1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e salvatrice, M. de Montherlant ne s’est même pas demandé si ces deux contrepoisons pouvaient être administrés ensemble. L’opér
2 se entre les dix qui sont à lui. Il dit : « Je ne demande pas qu’on m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « T
3 ui. Il dit : « Je ne demande pas qu’on m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es notre capitaine. » Ces c
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
4 er des maladresses et des négligences. Mais on ne demande pas non plus au puissant boxeur sur le ring d’être bien peigné. Rabe
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
5 s cet essai me paraît encore ambiguë : on peut se demander s’il nie vraiment l’interaction de la vie et de l’art, ou s’il la con
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
6 onner quelque bénéfice en retour. Certes, nous ne demandons pas qu’on prenne toutes nos obscurités pour des profondeurs. Et nous
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
7 uptueux que philosophe, c’est à l’amour qu’il ira demander la souffrance indispensable au perfectionnement de son âme. Et qu’imp
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
8 e les dire. Enfin, avant-hier, à ce bal. J’avais demandé à un de mes amis, qui vous connaît4, de me présenter. Il m’en avait d
9 e lassitude me saisir et m’assis à l’écart. On me demandait , en passant, si j’étais malade. Je désignais d’un geste incertain que
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
10 agédie de l’amour conjugal ». Vraiment, nous n’en demandions pas tant… g. « Orphée sans charme », Revue de Belles-Lettres, Lausan
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
11 Dubardeau pour cette ambassade). Parfois l’on se demande si l’Auber de Jean Cassou ne va pas s’attabler au café en face des pe
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
12 maine du merveilleux moderne. Un peu plus et nous demandions grâce de trop de plaisir. Mais je ne suis pas sûr que le plaisir du p
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
13 hèses rassurantes de la « saine raison », sans se demander jamais si cela ne condamne pas et la santé et la raison. Il s’est tro
14 assez révolution ; parce que cette révolution ne demandait qu’à s’asseoir et que son siège était fait. Nous aimions la Révolutio
15 illet (simple course) pour Moscou, ou encore pour demander à qui, enfin, à quoi nous en voulons, et finalement nous écraser par
16 hangeante et toujours évidente, de laquelle il se demande vainement pourquoi il n’arrive pas à se contenter13 ». Acculés à ce c
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
17 mps de songer sérieusement à m’en guérir. Vous me demanderez « alors » ce que j’attends de ma vie. Je serais tenté de vous répondr
12 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
18 âmes comme enjeu nos consommations. Je gagnai. Il demanda des portos. Je les gagnai et je les bus. D’autres encore. Ma tête com
13 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
19 ps approche où elles seront atteintes. On peut se demander jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son
20 t qui combat les techniciens imparfaits. Il ne se demande jamais si la technique même la plus perfectionnée mérite les sacrific
21 ore que son travail aux lois d’une offre et d’une demande sans rapport avec ses désirs réels, et dont il subit docilement l’abs
14 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
22 fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais demandé au hasard d’arranger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare de tout
23 mprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui demander je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup p
24 si. La fidélité véritable est une œuvre d’art qui demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des
25 omme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t -il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très, très longt
26 semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sorte
15 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
27 gné et m’en sais plus dépourvu si possible. Je ne demande aux écrivains que des révélations, ou mieux, qu’ils les favorisent pa
16 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
28 cet « illustre réfractaire ». N’est-ce point trop demander à une existence bien indécise, que son échec même ne relève pas, et q
17 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
29 e sa curiosité. Sans doute est-il trop impatient, demande-t -il aux êtres plus qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit
18 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
30 Le contraire de la poésie, bien sûr. Mais on n’en demande pas tant dans les familles. Et qu’importe si la perspective manque so
19 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
31 d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’on lui demande l’impossible. Et quand bien même elle croirait n’en avoir plus besoin
20 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
32 sait à une femme blonde assise près de lui. Ayant demandé un timbre pour attirer l’attention de la femme blonde — sans résultat
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
33 miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je demande le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
