1 resse, jusqu’à leur mysticisme, partout c’est une démission qu’ils désirent. Du difficile oubli de soi-même nous avons fait une v

2 ons démocratiques qui sont le témoignage de notre démission  ; nous ne le ferons pas en nous mettant à la remorque du marxisme, fi

3 pensée » résulte, à notre sens, d’une psychose de démission . Survenant au moment précis de l’histoire où l’esprit doit entrer en

4 l’oppression des déterminismes collectifs, cette démission constitue un acte proprement antirévolutionnaire. À ce titre, elle va

5 divinisée. Telle est la « ligne générale » de la démission philosophique. Nombreux sont, parmi nos penseurs salariés, ceux qui p

6 de « forces économiques » sont conscients de leur démission spirituelle. D’où la tristesse qu’ils répandent sur l’époque. Et leur

7 pas. À vous voir, on le croirait presque ! Votre démission est acceptée. » 6. Sur ces fondements philosophiques de L’Ordre no

8 naissent et grandissent à la mesure exacte de nos démissions personnelles : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’histoire

9 u’un Guizot, qu’un Staline, vous camouflent cette démission en dignité nouvelle. La dignité de l’homme consisterait, dit-on, dans

10 ’est un état de décadence caractérisée, l’état de démission de la personne devant les mécanismes créés par d’autres. Alors le pou

11 ser tomber la « discipline » ? Et d’ailleurs, une démission de la philosophie eût impliqué, au concret, la démission réelle de to

12 on de la philosophie eût impliqué, au concret, la démission réelle de tous les professeurs de philosophie, à quoi personne ne peu

13 a mauvaise conscience que fomentèrent en nous les démissions systématiques de l’historicisme et du psychologisme. Le secret de not

14 ction n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démission  ; qu’ils n’ont pas fui les risques et qu’ils ont exposé leurs vies. E

15 démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particulières, — la personne au contraire représente l’attitude créat

16 ’en avais. M. Bloch n’est pas de ceux pour qui la démission de la personne devant les déterminismes historiques tient lieu de mét

17 ieux qu’il est puissant, nous témoignons de notre démission . La foule n’a pas d’autre existence et pas d’autre pouvoir que mon re

18 que l’opportunisme. » Politique à la remorque, —  démission de la France. Ce n’est pas avec cela qu’on fera du nouveau. Le début

19 à nos yeux les plus claires déclarations de cette démission de la France que, dès notre premier numéro, nous dénoncions. Qu’allon

20 ction n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démission  ; qu’ils n’ont pas fui les risques et qu’ils ont exposé leurs vies. E

21 démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particulières, — la personne au contraire représente l’attitude créat

22 naissent et grandissent à la mesure exacte de nos démissions personnelles : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’histoire

23 u’un Guizot, qu’un Staline, vous camouflent cette démission en dignité nouvelle. La dignité de l’homme consisterait, dit-on, dans

24 ction n’a pas les apparences d’une évasion, d’une démission  ; qu’ils n’ont pas fui les risques et qu’ils ont exposé leurs vies. E

25 démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particulières, — la personne, au contraire, représente l’attitude cré

26 naissent et grandissent à la mesure exacte de nos démissions personnelles : genèse des mythiques lois de l’économie, de l’histoire

27 u’un Guizot, qu’un Staline, vous camouflent cette démission en dignité nouvelle. La dignité de l’homme consisterait, dit-on, dans

28 rables se chargent de transformer le monde, cette démission de la personne23 est en effet le signe d’une castration psychique car

29 innombrables, et très diversement rétribuées, de démission . Car l’esprit, lui aussi, mène à tout, mais à condition qu’on en sort

30 rté. 47. Voir notre premier numéro et Mission ou démission de la France (Fustier, 1936). u. « Qu’est-ce que la Politique ? », L

31 e ayant démissionné, il fallait enregistrer cette démission . Il fallait partir d’autre chose que de l’individu : de l’État, de la

