1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
1 geait dans les rues sourdes comme un songe de son enfance . Aux fenêtres du palais s’étoilèrent des halos. Le jour tendre parais
2 sous l’égide de la mort. Il vit des fleurs de son enfance , une églantine, quelques roses, un sourire qui perce le cœur sur les
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 as de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’ enfance géniaux et prophétiques, ni opinions de critiques autorisés. Du benja
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
4 aris cette magie des sensations et des rêves de l’ enfance et cette féminité du sentiment, du tour de pensée même, qui faisaient
5 défaut de composition du livre et sa richesse. L’ enfance de Catherine à Paris est du roman pur ; la tournée des cours de l’Eur
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
6 t mon œuvre. Il naît fils de paysan. Il passe son enfance à jouer avec des outils, « et c’est avec des outils qu’il joue encore
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
7 ux premiers tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’Anderson est étonnant d’appa
6 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
8 Souvenirs d’ enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)t Quand avec un air
9 es ? Noisettes et cornichons ? t. « Souvenirs d’ enfance et de jeunesse, par Philippe Godet », Revue de Belles-Lettres, Lausan
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
10 se. C’est qu’ils les confondent avec ceux de leur enfance et les font indûment participer de la même grâce. Voyez Péguy, quand
11 nce à nous gâter toute une journée. Une journée d’ enfance gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier par le prix du mètre co
12 es chiffres trop gros s’emmêlent… Et c’est cela l’ enfance insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des gra
13 au souci quotidien des grandes personnes ? Mais l’ enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin où l’on trouve des cloporte
14 sonance douloureuse2. Deux angoisses dominent mon enfance  : les séances chez le dentiste et l’horaire des leçons. Ce malaise in
15 ense que tout cela tient trop de place dans notre enfance . À 5 ans, j’avais appris à lire, en cachette, avec une sœur aînée. L’
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
16 ime. Ensuite, il faut une discipline sévère dès l’ enfance pour façonner des contribuables inoffensifs. Enfin, il faut un nombre
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
17 se. C’est qu’ils les confondent avec ceux de leur enfance et les font indûment participer de la même grâce. Voyez Péguy, quand
18 es chiffres trop gros s’emmêlent… Et c’est cela l’ enfance insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des gra
19 au souci quotidien des grandes personnes ? Mais l’ enfance est ailleurs. Je revois ce fond de jardin où l’on trouve des cloporte
20 onance douloureuse. 3 Deux angoisses dominent mon enfance  : les séances chez le dentiste et l’horaire des leçons. Ce malaise in
21 ense que tout cela tient trop de place dans notre enfance . À 5 ans, j’avais appris à lire, en cachette avec ma sœur aînée. L’an
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
22 ime. Ensuite, il faut une discipline sévère dès l’ enfance pour façonner des contribuables inoffensifs. Enfin, il faut un nombre
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
23 e fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’ enfance . Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je
24 couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… 12. Rappelons que notre société est fondée sur la peur
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
25 ens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’ enfance  : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une grande personne. On me
13 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
26 u souvenir, brève nuit d’août et souvenirs de nos enfances . Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 e fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’ enfance . Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je
28 couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… xi Le retour d’Esztergom Il faut se pencher aux po
29 ens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’ enfance  : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une grande personne. On me
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
30 de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance, cette foi anxieuse en je
31 x mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance , cette foi anxieuse en je ne sais quelle liberté du monde. Un peu plu
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
32 u souvenir, brève nuit d’août et souvenirs de nos enfances . Ce « soir des signes » où des renards sortirent à la lisière de la f
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 e fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’ enfance . Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je
34 couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom Il faut se pencher aux portiè
35 ens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’ enfance  : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une grande personne. On me
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
36 de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance, cette foi anxieuse en je
