1
ine ». « La faiblesse est mère du combat. » C’est
donc
à un lacédémonisme renouvelé que nous conduirait cette « éthique du s
2
ous savons qu’il observera les règles. Saluons-le
donc
du salut des équipes avant le match : « En l’honneur d’Henry de Month
3
ou morale. » (p. 42). Le surréalisme ne serait-il
donc
qu’une sorte de méthode des textes généralisée ? Point du tout ! Il p
4
re, mais savent admirablement parler. Ils érigent
donc
en doctrine leur impuissance. « Il n’y a pas de pensée hors les mots
5
elque chose au-dedans de moi. Qu’est-ce que c’est
donc
? » Ses premiers dessins sont de gauches copies de Millet. Mais son m
6
t-elle ? En codifiant l’état de choses antérieur.
Donc
l’Église continue à faire des saints, tandis que ce terme n’a plus qu
7
tion mystique une explication scientifique. C’est
donc
à la seule volonté de choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon, répond
8
En priant, je m’arrête parfois, heureux : « J’ai
donc
la foi ? » Mais c’est encore une question… Je crois qu’il ne faut pas
9
outes mes forces complices de mon destin. D’abord
donc
, choisir Mes instincts, ensuite, les éduquer, selon des lois établies
10
’action, faire de la psychologie à la volée », et
donc
connaître l’homme dans l’élan qui fait sa véritable unité. Je me born
11
ion éminemment peu bellettrienne. Que sommes-nous
donc
? Le plus qu’on puisse dire, c’est que vous le saurez un peu mieux qu
12
que par excès de bonne humeur printanière, Urbain
donc
, premier mauvais garçon d’une race entre toutes bénie — par qui ? ell
13
r cette aube incolore. Il y a vingt-quatre heures
donc
, j’étais encore au bal. Cette constatation machinale ne correspond à
14
« Je ne comprends pas », et l’on pense : « C’est
donc
incompréhensible ». On dit : « C’est incompréhensible ! » — et l’on e
15
en du monde, je n’attends rien de rien. » Riez-en
donc
, pantins officiels, et vous repus, et vous, dubitatives barbes. Je vi
16
e manque pas le train bleu d’un désir. Elle était
donc
venue. Il la suivait entre les devantures qui se passaient de l’une à
17
uis sans scrupules, on connaît mon orgueil : osez
donc
me condamner d’être plus fort que cette bourgeoisie fatiguée, et de s
18
sure que l’esprit s’établit sur ses positions. Or
donc
, j’avais vingt ans. Je vivais chez mes parents, comme tant d’autres à
19
, en ces temps, nos amitiés miraculeuses. Voici
donc
les seules révélations que j’attende de la littérature : que celle de
20
statutaire » — si l’on ose dire. Elle nous permet
donc
de considérer la situation sans fièvre, sans lamentations d’adieu.
21
plus étranges qu’appelle la musique. Je me gardai
donc
d’ouvrir le journal. Les Petites nouvelles ont un pouvoir tyrannique
22
plus de lassitude, un peu plus d’ennui. J’essayai
donc
de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le
23
n incarnation la plus parfaite. Qu’on ne m’accuse
donc
pas de caricaturer l’objet de ma critique pour faciliter l’accusation
24
tif de la moderne civilisation occidentale. Voici
donc
venue l’heure de la juger. Le héros de l’époque, c’est l’homme qui a
25
que l’Esprit ne peut les supporter. Il abandonne
donc
la place, mais c’est pourtant lui seul qui nous permettrait de jouir
26
gique, parlant par la bouche de Ford : « Inutile,
donc
à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possi
27
la chronologie de nos sentiments et de nos actes.
