1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 agore sur la transmigration des âmes à celles des druides sur l’immortalité. La mythologie comparée est la plus périlleuse des
2 tuel était maintenu par le collège sacerdotal des druides . Ce collège à son tour n’était nullement l’émanation des petits peupl
3 n Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur p
4 eltiques et le sentiment de leur parenté »16. Les druides formaient des confréries religieuses douées de pouvoirs très étendus.
5 e fait du dualisme fondamental de la religion des druides . Car c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens, gnos
6 nicienne de l’Amour. La femme figure aux yeux des druides un être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs, le fantôm
7 mythe… ⁂ Mais plus près de nous que Platon et les druides , une sorte d’unité mystique du monde indo-européen se dessine comme e
8 e de notre ère, et convertit au christianisme les druides habitant ces contrées. D’autres auteurs font remonter le mouvement à
9 a mort. Leur doctrine permettait, comme celle des druides , le suicide. Toutefois, elle exigeait qu’on mît fin à sa vie non par
10 ce, même dans un monde qui avait perdu la foi des druides , et oublié le sens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes irla
11 êchant leur réunion « car il était prédit par les druides qu’ils ne se rencontreraient pas dans leur vie, mais qu’ils se rencon
12 es hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide , et se trouvaient mis à l’abri des femmes. « Cette institution qu’on
13 t les membres de la famille maternelle, soit… les druides .83 » Tristan élevé par Marc, son oncle maternel, devient ainsi, en ve
14 de la sublimation religieuse de la femme par les druides ) est avant tout l’amour sensuel84. Le fait que dans certaines légende
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
15 t une mort métaphorique) sont transportés chez le druide Adamas où ils se réveillent, puis s’épousent. On a coutume de déclar
3 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
16 marcassins sacrés », c’est-à-dire des élèves des druides , rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essylt, dont on
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
17 agore sur la transmigration des âmes à celles des druides sur l’immortalité. La mythologie comparée est la plus périlleuse des
18 tuel était maintenu par le collège sacerdotal des druides . Ce collège à son tour n’était nullement l’émanation des petits peupl
19 n Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur p
20 eltiques et le sentiment de leur parenté19 ». Les druides formaient des confréries religieuses douées de pouvoirs très étendus.
21 e fait du dualisme fondamental de la religion des druides . Car c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens, gnos
22 nicienne de l’Amour. La femme figure aux yeux des druides un être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs, le fantôm
23 mythe… ⁂ Mais plus près de nous que Platon et les druides , une sorte d’unité mystique du monde indo-européen se dessine comme e
24 ce, même dans un monde qui avait perdu la foi des druides , et oublié le sens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes irla
25 êchant leur réunion « car il était prédit par les druides qu’ils ne se rencontreraient pas dans leur vie, mais qu’ils se rencon
26 es hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide , et se trouvaient mis à l’abri des femmes. « Cette institution qu’on
27 de la sublimation religieuse de la femme par les druides ) est avant tout l’amour sensuel97. Le fait que dans certaines légende
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
28 t une mort métaphorique) sont transportés chez le druide Adamas où ils se réveillent, puis s’épousent. On a coutume de déclare
6 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
29 agore sur la transmigration des âmes à celles des druides sur l’immortalité. La mythologie comparée est la plus périlleuse des
30 tuel était maintenu par le collège sacerdotal des druides . Ce collège à son tour n’était nullement l’émanation des petits peupl
31 n Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur p
32 eltiques et le sentiment de leur parenté »12. Les druides formaient des confréries religieuses douées de pouvoirs très étendus.
33 e fait du dualisme fondamental de la religion des druides . Car c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens, gnos
34 nicienne de l’Amour. La femme figure aux yeux des druides un être divin et prophétique. C’est la Velléda des Martyrs, le fantôm
35 mythe… ⁂ Mais plus près de nous que Platon et les druides , une sorte d’unité mystique du monde indo-européen se dessine comme e
36 ce, même dans un monde qui avait perdu la foi des druides , et oublié le sens de leurs mystères. Dans le cycle des légendes irla
37 êchant leur réunion « car il était prédit par les druides qu’ils ne se rencontreraient pas dans leur vie, mais qu’ils se rencon
38 es hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide , et se trouvaient mis à l’abri des femmes. « Cette institution qu’on
39 t les membres de la famille maternelle, soit… des druides . »88 Tristan élevé par Marc, son oncle maternel, devient ainsi, en
40 de la sublimation religieuse de la femme par les druides ) est avant tout l’amour sensuel89. Le fait que dans certaines légende
7 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
41 t une mort métaphorique) sont transportés chez le druide Adamas où ils se réveillent, puis s’épousent. On a coutume de déclare
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
42 marcassins sacrés », c’est-à-dire des élèves des druides , rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essylt, dont on
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
43 itions authentiques. … Ils ont exterminé tous les druides de Gaule ; anéanti les cultes égyptiens ; noyé dans le sang et déshon