1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 revivre sa tradition. Toute son œuvre pourrait se définir  : la lutte d’un tempérament avec la réalité. Tantôt c’est l’un qui ve
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 cet Orient qu’il s’agit, et Jean Schlumberger le définit encore : « … tout ce qui est opposé à l’esprit occidental, tout ce qu
3 ivain grec, M. Embiricos, a trouvé la formule qui définit ce que les autres entendent vaguement par Orient : l’Asie est le subc
3 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
4 Et encore ceci que je trouve si juste : « Ce qui définit le plus profondément l’Occidental, c’est peut-être la fidélité. » Ses
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
5 — « mosaïque de sensations juxtaposées » — qu’il définit sa propre théorie de la « garantie des sentiments », où l’on est en d
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 urs, en vertu des remarques précédentes). Rivière définissait la sincérité comme « un perpétuel effort pour créer son âme telle qu’
7 is Mauriac.) La valeur morale de M. Godeau serait définie par l’aspect seul qu’il souffrirait de garder lui-même à son propre r
6 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
8 ister. Non : il a remarqué que l’époque peut être définie par l’abondance des autobiographies, mais aussi bien par celle des mi
9 scientifique, par doute méthodique, par besoin de définir , par défiance envers les dieux. À chaque regard dans notre miroir, no
7 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
10 Raison de Spinoza. Nul mieux que lui ne s’entend définir et classer choses et idées en catégories « rationnelles », c’est-à-di
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
11 t de cette matière rarement « hygiénique » et qui définit notre âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis. Réponse non, c’
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
12 t de cette matière rarement « hygiénique » et qui définit notre âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis. Réponse non, c’
10 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
13 ogique et morne — que le fait même de s’y essayer définit ce qu’on nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beaus
11 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
14 des puissances de nature inhumaine. Nous pourrons définir un tel humanisme : l’organe d’équilibre de la civilisation. Nous teni
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
15 ver un sens dans la mort. L’homme qui pourrait se définir  : « Dieu n’est pas, donc je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
16 n art protestant de fait, peut-on, par contre, le définir idéalement ? Il nous semble que cela supposerait d’abord une définiti
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
17 e roman du même auteur16, et il nous aide à mieux définir le charme de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à
18 ette sorte, mais est-ce à eux que l’on demande de définir la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels qui les cara
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
19 nt qui charme à froid) — art qui tout ensemble se définit et se limite par l’épithète valéryenne d’exquis. On sait quels « juge
16 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
20 pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire, définie par la loi, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’homme qui
17 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
21 les amateurs d’inextricable ; d’autre part, elles définissent suffisamment la cause commune de la jeunesse européenne. L’humanisme
22 ns connaître ton texte, j’utilisais ailleurs pour définir nos tâches immédiates. Formule qui, je le sais, éveille un même « acc
18 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
23 e est, dans sa simplicité : tout un programme. Et définissons à grands traits les réactions du bon sens vis-à-vis de ce programme d
19 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
24 articulière méfiance, mon but était simplement de définir une expression qui par la suite pourra nous être utile. Petits purs,
20 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
25 inaliste la plus grave : il ne sait ou n’ose plus définir et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en parle, car la S
21 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
26 antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent définies les trois hérésies politiques que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
27 e-là.   Les témoignages qu’on a pu lire plus haut définissent deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
28 on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se définir simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
29 sentation] (décembre 1932)i Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
30 mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour définir un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
31 pars ne font pas un portrait. Dès qu’on essaie de définir l’originalité de notre canton, tout devient si complexe et souvent si
25 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
32 est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
26 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
33 s bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
34 uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies , sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
35 e : l’humanisme c’est le péché même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
27 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
36 aliment à un dogmatisme populaire farouche, et se définit comme désavantageuse ». k. « Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (
28 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
37 el de la révolution, suppose et pose la personne, définie comme l’individu engagé dans le conflit créateur6. À cet engagement p
29 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
38 e déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
30 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
39 e Barth se laissera-t-il d’autant plus clairement définir qu’on le définira par son opposition globale à la dialectique humanis
40 ra-t-il d’autant plus clairement définir qu’on le définira par son opposition globale à la dialectique humaniste qui paraît à no
31 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