Donc
, n’ayant pas renoncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme vien
28
ne sûmes pas dissimuler nous trahit ; elle finit
donc
par accepter et vint à nous avec un sourire du type le plus courant :
29
s, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda
donc
une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sortes de
30
ue, celui d’autrui sur eux-mêmes. Ils se tournent
donc
naturellement vers l’action, c’est-à-dire — nous sommes en France — v
31
Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était l’amour,
donc
la douleur ; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffrir. Mai
32
de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est
donc
ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La
33
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il
donc
que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
34
l ne fallait pas différer, profondément hypocrite
donc
, et le cerveau saturé d’évidences du type 2 et 2 font 4, ou : tous le
35
décrets humains. Le prix de mes souffrances était
donc
ce conformisme indispensable aux « immortels principes ». Je n’allai
36
umettre les esprits au contrôle de l’État, voyons
donc
, — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérité
37
ce principe est à la base du système ; qui repose
donc
sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire en
38
rselle et un caractère obligatoire. L’école exige
donc
que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se forcent. El
39
oir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
donc
sur une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M.
40
oi que la famille était encore un milieu naturel,
donc
normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et les n
41
on publique, limite l’homme au citoyen. Il s’agit
donc
de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout entier. Je distingu
42
de devenir autre chose que des utopies. Il s’agit
donc
en premier lieu de le démasquer et de le pourchasser dans toutes les
43
hin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai
donc
: je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les ins
44
l ne fallait pas différer, profondément hypocrite
donc
, et le cerveau saturé d’évidences du type 2 et 2 font 4, ou : tous le
45
décrets humains. Le prix de mes souffrances était
donc
ce conformisme indispensable aux « immortels principes ». Je n’allai
46
umettre les esprits au contrôle de l’État, voyons
donc
, — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérité
47
ce principe est à la base du système ; qui repose
donc
sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire en
48
rselle et un caractère obligatoire. L’école exige
donc
que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se forcent. El
49
que les plus faibles se forcent. Elle ne convient
donc
qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’école s’attaque imp
50
d c’est sanctionner cet état anormal (il y aurait
donc
sans doute d’autres moyens de sauver un enfant dans sa famille). Ensu
51
oir, son unique moyen de parvenir. Elle participe
donc
sur une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M.
52
oi que la famille était encore un milieu naturel,
donc
normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et les n
53
on publique, limite l’homme au citoyen. Il s’agit
donc
de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout entier. Je distingu
54
de devenir autre chose que des utopies. Il s’agit
donc
en premier lieu de le démasquer et de le pourchasser dans toutes les
55
hin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai
donc
: je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les ins
56
n lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. Allez
donc
vous mettre en colère contre l’insignifiance ! On ne nous laisse même
57
bileté contemporaine écœure plus que tout. Plutôt
donc
que de discuter ces thèses, je voudrais suivre leurs prolongements au
58
J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici
donc
en taxi, « nous deux le fantôme » comme on disait au village où je su
59
s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est
donc
la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
60
enu chercher jusque chez nous ? » On me demandera
donc
toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
61
: c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais
donc
ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
62
du temps que l’on parlait français. J’expliquais
donc
que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «
63
nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi
donc
, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, l
64
rement raisonnable. Ah ! quelle raison t’attirait
donc
ici, sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imm
65
aux lois de l’ordre matériel ; c’est se condamner
donc
à ne l’apercevoir que dans ses servitudes5. Aussi la critique du maté
66
desséchant les sources de notre foi. Qui parlait
donc
d’un « humanisme scientifique » ? Nous avons été pris de vitesse par
67
homme qui pourrait se définir : « Dieu n’est pas,
donc
je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié à rien. Plutôt aventurie
68
enser dividendes, impérialisme, plus-value. — Qui
donc
nous aurait révélé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons huma
69
istes protestants modernes (avril 1931)e C’est
donc
qu’il y en a ? avez-vous dit. Depuis le temps qu’on cherchait à nous
70
egretté. » Blanche, anglicane « de naissance », a
donc
épousé un Italien et vit dans un milieu catholique qui n’exerce, dit-
71
il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est
donc
possible de dire que le péché est la mesure du démesuré, et que pour
72
é ne devient réalité que pour le converti ; c’est
donc
la conversion qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duqu
73
itions » de la vie que mort s’en suit. Sarah est
donc
un recueil de contes romantiques, cas tout à fait rare dans la littér
74
é consciente de réduire l’homme à sa seule virtu.
