1 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
1 a déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les sentiments qui sont en train de se nouer dans une durée étale et
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
2 a déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les sentiments qui sont en train de se nouer dans une durée étale et
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
3 a déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les sentiments qui sont en train de se nouer dans une durée étale et
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
4 a déguise et on l’éloigne en rêve, on s’acharne à dépayser les sentiments qui sont en train de se nouer dans une durée étale et
5 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
5 roisses suisses. Elle sera d’abord, probablement, dépaysée , comme je vous le disais tout à l’heure, par le ton du pasteur et le
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
6 uit, dans la ténèbre chaude. Un vrai départ, déjà dépaysé . Rien à regarder du pont, sinon dans les hauts draps de brume qui nou
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
7 uit, dans la ténèbre chaude. Un vrai départ, déjà dépaysé . Rien à regarder du pont, sinon dans les hauts draps de brume qui nou
8 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
8 , dans des régions sauvages. Les voici doublement dépaysés , et par la plus curieuse coïncidence, aux prises dans le désert avec
9 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
9 l’école graphique de Zurich) se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gaspillé sur des stucs boursouflés e
10 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
10 ’école graphique de Zurich), se sent complètement dépaysée dans ces sanctuaires où l’or est gaspillé sur des stucs boursouflés e