1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ent lucide, ce regard en arrière. Montherlant est dur pour ses erreurs plus encore que pour celles de l’adversaire, ce qui
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
2 e et massive d’un théorème de Spinoza. Une ironie dure , la densité du style révèlent seules l’écrivain ; et aussi quelques s
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
3 lus beaux types créés par Unamuno sont ces femmes dures et passionnées, Raquel et Catherine, ou cet Alexandro Gomez cynique e
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
4 baignent. Celui-ci vient à peine de quitter l’air dur des pampas. « Le voilà qui s’avance, foulant les hautes herbes du cie
5 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
5 ement insupportables, si cruellement présentes et dures  ? La cause de cette inadaptation, je la soupçonnais si grave, si fond
6 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
6 ux, comme immobiles, des nuages rouges et le vert dur des berges : un malaise montait dans l’air plus frais, avec l’odeur d
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
7 ard est plus grand que le chant des violons. Aube dure  ! En ma tête rôde ton souvenir, comme une femme nue dans une chambre
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
8 nt tous les personnages et lui-même. ⁂ Le tout ne dure pas 20 minutes. Et c’est heureux. Nous manquons d’entraînement dans l
9 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
9 elle ne caresse ; où pourtant les hivers les plus durs réservent des douceurs secrètes. 7. Publication dont cette revue en
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
10 ard Lecache, Jacob (mai 1927)ah Voici un livre dur et sans grâces, qui ne manque pas d’une beauté assez brutale, pour no
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
11 . Qui vous échappent en vous blessant. Des choses dures , amères comme un destin, comme le goût d’une pierre rêche sur ta lang
12 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
12 ’on ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraît anarchique da
13 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
13 ent n’attends rien d’autre qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au vent captif délivre un souffle tes lè
14 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
14 charmant, disent les dames. Je ne suis pas aussi dur que les dames. … et M. Maurois, comme disent beaucoup de gens, qui pe
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
15 confusion de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où t
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
16 pamphlet de M. Nizan, communiste, est encore plus dur que l’article de M. Marcel, catholique, à l’endroit d’un philosophe c
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
17 es19 qui, au moment décisif, viennent apporter ce dur message à l’âme de celle qui demandait d’être apaisée. Admirables dia
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
18 ministre de 32 ans, adonné vers ce temps au plus dur effort d’organisation de son silence intérieur. Période de repliement
19 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
19 ent supprimé par l’adversaire. Si au contraire il dure , c’est qu’il s’est défendu par des moyens qui trahissent ses principe
20 bord spirituelle. « Le combat spirituel est aussi dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Mais le bourgeois qui ne s
20 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
21 s tout ça va se remettre, ça va durer, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds, de muets et d’aveugles, mais pa
21 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
22 d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube dure . Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où nous
22 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
23 ne, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure longtemps, on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais le poète refe
24 ythme d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance ! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me
23 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 confusion de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où t
24 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
26 rps de janissaires tout au plus. Mais ces hommes durs , silencieux, et sains, servants des terres conquises par les chevalie
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
27 d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtra l’aube dure . Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où nous
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
28 ne, succombant à ses bagues. On voudrait que cela dure longtemps, on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais le poète refe
29 ythme d’une respiration, l’envahissement de cette dure connaissance ! Elle se tait, plus seule que moi. Le jour qui déjà me
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
30 confusion de violet sombre, et par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où t
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
31 orps de janissaires tout au plus. Mais ces hommes durs , silencieux, servants des terres conquises par les chevaliers teutoni
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
32 s découvrent que pécher par défaut, dans ce temps dur , est plus grave que pécher par excès. On ne saurait exagérer la profo
30 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
33 lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme vainc : sa victoire est d’être éveillé. Tel
31 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
34 u’avons-nous à aligner ? Un attirail de faux cols durs , de rosettes, de gros ventres et de chapeaux melons. La France n’est
32 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
35 isme historique. Il faut croire qu’ils ont la vie dure , et que le mieux à faire pour nous, c’est encore de compter avec eux.
33 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
36 arable. Car, voyez-vous, Bell… rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et aussi pas
34 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
37 isme historique. Il faut croire qu’ils ont la vie dure , et que le mieux à faire pour nous, c’est encore de compter avec eux.
35 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
38 alité humaine. Elle a pourtant duré un siècle, et dure encore… Et le capitalisme ! Son unique justification humaine reposera
36 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
39 lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme vainc : sa victoire est d’être éveillé. Tel
37 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
40 s tout ça va se remettre, ça va durer, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds, de muets et d’aveugles, mais pa
38 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
41 4.Ni droite ni gauche Le plus dur pour un parlement, c’est de conclure. Le plus dur pour la Révolution,
42 dur pour un parlement, c’est de conclure. Le plus dur pour la Révolution, c’est de commencer. Car la Révolution commence pa
39 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
43 isme historique. Il faut croire qu’ils ont la vie dure , et que le mieux à faire pour nous, c’est encore de compter avec eux.
40 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
44 alité humaine. Elle a pourtant duré un siècle, et dure encore… Et le capitalisme ! Son unique justification humaine reposera
41 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
45 lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme vainc : sa victoire est d’être éveillé. Tel
42 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
46 s tout ça va se remettre, ça va durer, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds, de muets et d’aveugles, mais pa
43 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
47 parable. Car voyez-vous, Bell, rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malheur. Rien ne rend aussi brave et aussi pas
44 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
48 les foules ? […] Ce Palais doit être construit en dur . Il doit survivre à l’Exposition. Pourvu, à côté des pavillons où se
49 e la Pensée laïque ? Il faudra le construire « en dur  ». N’exagérons pas la portée de ces naïves fantaisies de commissions.
50 Duhamel et les articles de M. Ducos, reliés « en dur  » probablement25. Quant au Palais de la Parole, retentissant vaisseau
51 pourquoi « notre bibliothèque sera construite en dur  ». — Déclaration fort équivoque. Pour quels ouvrages impérissables fa
45 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
52 l’effort ; parce que la chose brute exige le plus dur effort, parce que l’homme est le plus humain là où les choses et les
53 bleau n’est parfait ; et tout travail d’abord est dur , tout travail difficile, tout travail, toute espèce de travail se fai
46 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
54 siasme un régime de travail parfois beaucoup plus dur que celui qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’
55 d’une raison brutale : il aura sans doute la vie dure , comme tout ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la raison. C
56 ste. Est-ce que tout le progrès acquis par une si dure révolution n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques millier
57 re une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, elles ont sacrifié un certain nombre d
47 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
58 siasme un régime de travail parfois beaucoup plus dur que celui qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’
59 d’une raison brutale : il aura sans doute la vie dure , comme tout ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la raison. C
60 ste. Est-ce que tout le progrès acquis par une si dure révolution n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques millier
48 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
61 re une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, elles ont sacrifié un certain nombre d
49 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
62 seurs. Que les penseurs aient les mains larges et dures  ! Des mains faites pour prendre et peser. Des mains qui sachent, qui
63 fier de pensée prolétarisée. En vérité, c’est une dure ironie qui fit glisser nos maîtres distingués, par le détour de cette
50 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
64 u comme disent les marxistes, pour que l’histoire dure , — après tout ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le salut
65 Une danseuse célèbre, mais non : plutôt cet homme dur qui cherche ses mots dans sa pipe, et le voilà joyeux parce qu’il a t
51 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
66 s ? Nous serions mal venus à le nier. Si le monde dure , c’est-à-dire se renouvelle, c’est qu’il y a dans le monde plus d’act
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
67 siasme un régime de travail parfois beaucoup plus dur que celui qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’
68 d’une raison brutale : il aura sans doute la vie dure , comme tout ce qui est irrationnel, et c’est la faute de la raison. C
69 ste. Est-ce que tout le progrès acquis par une si dure révolution n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques millier
53 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
70 re une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, elles ont sacrifié un certain nombre d
54 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
71 eurs. Que les penseurs aient les mains larges et dures  ! Des mains faites pour prendre et peser. Des mains qui sachent, qui
72 fier de pensée prolétarisée. En vérité, c’est une dure ironie qui fit glisser nos maîtres distingués, par le détour de cette
55 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
73 u comme disent les marxistes, pour que l’histoire dure , — après tout ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le salut
74 Une danseuse célèbre, mais non : plutôt cet homme dur qui cherche ses mots dans sa pipe, et le voilà joyeux parce qu’il a t
