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insi de la respiration. Il n’y a sensation que du
discontinu
. Il n’y a sentiment que de ce qui nous quitte, ou nous surprend, ou b
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nsi de la respiration. Il n’y a conscience que du
discontinu
. Il n’y a sentiment que de ce qui nous quitte, ou nous surprend, ou b
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es personnels, la geste, la suite des témoignages
discontinus
des vraies personnes. L’histoire humaine, ce sont les annales de l’ho
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er malgré la durée. Notre être véritable est donc
discontinu
: nous ne sommes que par instant vraiment humains. Et nous avons à co
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l’aise que dans le continu et elle fait surgir le
discontinu
qu’elle multiplie par son progrès même. Elle ne connaît que du probab
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es personnels, le geste, la suite des témoignages
discontinus
des vraies personnes. L’histoire humaine, ce sont les annales de l’ho
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er malgré la durée. Notre être véritable est donc
discontinu
: nous ne sommes que par instant vraiment humains. Et nous avons à co
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e distinguer de la vie organique et de l’activité
discontinue
et imprévisible de l’esprit. Ceci suffit à expliquer pour une bonne p
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est soudain plus dur et agressif, tendu, nerveux,
discontinu
… Nos valises empilées dans un taxi, nous filons vers la porte d’Itali
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insi de la respiration. Il n’y a sensation que du
discontinu
. Il n’y a sentiment que de ce qui nous quitte, ou nous surprend, ou b
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est soudain plus dur et agressif, tendu, nerveux,
discontinu
… Nos valises empilées dans un taxi, nous filons vers la porte d’Itali
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infinitésimal, est encore un moyen de passage du
discontinu
au continu, une harmonie… « Les académies qu’il s’efforçait de fonder