1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 ie ; de rendre toutes mes forces complices de mon destin . D’abord donc, choisir Mes instincts, ensuite, les éduquer, selon des
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
2 t que cette bourgeoisie fatiguée, et de suivre le destin que vous m’avez assigné à force de m’humilier et de me craindre. »
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 vous blessant. Des choses dures, amères comme un destin , comme le goût d’une pierre rêche sur ta langue et grinçante sous ta
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 es ou misérables, passionnées. Mais bientôt : — «  Destin , s’écria-t-il, tu pourrais me remercier. Vois quels chemins de perdit
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 eflets, épisodes, symboles : le vrai drame de son destin est ailleurs. Il se met à m’expliquer des signes, des généalogies éto
6 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
6 n meurt. Étoile de jour Il naissait à son destin des rayons glissent et rient c’est la caresse des anges parmi les for
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
7 quer d’autant plus librement qu’ils trahissent le destin profond de l’instruction publique, qu’ils trahissent leur mission off
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 mbre. Mais moi qui cherche un Objet Inconnu ! — Ô Destin sans repos et qui me voue à toutes les magies ! Les désirs les plus i
9 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
9 s voici « gagnés » par l’un des éléments de notre destin . La composante matérielle vient de l’emporter. Elle est en passe de g
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
10 ure composent en définitive une méditation sur le destin de l’homme. Chez Perken comme chez Garine, même héroïsme dépourvu d’i
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
11 ois la voix d’un de nos aînés, interrogeant notre destin , lui poser en face des questions d’une accablante simplicité. Me trom
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
12 selle des réactions profondes de l’âme devant son destin m’autorise à cette confrontation et me persuade de son intérêt humain
13 ualité nouvelle de silence. Encore faut-il que le destin favorise concrètement cette assomption intérieure. Par quel « hasard 
14 en enfer est le drame d’une pureté avide, et son destin se joue d’un coup. La grandeur de Goethe est d’avoir su vieillir, cel
15 the à force de pureté dans la réalisation de leur destin . Rimbaud est notre mythe occidental : mythe faustien. Il a vécu tragi
13 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
16 ’achètent des Bugatti pour brûler les étapes d’un destin qu’ils pressentent absurde. Rien désormais ne pourra plus nous rendre
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
17 eflets, épisodes, symboles : le vrai drame de son destin est ailleurs. Il se met alors à m’expliquer des signes, des généalogi
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
18 mbre. Mais moi qui cherche un Objet inconnu ! — Ô Destin sans repos et qui me voue à toutes les magies ! Les désirs les plus i
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 nez-vous de la comtesse. Va-t-elle apostropher le destin ou pousser de beaux cris raciniens ? Elle envoie le capitaine au chât
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
20 ’achètent des Bugatti pour brûler les étapes d’un destin qu’ils pressentent absurde. Rien désormais ne pourra plus nous rendre
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
21 mbre. Mais moi qui cherche un Objet inconnu ! — Ô Destin sans repos et qui me voue à toutes les magies ! Les désirs les plus i
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
22 nez-vous de la comtesse. Va-t-elle apostropher le destin ou pousser de beaux cris raciniens ? Elle envoie le capitaine au chât
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
23 encore les nôtres ne peuvent plus apprivoiser le destin . Soit que les tyrans nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
24 ers quoi l’on chemine. Mais au carrefour d’autres destins croisés, soudain le rythme change en nous aussi, rompant la prévision
25 rofonds de l’être nous semblent déclenchés par un destin absurde, et nous les subissons d’abord comme une force tout étrangère
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
26 on absolu respect. Au-delà de l’exemple vivant du destin vécu de mon père, qu’irais-je encore chercher dans le passé ? Si j’y
23 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
27 de la jeunesse. C’est pourquoi le problème de son destin se confond avec le problème de notre génération. La sécurité ne sera
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
28 Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)q Depuis des ann
29 ns la question de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ;
30 rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus
31 un pas de plus, nous posons la question de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaî
32 la question de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le
33 ons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse et bien moderne ! Si nous y regardons
34 s voir que le simple assemblage de ces deux mots, destin et siècle, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souf
35 ple question : comment un siècle peut-il avoir un destin  ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut av
36 peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin, un homme seul, en