Donc
: refus ou ignorance des catégories de la grâce et du péché ; un cert
75
t qui manifestent ses traits spécifiques. On peut
donc
poser que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos co
76
tes quant à l’homme et pratiquement athées. Voici
donc
l’homme, dans sa condition menacée, réduit aux seules défenses qu’inv
77
s mains (fragments) (janvier 1932)a Nous voici
donc
à ce point d’étrangeté où l’on oppose la pensée et l’action jusque su
78
ncevoir, n’a jamais existé5. Le bourgeois n’étant
donc
jamais un héros, n’entreprendra jamais la « réalisation » personnelle
79
sée et une vie sont aux prises : qu’on les laisse
donc
seules à ce débat silencieux et obscur comme les ruses de la volupté,
80
une application volontaire et soutenue. Ce n’est
donc
pas l’aspect littéraire de leur expérience qui doit conditionner notr
81
tions créatrices. À l’origine de son œuvre, voici
donc
le fait de la magie domptée ; conçue sous de tels auspices, c’est tou
82
onfesserons un doute. De quel droit refusons-nous
donc
d’appeler chrétien, un homme qui se prétendit tel en maintes occasion
83
roit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse
donc
tous ces noms dont se meublent les notes de ton enquête, comme de gué
84
ctuels n’est plus celle de l’esprit11. Laisse-les
donc
chercher, jusqu’à la fin de leurs loisirs fiévreux, s’il faut faire q
85
e M. Durand-Dupont étant toute verbale, ne relève
donc
que de l’analyse logique, et doit être rejetée à ce titre comme impli
86
intemporelles qui, n’étant pas religieuses, sont
donc
abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses contemporains qu’ils ont t
87
tout de même à choisir ses complices. Sans entrer
donc
dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience
88
me implique notre effort pour la réaliser. Vérité
donc
essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans une syn
89
’est pas attesté dans l’acte de la foi. Qu’est-ce
donc
, en effet, que l’effort humain ? Sinon l’exercice nécessaire de l’âme
90
qui nous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez
donc
, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie
91
fins transcendantes, de l’action optimiste. Ceux
donc
qui rendent le calvinisme responsable du capitalisme commettent une e
92
oi et ce qui nous paraît la « défier ». Que faire
donc
? Briser d’abord les idoles, menaçantes. Et puis rester aux ordres de
93
partialité serait hypocrisie, refus. Qu’on trouve
donc
ici une prise de parti. Nous sommes une génération comblée. Comblée
94
is qui soudain font mine de « réussir ». N’est-ce
donc
plus, comme le marque Th. Maulnier, qu’un conflit d’intérêts ? Et d’i
95
pugnent à nous suivre sur ce terrain. Suivons-les
donc
sur le leur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’appellent-i
96
xprime — bien qu’on pense généralement l’inverse.