41 réel de sa liberté. On nous a reproché de ne pas définir la personne qui est à l’origine de toute notre construction. Répétons
42 ion entre le spirituel, tel que nous venons de le définir , et le Saint-Esprit dont parle la théologie, réalité qui, pour le chr
32 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
43 c’est la personne humaine telle que nous l’avons définie . 5° Dans l’« Ordre nouveau », les institutions reproduisent à tous le
44 nt à tous les degrés le conflit et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine pol
33 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
45 ci qu’une formule nécessairement simplifiée. Nous définissons la personne comme un acte et non pas comme un donné physique ou moral
46 c’est la personne humaine telle que nous l’avons définie . 5° Dans « l’Ordre nouveau », les institutions reproduisent à tous le
47 nt à tous les degrés le conflit et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine pol
34 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
48 ut simplement « le voisin inévitable », celui que définit , d’ailleurs, le Droit romain. Nous voudrions montrer ici d’une part l
49 pposer à cet individu, et du prochain, tel que le définit l’Évangile ; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’err
50 cune des personnes qui la composent, et n’est pas définie par autre chose que par ce centre. Elle est le rayonnement dans la du
35 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
51 essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
52 iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
36 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
53 rrépressible de cet acte fondamental qui pour eux définit la personne. Si l’on admet, avec Marx et Proudhon, que la révolution
54 us visible chez un homme que son mystère, et ceci définit un visage. d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lau
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
55 ’un abandon aux lois de la poussière. ⁂ Ceci peut définir l’Antiquité : la panique de l’homme environné par les voix innombrabl
56 otion qu’il lui était impossible d’analyser ou de définir . On dirait que des voix descendent du haut des cieux…, il semble y av
38 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
57 uppose en même temps », écrit-il. C’est lorsqu’il définit ainsi la foi qu’on hésite à le suivre, — et que peut-être il sert mal
39 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
58 ’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur définit comme « une présence activement perpétuée ». Et tout cela tend à crée
40 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
59 gime dictatorial ? La doctrine de l’Ordre nouveau définit une personne qui n’a rien à voir avec cet individu. Une personne qui
60 gagement et actualité. Une personne qui peut être définie comme le prochain de l’Évangile. La seconde objection concerne l’effi
61 tence concrète14 de la personne telle que nous la définissons . Elle n’est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la puissance d
41 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
62 rée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
63 des formules que je proposais tout à l’heure pour définir l’attitude chrétienne devant les exigences de César. Elles sont en si
64 on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils définissent d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
65 lités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
66 Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue, définissait dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
67 t en librairie. Ce volume intitulé l’Homme debout définira la position philosophique de l’ON. Sur la position du groupe relative
68 quipe d’ingénieurs s’est attachée à chiffrer et à définir dans le détail l’application du service de travail. Cf. le n° 8 de L
69 nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra
42 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
70 exigence évangélique de la mort à soi-même, vient définir à nouveau l’Église chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée,
71 tion de « l’âme humaine » par la religion, et qui définissent volontiers l’Église comme une force au service de la civilisation, s’
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
72 x, comment étouffer le scandale de cette mort qui définit le destin de l’esprit parmi nous ? Si l’Opinion publique a tué Kierke
44 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
73 ble. Et c’est pourquoi nous avons tant de peine à définir et nommer clairement les maux dont nous souffrons, et le bien qui nou
45 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
74 atrie, l’idée profonde de leur nation, que Pillau définit comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette fidélité. À mesure qu
46 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
75 résurrection de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel définit l’objet de sa recherche, en insistant sur le fait que la description
76 ustifier sa méthode. Il n’est pas trop aisé de la définir . Elle recourt avant tout à la critique interne des textes, mais aussi
47 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
77 ’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque définie comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la pensée c
48 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
78 essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
79 iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
49 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
80 istes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous définissons la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. L
50 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
81 ces jamais avouées mais réellement agissantes qui définissent l’esprit bourgeois, et que le marxisme n’a fait que formuler brutalem
82 héorique. Cette spiritualité que Marx n’avait pas définie , il faut maintenant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fin
51 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
83 rée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
52 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
84 antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies politiques ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne
53 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
85 est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
54 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
86 s bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