32 e ayant démissionné, il fallait enregistrer cette démission . Il fallait partir d’autre chose que de l’individu : de l’état, de la

33 faits, alors qu’ils décrivaient et codifiaient la démission de leurs pensées. « Pourquoi vous agiter ! On ne va pas contre son te

34 à une image bien homogène, qui serait celle de la démission spirituelle de la pensée bourgeoise ? Nous touchons ici au dernier ch

35 , et qui s’avance. Petit panorama d’une grande démission L’Histoire parle beaucoup de la force des choses. Elle oublie qu’i

36 ù je les dénonce : tous ceux-là participent de la démission permanente de la pensée, de son inactualité, de sa séparation, de sa

37 ppose une action de la grâce, la conscience d’une démission suppose la connaissance préalable, même obscure, de la mission qu’il

38 usqu’au danger. Mission de la culture Si la démission de la culture tient, comme je l’ai démontré, à son refus d’agir et de

39 me ; et qu’un système dont l’acte initial est une démission de ma pensée ou de mes mains ne produira jamais rien de valable pour

40 e ayant démissionné, il fallait enregistrer cette démission . Il fallait partir d’autre chose que de l’individu : de l’État, de la

41 faits, alors qu’ils décrivaient et codifiaient la démission de leurs pensées. « Pourquoi vous agiter ! On ne va pas contre son te

42 à une image bien homogène, qui serait celle de la démission spirituelle de la pensée bourgeoise ? Nous touchons ici au dernier ch

43 , et qui s’avance. Petit panorama d’une grande démission L’Histoire parle beaucoup de la force des choses. Elle oublie qu’i

44 ù je les dénonce : tous ceux-là participent de la démission permanente de la pensée, de son inactualité, de sa séparation, de sa

45 ppose une action de la grâce, la conscience d’une démission suppose la connaissance préalable, même obscure, de la mission qu’il

46 usqu’au danger. Mission de la culture Si la démission de la culture tient, comme je l’ai démontré, à son refus d’agir et de

47 me ; et qu’un système dont l’acte initial est une démission de ma pensée ou de mes mains ne produira jamais rien de valable pour

48 emar qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission . Et c’est ainsi d’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos su

49 demandent une trêve des inventeurs. C’est la même démission du cogito. La même castration, dirait Freud. Allons, allons, reprenon

50 emar qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission . Et c’est ainsi d’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos su

51 ne préfèrent un jour les grands malheurs à cette démission confortable ! Août 1935 La pire injustice du chômage : il vous

52 nt le feu à la bourse du travail, extorquaient la démission du maire socialiste ou le tuaient, puis rentraient sans être inquiété

53 s penser que je préconise je ne sais quelle veule démission ou quel défaitisme utopique, je traduirai la même idée en d’autres te

54 ’abord manifesté. Et je le nommerai : l’esprit de démission , de non-intervention, ou la démission de l’esprit. C’est l’esprit mêm

55 l’esprit de démission, de non-intervention, ou la démission de l’esprit. C’est l’esprit même d’un Ponce Pilate, le sceptique qui

56 les caractères généraux par lesquels se trahit la démission de l’esprit, je dirais : goût des automatismes, croyance aux fatalité

57 t ne deviennent vraies, qu’en vertu d’une immense démission de l’esprit civique dans les trop grands pays. Elles ne traduisent en

58 e ? C’est la rançon fatale du gigantisme et de la démission de la culture. C’est la faillite des systèmes centralistes et de l’es

59 ochainement dans un volume intitulé : Mission ou démission de la Suisse . Pendant tout l’hiver, nous avons pu lire dans les jour

60 ux ruiner le pays. 8. Voir mon livre Mission ou démission de la Suisse (« La bataille de la culture. ») 9. Comme le fait Paul

61 é de cette notice : « Sous le titre : Mission ou démission de la Suisse , Denis de Rougemont, l’un des lauréats du prix Gottfrie

62 ’abord manifesté. Et je le nommerai : l’esprit de démission , de non-intervention, ou la démission de l’esprit. C’est l’esprit mêm

