1 cahiers de Maurice Barrès on trouve une triste et désarmante confidence. Barrès l’exprime avec son génie de mélancolie, mais en su

2 ier paragraphe. Tout cela d’une vérité proprement désarmante . M. Meunier atteint sans effort apparent la perfection dans la banali

3 tuations acquises). D’où cette espèce d’optimisme désarmant qui se manifeste dans des expressions telles que : « Cela ne peut pas

4 épris de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à penser mal, à patauger dans des jugements intolérants et ana

5 e d’élucider. Vous me dites (avec une gentillesse désarmante et si rare !) que mon livre « est un livre d’histoire » et que je ne

6 épris de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à penser mal, à patauger dans des jugements intolérants et ana

7 tre le péril atomique, ni d’afficher un pacifisme désarmant . Pourtant, un soir de fièvre, il a signé la lettre proposant à Roosev

8 que la technique a réussi à pacifier l’Europe en désarmant et jugulant pratiquement ses passions nationalistes, sources des guer

9 aresse qui peut être rusée mais que l’accent rend désarmante  ; chez le Neuchâtelois que Rousseau, bien à tort, qualifiait de « fin