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l est d’autant plus regrettable de voir Baring se
départir
ici de la sagesse qu’il montre ailleurs, grossir les traits, découvri
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voire le sentiment d’équivoque dont on ne peut se
départir
à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réel
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t d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux : Ô dure
départie
Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les yeux de
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voire le sentiment d’équivoque dont on ne peut se
départir
à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réel
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t lorsqu’il la rend à son époux : Ô dure
départie
Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les yeux de
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nt de reprendre Iseut : Dex ! dist Tristan, quel
départie
! Mot est dolenz qui pert s’amie… C’est sur sa propre peine qu’il s
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voire le sentiment d’équivoque dont on ne peut se
départir
à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réel
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t d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux : Ô dure
départie
Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.) Car les yeux de
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ncore et les appelle… « Deh ! dit Tristan, quelle
départie
! » Mais il y a plus. La lucidité de Musil s’attaque ici à la formule
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ncore et les appelle… « Deh ! dit Tristan, quelle
départie
! ». Mais il y a plus. La lucidité de Musil s’attaque ici à la formul
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elle) = riot sorcerie (sorcellerie) = sorcery
départie
(départ) = departure Il doit être évident que ces restitutions sont