34 e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits. Là encore il y a une exagération absurde, une généralis
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
35 la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
36 crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
37 n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je demanderai poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
38 gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
39 Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
40 la congrégation radicale des instituteurs. On me demande encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
41 triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
42 ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous demande une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
43 cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
44 miraculeusement, gémir n’est pas un argument. Je demande le droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions. Mon r
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
45 e nature à légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à ces petits. Là encore, il y a une exagération absurde, une générali
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
46 la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre qu’à la faveur du tumulte l’un
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
47 crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je demande seulement qu’on m’explique pourquoi il triomphe et se perpétue ; de q
48 n publique est pratiquement irréalisable. Ici, je demanderai poliment au lecteur de vouloir bien ne point trop faire la bête, sino
49 gré ses ratés assez fréquents. Maintenant je vous demande un peu quel intérêt il y aurait à perfectionner l’instrument, à l’ada
50 Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux gouvernements. La réforme scolaire, politiquement, n’est pas
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
51 la congrégation radicale des instituteurs. On me demande encore ce que je mettrais à la place. Et parce que je ne propose rien
52 triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous voir demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté a
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
53 ts suivront infailliblement. Par exemple, je vous demande une fois pour toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier, auteur
54 cachées aux agités ; la nature par exemple. Je ne demande pas qu’on nous enseigne le goût de la nature. Mais qu’on nous laisse
33 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
55 de littérature. Et c’est à un tel amour qu’on va demander sa revanche contre la mesquinerie morale du milieu… Étrange misère qu
34 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
56 lais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent pas demandé mieux que de reconnaître, etc.) Actuellement, Nietzsche est encore tr
57 opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Cela demanderait certains sacrifices, certains mépris qui passent tellement la « mesur
58 ules César s’imposait de longues marches. Mais ne demandons pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La
59 s qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il faut faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme dé
35 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
60 e » et des révoltes au hasard d’un Maldoror. Elle demande une pensée forte et orientée plutôt que ces éclats de voix sarcastiqu
36 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
61 honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
62 tes-vous venu chercher jusque chez nous ? » On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
63 ? » Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez demander raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
37 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
64 atrains sont ici précédés de Fragments dont je me demande s’il était bien légitime de les traduire. On a respecté scrupuleuseme
38 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
65 grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? » demande certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
66 urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
39 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
67 deux disciplines. Car la science à peine libérée, demande la tête de la métaphysique. Elle n’entend que ses intérêts. Elle eut
68 able conduit « au seuil » : et qu’irions-nous lui demander de plus, s’il laisse en blanc la place de Dieu. Mais où trouver les l
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
69 lles prises, en effet, dispose cet idéalisme ? se demande M. G. Marcel. L’orgueil tout d’abord, je n’hésite pas à le déclarer.
70 u en enfant : il y a lieu de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il
71 hrétien, qui sait un peu ce qu’est ce monstre, se demande , songeant à l’Europe, s’il y aura dix justes dans Sodome. 12. Aden
41 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
72 ringante et bariolée. Il y a là quelque mystère ; demandons -en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue. Parce qu’i
73 our nous et parce qu’ils nous parlent, nous avons demandé à ces artistes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus grand af
74 tes nés dans le protestantisme. Et l’on pourra se demander alors : qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez ces peintres ?
75 e. Certains critiques de cette exposition se sont demandé non sans ironie où était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils po
42 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
76 s non plus ; mais je sais que c’est beaucoup leur demander . » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger ces critiques d’une tâ
77 s gens de cette sorte, mais est-ce à eux que l’on demande de définir la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels q
78 glise le dimanche, tout était bien ; inutile d’en demander plus. » Parlant de son pasteur préféré, la même tante Harriet a ce mo
79 nent apporter ce dur message à l’âme de celle qui demandait d’être apaisée. Admirables dialogues, déchirants et triomphants, qui
80 Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous demande seulement de prier pour moi, car j’ai parfois la sensation que ma mis
43 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
81 ster est-il vraiment de la lignée des Apôtres, se demande-t -il ? Les prêtres sont-ils, dans le vrai sens du mot, les successeurs
44 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
82 retourner chez lui la nuit même, et après s’être demandé avec quelque anxiété comment il ferait face aux dépenses du voyage, i
83 La bonté est le sel de la vie. L’organisme social demande des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le conflit intérieur s’in
84 actuel, si ce n’est par une révolution ? Je vous demande de me dire clairement votre pensée à ce sujet. Eiichi se taisait. Une
85 hrier du jardin, joyeux et insouciants. Eiichi se demanda s’il y avait des procureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait
45 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
86 re seul critère de cohérence. C’est dire que nous demandons aux œuvres que nous aimons de témoigner d’une certaine force de révol
46 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
87 u ciel ou qu’elle éclate dans les choses, on nous demande seulement l’acte de la saisir dans son impérieuse évidence et dans sa
47 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
88 cquérir l’opinion, en Amérique par exemple. On se demande par quel sophisme un régime d’opinion put jamais être confondu avec u
48 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
89 its purs, faut-il rire ou se fâcher ? Ceux qui se demandent si je suis bien « dans la ligne », ceux qui se demandent si je « remp
90 nt si je suis bien « dans la ligne », ceux qui se demandent si je « remplis les conditions nécessaires » ; tous les suiveurs qui
49 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
91 la révolution nécessaire ». Certes, on ne saurait demander à un recueil d’essais réunis après coup de fournir une doctrine. Mais
92 us vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan demande inlassablement ce que les philosophes bourgeois font et comptent fair
93 omptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le demandons aussi. (Nous avons même un scepticisme plus profond que le sien à l’e
94 philosophie.) Mais ensuite, et à notre tour, nous demanderons  : que fait, que compte faire M. Nizan pour les hommes ? — Il compte l
95 tidienne, répète M. Nizan. Et il propose Marx. Je demande en quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je demande à M. Nizan
96 n quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je demande à M. Nizan, qui est marxiste, si la lecture et la pratique de Marx pe
97 est à chaque instant total, éternel et urgent. Je demande à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les
98 ible et réelle dans le message évangélique. Et je demande maintenant aux chrétiens s’ils le savent eux-mêmes ; s’ils prouvent q
50 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
99 toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me demandait , à la sortie : « Avez-vous jamais vu un soldat défensif ? Comment est
51 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
100 laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se demande en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
101 des nations, les intérêts (?) du monde. Sylveire demande  : que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le « 
52 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
102 c’est à l’Orient, d’instinct, que cette pensée va demander non point seulement sa revanche, mais sa mort et son devenir.   Ne po
53 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
103 fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais demandé au hasard d’arranger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare bientôt
104 mprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui demander je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup p
105 si. La fidélité véritable est une œuvre d’art qui demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des
106 omme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t -il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très longtemps,
107 semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sorte
54 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
108 honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
109 out prix il vous faut un prétexte avouable… On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
110 » — Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez demander raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
111 grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? » demande certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
112 urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
55 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
113 réflexion confiante et substantielle… Qu’irai-je demander d’autre à cette « Germanie aimée18 » ? Ah ! les livres nous avaient b
114 ce que je venais d’écrire, la faim me prit et je demandai une paire de saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal
56 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
