1
revivre sa tradition. Toute son œuvre pourrait se
définir
: la lutte d’un tempérament avec la réalité. Tantôt c’est l’un qui ve
2
cet Orient qu’il s’agit, et Jean Schlumberger le
définit
encore : « … tout ce qui est opposé à l’esprit occidental, tout ce qu
3
ivain grec, M. Embiricos, a trouvé la formule qui
définit
ce que les autres entendent vaguement par Orient : l’Asie est le subc
4
Et encore ceci que je trouve si juste : « Ce qui
définit
le plus profondément l’Occidental, c’est peut-être la fidélité. » Ses
5
— « mosaïque de sensations juxtaposées » — qu’il
définit
sa propre théorie de la « garantie des sentiments », où l’on est en d
6
urs, en vertu des remarques précédentes). Rivière
définissait
la sincérité comme « un perpétuel effort pour créer son âme telle qu’
7
is Mauriac.) La valeur morale de M. Godeau serait
définie
par l’aspect seul qu’il souffrirait de garder lui-même à son propre r
8
ister. Non : il a remarqué que l’époque peut être
définie
par l’abondance des autobiographies, mais aussi bien par celle des mi
9
scientifique, par doute méthodique, par besoin de
définir
, par défiance envers les dieux. À chaque regard dans notre miroir, no
10
Raison de Spinoza. Nul mieux que lui ne s’entend
définir
et classer choses et idées en catégories « rationnelles », c’est-à-di
11
t de cette matière rarement « hygiénique » et qui
définit
notre âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis. Réponse non, c’
12
t de cette matière rarement « hygiénique » et qui
définit
notre âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis. Réponse non, c’
13
ogique et morne — que le fait même de s’y essayer
définit
ce qu’on nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beaus
14
des puissances de nature inhumaine. Nous pourrons
définir
un tel humanisme : l’organe d’équilibre de la civilisation. Nous teni
15
ver un sens dans la mort. L’homme qui pourrait se
définir
: « Dieu n’est pas, donc je suis » ; l’homme seul ; areligieux, relié
16
n art protestant de fait, peut-on, par contre, le
définir
idéalement ? Il nous semble que cela supposerait d’abord une définiti
17
e roman du même auteur16, et il nous aide à mieux
définir
le charme de cette œuvre inoubliable. Antérieur de quelques années à
18
ette sorte, mais est-ce à eux que l’on demande de
définir
la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels qui les cara
19
nt qui charme à froid) — art qui tout ensemble se
définit
et se limite par l’épithète valéryenne d’exquis. On sait quels « juge
20
pas soi-même, il vise à la plénitude élémentaire,
définie
par la loi, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’homme qui
21
les amateurs d’inextricable ; d’autre part, elles
définissent
suffisamment la cause commune de la jeunesse européenne. L’humanisme
22
ns connaître ton texte, j’utilisais ailleurs pour
définir
nos tâches immédiates. Formule qui, je le sais, éveille un même « acc
23
e est, dans sa simplicité : tout un programme. Et
définissons
à grands traits les réactions du bon sens vis-à-vis de ce programme d
24
articulière méfiance, mon but était simplement de
définir
une expression qui par la suite pourra nous être utile. Petits purs,
25
inaliste la plus grave : il ne sait ou n’ose plus
définir
et assumer son bien ni son mal, — et sans cesse il en parle, car la S
26
antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent
définies
les trois hérésies politiques que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie
27
e-là. Les témoignages qu’on a pu lire plus haut
définissent
deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
28
on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se
définir
simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
29
sentation] (décembre 1932)i Est-il possible de
définir
une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
30
mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
31
pars ne font pas un portrait. Dès qu’on essaie de
définir
l’originalité de notre canton, tout devient si complexe et souvent si
32
est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire
définit
exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
33
s bien pour poser devant vous quelques questions,
définir
à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
34
uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement
définies
, sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
35
e : l’humanisme c’est le péché même, si l’on peut
définir
le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
36
aliment à un dogmatisme populaire farouche, et se
définit
comme désavantageuse ». k. « Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (
37
el de la révolution, suppose et pose la personne,
définie
comme l’individu engagé dans le conflit créateur6. À cet engagement p
38
e déficience de cette tension créatrice qui seule
définit
un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
39
e Barth se laissera-t-il d’autant plus clairement
définir
qu’on le définira par son opposition globale à la dialectique humanis
40
ra-t-il d’autant plus clairement définir qu’on le
définira
par son opposition globale à la dialectique humaniste qui paraît à no
41
réel de sa liberté. On nous a reproché de ne pas
définir
la personne qui est à l’origine de toute notre construction. Répétons
42
ion entre le spirituel, tel que nous venons de le
définir
, et le Saint-Esprit dont parle la théologie, réalité qui, pour le chr
43
c’est la personne humaine telle que nous l’avons
définie
. 5° Dans l’« Ordre nouveau », les institutions reproduisent à tous le
44
nt à tous les degrés le conflit et la tension qui
définissent
la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine pol