37 destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin , un homme seul, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napolé
38 des autres hommes. Napoléon, César, Lénine ont un destin . Mais aussi chacun de nous a un destin ; dans la mesure où chacun de
39 ine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin  ; dans la mesure où chacun de nous possède une raison d’être, quelle
40 dmet facilement de nos jours, qu’un siècle ait un destin , c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte de valeur ind
41 e quelques génies, par exemple. Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, des
42 . Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
43 destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le desti
44 disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le d
45 ns, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui so
46 , destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — d
47 stin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstractions. Et je le r
48 répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin , il faut que nous ayons pris l’habitude de les considérer comme autan
49 ères, les habitudes, les intentions secrètes, les destins . Notre siècle, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et co
50 et déterminées par notre classe [ou] notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en ce
51 e classe [ou] notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année 1934, l’homme
52 re, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquié
53 jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin partic
54 cle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et
55 Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin . Abrégeons, car, avec l’argent nous n’en finirions pas. L’argent est
56 est dans tout, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, ava
57 est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de poursuivre,
58 libéraux, c’était, par excellence, un homme sans destin , un homme sans vocation ni raison d’être, un homme dont le monde n’ex
59 ’est parce que l’individu des libéraux était sans destin , qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de
60 du des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu
61 t toujours une solidarité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre q
62 rité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde chaotique
63 décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? I
64 d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsable ou resp
65 pas les diviser, ni abdiquer sous leur implacable destin . Ceux qui l’ont fait et qui le font encore, je vois bien ce qui les p
66 ude démissionnaire de l’homme en fuite devant son destin . Eh bien ! la personne à son tour n’est rien d’autre que l’attitude c
67 rez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne au destin collectif, mais c’est peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
68 le faire, rétablit le rapport humain, fonde notre destin personnel, et fonde aussi la seule société possible. Ne nous y trompo
69 u dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui
70 de le désespoir de l’homme qui ne connaît pas son destin . Après tout, l’homme désespéré, ce qu’il veut, ce n’est pas une expli
71 Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire pour l’arracher à sa misère
72 ’est-à-dire, plus exactement : l’Évolution. q. «  Destin du siècle ou vocation personnelle ? », Foi et Vie, Paris, n° 58-59, f
25 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
73 Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)h Qu’un homme perde le
74 Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)h Qu’un homme perde le sens de son destin p
75 ? (mai 1934)h Qu’un homme perde le sens de son destin particulier, il se met fatalement à croire aux destins anonymes et co
76 in particulier, il se met fatalement à croire aux destins anonymes et collectifs. C’est ainsi qu’on nous parle du « destin du s
77 et collectifs. C’est ainsi qu’on nous parle du «  destin du siècle » avec des yeux hors de la tête, sans se poser jamais cette
78 en naturelle : Comment un siècle peut-il avoir un destin  ?i Le destin, c’est le fait d’une personne. Croire à la réalité du «
79 Comment un siècle peut-il avoir un destin ?i Le destin , c’est le fait d’une personne. Croire à la réalité du « destin » souv
80 le fait d’une personne. Croire à la réalité du «  destin  » souverain de la masse, de la classe, de la nation, du capital ou de
81 l’État — car c’est de tout cela que se compose le destin du siècle —, c’est témoigner tout simplement de son abdication person
82 voulons que l’homme redevienne responsable de son destin particulier. Avoir un destin propre, une vocation, c’est la seule man
83 e responsable de son destin particulier. Avoir un destin propre, une vocation, c’est la seule manière que les hommes aient jam
84 l’Ordre nouveau tient dans ces quelques mots : le destin particulier de chaque homme est plus grand que tous les « destins du
85 ier de chaque homme est plus grand que tous les «  destins du siècle » inventés par nos lâchetés. ⁂ Le banquier croit aux fata
86 , au contraire de l’individu charrié par tous les destins collectifs et par les prétendues lois de l’Histoire, vit d’instant en
87 nouveau, Paris, n° 2, juin 1933, p. 19-23. h. «  Destin du siècle ou destin de l’homme ? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 11, ma
88 2, juin 1933, p. 19-23. h. « Destin du siècle ou destin de l’homme ? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 11, mai 1934, p. 3-7. i.