63 l’esprit de démission, de non-intervention, ou la démission de l’esprit. C’est l’esprit même d’un Ponce Pilate, le sceptique qui

64 les caractères généraux par lesquels se trahit la démission de l’esprit, je dirais :  goût des automatismes, croyance aux fatalit

65 fataliste : elle nous décrit son propre esprit de démission , et non pas des fatalités objectives qui rendraient vaine toute actio

66 t ne deviennent vraies, qu’en vertu d’une immense démission de l’esprit civique dans les trop grands pays. Elles ne traduisent en

67 e ? C’est la rançon fatale du gigantisme et de la démission de la culture. C’est la faillite des systèmes centralistes et de l’es

68 aura tôt fait, n’en doutons pas, d’accepter notre démission — soit volontaire, soit forcée. 34. Voir là-dessus les travaux du

69 127-128. Une note précise : « Tiré de Mission ou démission de la Suisse . »

70 les prétextes qu’il nous sert pour justifier nos démissions morales. Mais en fait de prétextes, il en a de meilleurs que la scien

71 chie et le besoin de conservation. Parabole de la démission des puissances d’ordre dans le monde moderne. Même histoire, mêmes co

72  ? La barbarie débile et bébête de nos foules, la démission sans élégance de nos élites, est-ce que c’est cela qu’il faut sauver

73 les prétextes qu’il nous sert pour justifier nos démissions morales. Mais en fait de prétextes, il en a de meilleurs que la scien

74 chie et le besoin de conservation. Parabole de la démission des puissances d’ordre dans le monde moderne. Même histoire, mêmes co

75  ? La barbarie débile et bébête de nos foules, la démission sans élégance de nos élites, est-ce que c’est cela qu’il faut sauver

76 les prétextes qu’il nous sert pour justifier nos démissions morales. Mais en fait de prétextes, il en a de meilleurs que la scien

77 chie et le besoin de conservation. Parabole de la démission des puissances d’ordre dans le monde moderne. Même histoire, mêmes co

78  ? La barbarie débile et bébête de nos foules, la démission sans élégance de nos élites, est-ce que c’est cela qu’il faut sauver

79 ieux qu’il est puissant, nous témoignons de notre démission . La foule n’a pas d’autre existence et d’autre pouvoir que mon refus

80 ublique, ils n’auraient plus de choix qu’entre la démission et la tyrannie déclarée. Les bureaux à l’américaine semblent avoir ét

81 formulent des doctrines nihilistes. Devant cette démission de la pensée et de la morale, l’État se voit forcé d’étendre ses pouv

82 s avant le lancement de la bombe, on annonçait la démission du fameux Dr Oppenheimer, qui fut le chef et la cheville ouvrière des

83 un Américain juge la France Au lendemain de la démission d’un nième cabinet à Paris, un Américain me disait : — En France, n’i

84 lque peu discordant d’exigences, d’exclusives, de démissions de l’ON, de lettres recommandées et de pressions diverses, individuel

85 demandent une trêve des inventeurs. C’est la même démission du cogito. La même castration, dirait Freud. Allons, allons, reprenon

86 emar qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission . Et c’est ainsi d’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos su

87 ne préfèrent un jour les grands malheurs à cette démission confortable ! Août 1935 La pire injustice du chômage : il vous

88 zague de Reynold, dont on annonce par ailleurs la démission de notre directoire ; or, il n’en a jamais été membre. Rien de plus n

89 x autres ne sont que des déviations morbides, des démissions de l’humanité complète. La personne n’est pas à mi-chemin entre la pe

90 , notre inquiétude, nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totalitaire n’est pas dangereux seulement parce

91 s c’est en fait, pour la plupart d’entre eux, une démission de la pensée, un alibi. Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’u

92 les rend pour le moins inoffensives. Devant cette démission de la pensée et de la morale, l’État se voit forcé d’étendre ses pouv