Donc
, n’ayant pas renoncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme vien
97
ne sûmes pas dissimuler nous trahit ; elle finit
donc
par accepter et vint à nous avec un sourire d’opérette : « Les Messie
98
s, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda
donc
une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sortes de
99
l vous faut un prétexte avouable… On me demandera
donc
toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
100
: c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais
donc
ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
101
du temps que l’on parlait français. J’expliquais
donc
que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «
102
nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi
donc
, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, l
103
nt raisonnable. Ah ! quelle raison ici t’attirait
donc
, sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imminen
104
de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est
donc
ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La
105
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il
donc
que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
106
rre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce
donc
que ce paradoxal mélange de chair et d’âme ? — Paracelse et Swedenbor
107
e sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez
donc
pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient tou
108
s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est
donc
la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
109
au corridor.) Début de juillet 1929 Écrivez
donc
une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de vi
110
de chasse de mes hôtes prussiens. Et puis, allez
donc
voir un peu dans les cryptes secrètes du grand capitalisme. Satan lui
111
J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici
donc
en taxi, « nous deux le fantôme ». Ce soir-là, le fantôme ayant envie
112
téraire, de pensers mis à toutes sauces. Mais qui
donc
, parmi nos penseurs, mériterait d’être servi en sauce Marthaler ? Mai
113
l vous faut un prétexte avouable… On me demandera
donc
toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
114
: c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais
donc
ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
115
nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi
donc
j’ai cherché la Pierre des Philosophes. D’autres aussi, peut-être, la
116
nt raisonnable. Ah ! quelle raison ici t’attirait
donc
, sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imminen
117
de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est
donc
ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « …l
118
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il
donc
que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
119
rre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce
donc
que ce paradoxal mélange de chair et d’âme ? Paracelse et Swedenborg
120
e sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez
donc
pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient tou
121
s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est
donc
la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
122
jets vus dans une lumière sobre et mate.) Telle a
donc
été ma « vision » : formats et couleurs très nettement perçus, mais r
123
ouleurs très nettement perçus, mais rien de plus,
donc
rien d’utilisable éventuellement. Ce matin, en trouvant les trois let
124
pas vu l’écriture des adresses), elles roulaient
donc
déjà vers Calw, mais dans différents sacs postaux. Les voir par antic
125
approcher. Début de juillet 1929 « Écrivez
donc
une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de vi
126
rieux. Nous étions mal placés pour discuter cela,
donc
en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout ce qu’il r
127
culait un peu du temps de mon enfance. (On ne l’a
donc
jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers les lieux et les c
128
demandent-ils non sans inquiétude. — Et New York
donc
? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme
129
est pas en Suisse qu’on voit ces déchirures. J’ai
donc
pris le parti de circuler, malgré les résistances multipliées par une
130
cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà
donc
ce qui atteint chez nous à la « classe internationale » comme on dit
131
une seule seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je
donc
fait par mégarde, qui m’accorde à la longueur d’ondes d’un passé, d’u
132
tiède et abritée d’un bois de pins. Que vient-il
donc
chercher sur ces rivages désertés par le crépuscule ? Quelle est cett
133
oètes qu’il dédaigne, tous leurs clichés, c’était
donc
vrai ? Il ne sait quelle ardeur le pénètre… Mais il sent qu’il va dir
134
iaire de la préfecture de police. Qu’on n’attende
donc
pas de nous un appel aux églises en tant que corps constitués et offi
135
me encore au moment où elle le trahit. Telle sera
donc
la forme et tel sera le premier lieu de la rupture nécessaire : la dé
136
qui viennent nous parler d’une Révélation. Est-ce
donc
qu’une grande lumière leur est venue dans cette nuit ? Est-ce qu’ils
137
lumière à la mesure de leur obéissance. Ils n’ont
donc
pas reçu une révélation ésotérique, que l’homme d’aujourd’hui, sans d
138
qui demande : que dois-je faire ? le chrétien n’a
donc
rien à répondre, en principe. Il ne peut que renvoyer à la seule forc
139
, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons
donc
à serrer un peu les deux termes de notre sujet, cherchons à dégager l
140
lure. 3. Humanisme contre christianisme, n’est-ce
donc
qu’un conflit d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera l
141
mander à Dieu des « avantages » humains. (Comment
donc
les connaîtrait-il ? Comment pourrait-il les nommer, s’il n’a d’abord
142
pas être de ceux-ci ». Charles-Albert Cingria est
donc
de ceux dont l’érudition, quitte à passer pour macaronique — comme el
143
ainsi l’on supprime la notion même d’intéressant.
Donc
Cingria défend une thèse : « Je m’appliquerai à désassocier et à mett
144
ale qui est, à l’origine, de propulsion musicale,
donc
romane-syrienne puisque le plain-chant est roman-syrien — et le poète
145
nt les effets statistiques, sinon réels. Ce n’est
donc
guère que depuis trois ou quatre ans que le saut de 1921 déploie tout
146
ui introduise à celle de l’élémentaire ; qui soit
donc
le contraire de la recherche du pittoresque. Aucune de ses œuvres mie
147
onnaire, le marxisme. Or, je veux une révolution.
