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nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de
décréation
. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
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nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de
décréation
. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
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nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de
décréation
. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
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nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de
décréation
. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
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personnelle, à ce que j’appelais le pouvoir de «
décréation
» du diable. Je suis en train de préparer une cinquième réédition de
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stées trop elliptiques dans mon petit livre. La
décréation
Je rappelais dans ma première version que le diable, selon l’Évang
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nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de
décréation
. C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux-de l’invention bâtarde et de
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coutumière, me fit reproche d’avoir jeté ce mot «
décréation
» sans commentaires ni développement : j’avais touché quelque chose d
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mps lointains, soudain proches… Par le terme de «
décréation
», je tentais d’évoquer conjointement, d’un seul mot, plusieurs opéra
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ous serions comme les singes — mais aussi dans la
décréation
, qui est l’accroissement du règne des fatalités par la seule faute de