45
ci qu’une formule nécessairement simplifiée. Nous
définissons
la personne comme un acte et non pas comme un donné physique ou moral
46
c’est la personne humaine telle que nous l’avons
définie
. 5° Dans « l’Ordre nouveau », les institutions reproduisent à tous le
47
nt à tous les degrés le conflit et la tension qui
définissent
la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine pol
48
ut simplement « le voisin inévitable », celui que
définit
, d’ailleurs, le Droit romain. Nous voudrions montrer ici d’une part l
49
pposer à cet individu, et du prochain, tel que le
définit
l’Évangile ; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’err
50
cune des personnes qui la composent, et n’est pas
définie
par autre chose que par ce centre. Elle est le rayonnement dans la du
51
essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le
définir
en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
52
iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots
définissent
la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
53
rrépressible de cet acte fondamental qui pour eux
définit
la personne. Si l’on admet, avec Marx et Proudhon, que la révolution
54
us visible chez un homme que son mystère, et ceci
définit
un visage. d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lau
55
’un abandon aux lois de la poussière. ⁂ Ceci peut
définir
l’Antiquité : la panique de l’homme environné par les voix innombrabl
56
otion qu’il lui était impossible d’analyser ou de
définir
. On dirait que des voix descendent du haut des cieux…, il semble y av
57
uppose en même temps », écrit-il. C’est lorsqu’il
définit
ainsi la foi qu’on hésite à le suivre, — et que peut-être il sert mal
58
’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur
définit
comme « une présence activement perpétuée ». Et tout cela tend à crée
59
gime dictatorial ? La doctrine de l’Ordre nouveau
définit
une personne qui n’a rien à voir avec cet individu. Une personne qui
60
gagement et actualité. Une personne qui peut être
définie
comme le prochain de l’Évangile. La seconde objection concerne l’effi
61
tence concrète14 de la personne telle que nous la
définissons
. Elle n’est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la puissance d
62
rée comme un service nécessaire — voilà peut-être
définie
l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
63
des formules que je proposais tout à l’heure pour
définir
l’attitude chrétienne devant les exigences de César. Elles sont en si
64
on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils
définissent
d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
65
lités personnelles. Ces refus et ces affirmations
définissent
l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
66
Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue,
définissait
dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
67
t en librairie. Ce volume intitulé l’Homme debout
définira
la position philosophique de l’ON. Sur la position du groupe relative
68
quipe d’ingénieurs s’est attachée à chiffrer et à
définir
dans le détail l’application du service de travail. Cf. le n° 8 de L
69
nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile
définit
la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra
70
exigence évangélique de la mort à soi-même, vient
définir
à nouveau l’Église chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée,
71
tion de « l’âme humaine » par la religion, et qui
définissent
volontiers l’Église comme une force au service de la civilisation, s’
72
x, comment étouffer le scandale de cette mort qui
définit
le destin de l’esprit parmi nous ? Si l’Opinion publique a tué Kierke
73
ble. Et c’est pourquoi nous avons tant de peine à
définir
et nommer clairement les maux dont nous souffrons, et le bien qui nou
74
atrie, l’idée profonde de leur nation, que Pillau
définit
comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette fidélité. À mesure qu
75
résurrection de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel
définit
l’objet de sa recherche, en insistant sur le fait que la description
76
ustifier sa méthode. Il n’est pas trop aisé de la
définir
. Elle recourt avant tout à la critique interne des textes, mais aussi
77
’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque
définie
comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la pensée c
78
essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le
définir
en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
79
iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots
définissent
la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
80
istes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous
définissons
la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. L
81
ces jamais avouées mais réellement agissantes qui
définissent
l’esprit bourgeois, et que le marxisme n’a fait que formuler brutalem
82
héorique. Cette spiritualité que Marx n’avait pas
définie
, il faut maintenant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fin
83
rée comme un service nécessaire — voilà peut-être
définie
l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
84
antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent
définies
les trois « hérésies politiques ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne
85
est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire
définit
exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
86
s bien pour poser devant vous quelques questions,
définir
à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
87
uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement
définies
, sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
88