89 renais au livre de M. Jean-Richard Bloch intitulé Destin du siècle. Il n’en est rien. C’est au succès significatif de ce titre
26 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
90 parce que seule elle pose la question dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa c
91 ive de l’ON. Voir Daniel-Rops : Éléments de notre destin (Spes). Une dizaine de volumes sont en préparation. 19. L’origine « 
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
92 ire, il pose l’acte de l’homme responsable de son destin . Mais tout cela va au martyre, dans le monde qu’on nous prépare ? Il
93 étouffer le scandale de cette mort qui définit le destin de l’esprit parmi nous ? Si l’Opinion publique a tué Kierkegaard, ell
28 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
94 Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)u Le meilleur livre de l’année. Je crois bi
95 e. Voilà qui donne l’idée d’un roman d’aventures. Destin allemand est bien, entre autres, un roman d’aventures, et même d’une
96 timent-là ; l’absurdité de sa vie, l’absurdité du destin qu’on subit. Arrachés de leur terre et de leur peuple, ils s’en vont
97 tion de leur nation, saura leur dire le mot de ce destin . « Nous avons perdu la guerre, Bell, et dans la situation où nous som
98 uels on joue sa propre existence intérieure. » Le destin de ces déracinés, ce sera désormais de porter en eux-mêmes l’image tr
99 tête haute pour l’Allemagne, et de participer au destin qui lui était échu pour un temps. Ce destin qui obligeait l’Allemagne
100 er au destin qui lui était échu pour un temps. Ce destin qui obligeait l’Allemagne, après la guerre, à vivre dans un état de g
101 tional et de ce qui est plus généralement humain. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La condition humaine ». Et plusie
102 plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’importe quelle nation, de n’importe quelle communauté. Le « fait
103 le vrai tragique de l’Allemagne actuelle, que son destin la force à n’envisager plus le sort de l’homme que sous l’aspect du s
104 s plus graves pour notre avenir immédiat. Mais ce Destin allemand évoque bien d’autres questions. Edschmid a fait le tour du m
105 naux qui nous apprendront tout cela. Il faut lire Destin allemand, comme on lirait dans la conscience même d’un peuple. Il fau
106 que pour leur atmosphère et leur tension65, à ce Destin allemand, qui, toutefois, les domine. Edschmid est plus viril, plus m
107 qu’Edschmid est le plus authentique. Il y a, dans Destin allemand, un timbre de voix métallique, une sobriété amère et courage
108 mme Edschmid, il en a tiré des conclusions sur le destin de la race blanche, qui forment l’arrière-plan idéologique de son œuv
109 -il jamais lui-même que dans les tortures ? u. «  Destin allemand », Foi et Vie, Paris, n° 65, octobre-novembre 1934, p. 812-8
29 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
110 bilité de faire au moins un effort pour pétrir le destin , et pour orienter l’histoire dans un sens plutôt que dans l’autre. No
30 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
111 qui jouent leur rôle d’hommes et qui créent leur destin  : ceux-là seuls sont les dramatis personae, ceux-là seuls sont présen
112 une autorité, une attitude d’auteur de son propre destin  ? C’est ce que l’on ne voit point. C’est ce que nul ne peut voir ni n
31 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
113 opinion de nos maîtres, dicteraient à l’homme ses destins . Ils constatent que, dans la réalité politique, ce sont encore des ho
32 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
114 ns la question de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ;
115 rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus
116 un pas de plus, nous posons la question de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaî
117 la question de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le
118 ons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse et bien moderne14 ! Si nous y regardo
119 s voir que le simple assemblage de ces deux mots, destin et siècle, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souf
120 ple question : comment un siècle peut-il avoir un destin  ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut av
121 peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin, un homme seul, en
122 destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin , un homme seul, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napolé
123 des autres hommes. Napoléon, César, Lénine ont un destin . Mais aussi chacun de nous a un destin, dans la mesure où chacun de n
124 ine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin , dans la mesure où chacun de nous possède une raison d’être, quelle q
125 dmet facilement de nos jours, qu’un siècle ait un destin , c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte de valeur ind
126 e quelques génies, par exemple. Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, des
127 . Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
128 destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le desti
129 disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le d
130 ns, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui so
131 , destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — d
132 stin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstractions. Et, je le
133 répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin , il faut que nous ayons pris l’habitude de les considérer comme autan
134 es, les habitudes, les intentions secrètes, — les destins . Notre siècle, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et co
135 es et déterminées par notre classe ou notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en ce
