demande
plutôt des soins que des injures. Cruauté de la politique : non point
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première transition. L’avènement du régime idéal
demandera
des siècles de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons
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d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois. On se
demande
, non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jour qu’il convien
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ndicats ou les fédérations. Les attardés qui nous
demandent
: « Mais enfin, vous sentez-vous plus près des communistes que de l’É
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politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se
demande
alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jam
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urante de l’individu et de la personne. 12. Ceci
demanderait
quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on obéit est qualifié hu
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aussi en l’homme, comme avant. On ne peut pas lui
demander
de bénir ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu
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« chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut
demander
à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
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as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se
demande
parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
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parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se
demande
à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
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al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour
demander
à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
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gne, une chemise. On cherche des chefs. Les chefs
demandent
de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés perso
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laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se
demande
en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
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, des nations, les intérêts (?) du monde. On nous
demande
: que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le sa
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e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il
demande
un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix