1
ois, polices, servitudes, déterminismes et autres
déchets
de l’intelligence créatrice. Tout cela jalonnant les étapes d’une ret
2
n coup toute la population de ce « pays » fait de
déchets
. Misère, fatigue, laideurs partout, toutes raisons de haïr et aucune
3
ne fait pourtant que s’abandonner au torrent des
déchets
de l’ancienne culture et de ses mythes désagrégés. C’est qu’il n’y a
4
ne fait pourtant que s’abandonner au torrent des
déchets
de l’ancienne culture et de ses mythes désagrégés. C’est qu’il n’y a
5
ne fait pourtant que s’abandonner au torrent des
déchets
de l’ancienne culture et de ses mythes désagrégés. C’est qu’il n’y a
6
ersant s’étale un cimetière d’autos décarcassées,
déchets
du grand délire de construction qui enfièvre tout le continent et don
7
ersant s’étale un cimetière d’autos décarcassées,
déchets
du grand délire de construction qui enfièvre tout le continent, et do
8
e et les politiciens cyniques. Les faits sont les
déchets
de l’imagination. Et ceux que nous voyons aujourd’hui, et que nous ét
9
e et les politiciens cyniques. Les faits sont les
déchets
de l’imagination. Et ceux que nous voyons aujourd’hui, et que nous ét
10
n coup toute la population de ce « pays » fait de
déchets
. Misère, fatigue, laideurs partout, toutes raisons de haïr et aucune
11
ersant s’étale un cimetière d’autos décarcassées,
déchets
du grand délire de construction qui enfièvre tout le continent, et do
12
a police crée l’ordre, quand elle n’en est que le
déchet
.) Les seuls obstacles réels à l’amour sont en nous : sécheresse, bles
13
reste est un mélange d’intérêts mal compris et de
déchets
d’idées, combinés au hasard : tous les micros de la terre n’en feront
14
it au déclenchement d’une activité subversive des
déchets
de la société chassés par les peuples du territoire des pays du socia
15
paysans seraient leurs shudras, et la foule des «
déchets
sociaux », opposants, anciens nobles, bourgeois, déviationnistes et s
16
histoire des échecs de l’idée européenne, ni des
déchets
de la pensée fédéraliste, ni des curiosa de l’esprit occidental que j
17
qu’un constat déprimant d’échecs pratiques et de
déchets
idéologiques. Qu’il s’agisse au début du plus grand poète du Moyen Âg
18
rofonde identité. Cette culture a produit — comme
déchets
, selon Spengler — la civilisation mondiale du xxe siècle, technologi
19
toutes ses formes, des emballages plastiques aux
déchets
plutoniens. À partir de là, tout s’enchaîne. L’analyse des causes de
20
nimum, requis par la surveillance quotidienne des
déchets
de nos centrales nucléaires accumulés pendant le petit quart de siècl
21
est pollué par le Rhône qui y déverse du mercure (
déchet
d’industries pharmaceutiques), par les égouts des villes vaudoises et
22
ont pas une seule centrale nucléaire, donc pas de
déchets
à retraiter, ne s’amusent pas à faire de tels achats, qui sont extrêm
23
: « Est-ce qu’il y a une solution au problème des
déchets
? » Pas un savant sérieux ne peut dire qu’il l’a trouvée. Ça se saura
24
longement inattendu à ma récente enquête sur “Les
déchets
du progrès”. » bd. On a ici conservé l’original, même s’il semble qu
25
lemagne vendent des centrales de retraitement des
déchets
à des nations qui ne peuvent rien en faire, sinon en tirer du plutoni
26
parons ses cavernes, celles où seront enfouis les
déchets
radioactifs qui auront, auparavant, ruiné l’humanité. Denis de Rougem
27
oir couverte de chair humaine (vive ou morte), de
déchets
radioactifs et de béton. Mais cela doit nous alerter quant à d’autres
28
re vont à la mer, et lui apportent fidèlement nos
déchets
, dont 100 000 tonnes de DDT par an. La mer peut en mourir assez vite.
29
e à Minamata. Déjà la mer Baltique se meurt : les
déchets
qu’on y injecte chassent l’oxygène, asphyxient la faune maritime. Un
30
pas seulement l’industrie chimique avec ses gros
déchets
puants, mais les techniques de pointe réputées subtiles. Pas seulemen
31
r en eux, même inconscient. Toutefois cet immense
déchet
s’élimine au fur et à mesure par le jeu de l’oubli et d’une anorexie
32
aturels hautement organisés (comme le pétrole) en
déchets
grossiers et nocifs comme le SO2, mais surtout le CO2 et le CO, et en
33
es, qui sont conditions mêmes de la vie. Mais les
déchets
de la production industrielle et de l’obsolescence calculée ne sont p
34
gorgés de plutonium »38. — Reste le problème des
déchets
, et des centrales elles-mêmes une fois usées, après environ vingt-cin
35
objection est facilement résolue : on envoie les
déchets
à des usines qui les retraitent, les fusent dans du verre et ces bloc
36
i des radiations du strontium et du plutonium des
déchets
? Pourquoi ne pas attendre que l’étude ait abouti, avant de faire pro
37
t-Laurent-des-Eaux (France)… Qu’en était-il des
déchets
des centrales actuelles à eau légère ? Le traitement des éléments us
38
par un processus chimique complexe. Ce reste, ces
déchets
, toujours dissous dans l’acide, sont jetés après concentration dans d
39
la Terre… Une fois solidifiés, il faut mettre ces
déchets
quelque part, ce qui pose encore le problème du transport : il y a eu
40
un accident grave tous les huit ans. Un dernier
déchet
est le réacteur atomique lui-même, lorsqu’il aura terminé sa vie util
41
e de beaucoup plus grande envergure que celui des
déchets
. On envisage, pour l’instant, une méthode plus simple : l’enterrer so
42
ègles strictes de retraitement et de stockage des
déchets
, « pose des conditions pratiquement irréalisables pour le moment : le
43
ués » ? La « propreté » des réacteurs et de leurs
déchets
ne sera d’ailleurs établie — si elle l’est jamais — qu’au terme d’exp
44
re bouillir nos fleuves ! 5. « Le problème des
déchets
est réglé. » — Le mensonge a les jambes courtes, dit un proverbe, et
45
cens qui pourront les contenir ainsi que tous les
déchets
suisses jusqu’à l’an 2000. Quinze jours plus tard, le présent sont
46
affirmer que les premiers essais de stockage des
déchets
radioactifs pourront être entrepris dès l’hiver de 1976 en Suisse, se
47
kage. D’où il résulte ou bien qu’on stockait les
déchets
bien avant de savoir où il conviendrait de le faire, c’est-à-dire plu
48
imente actuellement une méthode de traitement des
déchets
… Il a élaboré un système de vitrification… Il n’existe pas encore ass
49
les cavernes : Selon les experts de Jülich, les
déchets
ne devront avoir aucun contact avec la biosphère pendant un million d
50
Reuter annonce le 17 mai 1976 : 6 700 tonnes de
déchets
radioactifs provenant de laboratoires néerlandais, belges, suisses et
51
dès 1972, les centrales suisses envoyaient leurs
déchets
? Il en existait à cette date deux en tout. Windscale, en Angleterre,
52
nt où j’écris. La conclusion de cette histoire de
déchets
, je la trouve dans une sobre déclaration de Ralph Nader : « Nous n’au
53
x générations qui nous suivront de surveiller ses
déchets
mortels pendant cent-mille ans. » 6 et 7. « L’explosion démographi
54
c de l’uranium américain ; enfin, elle envoie ses
déchets
, pour retraitement, à l’usine de La Hague, qui d’ailleurs ne fonction
55
se au régime national, il mourra de faim dans ses
déchets
accumulés, déchet lui-même, « à gérer pendant cent-mille ans » par no
56
al, il mourra de faim dans ses déchets accumulés,
déchet
lui-même, « à gérer pendant cent-mille ans » par nos éventuels descen
57
, leur financement, et les retraitements de leurs
déchets
. Ce qui rend chacun de nos États inexcusablement vulnérable en cas de
58
Il évoque leurs déclarations sur l’évacuation des
déchets
. Non, Messieurs, nous n’irons plus au bois chercher les grottes salin
59
ts sans fonds, les cavernes gorgées de plutoniens
déchets
: on vous les laisse. Vous n’avez jamais essayé de faire voir comment
60
pire. Tout cela sera sans doute oublié (mais les
déchets
de plutonium ?) quand nous aurons maîtrisé la fusion, dans les superc
61
es sur les climats, des vols supersoniques ou des
déchets
nucléaires, il apparaît clairement que l’État-nation constitue l’obst
62
qui jetteront leur chaleur dans le Rhin et leurs
déchets
on ne sait où : sept réacteurs en France, quatre en Allemagne et cinq
63
toutes ses formes : des emballages plastiques aux
déchets
plutoniens. À partir de là, tout s’enchaîne. L’analyse des causes de
64
xistence même des grandes villes, comme celle des
déchets
nucléaires, limite nos possibilités d’avenir. 14. Vous vous attaquez
65
dez : « On vous les laisse, elles sont pleines de
déchets
radioactifs. » Et il y en a d’autres ! J’ai un ami qui a dit de mon l
66
vous les laisse, car vous allez y entreposer les
déchets
radioactifs des centrales atomiques. » Le directeur de l’Agence atomi
67
tissent la mer, l’eau douce, l’air, les sols. Les
déchets
radioactifs que nous sommes obligés de stocker (mais où ? pour l’inst
68
ne fait rien sans risques ; — que le problème des
déchets
a été résolu, puis qu’il va l’être demain, puisqu’il ne peut manquer
69
ce n’est pas vrai. Les usines de retraitement des
déchets
de centrales nucléaires fournissent le plutonium qui permet de faire
70
int jamais ». C’est le monde de la pollution, des
déchets
, de ce qui ne sert à rien mais qui empeste et contamine. En quatre-vi
71
n amène à la mer du Nord 60 millions de tonnes de
déchets
par jour. Ces déchets viennent de Suisse, de France, de la RFA, de Ho
72
rd 60 millions de tonnes de déchets par jour. Ces
déchets
viennent de Suisse, de France, de la RFA, de Hollande, chaque pays po
73
n amène à la mer du Nord 60 millions de tonnes de
déchets
par jour. Ces déchets viennent de Suisse, de France, de RFA, de Holla
74
rd 60 millions de tonnes de déchets par jour. Ces
déchets
viennent de Suisse, de France, de RFA, de Hollande, chaque pays pollu
75
d’uranium, retraitement, stations de stockage des
déchets
, financement) ; — les coûts astronomiques et sans cesse croissants de
76
centrales après trente ans, et de la gestion des
déchets
radioactifs et explosifs pendant 120000 ans ; — enfin, et c’est peut-
77
, procédé réputé « propre » et ne créant d’autres
déchets
que H2O = de l’eau. Si jamais cette forme d’énergie devient industrie
78
phants, phoques, papillons…), à l’accumulation de
déchets
radioactifs dont nul ne sait comment se débarrasser « et qui doivent
79
e », déverse dans la mer du Nord 60 000 tonnes de
déchets
par jour. 6. Les produits nocifs dans l’alimentation, qui la dénature
80
ble : les surgénérateurs créeraient des tonnes de
déchets
radioactifs à traiter et à surveiller sans relâche jusqu’à l’extincti
81
e refroidir et d’isoler des milliers de tonnes de
déchets
radioactifs, menaçant en permanence et à la moindre négligence d’expl
82
la formation et la surveillance et la gestion des
déchets
radioactifs entreposés dans les centrales ; le transport des matières
83
e et la gestion des dépôts terminaux stockant les
déchets
pour des siècles (des centaines de milliers d’années s’agissant des t
84
remier bateau apportant à l’usine de La Hague des
déchets
nucléaires du Japon a provoqué une manifestation tout à fait pacifiqu
85
nombre de leurs élus locaux. Le débarquement des
déchets
n’a pu s’opérer que sous la protection de 600 policiers casqués et ar
86
ne fait rien sans risques ; — que le problème des
déchets
a été résolu, puis qu’il va l’être demain, puis qu’il ne peut manquer
87
ales, puis on s’est demandé comment réduire leurs
déchets
radioactifs. On ne le sait toujours pas, et même de moins en moins, s
88
s, s’il faut en croire le rapport Globe 2000. Les
déchets
s’accumulent inexorablement. Arrêter les centrales créerait, dit-on,
89
ales, puis on s’est demandé comment réduire leurs
déchets
radioactifs. On ne le sait toujours pas, et même de moins en moins, s
90
en croire le rapport américain Globe 200072. Les
déchets
s’accumulent inexorablement. Arrêter les centrales créerait, dit-on,
91
ation, d’insignifiance et d’inertie finale où les
déchets
de l’être lentement se consument — dans ce ravin de la Géhenne dont n
92
la Géhenne on ne brûlait que des cadavres et des
déchets
, non ces vivants, ou survivants des plus conscients, avec lesquels s’
93
niformisation du milieu et de l’accroissement des
déchets
; et enfin un certain état du dosage des forces contraires toujours m
94
l’Enfer : le lieu de la permanente réduction des
déchets
de ce qui n’a plus de raison d’être. L’homme qui n’a pas de vocation
95
nimum, requis par la surveillance quotidienne des
déchets
de nos centrales nucléaires accumulés pendant le petit quart de siècl
96
es et de leurs problèmes majeurs (comme celui des
déchets
) était pratiquement nulle en Suisse. J’ai fait cette mise au point le
97
cléaires — et des usines de retraitement de leurs
déchets
— augmente chaque jour les chances de la guerre atomique, c’est-à-dir