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alpole, donnant peut-être la meilleure formule du
don-juanisme
féminin. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour
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ysan de Genève, Rousseau échappe à l’influence du
don-juanisme
citadin, mais non pas à une littérature qui trouve dans son tempérame
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alpole, donnant peut-être la meilleure formule du
don-juanisme
féminin. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour
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ysan de Genève, Rousseau échappe à l’influence du
don-juanisme
citadin, mais non pas à une littérature qui trouve dans son tempérame
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alpole, donnant peut-être la meilleure formule du
don-juanisme
féminin. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour
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ysan de Genève, Rousseau échappe à l’influence du
don-juanisme
citadin, mais non pas à une littérature qui trouve dans son tempérame
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rente, sa furia, son rythme dionysiaque… Or si le
don-juanisme
est une passion de l’esprit, et non pas comme nous aimions le croire
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tièrement relatif aux règles du jeu. Imaginons un
don-juanisme
plus secret, une table de pharaon où l’on met sur les cartes des « va
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’amour « naturel » à la Don Juan. Il y a plus. Le
don-juanisme
érotique n’est guère pour Nietzsche qu’une image, voire un argument p