1 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
1 nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation . C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
2 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
2 nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation . C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
3 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
3 nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation . C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
4 nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation . C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux de l’invention bâtarde et de
5 1969, Articles divers (1963-1969). La révolution des meilleurs (4 octobre 1969)
5 personnelle, à ce que j’appelais le pouvoir de «  décréation  » du diable. Je suis en train de préparer une cinquième réédition de
6 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
6 stées trop elliptiques dans mon petit livre. La décréation Je rappelais dans ma première version que le diable, selon l’Évang
7 nge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation . C’est le trompe-l’œil et le sonne-creux-de l’invention bâtarde et de
8 coutumière, me fit reproche d’avoir jeté ce mot «  décréation  » sans commentaires ni développement : j’avais touché quelque chose d
9 mps lointains, soudain proches… Par le terme de «  décréation  », je tentais d’évoquer conjointement, d’un seul mot, plusieurs opéra
10 ous serions comme les singes — mais aussi dans la décréation , qui est l’accroissement du règne des fatalités par la seule faute de