93 ublique, ils n’auraient plus le choix qu’entre la démission et la tyrannie déclarée. Les bureaux à l’américaine semblent avoir ét

94 ricain moyen juge la France Au lendemain de la démission d’un énième cabinet à Paris, un Américain me disait : — En France, n’

95 t sauvée. Le dilemme suisse est donc : mission ou démission . M. Siegfried pense que la sagesse suisse, qui est le bon sens fédér

96 c’est, en fait, pour la plupart d’entre eux, une démission de la pensée, un alibi. Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’u

97 x autres ne sont que des déviations morbides, des démissions de l’humanité complète. La personne n’est pas à mi-chemin entre la pe

98 , notre inquiétude, nos doutes et nos vertiges de démission spirituelle. L’esprit totalitaire n’est pas dangereux seulement parce

99 s elle rend compte de nos faiblesses, et de notre démission sur le plan de l’Histoire. Et elle rend compte de la névrose d’inféri

100 . Léviathan, c’est la somme exacte de nos petites démissions personnelles. Et c’est pourquoi je conclurai, une fois de plus, par c

101 . Léviathan, c’est la somme exacte de nos petites démissions personnelles. Et c’est pourquoi je conclurai, une fois de plus, par c

102 eur est négative : il est le symbole des secrètes démissions que nous lui apportons pour faire nombre. Mais la force d’un Lawrence

103 r et simple d’autre part, l’une et l’autre de ces démissions présentant l’avantage immédiat de supprimer ce problème angoissant ?

104 crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parler d’une crise des Nations unies, par con

105 itique mondiale. Survenant peu de jours après, la démission de M. Torrès-Bodet, directeur général de l’Unesco, ne révèle certes p

106 propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parler d’une crise des Nations unies, par con

107 itique mondiale. Survenant peu de jours après, la démission de M. Torres Bodet, directeur général de l’Unesco, ne révèle certes p

108 stes, j’ai publié un ouvrage intitulé Mission ou démission de la Suisse , dans lequel j’exposais plus nettement qu’auparavant la

109 ançais en Asie deviendra le nouveau prétexte à la démission de l’Europe. Dans son premier discours à Genève, Zhou Enlai déclarait

110 asion irrésistée de la propagande totalitaire, et démission finale entre les mains d’un petit groupe « d’apaiseurs » formule Bénè

111 ion irrésistible de la propagande totalitaire, et démission finale entre les mains d’une petit groupe d’« apaiseurs », formule Bé

112 ançais en Asie deviendra le nouveau prétexte à la démission de l’Europe. Le colonialisme européen a vécu. Mais le colonialisme so

113 n des résistances à la propagande totalitaire, et démission finale entre les mains d’un petit groupe « d’apaiseurs » formule Bénè

114 ît pas moins redoutable que celle qui exigeait la démission de Delcassé. » Paraphrasons : une Allemagne vaincue, désarmée, occupé

115 ère de l’après-guerre mondiale. La mode était aux démissions de l’esprit devant l’autel d’une Histoire déifiée. Les hommes libres

116 contact de deux apathies et de l’échange de deux démissions . Le dialogue désormais engagé ne sera fécond et profitable à tous les

117 e tâche Plus que jamais résister à l’esprit de démission , d’autodénigrement morbide, qui affecte une bonne partie de notre « i

118 nir donné pour fatal, mais dans une seule et même démission de la personne, qui désespère de ses pouvoirs d’innovation et de tout

119 d’Évangile à rebours, « mauvaise nouvelle » d’une démission fatale. Les émeutes de Poznań, la résistance de Varsovie et la révolu

120 uvement de l’histoire » un mauvais alibi pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient créateur. Et la questio

121 nir donné pour fatal, mais dans une seule et même démission de la personne, qui désespère de ses pouvoirs d’innovation et de tout

122 e version de ce texte avait paru dans Mission ou démission de la Suisse , en 1940. 41. Cf. F. Fontaine, « Naissance d’un esprit

123 partir de nos doctrines militantes, peut être une démission de l’esprit mais peut être aussi, et doit être, une décision existent

124 t », c’est-à-dire, à ce moment-là, du refus de la démission de l’esprit devant les lois réputées « fatales » de notre décadence.)

