1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
1 e, sans obscurité, riche et décantée, profonde et délicieuse , gagnera à son auteur beaucoup d’amis inconnus. af. « Edmond Jaloux
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
2 ologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’
3 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
3 nt tout de suite une chose éthérée, déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Mais la crainte me prend qu’on a
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 ologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’
5 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
5 s escargots, et les framboises humides avaient un délicieux goût fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux d
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
6 nt tout de suite une chose éthérée, déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Mais la crainte me prend qu’on a
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 ologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
8 age, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
9 rsuite et qui éveille l’avidité de posséder, plus délicieuse que toute possession au cœur de l’homme en proie au mythe. C’est la f
10 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
10 age, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor
11 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
11 bissons le charme, nous co-naissons au « tourment délicieux  ». Toute condamnation serait vaine : on ne condamne pas le vertige. M
12 econnaissaient pas. Ce qui les rive au « tourment délicieux  » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais relève d’une puissance ét
13 e malheur, selon la force de notre âme, soit la «  délicieuse tristesse » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transf
12 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
14 lieu d’aimer l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure. (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul
13 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
15 é, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exaltation d’un
16 etient dans sa fourmilière un parasite à la sueur délicieuse , lequel finit par tout détruire. On a voulu comparer cette tendance m
14 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
17 de Tristan123, c’est dans le cri de la « torture délicieuse  », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angéliques étinc
18 ersonne — sans lui sacrifier toutefois les effets délicieux et torturants du fatal « philtre » (ici métaphorique). Bien mieux : c
19 124. Sainte Thérèse : « C’est un martyr à la fois délicieux et cruel ». 125. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir f
15 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
20 cle) parle déjà des « luttes d’amour » et de la «  délicieuse défaite » de celui « qui tombe sous les traits inévitables d’Éros ».
16 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
21 rsuite et qui éveille l’avidité de posséder, plus délicieuse que toute possession au cœur de l’homme en proie au mythe. C’est la f
17 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
22 bissons le charme, nous connaissons au « tourment délicieux  ». Toute condamnation serait vaine : on ne condamne pas le vertige. M
23 econnaissaient pas. Ce qui les rive au « tourment délicieux  » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais relève d’une puissance ét
24 e malheur, selon la force de notre âme, soit la «  délicieuse tristesse » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transf
18 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
25 lieu d’aimer l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure. (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
26 é, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exaltation d’un
27 etient dans sa fourmilière un parasite à la sueur délicieuse , lequel finit par tout détruire. On a voulu comparer cette tendance m
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
28 de Tristan141, c’est dans le cri de la « torture délicieuse  », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angéliques étinc
29 ersonne — sans lui sacrifier toutefois les effets délicieux et torturants du fatal « philtre » (ici métaphorique). Bien mieux : c
30 42. Sainte Thérèse : « C’est un martyre à la fois délicieux et cruel. » 143. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir f
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
31 cle) parle déjà des « luttes d’amour » et de la «  délicieuse défaite » de celui « qui tombe sous les traits inévitables d’Éros ».
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
32 rsuite et qui éveille l’avidité de posséder, plus délicieuse que toute possession au cœur de l’homme en proie au mythe. C’est la f
23 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
33 bissons le charme, nous co-naissons au « tourment délicieux  ». Toute condamnation serait vaine : on ne condamne pas le vertige. M
34 econnaissaient pas. Ce qui les rive au « tourment délicieux  » n’appartient ni à l’un ni à l’autre, mais relève d’une puissance ét
35 e malheur, selon la force de notre âme, soit la «  délicieuse tristesse » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transf
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
36 lieu d’aimer l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure. (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
37 é, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exaltation d’un
38 etient dans sa fourmilière un parasite à la sueur délicieuse , lequel finit par tout détruire. On a voulu comparer cette tendance m
26 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
39 de Tristan130, c’est dans le cri de la « torture délicieuse  », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angéliques étinc
40 ersonne — sans lui sacrifier toutefois les effets délicieux et torturants du fatal « philtre » (ici métaphorique). Bien mieux ; c
41 31. Sainte Thérèse : « C’est un martyre à la fois délicieux et cruel. » 132. Sainte Thérèse : « L’âme… voudrait ne jamais voir f
27 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
42 cle) parle déjà des « luttes d’amour » et de la «  délicieuse défaite » de celui « qui tombe sous les traits inévitables d’Éros ».