115 Il s’agirait plutôt du seul plaisir de vivre. Que demander à un milieu social ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’o
116 ue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je demande que les journalistes cessent de déverser sur une classe qu’ils ne peu
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
117 c’est à l’Orient, d’instinct, que cette pensée va demander non point seulement sa revanche, mais sa mort et son devenir. Ne pou
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
118 honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordage
119 out prix il vous faut un prétexte avouable… On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras
120 » — Ah ! ce n’est pas vous, maintenant, qui allez demander raison à vos hôtes de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
121 grois. — « Comment peux-tu vivre si largement ? » demande certaine hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond-il,
122 urquoi l’Objet n’a pas de nom. Parfois je me suis demandé s’il n’était pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être ces deux
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
123 oue chaque soir, plusieurs fois. Je suis allé lui demander ce que c’était. « L’hymne d’un mouvement clandestin, dont le chef est
124 Il s’agirait plutôt du seul plaisir de vivre. Que demander à un milieu social ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’o
125 ue de sens. Mais au nom de la dignité humaine, je demande que les journalistes cessent de déverser sur une classe qu’ils ne peu
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
126 réflexion confiante et substantielle… Qu’irai-je demander d’autre à cette « Germanie aimée16 » ? Ah ! les livres nous avaient b
127 ce que je venais d’écrire, la faim me prit et je demandai une paire de saucisses croquantes et de la moutarde douce. Le journal
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
128 oute n’est plus permis. J’aime l’Amérique. Ils me demanderont pourquoi, je ne saurai pas répondre. Sait-on jamais pourquoi l’on aim
129 logements. — Est-ce que Paris a été bombardé ? me demandent -ils non sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y connaissez de
130 act. La brusquerie des employés intacte, quand on demande un petit renseignement et qu’on les voit s’identifier en un clin d’œi
131 Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se demande quels talents les méritent. Ce qu’il y a de plus intact en Suisse, pe
132 a réserve au cours du dernier épisode, on ne leur demande ni de s’en féliciter ni de s’en plaindre, mais de se préparer pour la
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
133 ? Attendez, Neuchâtel, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sait de Neuchâtel dans le vaste monde. Je trouvais à
134 ac, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui demande aux voyageurs, en grandes lettres de tuiles blanches : êtes-vous sauv
63 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
135 e elle-même). Que doit lire un homme pressé, s’il demande aux livres autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal
136 lui offrir le conte du journal, c’est-à-dire s’il demande une nourriture rapidement assimilable, mais tout de même reconstituan
137 eois qui rentre chez lui après 8 heures de bureau demande aux livres une évasion facile hors de la médiocre existence quotidien
138 mée, comme les fusées d’une fête intempestive. On demande des lumières qui ne soient plus seulement aveuglantes. On voudrait êt
64 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
139 « chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
65 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
140 : « Je ne comprends plus ! » En réalité, ils nous demandent des thèmes de discussion, c’est-à-dire des prétextes à différer toute
141 des ordres 1. Celui qui veut vraiment agir ne demande pas d’abord un programme, mais d’abord une force. On peut affirmer sa
142 e qui est dans la foi sait bien qu’il n’y a pas à demander de « solutions pratiques », car la foi est précisément une force qui
143 espace : voici ce que tu dois faire. À celui qui demande  : que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre, en princi
144 ore que vous ne l’imaginez peut-être, car si vous demandez des solutions pratiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas hu
145 point justement, et nulle part ailleurs. On nous demande des réponses ? Mais nous ne pouvons que mettre et remettre en questio
146 aison en est pourtant bien claire. Nous préférons demander aux hommes ces ordres que l’on ne peut attendre que de Dieu : parce q
66 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
147 as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
148 parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
149 al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
67 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
150 d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois. On se demande , non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jour qu’il convien
68 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
151 pas de satisfaire nous promettons d’envoyer, sur demande , des précisions et les numéros de l’Officiel. D’ailleurs ce serait un
69 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
152 la jeunesse russe malgré les sacrifices qu’on lui demande — ou à cause d’eux — ne sauraient être mises en doute. Mais qu’advien
70 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
153 oderne » décontenancée par l’échec de ses idéaux, demande des apaisements ou des directions positives. Faut-il encore ajouter à
71 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
154 s privilèges ? Mais tous les hommes ou presque en demandent . Seulement, il en est d’injustifiés. Et c’est ce que nous voulons dét
72 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
155 eurs, à connaître d’une vérité absolue, on put se demander si la philosophie n’allait pas démissionner, purement et simplement.