136 tre classe ou notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année 1934, l’homme
137 re, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquié
138 jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin partic
139 cle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et
140 Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin . Abrégeons, car, avec l’argent, nous n’en finirions pas. L’argent est
141 est dans tout, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, ava
142 est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de poursuivre,
143 libéraux, c’était, par excellence, un homme sans destin , un homme sans vocation ni raison d’être, un homme dont le monde n’ex
144 ’est parce que l’individu des libéraux était sans destin , qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de
145 du des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu
146 t toujours une solidarité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre q
147 rité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes, ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde chaotique
148 décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? I
149 d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsable ou resp
150 as les diviniser ni abdiquer sous leur implacable destin . Ceux qui l’ont fait et qui le font encore, je vois bien ce qui les p
151 rez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne au destin collectif, mais c’est peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
152 le faire, rétablit le rapport humain, fonde notre destin personnel et fonde aussi la seule société possible. Ne nous y trompon
153 u dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui
154 de le désespoir de l’homme qui ne connaît pas son destin . Après tout, l’homme désespéré, ce qu’il veut, ce n’est pas une expli
155 Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire pour l’arracher à sa misère
156 14. On sait que M. Jean-Richard Bloch intitula Destin du siècle un recueil d’essais politiques dont le retentissement fut g
33 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
157 parce que seule elle pose la question dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa c
34 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
158 res « religieuses », cette servilité en face du «  destin  » ? Et comment pourrait-il croire à ces bons apôtres dont la ferveur
159 pte n’en dépend. Il tire un peu sur la ficelle du destin pour se prouver que le destin n’est plus son maître, que ça ne marche
160 u sur la ficelle du destin pour se prouver que le destin n’est plus son maître, que ça ne marche plus, et qu’un enfant de Dieu
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
161 es raisons déduites de la nature des choses et du destin de l’homme. — Utopie ! Utopie ! Voyez-vous, je préfère encore Léon Bl
36 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
162 tive de l’ON voir Daniel-Rops : Éléments de notre destin (Spes). [NdE] Nous avons placé là cette note, en l’absence d’appel de
37 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
163 opinion de nos maîtres, dicteraient à l’homme ses destins . Ils constatent que, dans la réalité politique, ce sont encore des ho
38 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
164 ns la question de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ;
165 rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se simplifie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus
166 un pas de plus, nous posons la question de notre destin personnel, en face des destins collectifs, le choix nécessaire appara
167 a question de notre destin personnel, en face des destins collectifs, le choix nécessaire apparaît avec une netteté qui, je le
168 nons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle : l’expression est courante, mais suspecte9. Si nous y rega
169 s voir que le simple assemblage de ces deux mots, destin et siècle, contient peut-être le secret du mal dont nous souffrons. I
170 ple question : comment un siècle peut-il avoir un destin  ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut av
171 peut-il avoir un destin ? En réalité, il n’y a de destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin, un homme seul, en
172 destin que personnel. Seul un homme peut avoir un destin , un homme seul, en tant qu’il est différent des autres hommes. Napolé
173 des autres hommes. Napoléon, César, Lénine ont un destin . Mais aussi chacun de nous a un destin, dans la mesure où chacun de n
174 ine ont un destin. Mais aussi chacun de nous a un destin , dans la mesure où chacun de nous possède une raison d’être, quelle q
175 dmet facilement de nos jours, qu’un siècle ait un destin , c’est que l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte de valeur ind
176 e quelques génies, par exemple. Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, des
177 . Quand nous disons destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
178 destin du siècle, nous disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le desti
179 disons destin des nations, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le d
180 ns, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui so
181 , destin du capitalisme, destin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — d
182 stin du machinisme. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de compte — des abstractions. Et, je le
183 répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin , il faut que nous ayons pris l’habitude de les considérer comme autan
184 es, les habitudes, les intentions secrètes, — les destins . Notre siècle, en tant que siècle, est athée, totalement athée, et co