: l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut
définir
le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
89
re le péril éventuel : elle ne contribue pas à le
définir
utilement. On fonde des ligues antifascistes46, on cultive une mystiq
90
it introduit en ces termes : Est-il possible de
définir
une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
91
mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
92
Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier
définissent
deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
93
on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se
définir
simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
94
qu’il n’y a plus de « personnes ». — La position
définie
par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionna
95
ation de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à
définir
une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’éc
96
ubordonnée. La personne, telle que je viens de la
définir
, n’est pas un état, mais un acte. L’homme devient personne dans la me
97
s intérêts et les passions. La politique que vous
définissez
ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de t
98
re par l’action politique peuvent être clairement
définies
, mais elles restent diverses et incommensurables entre elles : ici ma
99
t de bonheur est une chose trop fragile pour être
définie
et qui s’évanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vi
100
révéré de nos mythes : personne encore n’a su le
définir
et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique
101
ns n’ont pas d’importance quand les fins sont mal
définies
. Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épauler au h
102
e déficience de cette tension créatrice qui seule
définit
un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
103
on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils
définissent
d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
104
lités personnelles. Ces refus et ces affirmations
définissent
l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
105
Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue,
définissait
dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
106
ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile
définit
la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pra
107
’empêchent honnêtement d’en sortir. Une équivoque
définie
comme telle cesse d’ailleurs d’être trompeuse. Le rôle de la pensée c
108
essenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le
définir
en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont
109
iat. Acte, présence et engagement, ces trois mots
définissent
la personne, mais aussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
110
istes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous
définissons
la personne comme une vocation créatrice, la situation se renverse. L
111
ces jamais avouées mais réellement agissantes qui
définissent
l’esprit bourgeois, et que le marxisme n’a fait que formuler brutalem
112
héorique. Cette spiritualité que Marx n’avait pas
définie
, il faut maintenant la préciser d’urgence, ne fût-ce que pour des fin
113
rée comme un service nécessaire — voilà peut-être
définie
l’attitude chrétienne en politique : une révolution sans illusions.
114
antichrétienne en son principe. Ainsi se trouvent
définies
les trois « hérésies politiques ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne
115
est pourquoi l’apparition d’une volonté contraire
définit
exactement, pour la chrétienté, le début de la décadence. Il y a des
116
s bien pour poser devant vous quelques questions,
définir
à grands traits des antithèses à dessein forcées, et provoquer vos ob
117
uter sur des nuances métaphysiques arbitrairement
définies
, sur des oppositions qui n’existent, en réalité, que dans la mesure o
118
: l’humanisme, c’est le péché même, si l’on peut
définir
le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non
119
re le péril éventuel : elle ne contribue pas à le
définir
utilement. On fonde des ligues antifascistes40, on cultive une mystiq
120
introduisais en ces termes : Est-il possible de
définir
une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude
121
mment accentué qu’il peut paraître suffisant pour
définir
un front unique, fût-il provisoire. C’est dans cette vue qu’ont été r
122
Les témoignages qu’on a pu lire dans ce Cahier
définissent
deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matér
123
on personnaliste, l’opposition doctrinale peut se
définir
simplement. Les uns croient, avec Marx, à la réalité d’une dialectiqu
124
qu’il n’y a plus de « personnes ». — La position
définie
par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionna
125
ation de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à
définir
une attitude spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’éc
126
ubordonnée. La personne, telle que je viens de la
définir
, n’est pas un état, mais un acte. L’homme devient personne dans la me
127
s intérêts et les passions. La politique que vous
définissez
ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de t
128
re par l’action politique peuvent être clairement
définies
, mais elles restent diverses et incommensurables entre elles : ici ma
129
t de bonheur est une chose trop fragile pour être
définie
et qui s’évanouit aussitôt qu’on l’atteint. Vraiment, notre époque vi
130
révéré de nos mythes : personne encore n’a su le
définir
et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique
131
ns n’ont pas d’importance quand les fins sont mal
définies
. Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épauler au h
132
e déficience de cette tension créatrice qui seule