156 contre les paradoxes de l’existence. Ce que nous demandons à la philosophie, c’est de mettre en forme une problématique réelle,
157 ant ce temps, c’est à la théologie que nous irons demander de la pensée, c’est-à-dire de la pensée créatrice, c’est-à-dire de la
158  élargissement » de notre horizon de pensée, nous demandons passionnément et lourdement ce que cela peut bien signifier au concre
73 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
159 çu par moi, mais encore d’être reçu quoi qu’il me demande , fût-ce ma mort, n’est-ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur
74 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
160 e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix
75 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
161 ait, se retourne vers la Nature et s’en aille lui demander précisément ce qu’il lui doit : la révélation salutaire. Il faut voir
76 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
162 re réalisé, et quel besoin alors d’un deinde. Que demander aux hommes, sinon qu’ils vivent bien ! On se souvient de la noble rép
163 réponse de ce proscrit de la Révolution auquel on demandait à son retour en France ce qu’il avait fait en exil : « J’ai vécu, Mon
164 l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se demander si leur rencontre, à supposer qu’elle se produise, ne signifierait pa
165 is, dit l’auteur, « je ne puis me dispenser de me demander du même coup : qui suis-je, moi qui questionne sur l’être ? »49 (p. 2
77 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
166  Soyez appareillez à respondre à chascun qui vont demande rayson de l’espérance qui est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer
167 cette indifférence théologique sont tels qu’on se demande parfois si nos temples sont encore fréquentés par des protestants, et
168 n nous ». À nos lecteurs comme à nous-mêmes, nous demanderons le simple effort de confronter la doctrine chrétienne telle que les b
78 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
169 s donc que Déat ne soit prophète après coup. Déat demande qu’on reconnaisse le « fait-nation » et la faillite des international
79 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
170 15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres faciles, des livres gais, etc. C’est, d
171 des livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on demande . — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens » demandent. Mais saven
172 e. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens » demandent . Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demande
173 gens » demandent. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent , et pourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais
174 -ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demandent  ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d’abord des écriva
175 « les gens » de quoi ils ont besoin et ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de dem
176 ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de demander, et ce qu’on se montre si pressé
177 les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de demander , et ce qu’on se montre si pressé de leur donner à bon marché. Ils s’e
178 ’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour demander les « remèdes » qu’il faudrait. On ne le leur a pas appris. On a préf
80 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
179 qui pousse M. Goguel à les décolorer. Et l’on se demande ce qui subsisterait de ses conclusions si on leur appliquait les crit
81 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
180 ssaire de le dire… Pour ma part, je me refuse… Je demande à ce qu’on tienne pour un crétin celui qui… » Je prends ces trois déb
181 s de phrases élégants et péremptoires, et l’on se demande alors si ce bel « abattage » n’a pas dissimulé, aux yeux des jeunes g
82 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
182 politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jam
83 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
183 urante de l’individu et de la personne. 17. Ceci demanderait quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on obéit est qualifié hu
84 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
184 aussi en l’homme, comme avant. On ne peut pas lui demander de bénir ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu
85 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
185 « chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
86 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
186 as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
187 parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
188 al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
87 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
189 gne, une chemise. On cherche des chefs. Les chefs demandent de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés perso
88 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
190 laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se demande en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
191 , des nations, les intérêts (?) du monde. On nous demande  : que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le « 
89 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
192 e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix
90 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
193 t « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vous demande « à quoi ». C’est peut-être pourquoi vous ratez ? Faire quelque ch
194 itent de fous par manière d’injure. Mais la folie demande plutôt des soins que des injures. Cruauté de la politique : non point
195 première transition. L’avènement du régime idéal demandera des siècles de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons
91 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
196 d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois. On se demande , non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jour qu’il convien
92 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
197 ndicats ou les fédérations. Les attardés qui nous demandent  : « Mais enfin, vous sentez-vous plus près des communistes que de l’É
93 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
198 politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jam
94 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
199 urante de l’individu et de la personne. 12. Ceci demanderait quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on obéit est qualifié hu
95 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
200 aussi en l’homme, comme avant. On ne peut pas lui demander de bénir ces idoles dont il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu
96 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
201 « chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut demander à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
97 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
202 as pourquoi il est au monde, ni pour quoi ; il se demande parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime
203 parfois ce qu’il a bien pu venir y faire ; il se demande à quoi rime cette horrible « Histoire », illustrée par les plus sangl
204 al. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ?
98 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
205 gne, une chemise. On cherche des chefs. Les chefs demandent de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés perso
99 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
206 laisser convaincre… Tout les y pousse, et l’on se demande en vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invit
207 , des nations, les intérêts (?) du monde. On nous demande  : que signifie « sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le sa
100 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
208 e sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à faire. La paix