37 x mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance , cette foi anxieuse en je ne sais quelle liberté du monde. Un peu plu
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
38 simplement l’avant-guerre, les souvenirs de notre enfance . Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche 
39 eil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance , et notre possession la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
40 l’escalier, qui basculait un peu du temps de mon enfance . (On ne l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers l
41 ointus, sort d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance . Des jeunes gens en chandail, portant de grosses valises, se hâtent v
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
42 d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans de mon enfance . Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté ? …Et nous n’irons
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
43 nationale, aussitôt confisquée par Marx. De cette enfance il me reste un cauchemar, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurse
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
44 ze années. Le père de Kierkegaard avait passé son enfance à garder les moutons dans la plaine du Jutland. Un jour, accablé par
23 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
45 es, jardins, temples, statues, — visages ! Dans l’ enfance de la lumière. L’image physionomique de l’Univers Quelle que so
24 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
46 e lecture.) Trois thèmes : la biographie (milieu, enfance , jeunesse, professions exercées de journaliste ou de fonctionnaire) ;
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Vassily Photiadès, Marylène ou à qui le dire ? (février 1937)
47 n le dira donc au public. Ce sont des souvenirs d’ enfance , fort bien réinventés, et contés dans un style un peu chantant, voilé
26 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
48 doigts et les ongles terreux ; toujours ce goût d’ enfance … Je ne me sens plus « éloigné de Paris », mais au centre de mon domai
27 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
49 ’art du récit, c’est la légende. Une atmosphère d’ enfance retrouvée — qu’on lise les souvenirs qui composent Morbacka 16 — voil
50 nous pensions que le secret s’était perdu avec l’ enfance . Comme on sent que l’auteur s’amuse de sa maîtrise : Lagerlöf, ou la
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
51 s petits trucs de plantage que je savais dans mon enfance campagnarde). Comme je lui offrais une cigarette il s’est redressé d’
52 doigts et les ongles terreux ; toujours ce goût d’ enfance … Je ne me sens plus « éloigné de Paris », mais au centre de mon doma
29 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
53 it à Copenhague en 1813. Son père avait passé son enfance à garder les moutons dans la plaine du Jutland. Un jour, accablé par
30 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
54 couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la vraie gloire d’un poète : que son
31 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
55 d’une noble Dame dans le paysage des souvenirs d’ enfance  : Blonde, aux yeux noirs, en ses habits anciens Que dans une autre e
56 haînement » sexuel de la jeunesse et presque de l’ enfance , probablement sans précédent dans notre histoire européenne. Quant au
32 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
57 nse est fournie par la psychologie cou­rante de l’ enfance . J’interdis à mon fils, âgé de trois, ans, de s’approcher du feu. Il
33 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
58 simplement l’avant-guerre, les souvenirs de notre enfance . Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche 
34 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
59 , Anton Reiser (le héros de Moritz) la fait dès l’ enfance , lorsqu’il s’interroge sur ce qu’est devenue sa petite sœur : le vœu
35 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
60 d’une noble Dame dans le paysage des souvenirs d’ enfance  : Blonde, aux yeux noirs, en ses habits anciens Que dans une autre e
36 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
61 Flue nous en donne une preuve édifiante. Dès son enfance , nous le voyons s’astreindre aux « œuvres » de la religion qui est al
62 inuscule chapelle. Et le miracle, préparé dès son enfance , se réalise : Nicolas s’aperçoit soudain qu’il peut se passer de mang
63 colas de Flue, jeûnant plus que de raison dès son enfance , et au-delà de toute « discrétion » imaginable pendant ses vingt dern
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
64 d’une noble Dame dans le paysage des souvenirs d’ enfance  : Blonde, aux yeux noirs, en ses habits anciens Que dans une autre e
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
65 d’une noble Dame dans le paysage des souvenirs d’ enfance  : Blonde, aux yeux noirs, en ses habits anciens Que dans une autre e
39 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
66 simplement l’avant-guerre, les souvenirs de notre enfance . Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche 
67 eil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance , et notre possession la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
40 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
68 ze années. Le père de Kierkegaard avait passé son enfance à garder les moutons dans la plaine du Jutland. Un jour, accablé par
41 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
