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érieur n’a pas plus de signification réelle que l’
ego
, dont il s’est débarrassé depuis longtemps. L’une et l’autre sont les
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nt, mal distinct d’une angoisse, qu’ici le Moi, l’
ego
central, n’existe pas ? Ces danseurs sont des rôles, des acteurs abso
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dentité, qui est celle d’un ordre et non pas d’un
ego
, d’un être différent qui ne vivra qu’une fois. Il résiste sans contre
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endre ou s’abandonner, impérialisme ou perte de l’
ego
, tyrannie exercée ou passion subie — le contraire de la liberté. Si l
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as, qu’est-ce qui transmigre64 ? Mais ce moi, cet
ego
, cette entité distincte, voilà précisément ce que les doctrines de l’
6
r les premiers bouddhistes porte sur l’Atman de l’
ego
relatif, non sur l’Atman de l’ego absolu, l’ego d’après l’expérience
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ur l’Atman de l’ego relatif, non sur l’Atman de l’
ego
absolu, l’ego d’après l’expérience illuminante.67 » Ou dans le sanscr
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l’ego relatif, non sur l’Atman de l’ego absolu, l’
ego
d’après l’expérience illuminante.67 » Ou dans le sanscrit du Bouddha
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t pas encore la personne, mais l’obstination de l’
ego
qui veut durer au-delà de la mort sans rien comprendre aux conditions
10
cond stade, où les spirituels s’opposent même à l’
ego
absolu, à la réalité de l’âme distincte. Le soi de chacun se confond
11
ne, l’individu et la personne, l’âme et l’ange, l’
ego
et le Soi. Observons que les trois partent d’une dualité sans laquell
12
mnation de l’égoïsme, qui est l’impérialisme de l’
ego
naturel et sa fermeture autarcique. Mais les motifs de cette condamna
13
la personne ou la survolent, ne connaissent que l’
ego
tout transitoire et le Soi tout impersonnel : « Il n’est qu’un Soi po
14
: « La psychologie moderne, en fait, a éliminé l’
ego
comme entité. » (Mysticism : Christian and Bouddhist, p. 39.) La psyc
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as, qu’est-ce qui transmigre98 ? Mais ce moi, cet
ego
, cette entité distincte, voilà précisément ce que les doctrines de l’
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r les premiers bouddhistes porte sur l’Atman de l’
ego
relatif, non sur l’Atman de l’ego absolu, l’ego d’après l’expérience
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ur l’Atman de l’ego relatif, non sur l’Atman de l’
ego
absolu, l’ego d’après l’expérience illuminante.101 » Ou dans le sansc
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l’ego relatif, non sur l’Atman de l’ego absolu, l’
ego
d’après l’expérience illuminante.101 » Ou dans le sanscrit du Bouddha
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t pas encore la personne, mais l’obstination de l’
ego
qui veut durer au-delà de la mort sans rien comprendre aux conditions
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cond stade, où les spirituels s’opposent même à l’
ego
absolu, à la réalité de l’âme distincte. Le soi de chacun se confond
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ne, l’individu et la personne, l’âme et l’ange, l’
ego
et le Soi. Observons que les trois partent d’une dualité sans laquell
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mnation de l’égoïsme, qui est l’impérialisme de l’
ego
naturel et sa fermeture autarcique. Mais les motifs de cette condamna
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la personne ou la survolent, ne connaissent que l’
ego
tout transitoire et le Soi tout impersonnel : « Il n’est qu’un Soi po
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: « La psychologie moderne, en fait, a éliminé l’
ego
comme entité. » (Mysticism : Christian and Buddhist, p. 39.) La psych
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auraient se remémorer sans émotion ces vers : His
ego
nec metas rerum, nec tempora pono : Imperium sine fine dedi… Tu reger