1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 perpétuel journal de nos relations avec le monde, empruntant toutes les formes qu’on voudra, roman, essai, commentaires ou poèmes,
2 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
2 tristesse. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son désir ainsi fut exaucé.
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
3 perpétuel journal de nos relations avec le monde, empruntant toutes les formes qu’on voudra, roman, essai, commentaires ou poèmes,
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
4 tristesse. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son désir ainsi fut exaucé.
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
5 s parlent beaucoup des « nécessités de l’époque » empruntant au vocabulaire économique et politique. Or si l’on peut prouver que l
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
6 ales qui n’aient pris conscience d’elles-mêmes en empruntant au nationalisme occidental ses formes et en développant, à leur tour,
7 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
7 s parlent beaucoup des « nécessités de l’époque » empruntant au vocabulaire économique et politique. Or si l’on peut prouver que l
8 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
8 ande politique et la publicité commerciale, l’une empruntant le ton de l’instruction impérative afin de mieux faire régresser le j
9 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
9 le premier à utiliser ce terme en français, en l’ empruntant , si ma mémoire ne m’abuse, à un modeste philosophe d’outre-Rhin, Will