185 es et déterminées par notre classe ou notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en ce
186 tre classe ou notre race. Destin du siècle contre destin de l’homme. Il faut bien reconnaître qu’en cette année 1934, l’homme
187 re, abandonnez votre cher petit moi, fondez votre destin dans celui du prolétariat ou de la race aryenne, et toutes vos inquié
188 jette des millions de nos contemporains dans les destins du siècle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin partic
189 cle, c’est peut-être l’élan d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et
190 Et voilà le dernier anneau de la chaîne de notre destin . Abrégeons, car, avec l’argent, nous n’en finirions pas. L’argent est
191 est dans tout, il est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, ava
192 est tout et tous le servent. ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je voudrais, avant de poursuivre,
193 libéraux, c’était, par excellence, un homme sans destin , un homme sans vocation ni raison d’être, un homme dont le monde n’ex
194 ’est parce que l’individu des libéraux était sans destin , qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de
195 du des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu
196 t toujours une solidarité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes ne nous laisse rien prévoir d’autre qu
197 rité catastrophique. Oui, le destin du siècle, le destin des ismes ne nous laisse rien prévoir d’autre qu’un monde chaotique h
198 décision que chacun d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? I
199 d’entre nous peut prendre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi historique ou acte personnel ? Irresponsable ou resp
200 c eux, ce n’est pas abdiquer sous leur implacable destin . Ceux qui l’ont fait et qui le font encore, je vois bien ce qui les p
201 rez l’homme créateur à l’homme qui s’abandonne au destin collectif, mais c’est peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
202 le faire, rétablit le rapport humain, fonde notre destin personnel et fonde aussi la seule société possible. Ne nous y trompon
203 u dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui
204 de le désespoir de l’homme qui ne connaît pas son destin . Après tout, l’homme désespéré, ce qu’il veut, ce n’est pas une expli
205 Et ce n’est pas la connaissance intellectuelle du destin de sa classe ou de sa race qui va suffire pour l’arracher à sa misère
206 » 9. On sait que M. Jean-Richard Bloch intitula Destin du siècle un recueil d’essais politiques dont le retentissement fut g
39 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
207 parce que seule elle pose la question dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa c
40 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
208 res « religieuses », cette servilité en face du «  destin  » ? Et comment pourrait-il croire à ces bons apôtres dont la ferveur
209 pte n’en dépend. Il tire un peu sur la ficelle du destin pour se prouver que le destin n’est plus son maître, que ça ne marche
210 u sur la ficelle du destin pour se prouver que le destin n’est plus son maître, que ça ne marche plus, et qu’un enfant de Dieu
41 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
211 es raisons déduites de la nature des choses et du destin de l’homme. — Utopie ! Utopie ! Voyez-vous, je préfère encore Léon Bl
42 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
212 de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, quand la crise est là, les partis se
43 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
213 Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)n Nous ne cesserons de protester ici contre la
214 nière dignité d’Allemands dans les tortures qu’un destin absurde leur réserve. « Il découvrit pour la première fois une forme
215 a tête haute pour l’Allemagne et de participer au destin qui lui était échu pour un temps. » Pour un temps… Il y a dans ces tr
216 le vrai tragique de l’Allemagne actuelle, que son destin la force à n’envisager plus le sort de l’homme que sous l’aspect de l
217 ndrons-nous la prochaine guerre pour lire dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à tous ? L’ostracisme de no
218 dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à tous ? L’ostracisme de nos critiques est d’ailleurs d’autant plus a
219 é condamné en Allemagne. n. « Kasimir Edschmid, Destin allemand, Plon. Traduit de l’allemand par J. Benoist-Méchin », Esprit
44 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
220 plus de choses qu’il ne pouvait en exprimer. Son destin fut l’inverse du nôtre. La technique nous masque le vrai, nous sommes
45 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
221 r ce chemin qui commence à ses pas, — c’est là le destin du chrétien, c’est son « impossible » destin, le seul acte possible à
222 à le destin du chrétien, c’est son « impossible » destin , le seul acte possible à l’homme. Et c’est l’acte que Dieu initie.
223 l lui rend une Mesure et un rythme en le liant au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait création absolue, mais un acte
224 est belle, c’est parce qu’elle est un acte et un destin , une initiale de l’histoire, une effigie de la Parole créatrice. 6
225 l eut conscience de cet aspect particulier de son destin qui qualifie précisément la vocation : l’invraisemblable. Ses plus am
46 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
226 s dernier de toute son œuvre. Il est juste que ce destin se répète aujourd’hui parmi nous. Et la publication des écrits religi
47 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
227 de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tout va mal, quand la crise est là, les partis se