Donc
, je me fais marxiste. » Qu’on ne croie pas à une farce. J’ai entendu
148
ve du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils partent
donc
de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plei
149
impatiente : il faut tout expliquer. J’indiquerai
donc
encore : 1° que si l’erreur initiale fut bien spirituelle, notre tâch
150
tentat métaphysique contre l’éthique ». Il s’agit
donc
ici d’une dialectique à deux termes simultanés, et dont la tension n’
151
verait, le ferait tomber dans l’histoire. « Ainsi
donc
, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’ont pas le ver
152
, se rapporte aux réalités dernières. Qu’y a-t-il
donc
entre ce non dernier et tous nos sic et non ? Qu’y a-t-il entre cette
153
out cela dans notre parler quotidien. Nous dirons
donc
: Dieu premier et dernier, et ensuite seulement notre recherche, mais
154
à l’origine de toute notre construction. Répétons
donc
que pour nous : la personne c’est l’individu engagé dans le conflit c
155
n’entre pas immédiatement en action. Nous tenons
donc
pour une nécessité vitale de passer, dès maintenant, à la constructio
156
ale avec le désordre régnant. Nous nous engageons
donc
dans une lutte réelle dont l’objet n’est autre que de soumettre les i
157
ender le plan humain, la condition humaine. C’est
donc
faire le plus grand tort au christianisme de certains membres de L’Or
158
t de la prédication chrétienne, me disais-je, qui
donc
doit, qui donc peut être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette q
159
tion chrétienne, me disais-je, qui donc doit, qui
donc
peut être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette question à laque
160
pensée protestante dans le monde entier. Quel est
donc
le contenu de cette œuvre, où est le secret de son incomparable virul
161
et mission, et non pas but et accomplissement et
donc
, en tant que réalité psychologique, elle est élémentaire, à peine con
162
el l’homme ne peut aller. Du totaliter aliter. Si
donc
la tâche du théologien est de parler de Dieu, il s’avère qu’en tant q
163
ent « dialectique » de Thérèse d’Avila. Qu’est-ce
donc
en définitive que le point de vue barthien ? Une prise au sérieux du
164
ement biblique désigne le plan quinquennal. Voici
donc
le roman type de l’Édification socialiste. Bourré de petits faits vra
165
ion du travail. On a l’air d’ironiser, mais lisez
donc
: vous serez pris, vous donnerez tort au traître, c’est-à-dire aux an
166
ure ». Volodia, lui, est fils de bourgeois : taré
donc
, intellectuel, ratiocineur, il n’arrive pas, malgré ses plus loyaux e
167
le enfin. Ce conflit comporte un choix permanent,
donc
un risque permanent, c’est-à-dire une tension permanente, qui mesure
168
x défini que la lutte des classes. ⁂ Quelles sont
donc
les institutions qui nous permettront de rompre avec tout étatisme, d
169
nt les thèses impliquées dans notre exposé. Voici
donc
en quelques mots nos positions de combat : 1° « Sans théorie révoluti
170
elles… (p. 12). Les conditions de la vérité sont
donc
éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout temps, ont montré du goû
171
rsonne est la mise en question d’un je par un tu,
donc
une rencontre, cette rencontre n’a lieu que dans le je et dans le tu.