87 uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies , sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
88  : l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
55 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
89 re le péril éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des ligues antifascistes46, on cultive une mystiq
56 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
90 it introduit en ces termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
91 mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour définir un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
92   Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier définissent deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
93 on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se définir simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
94 qu’il n’y a plus de « personnes ». — La position définie par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionna
57 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
95 ation de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’éc
96 ubordonnée. La personne, telle que je viens de la définir , n’est pas un état, mais un acte. L’homme devient personne dans la me
58 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
97 s intérêts et les passions. La politique que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de t
98 re par l’action politique peuvent être clairement définies , mais elles restent diverses et incommensurables entre elles : ici ma
99 t de bonheur est une chose trop fragile pour être définie et qui s’évanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vi
100 révéré de nos mythes : personne encore n’a su le définir et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique
59 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
101 ns n’ont pas d’importance quand les fins sont mal définies . Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épauler au h
60 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
102 e déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
61 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
103 on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils définissent d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
104 lités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
105 Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue, définissait dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
106 ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra
62 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
107 ’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque définie comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la pensée c
63 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
108 essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
109 iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
64 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
110 istes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous définissons la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. L
65 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
111 ces jamais avouées mais réellement agissantes qui définissent l’esprit bourgeois, et que le marxisme n’a fait que formuler brutalem
112 héorique. Cette spiritualité que Marx n’avait pas définie , il faut maintenant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fin
66 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
113 rée comme un service nécessaire — voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
67 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
114 antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies politiques ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne
68 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
115 est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire définit exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
69 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
116 s bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
117 uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies , sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
118  : l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
70 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
119 re le péril éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des ligues antifascistes40, on cultive une mystiq
71 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
120 introduisais en ces termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
121 mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour définir un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
122   Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier définissent deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
123 on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se définir simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
124 qu’il n’y a plus de « personnes ». — La position définie par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionna
72 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
125 ation de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’éc
126 ubordonnée. La personne, telle que je viens de la définir , n’est pas un état, mais un acte. L’homme devient personne dans la me
73 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
127 s intérêts et les passions. La politique que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de t
128 re par l’action politique peuvent être clairement définies , mais elles restent diverses et incommensurables entre elles : ici ma
129 t de bonheur est une chose trop fragile pour être définie et qui s’évanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vi
130 révéré de nos mythes : personne encore n’a su le définir et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique
74 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
131 ns n’ont pas d’importance quand les fins sont mal définies . Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épauler au h
75 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
132 e déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
76 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
133 on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils définissent d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
134 lités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
135 Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue, définissait dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