48 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
228 résentant le plus marquant d’une famille dont les destins se confondirent durant tout le siècle dernier avec ceux du protestant
49 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
229 fense, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’opposons pas des droits que justement toute la crise dén
230 uvelle qui résolve la crise dans le sens de notre destin .   5. Le dilemme. Je parle ici de forces totales, de crise totale, e
231 rle ici de forces totales, de crise totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques
232 totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et culturels. L’Europe des religio
50 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
233 les mouvements de masses55, se reproduit dans le destin individuel des véritables hommes d’action de la gauche. Qu’on se rapp
51 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
234 Le sort de la culture est lié dans nos esprits au destin même de l’URSS » (discours aux obsèques de Gorki). Point d’arrivée :
52 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
235 dévisager le péril : il ne prendra la force d’un destin que le jour où nous refuserons de connaître sa vraie nature. Insuf
53 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
236 le travail du paysan asservi était pour lui « un destin qu’il subissait », le travail du bourgeois devient « une réalisation
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
237 En fin de compte, elles opposent pareillement le Destin de la Société à la vocation personnelle. L’évolution fatale des chose
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
238 e. Et la logique interne de celui-ci détermine le destin historique de celle-là. Connaître cette logique interne, c’est se met
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
239 re des victoires difficiles d’une vocation sur un destin , d’une vocation divine, transcendante, sur ce destin de très piètre e
240 tin, d’une vocation divine, transcendante, sur ce destin de très piètre envergure que dictaient les temps et les lieux. « Prép
241 rtant fait toute sa grandeur, c’est la révolte du destin profane contre la libre vocation de Dieu. Et de même que cette révolt
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
242 de son nom, mais le pouvoir, et le prestige d’un destin . On ignore à tel point en France l’importance capitale de ce fait, qu
243 nationale-socialiste. C’est lui qui conformera le destin futur de son libre peuple. Ses paroles sont le programme de notre lut
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
244 olitiques que s’imposent les dictatures. Du court destin de la culture soviétique, depuis vingt ans, ou de la culture national
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
245 fense, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’opposons pas des droits que justement toute la crise dén
246 uvelle qui résolve la crise dans le sens de notre destin . 5° Le dilemme. — Je parle ici de forces totales, de crise totale, et
247 rle ici de forces totales, de crise totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques
248 totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et culturels. L’Europe des religio
60 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
249 ntrôles, rien de plus frappant aujourd’hui que le destin de notre économie. C’est qu’entre la crise matérielle et la crise de
250 s’en remettre aux faits lorsqu’il s’agit de leur destin , et d’un destin dont les ordres concrets ne rencontrent même plus de
251 ux faits lorsqu’il s’agit de leur destin, et d’un destin dont les ordres concrets ne rencontrent même plus de refus, mais seul
252 nte, pourrait infléchir d’une ligne l’axe de leur destin natif ; tous ceux enfin qui se donnent sans remords à la loi brutale
61 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
253 avons connaissance du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 86. On ne pourrait m’opposer qu’un seul ex
62 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
254 le travail du paysan asservi était pour lui « un destin qu’il subissait », le travail du bourgeois devient « une réalisation
63 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
255 En fin de compte, elles opposent pareillement le Destin de la Société à la vocation personnelle. L’évolution fatale des chose
64 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
256 e. Et la logique interne de celui-ci détermine le destin historique de celle-là. Connaître cette logique interne, c’est se met
65 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
257 re des victoires difficiles d’une vocation sur un destin , d’une vocation divine, transcendante, sur ce destin de très piètre e
258 tin, d’une vocation divine, transcendante, sur ce destin de très piètre envergure que dictaient les temps et les lieux. « Prép
259 rtant fait toute sa grandeur, c’est la révolte du destin profane contre la libre vocation de Dieu. Et de même que cette révolt
66 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
260 de son nom, mais le pouvoir, et le prestige d’un destin . On ignore à tel point en France l’importance capitale de ce fait, qu
261 nationale-socialiste. C’est lui qui conformera le destin futur de son libre peuple. Ses paroles sont le programme de notre lut
67 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
262 olitiques que s’imposent les dictatures. Du court destin de la culture soviétique, depuis vingt ans, ou de la culture national
68 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
263 fense, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’opposons pas des droits que justement toute la crise dén