56 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
75 fortune. Ainsi se développa le type de bourgeois dur mais travailleur, ascète, méthodique, prudemment conquérant, bientôt
57 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
76 actuel, sera-t-on tenté de penser. Notre âge est dur . Le temps des rêves est passé. « Nous ne sommes plus un peuple de rêv
58 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
77 omme disait Nietzsche. Nous disons « existence » ( dure , naïve et banale) quand il parle d’élan vital. (Heidegger succède à B
59 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
78 ther s’applique à répondre, et c’est même la plus dure ironie — quoique involontaire, je le suppose —, dont il pouvait, en l
60 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
79 erme du dilemme. Et ainsi de suite : ce petit jeu dure en France depuis un siècle et demi, et tout le monde semble commencer
61 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
80 dame Calixte, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure , elle dure… Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu
81 e, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure, elle dure … Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu’elle ne ve
62 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
82 ées et naïves, conduites par des équipes d’hommes durs , intellectuels bannis ou petits nobles déclassés, le triomphe implaca
83 tion. Nous ne savons pas que lire. Le travail est dur , ici. Il faut lutter contre les parents, contre la concurrence de l’é
63 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
84 droit. Et ce n’est pas une sécurité, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cett
85 raiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière t
64 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
86 celui du tenancier de grand palace. (Ramuz, plus dur , parle de portier d’hôtel…) Et je ne dis pas que cette interprétation
65 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
87 nt ne fait pas le bonheur. Pratiquement, il croit dur comme fer que l’habit fait le moine et que l’argent fait le bonheur.
66 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
88 droit. Et ce n’est pas une sécurité, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette, ce jardin et cett
89 pendant, il est difficile, à la longue — car cela dure , croît et embellit depuis vingt ans —, de se refuser systématiquement
90 ées et naïves, conduites par des équipes d’hommes durs , intellectuels bannis ou petits nobles déclassés ; le triomphe implac
91 tion. Nous ne savons pas que lire. Le travail est dur , ici. Il faut lutter contre les parents, contre la concurrence de l’é
92 raiment beaucoup, mais il faut que je vous mange. Dure nécessité, et croyez que cela me fend le cœur ! » Voilà la dernière t
67 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
93 dame Calixte, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure , elle dure… Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu
94 e, comment ça va-t-il, à côté ? — Elle dure, elle dure … Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit, qu’elle ne ve
68 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
95 es vont se poser autrement. Tout est soudain plus dur et agressif, tendu, nerveux, discontinu… Nos valises empilées dans un
69 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
96 her s’applique à répondre ; et c’est même la plus dure ironie — quoique involontaire, je le suppose — dont il pouvait en l’o
70 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
97 e qui ne dépend pas de la famille, fut-ce la plus dure discipline, pourvu qu’elle soit extérieure au foyer. Je ne dirai plus
98 des communistes) et les autres en brun. C’est un dur . Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie
71 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
99 serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à
72 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
100 côté du marxisme, et que derrière le célèbre col dur se cache encore l’opinion des « gens bien ». Ce qui nous choque en pa
101 des communistes) et les autres en brun. C’est un dur . Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie
102 he sur celui des bourgeois et des ouvriers : plus dur , sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lunettes, une
103 ceux-là mêmes qui lui avaient fait subir les plus durs affronts en public ; comme par exemple ce grand industriel qu’il a in
104 e qui ne dépend pas de la famille, fût-ce la plus dure discipline, pourvu qu’elle soit extérieure au foyer. Je ne dirai plus
105 est vide, parfois parcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’élève d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’ai déj
73 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
106 et le tonnerre rythmé des heil commence. Et cela dure plusieurs minutes, ce qui est très long, jusqu’à ce que commence le c
74 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
107 ans lendemain prévisible. Et pourtant le désordre dure . Il se confond avec notre vie même, avec la Vie ! Certes, l’anarchie
75 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
108 béant sur une contradiction irrémédiable entre la dure réalité et les désirs profonds du moi. Blessure si cruelle et intime
76 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
109 oûtement de l’esprit par le corps – pourvu que ça dure encore quelques secondes, ça ressemble tellement au bonheur ! Un cri
77 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
110 Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure  ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan
111 après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure  : Tant s’entr’aiment de bone amor L’un par l’autre ne sent dolor. Di