28 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
43 rsuite et qui éveille l’avidité de posséder, plus délicieuse que toute possession au cœur de l’homme en proie au mythe. C’est la f
29 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
44 age, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor
30 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
45 age, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
46 ologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
47 age, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor
33 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
48 s escargots, et les framboises humides avaient un délicieux goût fade. Je rentrais toute fière de mes genoux griffés comme ceux d
34 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
49 re, elle obsède nos rêves, elle met un « tourment délicieux  » dans nos vies. Sous des formes à vrai dire dégradées, de plus en pl
35 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
50 s, celle dont la contagion rarement mortelle mais délicieuse atteint tous ceux qui ont ressenti, un jour ou l’autre, la différence
36 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
51 tan qu’il a trouvé son expression la plus totale, délicieuse et tragique à la fois. C’est à ce mythe qu’il doit, depuis le xiie s
52 ons peut-être les derniers à subir son « tourment délicieux  », selon l’expression célèbre de Thomas, l’un des auteurs de la légen
37 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
53 , celle dont la contagion, rarement mortelle mais délicieuse , atteint tous ceux qui ont ressenti, un jour ou l’autre, la différenc
38 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
54 i, un Boecklin restent des petits maîtres isolés, délicieux ou extravagants, et leurs succès se font à Paris, Londres et Berlin.
39 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
55 er jusqu’à faire préférer à ses victimes le « mal délicieux  » à la santé, à la carrière sociale, à l’ambition, à toutes les forme
56 serait capable de combler l’absence du « tourment délicieux  », et de rendre Agapè plus exaltant qu’Éros. Mais nous n’avons pas le
40 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
57 « l’Art ».) Mais tous ces petits maîtres isolés, délicieux ou extravagants, dont le succès nous est revenu de Paris, de Londres
41 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
58 ourier, ombre frémissante de Flora Tristan, ombre délicieuse du Père Enfantin… une grande réparation vous est due », écrira-t-il d
42 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
59 ourier, ombre frémissante de Flora Tristan, ombre délicieuse du Père Enfantin… une grande réparation vous est due », écrira-t-il d
43 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
60 re, elle obsède nos rêves, elle met un « tourment délicieux  » dans nos vies. Sous des formes à vrai dire dégradées, de plus en pl
44 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
61 mour voilé et secret, chaste et brûlant, tourment délicieux et mal dont nul ne veut guérir, passion salutaire et qui s’épanouit d
62 e l’âme. La passion est ce trouble effrayant mais délicieux que provoque la présence de certains êtres, pour des raisons qu’eux-m
63 lergie que l’on aime, allergie positive, allergie délicieuse — et pas mieux expliquée que les autres, jusqu’ici ? Passion et dr
64 passion anéantit son objet. Sa brûlure, au début délicieuse , qu’on appelle l’état amoureux, n’est que sa forme encore voilée — « 
45 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
65 tan qu’il a trouvé son expression la plus totale, délicieuse et tragique à la fois. C’est à ce mythe qu’il doit, depuis le xiie s
66 ons peut-être les derniers à subir son « tourment délicieux  », selon l’expression célèbre de Thomas, l’un des auteurs de la légen
46 1977, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La réponse de Denis de Rougemont (1977)
67 est l’objet ou l’occasion, les surprises les plus délicieuses — ou les plus inquiétantes, selon que l’on se sent « deviné », « vrai