1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ine ». « La faiblesse est mère du combat. » C’est donc à un lacédémonisme renouvelé que nous conduirait cette « éthique du s
2 ous savons qu’il observera les règles. Saluons-le donc du salut des équipes avant le match : « En l’honneur d’Henry de Month
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
3 ou morale. » (p. 42). Le surréalisme ne serait-il donc qu’une sorte de méthode des textes généralisée ? Point du tout ! Il p
4 re, mais savent admirablement parler. Ils érigent donc en doctrine leur impuissance. « Il n’y a pas de pensée hors les mots 
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
5 elque chose au-dedans de moi. Qu’est-ce que c’est donc  ? » Ses premiers dessins sont de gauches copies de Millet. Mais son m
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
6 t-elle ? En codifiant l’état de choses antérieur. Donc l’Église continue à faire des saints, tandis que ce terme n’a plus qu
5 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
7 tion mystique une explication scientifique. C’est donc à la seule volonté de choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon, répond
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
8 En priant, je m’arrête parfois, heureux : « J’ai donc la foi ? » Mais c’est encore une question… Je crois qu’il ne faut pas
9 outes mes forces complices de mon destin. D’abord donc , choisir Mes instincts, ensuite, les éduquer, selon des lois établies
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
10 ’action, faire de la psychologie à la volée », et donc connaître l’homme dans l’élan qui fait sa véritable unité. Je me born
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
11 ion éminemment peu bellettrienne. Que sommes-nous donc  ? Le plus qu’on puisse dire, c’est que vous le saurez un peu mieux qu
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
12 que par excès de bonne humeur printanière, Urbain donc , premier mauvais garçon d’une race entre toutes bénie — par qui ? ell
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
13 r cette aube incolore. Il y a vingt-quatre heures donc , j’étais encore au bal. Cette constatation machinale ne correspond à
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14 « Je ne comprends pas », et l’on pense : « C’est donc incompréhensible ». On dit : « C’est incompréhensible ! » — et l’on e
15 en du monde, je n’attends rien de rien. » Riez-en donc , pantins officiels, et vous repus, et vous, dubitatives barbes. Je vi
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
16 e manque pas le train bleu d’un désir. Elle était donc venue. Il la suivait entre les devantures qui se passaient de l’une à
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
17 uis sans scrupules, on connaît mon orgueil : osez donc me condamner d’être plus fort que cette bourgeoisie fatiguée, et de s
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
18 sure que l’esprit s’établit sur ses positions. Or donc , j’avais vingt ans. Je vivais chez mes parents, comme tant d’autres à
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
19 , en ces temps, nos amitiés miraculeuses.   Voici donc les seules révélations que j’attende de la littérature : que celle de
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
20 statutaire » — si l’on ose dire. Elle nous permet donc de considérer la situation sans fièvre, sans lamentations d’adieu.  
17 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
21 plus étranges qu’appelle la musique. Je me gardai donc d’ouvrir le journal. Les Petites nouvelles ont un pouvoir tyrannique
22 plus de lassitude, un peu plus d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le
18 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
23 n incarnation la plus parfaite. Qu’on ne m’accuse donc pas de caricaturer l’objet de ma critique pour faciliter l’accusation
24 tif de la moderne civilisation occidentale. Voici donc venue l’heure de la juger. Le héros de l’époque, c’est l’homme qui a
25 que l’Esprit ne peut les supporter. Il abandonne donc la place, mais c’est pourtant lui seul qui nous permettrait de jouir
26 gique, parlant par la bouche de Ford : « Inutile, donc à détruire. » Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possi
19 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
27 la chronologie de nos sentiments et de nos actes. Donc , n’ayant pas renoncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme vien
28 ne sûmes pas dissimuler nous trahit ; elle finit donc par accepter et vint à nous avec un sourire du type le plus courant :
29 s, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sortes de
20 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
30 ue, celui d’autrui sur eux-mêmes. Ils se tournent donc naturellement vers l’action, c’est-à-dire — nous sommes en France — v
21 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
31 Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était l’amour, donc la douleur ; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffrir. Mai
22 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
32 de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La
33 et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
34 l ne fallait pas différer, profondément hypocrite donc , et le cerveau saturé d’évidences du type 2 et 2 font 4, ou : tous le
35 décrets humains. Le prix de mes souffrances était donc ce conformisme indispensable aux « immortels principes ». Je n’allai
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
36 umettre les esprits au contrôle de l’État, voyons donc , — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérité
37 ce principe est à la base du système ; qui repose donc sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire en
38 rselle et un caractère obligatoire. L’école exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se forcent. El
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
39 oir, son unique moyen de parvenir. Elle participe donc sur une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M.