112 ir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ? ») Un dernier trait : lorsque Tristan reçoit la r
78 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
113 ion de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de purification ». (Ibid.) Tristan n’est qu’une impure et
79 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
114 parant d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux : Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les
115 « passionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu. D
116 te aérienne je m’unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptiale ! Et l’on devrait citer tout
80 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
117 l courtois, radicalement contradictoire avec la «  dure réalité » de l’époque : il représente un pôle d’attraction pour les a
81 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
118 serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à
82 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
119 déserts. Le chemin qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction Bossert.) Pour qui conserverait des doutes s
83 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
120 clergé de son siècle. On cite les répliques assez dures dont il gratifia plus d’un évêque ou supérieur de couvent venu le voi
84 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
121 adé, et non pas une vocation. Milliers de masques durs , volontairement durcis, de ces jeunes soldats politiques dressés à l’
85 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
122 seule sacrifiée Mille et mille seront sauvées. Dure peine, voix cruelle, De toi seule vient la paix. Ô récompense éternel
123 Récitatif. (Le chœur chante à bouche fermée.) Dure est la peine, affreux le sacrifice, noire la nuit, et la voie solitai
86 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
124 message, cela veut dire que la journée s’annonce dure . Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Ô sentinelle, guetteur aux y
125 trement, où pourrions-nous fuir ? Mais la vie est dure , chez vous ! Le pain est cher ! Il y a trop de monde partout, et jama
87 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
126 Le contremaître. —  Hardi, compagnons ! Cognez dur  ! Tapez là-dessus comme sur des têtes de Bourguignons ! (Coups de mas
127 rre Cour’t après les militaires Dansons la vie. Dur est le sol, dur est le sol ! Courage ! L’or et le sang, l’or et le sa
128 les militaires Dansons la vie. Dur est le sol, dur est le sol ! Courage ! L’or et le sang, l’or et le sang ! Carnage !
129 ie Dieu lui-même est descendu ! Nicolas. —  Ô dure nuit du dernier sacrifice ! Haimo ! Haimo ! Haimo. —  Qu’a dit la
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
130 Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure  ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan
131 après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure  : Tant s’entr’aiment de bonne amor L’un par l’autre ne sent dolor. D
132 ir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ? ») Un dernier trait : lorsque Tristan reçoit la ré
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
133 e de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle et dure merci, pourvu que vous m’accordiez que par vous au ciel je tende ! (U
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
134 ion de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de purification ». (Ibid.) Tristan n’est qu’une impure et
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
135 ’Iseut lorsqu’il la rend à son époux :         Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les
136 « passionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu. D
137 te aérienne je m’unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptiale ! Et l’on devrait citer tout
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
138 l courtois, radicalement contradictoire avec la «  dure réalité » de l’époque : il représente un pôle d’attraction pour les a
93 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
139 serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
140 ssi, et bien des expériences mettant mes thèses à dure épreuve. Je n’ai rien oublié mais j’ai un peu appris, plus en vivant,
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
141 Trois ans durant, ils y mènent une vie « aspre et dure  ». Un jour, Marc les surprend endormis. Mais il se trouve que Tristan
142 après l’évasion de Tristan. Aspre vie meinent et dure  : Tant s’entr’aiment de bonne amor L’un par l’autre ne sent dolor. D
143 ir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ? ») Un dernier trait : lorsque Tristan reçoit la ré
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
144 de la Dame : Prenez ma vie en hommage, belle de dure merci, pourvu que vous m’accordiez que par vous au ciel je tende ! (U
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
145 ion de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de purification ». (Ibid.) Tristan n’est qu’une impure et
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
146 parant d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux : Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les
147 « passionnettes ». Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un enfant impertinent. Presque plus rien n’est défendu. D
148 te aérienne je m’unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptiale ! Et l’on devrait citer tout
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
149 l courtois, radicalement contradictoire avec la «  dure réalité » de l’époque : il représente un pôle d’attraction pour les a
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
150 serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le mensonge. Il n’y a personne au monde qui puisse me combler : à