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ndrait pas seule à le sauvegarder. Il y faudra le
dressage
de la souffrance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix in
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de les compenser. Hitler est en train d’opérer un
dressage
du peuple allemand (comme Staline, un dressage du russe), dressage do
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un dressage du peuple allemand (comme Staline, un
dressage
du russe), dressage dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au
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e allemand (comme Staline, un dressage du russe),
dressage
dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au contraire. Tous les
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de les compenser. Hitler est en train d’opérer un
dressage
du peuple allemand (comme Staline, un dressage du russe), dressage do
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un dressage du peuple allemand (comme Staline, un
dressage
du russe), dressage dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au
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e allemand (comme Staline, un dressage du russe),
dressage
dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au contraire. Tous les
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». Car les spectacles populaires sont un moyen de
dressage
civique. Il s’agit de faire de tout le peuple de France un bloc monol
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on ; d’autre part, dans les pays totalitaires, le
dressage
des jeunes par l’État tend à éliminer de la vie privée toute espèce d
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on ; d’autre part, dans les pays totalitaires, le
dressage
des jeunes par l’État tend à éliminer de la vie privée toute espèce d
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on ; d’autre part, dans les pays totalitaires, le
dressage
des jeunes par l’État tend à éliminer de la vie privée toute espèce d
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ndrait pas seule à le sauvegarder. Il y faudra le
dressage
de la souffrance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix in
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de les compenser. Hitler est en train d’opérer un
dressage
du peuple allemand (comme Staline, un dressage du russe), dressage do
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un dressage du peuple allemand (comme Staline, un
dressage
du russe), dressage dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au
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e allemand (comme Staline, un dressage du russe),
dressage
dont les buts n’ont rien de traditionnel, bien au contraire. Tous les
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». Car les spectacles populaires sont un moyen de
dressage
civique. Il s’agit de faire de tout le peuple de France un bloc monol
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l de propagande, de production industrielle et de
dressage
des citoyens. Cette confusion entre l’État et la culture, cette mainm
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, elle aussi, donne des normes générales. Mais au
dressage
elle substitue l’éducation. Chez les Aztèques, les Égyptiens, les Sum
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tandis que la formation morale se confond avec un
dressage
de l’individu. En Europe, et surtout depuis la Renaissance et la Réfo
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discuter, donc de le mettre en doute. De même, au
dressage
des individus, l’Europe moderne substituera de plus en plus la promot
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plus la promotion de l’autonomie personnelle. Le
dressage
consistait dans ce que l’on pourrait appeler un conditionnement des r
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i déterminent l’éducation, ou pour mieux dire, le
dressage
utilitaire de l’individu. Nous sommes ici aux antipodes de la pratiqu
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irait pas de juxtaposer une éducation libre et un
dressage
autoritaire, ni de les faire alterner, ni de commencer par l’une et d
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iment libre ; et un homme qui n’aurait subi qu’un
dressage
, sans liberté de choix, ne deviendrait pas, pour autant, un citoyen r
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s ne cesse de s’étendre vers la première enfance (
dressage
social et moral) et vers l’âge mûr (spécialisation toujours plus pous
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que la formation morale et sociale consiste en un
dressage
de l’individu, toute l’opération ayant pour but de rendre les croyanc
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omme nous le dirions aujourd’hui. En revanche, au
dressage
antique, les sociétés modernes ont substitué la promotion de l’esprit
28
t critique en vue de l’autonomie individuelle. Le
dressage
consistait dans un conditionnement des réflexes : il s’agissait de fo
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État, qui déterminent l’éducation. On revient au
dressage
utilitaire de l’individu comme dans les sociétés sacrées religieuses,
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sme) ; et enfin l’éducation comporte à la fois le
dressage
et la préparation à l’autonomie. Le principe est toujours le même : é
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dans la tenue des cahiers, etc. ? Faut‑il plus de
dressage
, ou plus de développement du sens critique ? Les avis diffèrent sur d
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mode entendait dire qu’il faut au jeune enfant un
dressage
suffisant pour lui permettre, un jour, de se débrouiller seul, de cha
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cadre du plan. Notre conception la plus saine du
dressage
se situerait, me semble-t-il, à mi-chemin entre l’entraînement (au se
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que la formation morale et sociale consiste en un
dressage
de l’individu, toute l’opération ayant pour but de rendre les croyanc
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omme nous le dirions aujourd’hui. En revanche, au
dressage
antique, les sociétés modernes ont substitué la promotion de l’esprit
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t critique en vue de l’autonomie individuelle. Le
dressage
consistait dans un conditionnement des réflexes : il s’agissait de fo
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État, qui déterminent l’éducation. On revient au
dressage
utilitaire de l’individu, comme dans les sociétés religieuses, où tou
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on, le couple initiation et initiative, ou encore
dressage
et éducation pour l’autonomie ; dans le domaine de la vie intellectue