1
; le Français riposte sans conviction, et sous sa
défense
on devine une détresse. C’est encore une vision de l’Occident qui naî
2
e bassin de la Méditerranée comme promenoir, avec
défense
sous peine de mort de s’en écarter. Voilà bien leur désinvolture, car
3
d’une faiblesse secrète. Et c’est une réaction de
défense
. On cherche un mot, une phrase, pour tuer une réalité dont la connais
4
dont la Fin de l’Éternel ne fait que reprendre la
défense
contre ses adversaires de tous bords. Je voudrais souligner seulement
5
poir, parce que l’action, à tout prendre, est une
défense
contre la mort — la mort partout présente « comme l’irréfutable preuv
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mme, dans sa condition menacée, réduit aux seules
défenses
qu’invente son calcul. Voici l’homme livré à lui-même, c’est-à-dire à
7
ans la sagesse faustienne qu’elle est surtout une
défense
contre le Démon révolté et la Magie latente ; et s’ils ne le voient p
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ils ne le voient pas, c’est que précisément cette
défense
a réussi. Par contre ils veulent bien voir la révolte chez ceux-là qu
9
ssion au monde spirituel, il s’est mis en état de
défense
et de lenteur. Il avance ainsi pas à pas, l’âme tendue dans une puiss
10
ère avant tout la commune condition humaine et sa
défense
contre un système dont l’action dissolvante s’étend à toute la terre.
11
e sans pitié tout ce qui dépasse. Cependant cette
défense
meurtrière d’une position toute théorique se révélant pour l’instant
12
exigence vis-à-vis de l’homme ; de se borner à sa
défense
; de ne pas voir que la vraie défense, c’est l’attaque. Nous avons mo
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borner à sa défense ; de ne pas voir que la vraie
défense
, c’est l’attaque. Nous avons moins besoin d’idées justes que d’idées
14
une « colle » d’examinateur. « Le cas de légitime
défense
, répétait-il consciencieusement à chaque témoin, qu’en faites-vous ?
15
aille chercher en ces remarques je ne sais quelle
défense
d’un Occident latin dont justement nous récusons l’idéal d’orgueilleu
16
s’appuie, l’arbre cède et la bête se trouve sans
défense
. Tacite n’a jamais vu d’élan. Ces animaux d’allure fantastique déambu
17
aille chercher en ces remarques je ne sais quelle
défense
d’un Occident latin dont justement nous récusons l’idéal d’orgueilleu
18
s’appuie, l’arbre cède et la bête se trouve sans
défense
. Tacite n’a jamais vu d’élan. Ces animaux d’allure fantastique déambu
19
« chrétienne » revendiquer dans leurs discours la
défense
des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois. L’on voit
20
s approcheriez de la réponse, vous y offrant sans
défenses
humaines. Nous avons aussi, à ce moment, à montrer que les rôles se r
21
ne jamais suffire à cette nécessité. Car la seule
défense
efficace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création, un tra
22
que, en donnerait la meilleure formule. C’est une
défense
du primat de l’affectif et de la créativité dans l’exercice de la con
23
éfendre une idée ou une cité. Il ne s’agit pas de
défense
. Mais de choix, d’affirmation, de création, de Révolution. Nous somme
24
ut. Au point de vue économique, il se réduit à la
défense
du bas de laine. Mais on ne se défend bien qu’en attaquant. Les disco
25
que ce n’est point tant la chose défendue que la
défense
qui fait le crime. En face de ces prétentions toutes nouvelles, les
26
temps et chaque but se trouvent subordonnés à la
défense
et à l’affirmation de la personne, module universel de toutes les ins
27
cette objection de conscience en un péril pour la
défense
nationale et l’ordre public. Quatrième question. — Les personnaliste
28
t parce que, contre lui, ils se sentent privés de
défense
intérieure : il est comme l’expression brutale de leur inconscient, i
29
« chrétienne » revendiquer dans leurs discours la
défense
des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois. L’on voit
30
ons contradictoires : le réactionnaire allègue la
défense
des intérêts d’une civilisation, ce qui peut apparaître « spirituel »
31
d’une franchise plus énergique, il y a aussi une
défense
contre certaines complaisances intimes. Je les condamne d’autant plus
32
er. Attaque improvisée, mauvaise conscience de la
défense
: trente morts attestent cette double carence. Maximes d’une tacti
33
ne jamais suffire à cette nécessité. Car la seule
défense
efficace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création, un tra
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temps et chaque but se trouvent subordonnés à la
défense
et à l’affirmation de la personne, module universel de toutes les ins
35
cette objection de conscience en un péril pour la
défense
nationale et l’ordre public. Quatrième question. — Les personnaliste
36
t parce que, contre lui, ils se sentent privés de
défense
intérieure : il est comme l’expression brutale de leur inconscient, i
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« chrétienne » revendiquer dans leurs discours la
défense
des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois. L’on voit
38
ons contradictoires : le réactionnaire allègue la
défense
des intérêts d’une civilisation, ce qui peut apparaître « spirituel »
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d’une franchise plus énergique, il y a aussi une
défense
contre certaines complaisances intimes. Je les condamne d’autant plus
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er. Attaque improvisée, mauvaise conscience de la
défense
: trente morts attestent cette double carence61. Maximes d’une tac
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ne jamais suffire à cette nécessité. Car la seule
défense
efficace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la création, un tra
42
t alors qu’on lança parmi nous le mot d’ordre : «
Défense
de la Culture ». Toute la confusion vient de là. Car la culture qu’o
43
chrétienne. Le socialisme s’est identifié avec la
défense
des humbles : si nous ne faisons pas mieux que lui à cet égard, gardo
44
existe encore dans son pays, qui se consacre à la
défense
des intérêts de la classe opprimée. Que faire, sinon payer de sa pers
45
député et d’un littérateur qui se consacrent à la
défense
du spirituel ? La grâce moscovite vous aurait-elle saisi ? L’utilitar
46
dont ils ignorent le vrai but, dans une action de
défense
qui n’ose pas préciser ce qu’elle défend, dans une ligue de brebis, d
47
us faut une force, à l’intérieur, pour assurer la
défense
du régime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la guerre en soi.