40 oi que la famille était encore un milieu naturel, donc normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et les n
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
41 on publique, limite l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout entier. Je distingu
42 de devenir autre chose que des utopies. Il s’agit donc en premier lieu de le démasquer et de le pourchasser dans toutes les
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
43 hin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai donc  : je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les ins
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
44 l ne fallait pas différer, profondément hypocrite donc , et le cerveau saturé d’évidences du type 2 et 2 font 4, ou : tous le
45 décrets humains. Le prix de mes souffrances était donc ce conformisme indispensable aux « immortels principes ». Je n’allai
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
46 umettre les esprits au contrôle de l’État, voyons donc , — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérité
47 ce principe est à la base du système ; qui repose donc sur une tranquille méconnaissance de la nature humaine. L’histoire en
48 rselle et un caractère obligatoire. L’école exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se forcent. El
49 que les plus faibles se forcent. Elle ne convient donc qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’école s’attaque imp
50 d c’est sanctionner cet état anormal (il y aurait donc sans doute d’autres moyens de sauver un enfant dans sa famille). Ensu
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
51 oir, son unique moyen de parvenir. Elle participe donc sur une vaste échelle à cette « Trahison des clercs » décrite par M.
52 oi que la famille était encore un milieu naturel, donc normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et les n
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
53 on publique, limite l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de retrouver l’homme tout entier. Je distingu
54 de devenir autre chose que des utopies. Il s’agit donc en premier lieu de le démasquer et de le pourchasser dans toutes les
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
55 hin, membre du conseil de paroisse. Je préciserai donc  : je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les ins
33 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
56 n lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre en colère contre l’insignifiance ! On ne nous laisse même
57 bileté contemporaine écœure plus que tout. Plutôt donc que de discuter ces thèses, je voudrais suivre leurs prolongements au
34 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
58  J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fantôme » comme on disait au village où je su
59 s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
35 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
60 enu chercher jusque chez nous ? » On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
61  : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
62 du temps que l’on parlait français. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «
36 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
63 nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi donc , j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, l
64 rement raisonnable. Ah ! quelle raison t’attirait donc ici, sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imm
37 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
65 aux lois de l’ordre matériel ; c’est se condamner donc à ne l’apercevoir que dans ses servitudes5. Aussi la critique du maté
66 desséchant les sources de notre foi. Qui parlait donc d’un « humanisme scientifique » ? Nous avons été pris de vitesse par
38 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
67 homme qui pourrait se définir : « Dieu n’est pas, donc je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié à rien. Plutôt aventurie
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
68 enser dividendes, impérialisme, plus-value. — Qui donc nous aurait révélé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons huma
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
69 istes protestants modernes (avril 1931)e C’est donc qu’il y en a ? avez-vous dit. Depuis le temps qu’on cherchait à nous
41 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
70 egretté. » Blanche, anglicane « de naissance », a donc épousé un Italien et vit dans un milieu catholique qui n’exerce, dit-
42 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
71 il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est donc possible de dire que le péché est la mesure du démesuré, et que pour