264 uvelle qui résolve la crise dans le sens de notre destin . 5° Le dilemme. — Je parle ici de forces totales, de crise totale, et
265 rle ici de forces totales, de crise totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques
266 totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et culturels. L’Europe des religio
69 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
267 ntrôles, rien de plus frappant aujourd’hui que le destin de notre économie. C’est qu’entre la crise matérielle et la crise de
268 s’en remettre aux faits lorsqu’il s’agit de leur destin , et d’un destin dont les ordres concrets ne rencontrent même plus de
269 ux faits lorsqu’il s’agit de leur destin, et d’un destin dont les ordres concrets ne rencontrent même plus de refus, mais seul
270 nte, pourrait infléchir d’une ligne l’axe de leur destin natif ; tous ceux enfin qui se donnent sans remords à la loi brutale
70 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
271 avons connaissance du milieu où il faut agir, des destins que notre acte inclinera. 89. « Murmurer avec les loups » serait plu
71 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
272 Dieu. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son destin . (Pour le chrétien, c’est accepter, en acte, l’éternelle prévision du
273 nce, c’est que Nietzsche nous propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s
72 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
274 ation de la volonté humaine, qui doit vouloir son destin éternel et nécessaire… Enfin, dernier événement nietzschéen : L’Intro
73 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
275 en lesquels s’incarnera plus particulièrement le destin de la Révolution, c’est-à-dire les membres de ce que nous appelons le
74 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
276 oute, et se trouve désarmé lorsqu’il survient. Le destin des démocraties est lié à l’éducation ; celui des dictatures à la con
75 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
277 acte par lequel Dieu le choisit, substituant à un destin fatal une vocation d’un tout autre ordre. Fatalité et liberté : le pr
76 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
278 « vraie vie » dans je ne sais quelle embuscade du destin , comme qui dirait au coin d’un bois. Je crois que le réel est à porté
77 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
279 ous donner un sens actif de nos chances et de nos destins , dans une époque où des choses plus anciennes et plus grandes que not
280 il importe de rendre à notre peuple le sens d’un destin qui le dépasse. Petit peuple chargé d’une grande mission : s’il l’oub
78 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
281 augure à double sens, certifiant la présence d’un destin . Voici l’île : une plage basse, quelques pins, deux ou trois baraques
79 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
282 les troupes déferlantes, et ce serait le chant du destin d’un siècle aveugle en sa révolte… Étrange accord de cette musique d
283 double sens du mot. Comme si j’étais moi-même mon destin , à ce moment, et que par suite, aucune question, aucun doute et aucun
284 orce qui compte est celle de la Providence (ou du destin ). C’est cela seul qui dispense l’homme de jouer la comédie de la forc
285 lleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une mai
286 « vraie vie » dans je ne sais quelle embuscade du destin , comme qui dirait au coin d’un bois. Je crois que le réel est à porté
287 omantique, et somme toute vaniteuse, de tenter le destin « pour voir », qui est la manière des amateurs de vie intense, trahit
288 hit je crois d’assez banales complaisances. Et le destin répond à ces défis, fussent-ils géniaux, par des énigmes ironiques. A
80 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
289 Vocation et destin d’Israël (1937)r Sens de « l’histoire » d’Israël Un prophète,
290 Que nous apprend une science de cet ordre sur le destin auquel étaient promises les infimes tribus nomades qui constituaient,
291 nous explique pourquoi cette tribu-là échappa au destin monotone, exceptionnellement conservateur, qui a pesé jusqu’à nos jou
292 , dans ces annales, c’est ce qui les rabat à leur destin , ce sont leurs révoltes constantes, leurs faux pas, leurs accès d’inc
293 e à la vocation qui les arrache, malgré eux, à ce destin de très piètre envergure. Foi et idolâtrie La considération du
294 te opposition fondamentale d’une vocation et d’un destin , hors de laquelle on ne peut rien comprendre de ce qui touche à la na
295 omprendre de ce qui touche à la nation des Juifs. Destin nomade, vocation messianique. Destin visible, insignifiant ; vocation
296 n des Juifs. Destin nomade, vocation messianique. Destin visible, insignifiant ; vocation invisible et triomphante : celle que
297 u’un autre aspect du conflit de la vocation et du destin . Il fait comprendre l’esprit de révolte qui tourmenta sans fin les do
298 rtant fait toute sa grandeur, c’est la révolte du destin profane contre la vocation libératrice. Et de même que cette révolte,
299 libératrice. Et de même que cette révolte, et ce destin , et ce besoin de voir, sont symbolisés au concret par les statues des
300 t considérés comme « normaux » : ils expriment le destin spirituel, dans un monde incrédule et rebelle, de ceux que Dieu s’est
301 uple élu, a trahi sa mission et s’est livré à son destin . Sa dispersion en est le châtiment. Serait-il donc possible de perdre
302 e de la Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains du plus secret conseil de Dieu. « Quant
303 araît conclure sur l’abandon final d’Israël à son destin , après la mort de Jésus-Christ. Je suis heureux de pouvoir donner ci-