69 , Anton Reiser (le héros de Moritz) la fait dès l’ enfance , lorsqu’il s’interroge sur ce qu’est devenue sa petite sœur : le vœu
42 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
70 ns allemandes : leur inculquer dès la plus tendre enfance le respect sacré de la définition légale et objective de quelques mot
43 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
71 pays dont tous les manuels nous apprennent dès l’ enfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la F
44 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
72 et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de mon enfance . Non point la vraie — il n’y en a point — mais l’une des vraies — ell
45 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
73 entournures, matériellement ou moralement. Dès l’ enfance , il s’arrange pour ménager du jeu dans sa conduite, dans ses relation
46 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
74 linquant, l’irréel, le rose et le doré, le rêve d’ enfance et d’innocence universelle, bercé de musiques nostalgiques. Noël ici
47 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
75 ointus, sort d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance . Des jeunes gens en chandail, portant de grosses valises, se hâtent v
48 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
76 eil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance , et notre possession la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
49 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
77 e clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’ enfance et d’innocence universelle, bercé de musiques nostalgiques. Noël, ici
50 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
78 simplement l’avant-guerre, les souvenirs de notre enfance . Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche 
51 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
79 t perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance , ils n’ont plus envie de bâtir. Beaucoup passent leurs nuits dans des
52 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
80 om que par les catalogues de timbres-poste de mon enfance . On nous y montre des maisonnettes coupées en deux du faîte au sol, l
53 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
81 pays dont tous les manuels nous apprennent dès l’ enfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la F
82 ’est pas de bonheur plus conscient que celui de l’ enfance retrouvée dans une vacance où le travail lui-même est jeu. Tous les p
83 son d’il y a longtemps, semblable à celles de mon enfance , en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites a
54 1946, Journal des deux mondes. Virginie
84 rête est une illustration de livre anglais de mon enfance  : cheminée à la bretonne, toit d’ardoise, grosses pierres grises, sur
85 une puissance plus réelle. Mais ce n’est là que l’ enfance de l’art, et la question la plus élémentaire.
55 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
86 eil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance , et notre possession la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
56 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
87 et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de mon enfance . Non point la vraie — il n’y en a point — mais l’une des vraies — ell
88 ns allemandes : leur inculquer dès la plus tendre enfance le respect sacré de la définition légale et objective de quelques mot
89 e clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’ enfance et d’innocence universelle, bercé de musiques nostalgiques. Plus que
57 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
90 l’escalier qui basculait un peu, du temps de mon enfance . (On ne l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers l
91 ointus, sort d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance . Des jeunes gens en chandail portant de grosses valises, se hâtent ve
58 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
92 s dans une grande explosion la hantait depuis son enfance . (Elle est née dans un tremblement de terre.) — C’est sacrilège, ce q
59 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
93 s dans une grande explosion la hantait depuis son enfance . (Elle est née dans un tremblement de terre.) — C’est sacrilège, ce q
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
94 u souvenir, brève nuit d’août et souvenirs de nos enfances . Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
95 e fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’ enfance . Je portais donc ma vision d’Orient et je grimpais gravement comme je
96 couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom Il faut se pencher aux portiè
97 ens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’ enfance  : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une grande personne. On me
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
98 de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance, cette foi anxieuse en je
99 x mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance , cette foi anxieuse en je ne sais quelle liberté du monde. Un peu plu
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
100 s petits trucs de plantage que je savais dans mon enfance campagnarde). Comme je lui offrais une cigarette il s’est redressé d’
101 doigts et les ongles terreux ; toujours ce goût d’ enfance … Je ne me sens plus « éloigné de Paris », mais au centre de mon domai
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