72 é ne devient réalité que pour le converti ; c’est donc la conversion qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duqu
43 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
73 itions » de la vie que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes romantiques, cas tout à fait rare dans la littér
44 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
74 é consciente de réduire l’homme à sa seule virtu. Donc  : refus ou ignorance des catégories de la grâce et du péché ; un cert
75 t qui manifestent ses traits spécifiques. On peut donc poser que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos co
76 tes quant à l’homme et pratiquement athées. Voici donc l’homme, dans sa condition menacée, réduit aux seules défenses qu’inv
45 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
77 s mains (fragments) (janvier 1932)a Nous voici donc à ce point d’étrangeté où l’on oppose la pensée et l’action jusque su
78 ncevoir, n’a jamais existé5. Le bourgeois n’étant donc jamais un héros, n’entreprendra jamais la « réalisation » personnelle
79 sée et une vie sont aux prises : qu’on les laisse donc seules à ce débat silencieux et obscur comme les ruses de la volupté,
46 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
80 une application volontaire et soutenue. Ce n’est donc pas l’aspect littéraire de leur expérience qui doit conditionner notr
81 tions créatrices. À l’origine de son œuvre, voici donc le fait de la magie domptée ; conçue sous de tels auspices, c’est tou
47 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
82 onfesserons un doute. De quel droit refusons-nous donc d’appeler chrétien, un homme qui se prétendit tel en maintes occasion
48 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
83 roit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent les notes de ton enquête, comme de gué
84 ctuels n’est plus celle de l’esprit11. Laisse-les donc chercher, jusqu’à la fin de leurs loisirs fiévreux, s’il faut faire q
49 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
85 e M. Durand-Dupont étant toute verbale, ne relève donc que de l’analyse logique, et doit être rejetée à ce titre comme impli
50 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
86 intemporelles qui, n’étant pas religieuses, sont donc abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses contemporains qu’ils ont t
51 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
87 tout de même à choisir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience 
52 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
88 me implique notre effort pour la réaliser. Vérité donc essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans une syn
53 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
89 ’est pas attesté dans l’acte de la foi. Qu’est-ce donc , en effet, que l’effort humain ? Sinon l’exercice nécessaire de l’âme
90 qui nous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez donc , mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie
91 fins transcendantes, de l’action optimiste. Ceux donc qui rendent le calvinisme responsable du capitalisme commettent une e
92 oi et ce qui nous paraît la « défier ». Que faire donc  ? Briser d’abord les idoles, menaçantes. Et puis rester aux ordres de
54 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
93 partialité serait hypocrisie, refus. Qu’on trouve donc ici une prise de parti.   Nous sommes une génération comblée. Comblée
94 is qui soudain font mine de « réussir ». N’est-ce donc plus, comme le marque Th. Maulnier, qu’un conflit d’intérêts ? Et d’i
95 pugnent à nous suivre sur ce terrain. Suivons-les donc sur le leur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’appellent-i
55 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
96 xprime — bien qu’on pense généralement l’inverse. Donc , n’ayant pas renoncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme vien
97 ne sûmes pas dissimuler nous trahit ; elle finit donc par accepter et vint à nous avec un sourire d’opérette : « Les Messie
98 s, il avait dû le mettre au caviar. Il en demanda donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sortes de
56 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
99 l vous faut un prétexte avouable… On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
100  : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
101 du temps que l’on parlait français. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : «
102 nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi donc , j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi, peut-être, l
103 nt raisonnable. Ah ! quelle raison ici t’attirait donc , sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imminen
57 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