172
qui s’enferme dans sa particularité, — qui refuse
donc
d’être le prochain de son frère. 10. ou tout autre « isme » qu’on vo
173
héros, en dépit des carambolages du sort. Il y a
donc
Toepffer. Puis on tombe sur Édouard Rod, qui entrerait difficilement
174
ais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est
donc
, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une vue philo
175
re : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tous
donc
, nous avons reçu, chacun à notre place et dans nos circonstances part
176
n beau roman : c’est un roman chrétien. Qu’est-ce
donc
qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde « se conduit bie
177
’elle entraîne sont proprement incalculables. Qui
donc
voudra les encourir ? Ceux-là seuls qui n’ont pas à subordonner la vé
178
c’est faire la volonté de Dieu, c’est agir, c’est
donc
attester sa dignité proprement humaine. La foi seule est un acte abso
179
et à la fin, en est cependant inséparable. Il est
donc
non seulement possible, mais nécessaire, que le chrétien prenne posit
180
’assimilation de la personne à un acte20, tel est
donc
le fait spirituel, le fait humain par excellence auquel l’Ordre nouve
181
oncret de leur vie. La seule question qu’il y ait
donc
lieu de poser est celle-ci : comment atteindre les hommes dans le con
182
ovenait d’une malédiction, pensait-il, il l’avait
donc
dilapidé, surtout en dons. Sa vie était très simple. Il travaillait u
183
s s’y abandonnent. Qu’est-ce que l’esprit ?
Donc
, on nous parle de sauver l’esprit. Qu’est-ce que l’esprit ? « L’espri
184
à la ruine ou peut-être même au martyre. Ne soyez
donc
pas si pressés de défendre les « droits » de l’esprit : ce n’est pas
185
On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils
donc
de commun, génie à part ? Peut-être leurs souffrances seulement. Mais
186
ndeur, la nouvelle mesure de l’esprit. Nous irons
donc
à ce grand solitaire, à ce témoin extrême et décisif dont la mort, co
187
révolte du chrétien est position, obéissance. Si
donc
l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde, dans sa
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on du désordre où nous sommes nés, d’où viendrait
donc
l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insultant la mort. Il faudr
189
at fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer ? Où
donc
est la mesure de l’homme irréductible, au nom de quoi elle dirait non
190
t à nos yeux la plus dégradante qui soit. Il faut
donc
renoncer à chercher dans les choses, dans les partis, dans l’État ou
191
onté déterminée, son attitude créatrice. Je dirai
donc
ce que notre désir invoque. Je vois un grand dessin véhément et humbl
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socialistes vis-à-vis du fascisme. Nous craignons
donc
que Déat ne soit prophète après coup. Déat demande qu’on reconnaisse
193
s. « L’effort de reconstruction qui s’impose doit
donc
être entrepris dans le respect de toutes les diversités d’opinions, d
194
sité d’une construction nouvelle ; elle travaille
donc
pour nous. 2° Les éléments les plus solides des constructions qu’on
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cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse
donc
la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fait. g. « Sur une no
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chercheront un nouvel ordre. Leur communauté sera
donc
une communauté d’idéal autant que de refus. Risquons ici un parallèle
197
illeurs, du terme ? L’homme des villes se jettera
donc
dans l’aventure « nationale » révolutionnaire, tandis que l’homme enr
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versets a été ajouté après coup. Il le retranche
donc
. Cela fait, nous dit-il, « le récit est bien homogène ». Certes. Mais
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aussi, pour sa seule beauté : Lequel nous vaudra
donc
mieux, qu’un loup dévore notre charogne ou que des citoyens en repais
200
nt, et relâche à nous qui sommes oppressés. (Qui
donc
, sauf Léon Bloy, fait écho à ce style, en notre siècle ?) Mais Casaub
201
tion générale avait dessein de nous placer. Ainsi
donc
, encore que ce drame puisse être qualifié de jeu, et légèrement pris
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de province si vous pensez que j’exagère. Faut-il
donc
mettre une barre sous la rubrique surréalisme, et verser tout cela au
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ire, qu’on ne peut pas dire autrement. Que dit-il
donc
, cet homme qui le prend de si haut ? Son livre s’ouvre par un discour
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ais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est
donc
, nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une vue philo
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re : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tous
donc
, nous avons reçu, chacun à notre place et dans nos circonstances part
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relatifs à l’ensemble dont il dérivait. Il était
donc
fatal que le conflit individu-État fût résolu au profit du plus grand
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quelque chose, on peut voir quelque chose. Je dis
donc
que l’Esprit n’est rien d’autre pour nous qu’un acte, et un acte d’ob