125 zague de Reynold, dont on annonce par ailleurs la démission de notre Directoire : or il n’en a jamais été membre. Rien de plus no

126 x autres ne sont que des déviations morbides, des démissions de l’humanité complète. La personne n’est pas à mi-chemin entre la pe

127 achine était en passe d’asservir l’homme. Étrange démission de l’esprit devant ses propres inventions ! Car il est clair que la m

128 elle, d’autre part, résultent d’une seule et même démission de la personne devant sa liberté et devant sa responsabilité. Mais la

129 les rend pour le moins inoffensives. Devant cette démission de la pensée et de la morale, l’État se voit forcé d’étendre ses pouv

130 d’Évangile à rebours, « mauvaise nouvelle » d’une démission fatale. Les émeutes de Poznań, la résistance de Varsovie et la révolu

131 uvement de l’histoire » un mauvais alibi pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient créateur. Et la questio

132 emain », écrivait dès 1954 Jean Monnet (Lettre de démission de la CECA). Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l

133 daction ou de publication. 151. Dans Mission ou démission de la Suisse , Neuchâtel, La Baconnière, 1940. 152. Rapport du prem

134 main », écrivait dès 1954 Jean Monnet. (Lettre de démission de la CECA.) Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l

135  : « l’objectivité scientifique » dissimulant une démission civique rend le pire de plus en plus sûr.) Objections tactiques

136 tres dont il se réclame pour parler de mission ou démission de la Suisse. Nul non plus n’a le droit de contester le témoignage de

137  : « l’objectivité scientifique » dissimulant une démission civique rend le pire de plus en plus sûr. Objections tactiques

138 accepte avec raideur mais non sans soulagement sa démission . Et commence pour lui une période de vingt ans de réprobation sociale

139 emain », écrivait dès 1954 Jean Monnet (Lettre de démission de la CECA). Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l

140  : « l’objectivité scientifique » dissimulant une démission civique rend le pire de plus en plus sûr. Objections tactiques

141 n référence plus précise encore à la « mission ou démission de la France » : À la dictature nationale ou internationale, la Fran

142 s la véritable mission de la France, contre cette démission du spirituel et ce refus de l’universel qu’est le stato-nationalisme

143 aux sacrifices individuels raisonnables l’abjecte démission générale et rentable : L’Europe aspire visiblement à être gouvernée

144 e même de la publication par L’ON de Mission ou démission de la France, réponse à Hitler, du numéro spécial intitulé Après les

145 936, paraît la brochure ON intitulée Mission ou démission de la France. Quatre ans plus tard, je publierai à Neuchâtel Mission

146 s plus tard, je publierai à Neuchâtel Mission ou démission de la Suisse . En novembre, Alexandre Marc met en épigraphe à un arti

147 de la Révolution, il nous reste à enregistrer sa démission . Bien loin d’être la seule réalité possible, comme le proclament beau

148 ’autre des deux avenirs possibles : – ou bien la démission épidémique de la personne, du citoyen, devant la mécanique inhumaine

149 exactitude des prévisions quantitatives mesure la démission de l’homme devant l’État. D’où l’on déduit que l’économie de guerre,

150 l’annonce. Car cette phrase trahit et déclare la démission du spirituel qu’elle dit fatale. Ce qu’il s’agit de savoir en réalit

151 -nationaux, pour commencer) nous invitent à cette démission de la personne — dont ils résultent en vérité ! — et la présentent co

152 re, l’avenir redevient notre affaire. Ou bien la démission épidémique de la personne devant la mécanique de l’État nous conduit,

153 ndation européenne de la culture, présentent leur démission , pour les raisons qu’on vient de dire, mais aussi parce que cette dém

154 asser le flambeau, selon le cliché, ce serait une démission , voire une abdication qui ne trouverait plus personne pour l’accepter