104 de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La
105 et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
58 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
106 rre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que ce paradoxal mélange de chair et d’âme ? — Paracelse et Swedenbor
107 e sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient tou
108 s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
109 au corridor.) Début de juillet 1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de vi
59 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
110 de chasse de mes hôtes prussiens. Et puis, allez donc voir un peu dans les cryptes secrètes du grand capitalisme. Satan lui
60 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
111  J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fantôme ». Ce soir-là, le fantôme ayant envie
112 téraire, de pensers mis à toutes sauces. Mais qui donc , parmi nos penseurs, mériterait d’être servi en sauce Marthaler ? Mai
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
113 l vous faut un prétexte avouable… On me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de v
114  : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je ferai, je pense,
115 nsées qui exigent des apparences positives. Ainsi donc j’ai cherché la Pierre des Philosophes. D’autres aussi, peut-être, la
116 nt raisonnable. Ah ! quelle raison ici t’attirait donc , sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imminen
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
117 de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « …l
118 et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soudain simu
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
119 rre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que ce paradoxal mélange de chair et d’âme ? Paracelse et Swedenborg
120 e sorte d’affront, en même temps. — « Ne regardez donc pas mes mains, je dois faire le ménage ces jours, la peau devient tou
121 s rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde, et qui n’
122 jets vus dans une lumière sobre et mate.) Telle a donc été ma « vision » : formats et couleurs très nettement perçus, mais r
123 ouleurs très nettement perçus, mais rien de plus, donc rien d’utilisable éventuellement. Ce matin, en trouvant les trois let
124 pas vu l’écriture des adresses), elles roulaient donc déjà vers Calw, mais dans différents sacs postaux. Les voir par antic
125 approcher. Début de juillet 1929 « Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de vi
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
126 rieux. Nous étions mal placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout ce qu’il r
127 culait un peu du temps de mon enfance. (On ne l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers les lieux et les c
128 demandent-ils non sans inquiétude. — Et New York donc  ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme
129 est pas en Suisse qu’on voit ces déchirures. J’ai donc pris le parti de circuler, malgré les résistances multipliées par une
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
130 cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce qui atteint chez nous à la « classe internationale » comme on dit
66 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
131 une seule seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je donc fait par mégarde, qui m’accorde à la longueur d’ondes d’un passé, d’u
67 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
132 tiède et abritée d’un bois de pins. Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le crépuscule ? Quelle est cett
133 oètes qu’il dédaigne, tous leurs clichés, c’était donc vrai ? Il ne sait quelle ardeur le pénètre… Mais il sent qu’il va dir
68 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
134 iaire de la préfecture de police. Qu’on n’attende donc pas de nous un appel aux églises en tant que corps constitués et offi
135 me encore au moment où elle le trahit. Telle sera donc la forme et tel sera le premier lieu de la rupture nécessaire : la dé
69 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
136 qui viennent nous parler d’une Révélation. Est-ce donc qu’une grande lumière leur est venue dans cette nuit ? Est-ce qu’ils
137 lumière à la mesure de leur obéissance. Ils n’ont donc pas reçu une révélation ésotérique, que l’homme d’aujourd’hui, sans d
138 qui demande : que dois-je faire ? le chrétien n’a donc rien à répondre, en principe. Il ne peut que renvoyer à la seule forc
70 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
139 , hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu les deux termes de notre sujet, cherchons à dégager l