48
n’est en fait qu’une stratification de refus, de
défenses
contre les hérésies. Cela produit des effets étranges. Ainsi je trouv
49
d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de
défense
depuis un an.) C’est dire que le remède sera tout aussi dangereux que
50
inventée par la bourgeoisie, en guise de dernière
défense
contre le communisme. Ces gens-là n’ont probablement jamais voyagé au
51
ntre cette inflation nominaliste, il n’est pas de
défense
plus sûre que le recours à l’étymologie. Car le sens étymologique est
52
Notre chance est dans l’invention, et non dans la
défense
, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’oppo
53
ualité », qu’une dernière, et subtile, et modeste
défense
— la plus orgueilleuse sans doute — contre la question personnelle qu
54
crive de la loi de deux ans : « vaine querelle de
défense
nationale » — l’opinion unanime l’accusera de démence, ou au contrair
55
tre domination sur les choses. Elle est aussi une
défense
nécessaire contre la tyrannie des mythes. C’est peut-être elle qui no
56
Notre chance est dans l’invention, et non dans la
défense
, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’oppo
57
en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue, la
défense
nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bi
58
crive de la loi de deux ans : « vaine querelle de
défense
nationale » — l’opinion unanime l’accusera de démence, ou au contrair
59
tre domination sur les choses. Elle est aussi une
défense
nécessaire contre la tyrannie des mythes. C’est peut-être elle qui no
60
Notre chance est dans l’invention, et non dans la
défense
, ou dans l’imitation. À la force vivante de destins impériaux, n’oppo
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en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue, la
défense
nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bi
63
s ce pays, qu’il faut défendre la culture. x. «
Défense
de la culture », Esprit, Paris, n° 52, janvier 1937, p. 642-643.
64
uniste, ont adopté depuis deux ans le mot d’ordre
Défense
de la culture. Ce qui n’a pas manqué de leur attirer de nombreuses et
65
re. Le malheur est qu’ils n’envisagent pour cette
défense
que des moyens fascistes. « Toute la littérature sociale-démocrate —
66
ient la représenter ; et ces hommes seraient sans
défense
spirituelle ni matérielle du moment qu’ils auraient abdiqué leur rais
67
e à lui, nous pourrons rire de nouveau de cette «
défense
d’inventer » qui terrorise les romanciers du xxe siècle. Selma Lager
68
op des secondes. Sous prétexte de réalisme, et de
défense
des intérêts économiques, c’est la réalité européenne de la Suisse qu
69
rès tout, notre armée n’est qu’un aspect de notre
défense
fédérale. Et un aspect subordonné. Si l’on néglige à son profit « le
70
rs que les armes matérielles soient pour nous une
défense
suffisante. Je vois bien qu’elles sont nécessaires. Mais je vois auss
71
une existence vraiment autonome. Le budget de la
défense
nationale dans un pays dont la vraie raison d’être est en fin de comp
72
tention bonne ou mauvaise. Ces deux mouvements de
défense
et d’attaque sont prudemment dissimulés et confondus sous le vocable
73
au moins de ces intérêts fondamentaux que sont la
défense
ou l’attaque, et qui apparaissent dans leur belle nudité lorsqu’un am
74
les. Nos romanciers, terrorisés par une sadique «
défense
d’inventer », s’épuisent à rechercher le vraisemblable, en même temps
75
qui ne soit pas les armements, qui ne soit pas la
défense
nationale mais d’abord l’idéal national. Il n’en faudrait pas davanta
76
ue le contraire se soit produit en fait… Dernière
défense
du capital, récitent sans se lasser les marxistes. Hystérie collectiv
77
s. Le signe physique de notre mission, c’était la
défense
des cols, cœur physique de l’Europe médiévale. Désormais, il nous app
78
tuelle de cette même et unique mission : c’est la
défense
du cœur spirituel de l’Europe, la garde montée autour de cette réalit
79
t alors qu’on lança parmi nous le mot d’ordre : «
Défense
de la culture ». Toute la confusion vient de là. Car la culture qu’o
81
m’armez ! Donnez-moi un 75, vous me laissez sans
défense
: c’est trop lourd pour moi. » Exemple à retenir, pour un petit pays
82
s’est déjà installée chez nous, sous prétexte de
défense
nationale. Or je crois que l’erreur qui aboutit à ce dilemme est la p
83
Réagir à la menace totalitaire sur le plan de la
défense
armée, et tout subordonner à cela, c’est introduire chez nous le chev
84
la lutte directe, c’est d’inventer des formes de
défense
non militaires, donc non totalitaires. Je ne dis pas que je les ai tr
85
peur de nous que du communisme. » a. « La vraie
défense
contre l’esprit totalitaire », Les Cahiers protestants, Lausanne, n°
