1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 utre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante , deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre,
2 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
2 t dans l’intimité d’une vie bonhomme et opulente, dormant dans des auberges inconnues des touristes, nous dans des cuisines acc
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
3 utre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante , deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre,
4 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
4 utre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante , deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre,
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 d’attente, sachant qu’il ne vient plus de trains, dormant le long des jambes et des dos de voisins qui ne sentent pas bon, mauv
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
6 utre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante , deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre,
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
7 d’attente, sachant qu’il ne vient plus de trains, dormant le long des jambes et des dos de voisins qui ne sentent pas bon, mauv
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
8 utre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante , deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de chambre,
9 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
9 rfaite me fascine. (Nous bougeons presque tous en dormant . Mais je ne connais pas d’Indien nerveux, même parmi les intellectuel
10 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
10 prophétie, appelant le retour des dieux morts ou dormants  ; l’imparfait anticipé, qui est le temps du poète voyant ; et le prés
11 , afin, Qu’une offrande pourtant vienne encore, ô Dormants délaissés, vous atteindre ! Et, plus loin, dans le val qui se tait, p