140 lure. 3. Humanisme contre christianisme, n’est-ce donc qu’un conflit d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera l
141 mander à Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait-il ? Comment pourrait-il les nommer, s’il n’a d’abord
71 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
142 pas être de ceux-ci ». Charles-Albert Cingria est donc de ceux dont l’érudition, quitte à passer pour macaronique — comme el
143 ainsi l’on supprime la notion même d’intéressant. Donc Cingria défend une thèse : « Je m’appliquerai à désassocier et à mett
144 ale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-syrienne puisque le plain-chant est roman-syrien — et le poète
72 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
145 nt les effets statistiques, sinon réels. Ce n’est donc guère que depuis trois ou quatre ans que le saut de 1921 déploie tout
73 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
146 ui introduise à celle de l’élémentaire ; qui soit donc le contraire de la recherche du pittoresque. Aucune de ses œuvres mie
74 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
147 onnaire, le marxisme. Or, je veux une révolution. Donc , je me fais marxiste. » Qu’on ne croie pas à une farce. J’ai entendu
75 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
148 ve du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils partent donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plei
149 impatiente : il faut tout expliquer. J’indiquerai donc encore : 1° que si l’erreur initiale fut bien spirituelle, notre tâch
76 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
150 tentat métaphysique contre l’éthique ». Il s’agit donc ici d’une dialectique à deux termes simultanés, et dont la tension n’
151 verait, le ferait tomber dans l’histoire. « Ainsi donc , il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’ont pas le ver
152 , se rapporte aux réalités dernières. Qu’y a-t-il donc entre ce non dernier et tous nos sic et non ? Qu’y a-t-il entre cette
153 out cela dans notre parler quotidien. Nous dirons donc  : Dieu premier et dernier, et ensuite seulement notre recherche, mais
77 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
154 à l’origine de toute notre construction. Répétons donc que pour nous : la personne c’est l’individu engagé dans le conflit c
155 n’entre pas immédiatement en action. Nous tenons donc pour une nécessité vitale de passer, dès maintenant, à la constructio
156 ale avec le désordre régnant. Nous nous engageons donc dans une lutte réelle dont l’objet n’est autre que de soumettre les i
157 ender le plan humain, la condition humaine. C’est donc faire le plus grand tort au christianisme de certains membres de L’Or
78 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
158 t de la prédication chrétienne, me disais-je, qui donc doit, qui donc peut être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette q
159 tion chrétienne, me disais-je, qui donc doit, qui donc peut être pasteur et prêcher ? » Tourmenté par cette question à laque
160 pensée protestante dans le monde entier. Quel est donc le contenu de cette œuvre, où est le secret de son incomparable virul
161 et mission, et non pas but et accomplissement et donc , en tant que réalité psychologique, elle est élémentaire, à peine con
162 el l’homme ne peut aller. Du totaliter aliter. Si donc la tâche du théologien est de parler de Dieu, il s’avère qu’en tant q
163 ent « dialectique » de Thérèse d’Avila. Qu’est-ce donc en définitive que le point de vue barthien ? Une prise au sérieux du
79 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
164 ement biblique désigne le plan quinquennal. Voici donc le roman type de l’Édification socialiste. Bourré de petits faits vra
165 ion du travail. On a l’air d’ironiser, mais lisez donc  : vous serez pris, vous donnerez tort au traître, c’est-à-dire aux an
166 ure ». Volodia, lui, est fils de bourgeois : taré donc , intellectuel, ratiocineur, il n’arrive pas, malgré ses plus loyaux e
80 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
167 le enfin. Ce conflit comporte un choix permanent, donc un risque permanent, c’est-à-dire une tension permanente, qui mesure
168 x défini que la lutte des classes. ⁂ Quelles sont donc les institutions qui nous permettront de rompre avec tout étatisme, d
169 nt les thèses impliquées dans notre exposé. Voici donc en quelques mots nos positions de combat : 1° « Sans théorie révoluti
81 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
170 elles… (p. 12). Les conditions de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout temps, ont montré du goû
82 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
171 rsonne est la mise en question d’un je par un tu, donc une rencontre, cette rencontre n’a lieu que dans le je et dans le tu.