86
Car sans cadres, l’économie périclitait, et la «
défense
nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la
87
us faut une force, à l’intérieur, pour assurer la
défense
du régime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la guerre en soi.
88
ue le contraire se soit produit en fait… Dernière
défense
du capital, récitent sans se lasser les marxistes. Hystérie collectiv
89
un an. Il estimait que dans l’intérêt même d’une
défense
efficace, il importait de faire connaître la nature de l’attaque qui
90
toujours la même. Les marxistes vont répétant : «
défense
du capital ». Les rationalistes déclarent : « hystérie collective ».
91
gloire du Dieu vivant. C’est pourquoi notre vraie
défense
contre lui ne peut être que notre foi. La contre-épreuve de ce jugeme
92
national-socialisme apparut comme une réaction de
défense
à l’humiliation collective infligée aux Allemands par Versailles, par
93
y a lieu. Voilà le point. Voilà le terrain de ma
défense
et aussi de ma contre-attaque. « Je ne puis, moi, renoncer à rien de
94
ralisme et réduction de l’homme au sexe. C’est la
défense
normale que l’homme païen oppose au mythe de l’amour malheureux. (Peu
95
a la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
défense
morale du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie
96
l la poursuit, il cherche à vaincre les dernières
défenses
de sa pudeur, et à les tourner par surprise ; enfin la dame se rend à
97
it se rendre maître : on se bornait à réduire ses
défenses
. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages forti
98
mer par un excès voulu. Quoi qu’il en soit, cette
défense
était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales long
99
nelle, transférée à la seule collectivité. Cf. la
Défense
du crime par Sade, p. 205. 173. Op. cit., I, 37-39. Id., pour les c
100
Car sans cadres, l’économie périclitait, et la «
défense
nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la
101
un, et j’ajouterais : comme le parrain de cette «
défense
spirituelle du pays » que nous devons approuver comme chrétiens, si n
102
ontrer très rigoureux dans le choix des moyens de
défense
. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à louer la Réforme d’être un
103
lic. Il n’en reste pas moins que le mot d’ordre «
Défense
de la personne humaine » est devenu le slogan par excellence des homm
104
des Pays-Bas ; qu’il s’agisse des fédérations de
défense
constituées par les huguenots ; ou de nos jours, bien que d’une maniè
105
e, avec les meilleures intentions du monde, d’une
défense
spirituelle du pays. Et je suis le premier à l’approuver. Mais lorsqu
106
mier à l’approuver. Mais lorsque l’on fonde cette
défense
spirituelle sur la notion de « Suisse chrétienne », défions-nous d’un
107
er officier. — Silence ! Qu’as-tu à dire pour ta
défense
? Nicolas. — Tous les Suisses ont juré, après Sempach, de ne jama
108
dis que notre alliance est faite pour notre seule
défense
, au nom de Dieu, et non pas pour vos folles conquêtes au nom du diabl
109
ralisme et réduction de l’homme au sexe. C’est la
défense
normale que l’homme païen oppose au mythe de l’amour malheureux. (Peu
110
ra la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
défense
morale du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie
111
l la poursuit, il cherche à vaincre les dernières
défenses
de sa pudeur, et à les tourner par surprise ; enfin la dame se rend à
112
it se rendre maître : on se bornait à réduire ses
défenses
. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages forti
113
mer par un excès voulu. Quoi qu’il en soit, cette
défense
était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales long
114
nelle, transférée à la seule collectivité. Cf. la
Défense
du crime par Sade. 191. Op. cit., I, 37-39. Id. pour les citations
115
Car sans cadres, l’économie périclitait, et la «
défense
nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la
116
ralisme et réduction de l’homme au sexe. C’est la
défense
normale que l’homme païen oppose au mythe de l’amour malheureux. (Peu
117
ra la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
défense
morale du meurtre telle que la présente Dolmancé dans la Philosophie
118
l la poursuit, il cherche à vaincre les dernières
défenses
de sa pudeur, et à les tourner par surprise ; enfin la dame se rend à
119
it se rendre maître : on se bornait à réduire ses
défenses
. Bataille rangée contre une armée de métier, siège des ouvrages forti
120
mer par un excès voulu. Quoi qu’il en soit, cette
défense
était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales long
121
nelle, transférée à la seule collectivité. Cf. La
Défense
du crime par Sade, p. 205. 177. Guichardin, op. cit., I, 37-39. Id.