77 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
136 talitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la définir par quatre de ses principaux caractères. a) Elle consiste d’abord da
137 mitards ou « idéologues », beaucoup en viennent à définir la politique comme une simple technique de gouvernement. Il serait so
78 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
138 engagés dans la réalité. Et cela suffirait bien à définir le sens que nous donnons à ce mot d’engagement. Je l’ai dit ailleurs 
79 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
139 . Mais les cinq phrases que nous citons ci-dessus définissent une tactique de groupe dont il est impossible de ne pas souligner l’e
80 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
140 suffirait pour cela que leur fin soit ouvertement définie , et que leur usage méthodique soit harmonisé à leur fin. Si cette fin
81 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
141 donc, dépasser la vision, ce ne peut être que la définir dans l’absolu, à la frontière de la mort et de la vie ; et la nier, m
142 urs des pages qui précèdent, je me suis attaché à définir , plutôt que les principes particuliers d’une étude physiognomonique,
143 e des motifs tout contraires, dont la coïncidence définit la personne. Tensions qui d’autre part, bâtissent et soutiennent l’éd
82 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
144 on d’abord que Breuil n’aborde pas une « classe » définie par les sociologues. Son roman tendrait à prouver au contraire l’inex
83 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
145 sacrifice. » Sacrifice et fidélité, voilà ce qui définit leur dernière dignité d’Allemands dans les tortures qu’un destin absu
84 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
146 Vocation du chrétien dans la cité : nous l’avons définie par deux mouvements : une protestation, une annonce. Protestation con
85 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
147 en discussion l’un des rapports fondamentaux qui définissent une société. C’est reconnaître enfin que ce rapport n’est plus perçu
148 le mot que nous étions en train de chercher pour définir notre impression : ce palais, ce « sanctuaire », cette « ruche active
149 rons de 1935, et dépourvue de toute signification définie . 41. Et remarquons l’étrange accident qu’elle risquerait de provoqu
86 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
150 ce point modifiées, il importe plus que jamais de définir les intérêts et les doctrines qui soutiennent et aggravent sans cesse
151 ors que le mouvement des Croix-de-Feu, tel que le définit son chef, paraît consister essentiellement dans un réveil des valeurs
152 4. — Pronostic En présence de deux forces bien définies , on peut toujours prévoir la forme au moins — sinon l’issue — de la l
87 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
153 t soit l’un des classiques préférés29. ⁂ Une fois définie la valeur de cette objection préalable, que pourraient nous opposer l
154 ter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvons définie tout d’abord par le concile d’Éphèse (431) comme étant la fidem defin
88 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
155 ssez clairement pour riposter. II S’il faut définir brièvement cette menace imprévue, nous dirons : de même que la produc
89 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
156 trahisons qualifiées de la véritable démocratie, définie comme le gouvernement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la dém
90 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
157 le de la seule psychologie, en tant qu’on peut le définir par le divorce de ses idées et de ses actes. D’où naît une certaine l
91 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
158 un exemple typique. L’autorité serait-elle mieux définie comme « ce à quoi l’on obéit » ? — Non : car il est courant que les h
92 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
159 talitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la définir par quatre de ses principaux caractères. a) Elle consiste d’abord da
160 mitards ou « idéologues », beaucoup en viennent à définir la politique comme une simple technique de gouvernement. Il serait so
93 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
161 Il analyse quelques-unes de ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la solution proposée par le néo-marxisme à cette cris
94 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
162 front contre l’athéisme et contre le dogmatisme, définit d’emblée la situation typique du penseur « libéral ». (Calvin disait 
95 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
163 la fin proposée par le socialisme. Il faut alors définir la culture comme « une forme commune de la vie, dont l’activité écono
164 irtuelles et pessimisme de fait : ces deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent tro
165 ltés actuelles, optimisme imposé, ces deux traits définissent l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de l
96 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
166 Nous ne répétons ces choses, ici, que pour mieux définir notre rôle, notre « partialité » fondamentale dans la critique. Nous
97 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
167 les à débrouiller dans la pratique, et pourraient définir utilement le parti, si seulement chacun de ces mots avait le même sen
98 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
168 che bien, et qu’il soit superflu de commencer par définir ce premier mot ? Allons tout de suite à un exemple extrême. Pour le c
169 .) Ce renversement d’équilibre n’est pas facile à définir , ni surtout à localiser. Il me semble qu’il est d’abord éprouvé par l
99 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
170 apidement déprimées par la difficulté qu’il y a à définir simplement la culture ? Sait-on bien de quoi il s’agit quand on dit :
171 upart n’ont jamais réfléchi à ce problème —, pour définir la culture comme un acquis spirituel à transmettre. C’est-à-dire comm
172 se conscience. C’est aussi qu’il est le premier à définir une conscience nouvelle de la culture créatrice — conscience dont je
173 t liée aujourd’hui aux conditions économiques qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que cette culture p
100 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
174 ifiée. Mais cette raison ennemie du singulier, et définie par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, hu