304 Commentaires, sur Rom. II, 29). r. « Vocation et destin d’Israël », Les Juifs, Paris, Plon, 1937, p. 143-165.
81 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
305 Dieu. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son destin . (Pour le chrétien, c’est accepter en acte l’éternelle prévision du D
306 nce, c’est que Nietzsche nous propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Providence dont la Parole vivante s
82 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
307 u sens allemand : une « imagination » profonde du destin de Napoléon, voilà ce que nous propose Robert Aron50. Il a pensé qu’i
308 es limites de sa grandeur, un sens de l’humour du destin , une vraie poésie de l’Histoire, libératrice et excitante pour l’espr
83 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
309 les derniers instants le vrai sens, la valeur de destin de la pensée qui aboutissait là. Contempler dans sa mort la « fin » d
84 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
310 qui sauvera la Suisse, c’est la conscience de son destin européen. C’est notre effort pour nous élever au niveau de cette dest
85 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
311 latteuses. C’est tout le possible qui s’ouvre, un destin qui acquiesce au désir ! Je vais y entrer, je vais y monter, je vais
86 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
312 a Nuit où s’effacent les formes, les visages, les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus aucun nom qui
313 modernes savent-ils encore la différence entre un destin que l’on assume et une obsession que l’on subit ?) 5. Éros sauvé p
314 relevé de sa fonction mortelle et délivré de son destin . Dès qu’il cesse d’être un dieu, il cesse d’être un démon 97. Et il r
315 est née. Il se peut que l’Occident succombe à ce destin qu’il s’est forgé. Mais il est clair que ce n’est pas le christianism
87 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
316 as voir dans ces coïncidences un signal amical du destin  ? Vous vous trouviez couronner sans le savoir deux livres à la fois,
88 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
317 . 10 janvier 1936 Un film de propagande. —  Destin d’une commune d’Allemands de la région de la Volga, pendant la révolu
318 ’il soit un fléau de Dieu (c’est une nuance), son destin ne dépend plus des hommes, pas même de l’homme Adolf Hitler. À plus f
319 en lui le moins du monde, il ne vaut rien pour un destin pareil ? Un génie n’est ni fou ni bête, ni sensé ni intelligent. Il n
320 ce serait trop beau dans le genre édifiant. Notre destin ne dépend pas seulement de nos bassesses. Arrêtons-nous sur le seuil
89 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
321 e, la tradition, les morts, tout ce qui impose un destin sans recours. Voilà pourquoi cette religion est, au suprême degré, i
322 dicale et insurmontable ; c’est l’affrontement du destin sombre et de la foi libératrice, des choses fatales et des « choses e
90 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
323 . Il s’est donné pour l’Absolu, la Providence, le Destin des Allemands. Il a fait des miracles et dit des prophéties — et elle
91 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
324 encore les nôtres, ne peuvent plus apprivoiser le destin . Soit que les tyrans nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à
92 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
325 llement ! Ainsi Nietzsche devient le Tristan d’un Destin qu’il ne peut posséder que par l’amour éternellement lointain. ⁂ Don
93 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
326 de certaines attitudes de l’homme en face de son destin et de sa personne. Le national-socialisme apparut comme une réaction
94 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
327 on est prêt à tout abandonner au premier signe du destin , parce qu’on vient de remplir les limites du réel et d’accomplir un s
95 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
328 eux séries de faits sans aucun lien… Quel sera le destin de ce drame ? Celui de la paix, je le répète. Joignons alors notre pr
96 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
329 donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’obéir à son destin . Les mœurs du temps sanctionnent le droit du plus fort, elles le divi
330 e va-t-elle naître et les unir, à la faveur de ce destin magique ? Dans tout le Roman, dans ces milliers devers, je n’en ai tr
331 t assumée par les amants. C’est le rachat de leur destin qu’ils accomplissent en mourant par amour : c’est une revanche sur le
332 trompeuse, tous leurs actes sont orientés vers le destin mortel qu’ils aiment, avec une sorte d’astucieuse résolution, avec un
333 jour, et voici qu’elle me parle encore. Pour quel destin suis-je né ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète : — Pour
334 e encore. Pour quel destin suis-je né ? Pour quel destin  ? La vieille mélodie me répète : — Pour désirer et pour mourir ! Pour
335 sément le beau secret : c’est lui qui a voulu son destin  : Ce terrible philtre qui me condamne au supplice, c’est moi, moi-mê
336 ut dire souffrance, chose subie, prépondérance du destin sur la personne libre et responsable. Aimer l’amour plus que l’objet
337 ré dès le début de la passion, la revanche sur le destin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette analyse du mythe primiti
338 jour, et voici qu’elle me parle encore. Pour quel destin suis-je né ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète : — Pour
339 e encore. Pour quel destin suis-je né ? Pour quel destin  ? La vieille mélodie me répète : — Pour désirer et pour mourir. ⁂ Pa
97 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
340 el d’un disciple du sauveur Mani, dans l’hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme vers la Lumière n’est pas sans évoquer d’un
98 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
341 z d’Urfé le tragique se dégrade en émotion, et le destin en machine romanesque. Tout se réduit à moraliser et à plaire. Faut-i
342 preuve du philtre. Ici, comme dans le mythe, le «  Destin  » servira d’alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même
343 assionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu. De la pu
99 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
344 ne persuade pas, il envoûte ; il invoque enfin le destin et affirme qu’il est ce destin… De la sorte, il délivre la foule de l
345 l invoque enfin le destin et affirme qu’il est ce destin … De la sorte, il délivre la foule de la responsabilité de ses actes,
100 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
346 latteuses. C’est tout le possible qui s’ouvre, un destin qui acquiesce au désir ! Je vais y entrer, je vais y monter, je vais