172 qui s’enferme dans sa particularité, — qui refuse donc d’être le prochain de son frère. 10. ou tout autre « isme » qu’on vo
83 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
173 héros, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer. Puis on tombe sur Édouard Rod, qui entrerait difficilement
84 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
174 ais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc , nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une vue philo
175 re : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tous donc , nous avons reçu, chacun à notre place et dans nos circonstances part
85 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
176 n beau roman : c’est un roman chrétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien ? Une histoire où tout le monde « se conduit bie
86 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
177 ’elle entraîne sont proprement incalculables. Qui donc voudra les encourir ? Ceux-là seuls qui n’ont pas à subordonner la vé
87 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
178 c’est faire la volonté de Dieu, c’est agir, c’est donc attester sa dignité proprement humaine. La foi seule est un acte abso
179 et à la fin, en est cependant inséparable. Il est donc non seulement possible, mais nécessaire, que le chrétien prenne posit
180 ’assimilation de la personne à un acte20, tel est donc le fait spirituel, le fait humain par excellence auquel l’Ordre nouve
88 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
181 oncret de leur vie. La seule question qu’il y ait donc lieu de poser est celle-ci : comment atteindre les hommes dans le con
89 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
182 ovenait d’une malédiction, pensait-il, il l’avait donc dilapidé, surtout en dons. Sa vie était très simple. Il travaillait u
90 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
183 s s’y abandonnent. Qu’est-ce que l’esprit ? Donc , on nous parle de sauver l’esprit. Qu’est-ce que l’esprit ? « L’espri
184 à la ruine ou peut-être même au martyre. Ne soyez donc pas si pressés de défendre les « droits » de l’esprit : ce n’est pas
185 On pourrait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun, génie à part ? Peut-être leurs souffrances seulement. Mais
186 ndeur, la nouvelle mesure de l’esprit. Nous irons donc à ce grand solitaire, à ce témoin extrême et décisif dont la mort, co
187 révolte du chrétien est position, obéissance. Si donc l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est que le monde, dans sa
91 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
188 on du désordre où nous sommes nés, d’où viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insultant la mort. Il faudr
189 at fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer ? Où donc est la mesure de l’homme irréductible, au nom de quoi elle dirait non
190 t à nos yeux la plus dégradante qui soit. Il faut donc renoncer à chercher dans les choses, dans les partis, dans l’État ou
191 onté déterminée, son attitude créatrice. Je dirai donc ce que notre désir invoque. Je vois un grand dessin véhément et humbl
92 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
192 socialistes vis-à-vis du fascisme. Nous craignons donc que Déat ne soit prophète après coup. Déat demande qu’on reconnaisse
193 s. « L’effort de reconstruction qui s’impose doit donc être entrepris dans le respect de toutes les diversités d’opinions, d
194 sité d’une construction nouvelle ; elle travaille donc pour nous. 2° Les éléments les plus solides des constructions qu’on
93 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
195 cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fait. g. « Sur une no
94 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
196 chercheront un nouvel ordre. Leur communauté sera donc une communauté d’idéal autant que de refus. Risquons ici un parallèle
197 illeurs, du terme ? L’homme des villes se jettera donc dans l’aventure « nationale » révolutionnaire, tandis que l’homme enr
95 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
198 versets a été ajouté après coup. Il le retranche donc . Cela fait, nous dit-il, « le récit est bien homogène ». Certes. Mais
96 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
199 aussi, pour sa seule beauté : Lequel nous vaudra donc mieux, qu’un loup dévore notre charogne ou que des citoyens en repais
200 nt, et relâche à nous qui sommes oppressés. (Qui donc , sauf Léon Bloy, fait écho à ce style, en notre siècle ?) Mais Casaub
97 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
201 tion générale avait dessein de nous placer. Ainsi donc , encore que ce drame puisse être qualifié de jeu, et légèrement pris
98 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
202 de province si vous pensez que j’exagère. Faut-il donc mettre une barre sous la rubrique surréalisme, et verser tout cela au
203 ire, qu’on ne peut pas dire autrement. Que dit-il donc , cet homme qui le prend de si haut ? Son livre s’ouvre par un discour
99 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
204 ais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc , nous dit-on, le fondement réel de la personne ? Est-ce une vue philo
205 re : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Tous donc , nous avons reçu, chacun à notre place et dans nos circonstances part
100 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
206 relatifs à l’ensemble dont il dérivait. Il était donc fatal que le conflit individu-État fût résolu au profit du plus grand
207 quelque chose, on peut voir quelque chose. Je dis donc que l’Esprit n’est rien d’autre pour nous qu’un acte, et un acte d’ob