122
Car sans cadres, l’économie périclitait, et la «
défense
nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la
123
que la guerre, par exemple, ou simplement que la
défense
nationale. Or je vois là le signe très certain d’une crise, — et d’un
124
tent au défi de produire le « pourquoi » de notre
défense
et de notre volonté d’autonomie. Elles nous forcent, non sans brutali
125
t et nos progrès aux nécessités impérieuses de la
défense
nationale. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règle
126
s’agit de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de
défense
nationale, nous acceptons des mesures qui, hier encore, passaient pou
127
s, qui n’ont pas su imaginer un autre bien que la
défense
toute matérielle d’un ordre de choses vicié dans son principe ; ou la
128
Quoi qu’il arrive. 4. Le budget annuel de la «
défense
spirituelle » de la Suisse représente à peu près le prix de deux char
129
t et nos progrès aux nécessités impérieuses de la
défense
nationale. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règle
130
s’agit de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de
défense
nationale, nous acceptons des mesures qui, hier encore, passaient pou
131
s, qui n’ont pas su imaginer un autre bien que la
défense
toute matérielle d’un ordre de choses vicié dans son principe ; ou la
132
Quoi qu’il arrive. 7. Le budget annuel de la «
défense
spirituelle » de la Suisse représente à peu près le prix de deux char
133
nous permet de nous unir mieux que jamais pour la
défense
et la rénovation de l’héritage que Dieu nous a confié. Nos raisons d’
134
le de solidarité pratique : voilà notre meilleure
défense
. Sacrifices matériels tout d’abord : nous avons consenti déjà, pour n
135
ut d’abord : nous avons consenti déjà, pour notre
défense
militaire, des mesures qui, en d’autres temps, eussent passé pour rév
136
n de travail créée comblera une lacune dans notre
défense
nationale. Je conjure donc les patrons de consentir une réduction de
137
arés qu’il est possible. Inspectons avec soin nos
défenses
, ayons le courage de dire franchement : ici ou là, nous sommes encore
138
liste » un parti qui n’a d’autre programme que la
défense
des intérêts locaux contre le centre. Ceux qui se disent, chez nous,
139
tien, sur laquelle s’est fondée la Suisse. 3. La
défense
à tout prix de notre indépendance et la lutte contre le défaitisme so
140
L’affirmation unanime de notre volonté absolue de
défense
quoi qu’il arrive, est notre seule chance de salut. 4. Il n’y aurait
141
e décisions est la condition primordiale de toute
défense
efficace du pays. C’est pourquoi, au lendemain des prises de contact
142
incipale réalité physique sur quoi se fonde notre
défense
, et le grand signe de notre mission. Sur ce rocher se fonde l’édifice
143
tait déjà tout un programme : double programme de
défense
à tout prix et de fidélité à une mission européenne et créatrice. Le
144
ctions ou les écrits ; propagande en faveur de la
défense
nationale à tout prix autour du bastion du Gothard ; études et projet
145
ontrer très rigoureux dans le choix des moyens de
défense
. Et, par exemple, si beaucoup sont prêts à louer la Réforme d’être un
146
lic. Il n’en reste pas moins que le mot d’ordre «
Défense
de la personne humaine » est devenu le slogan par excellence des homm
147
des Pays-Bas ; qu’il s’agisse des fédérations de
défense
constituées par les huguenots ; ou de nos jours, bien que d’une maniè
148
e, avec les meilleures intentions du monde, d’une
défense
spirituelle du pays. Et je suis le premier à l’approuver. Mais lorsqu
149
premier à l’approuver. Mais lorsqu’on fonde cette
défense
spirituelle sur la notion de « Suisse chrétienne », défions-nous de c
150
que la guerre, par exemple, ou simplement que la
défense
nationale. Or je vois là le signe très certain d’une crise — et d’une