définit
un « temps plein ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie
133
on de la primauté nécessaire du spirituel (qu’ils
définissent
d’ailleurs assez diversement) ; affirmation de la nécessité de repren
134
lités personnelles. Ces refus et ces affirmations
définissent
l’attitude spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nou
135
Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la revue,
définissait
dès son premier numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de c
136
talitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la
définir
par quatre de ses principaux caractères. a) Elle consiste d’abord da
137
mitards ou « idéologues », beaucoup en viennent à
définir
la politique comme une simple technique de gouvernement. Il serait so
138
engagés dans la réalité. Et cela suffirait bien à
définir
le sens que nous donnons à ce mot d’engagement. Je l’ai dit ailleurs
139
. Mais les cinq phrases que nous citons ci-dessus
définissent
une tactique de groupe dont il est impossible de ne pas souligner l’e
140
suffirait pour cela que leur fin soit ouvertement
définie
, et que leur usage méthodique soit harmonisé à leur fin. Si cette fin
141
donc, dépasser la vision, ce ne peut être que la
définir
dans l’absolu, à la frontière de la mort et de la vie ; et la nier, m
142
urs des pages qui précèdent, je me suis attaché à
définir
, plutôt que les principes particuliers d’une étude physiognomonique,
143
e des motifs tout contraires, dont la coïncidence
définit
la personne. Tensions qui d’autre part, bâtissent et soutiennent l’éd
144
on d’abord que Breuil n’aborde pas une « classe »
définie
par les sociologues. Son roman tendrait à prouver au contraire l’inex
145
sacrifice. » Sacrifice et fidélité, voilà ce qui
définit
leur dernière dignité d’Allemands dans les tortures qu’un destin absu
146
Vocation du chrétien dans la cité : nous l’avons
définie
par deux mouvements : une protestation, une annonce. Protestation con
147
en discussion l’un des rapports fondamentaux qui
définissent
une société. C’est reconnaître enfin que ce rapport n’est plus perçu
148
le mot que nous étions en train de chercher pour
définir
notre impression : ce palais, ce « sanctuaire », cette « ruche active
149
rons de 1935, et dépourvue de toute signification
définie
. 41. Et remarquons l’étrange accident qu’elle risquerait de provoqu
150
ce point modifiées, il importe plus que jamais de
définir
les intérêts et les doctrines qui soutiennent et aggravent sans cesse
151
ors que le mouvement des Croix-de-Feu, tel que le
définit
son chef, paraît consister essentiellement dans un réveil des valeurs
152
4. — Pronostic En présence de deux forces bien
définies
, on peut toujours prévoir la forme au moins — sinon l’issue — de la l
153
t soit l’un des classiques préférés29. ⁂ Une fois
définie
la valeur de cette objection préalable, que pourraient nous opposer l
154
ter est traditio ecclesiastica). Nous la trouvons
définie
tout d’abord par le concile d’Éphèse (431) comme étant la fidem defin
155
ssez clairement pour riposter. II S’il faut
définir
brièvement cette menace imprévue, nous dirons : de même que la produc
156
trahisons qualifiées de la véritable démocratie,
définie
comme le gouvernement du peuple par lui-même. Ce régime idéal, la dém
157
le de la seule psychologie, en tant qu’on peut le
définir
par le divorce de ses idées et de ses actes. D’où naît une certaine l
158
un exemple typique. L’autorité serait-elle mieux
définie
comme « ce à quoi l’on obéit » ? — Non : car il est courant que les h
159
talitaires (URSS et fascismes). J’essaierai de la
définir
par quatre de ses principaux caractères. a) Elle consiste d’abord da
160
mitards ou « idéologues », beaucoup en viennent à
définir
la politique comme une simple technique de gouvernement. Il serait so
161
Il analyse quelques-unes de ses causes. Enfin, il
définit
sans équivoques la solution proposée par le néo-marxisme à cette cris
162
front contre l’athéisme et contre le dogmatisme,
définit
d’emblée la situation typique du penseur « libéral ». (Calvin disait
163
la fin proposée par le socialisme. Il faut alors
définir
la culture comme « une forme commune de la vie, dont l’activité écono
164
irtuelles et pessimisme de fait : ces deux traits
définissent
l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent tro
165
ltés actuelles, optimisme imposé, ces deux traits
définissent
l’atmosphère des nations rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de l
166
Nous ne répétons ces choses, ici, que pour mieux
définir
notre rôle, notre « partialité » fondamentale dans la critique. Nous
167
les à débrouiller dans la pratique, et pourraient
définir
utilement le parti, si seulement chacun de ces mots avait le même sen
168
che bien, et qu’il soit superflu de commencer par
définir
ce premier mot ? Allons tout de suite à un exemple extrême. Pour le c
169
.) Ce renversement d’équilibre n’est pas facile à
définir
, ni surtout à localiser. Il me semble qu’il est d’abord éprouvé par l
170
apidement déprimées par la difficulté qu’il y a à
définir
simplement la culture ? Sait-on bien de quoi il s’agit quand on dit :
171
upart n’ont jamais réfléchi à ce problème —, pour
définir
la culture comme un acquis spirituel à transmettre. C’est-à-dire comm
172
se conscience. C’est aussi qu’il est le premier à
définir
une conscience nouvelle de la culture créatrice — conscience dont je
173
t liée aujourd’hui aux conditions économiques qui
définissent
la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que cette culture p
174
ifiée. Mais cette raison ennemie du singulier, et
définie
par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, hu