102 onse est fournie par la psychologie courante de l’ enfance . J’interdis à mon fils, âgé de 3 ans, de s’approcher du feu. Il s’en
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
103 simplement l’avant-guerre, les souvenirs de notre enfance . Et voici que ce Temps Perdu, tout d’un coup, est encore plus proche 
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
104 t perdu leur maison, et c’était leur pays et leur enfance , ils n’ont plus envie de bâtir. Beaucoup passent leurs nuits dans des
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
105 om que par les catalogues de timbres-poste de mon enfance . On nous y montre des maisonnettes coupées en deux du faîte au sol, l
106 nt son assiette, ainsi qu’on l’inculquait à notre enfance , on la laisse remplie aux trois quarts quand le domestique vient la c
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
107 pays dont tous les manuels nous apprennent dès l’ enfance — et nul ne s’en étonne — qu’il possède un climat tempéré. C’est la F
108 ’est pas de bonheur plus conscient que celui de l’ enfance retrouvée dans une vacance où le travail lui-même est jeu. Tous les p
109 l y a longtemps, un peu semblable à celles de mon enfance , en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites a
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
110 entournures, matériellement ou moralement. Dès l’ enfance , il s’arrange pour ménager du jeu dans sa conduite, dans ses relation
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
111 rête est une illustration de livre anglais de mon enfance  : cheminée à la bretonne, toit d’ardoise, grosses pierres grises, sur
112 une puissance plus réelle. Mais ce n’est là que l’ enfance de l’art, et la question la plus élémentaire. 97. (Note de 1967.) L
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
113 eil arbre — il était vieux déjà du temps de notre enfance , et notre possession la plus tenace, il nous réduisait au silence. La
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
114 et d’oiseaux-mouches. C’est ici l’Amérique de mon enfance . Non point la vraie — il n’y en a point — mais l’une des vraies — ell
115 ns allemandes : leur inculquer dès la plus tendre enfance le respect sacré de la définition légale et objective de quelques mot
116 s dans une grande explosion la hantait depuis son enfance . (Elle est née dans un tremblement de terre.) « C’est sacrilège, ce q
117 e clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’ enfance et d’innocence universelle, bercé de musiques nostalgiques. Plus que
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
118 l’escalier, qui basculait un peu du temps de mon enfance . (On ne l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers l
119 ointus, sort d’un xixe siècle d’illustrés de mon enfance . Des jeunes gens en chandail, portant de grosses valises, se hâtent v
74 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
120 ’est pas de bonheur plus conscient que celui de l’ enfance retrouvée dans une vacance où le travail lui-même est jeu. Tous les p
121 son d’il y a longtemps, semblable à celles de mon enfance , en marge du temps de la guerre, j’ai vécu des journées soustraites a
75 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
122 et serait la solitude, la frustration ? Ou bien l’ enfance plus sérieuse et plus métaphysique que l’âge adulte ? (Les scènes et
76 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
123 entournures, matériellement ou moralement. Dès l’ enfance , il s’arrange pour ménager du jeu dans sa conduite, dans ses relation
77 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
124 d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans de mon enfance . Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté ? … Et nous n’iron
78 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
125 grâce. Le risque et l’isolement nous rendent à l’ enfance , parce qu’ils nous livrent aux magies intimes. Se croire ou se sentir
79 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
126 ulture ; B) que soit créé un Centre européen de l’ enfance et de la jeunesse 1) pour coordonner les efforts communs et étudier
80 1948, Suite neuchâteloise. VII
127 d’Œil de faucon et du Dernier des Mohicans de mon enfance . Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-je quitté ? … Et nous n’iron
81 1948, Suite neuchâteloise. VIII
128 tionale, aussitôt confisquée par Marx.   De cette enfance il me reste un cauchemar, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurs 
82 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
129 nt désormais à Fenimore Cooper, au mythe, à notre enfance , — n’y touchons plus. Mais prenez deux Européens de nations différent
83 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
130 ces deux vies. Leur vocation s’est marquée dès l’ enfance et affirmée pendant l’adolescence : à 20 ans les voilà partis, l’un p
84 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
131 vre et de mourir, et dresse chaque homme, dès son enfance à s’y adapter et conformer. La civilisation européenne, elle aussi, d
85 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
132 élancolie profonde le sépare des autres et, dès l’ enfance , fait de lui une nature d’exception. Mais l’appel religieux qui vient
86 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
133 amentaux. Ils se fondent sur une psychologie de l’ enfance beaucoup plus avertie et scientifique que celle qui règne sur l’école
87 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
134 uplées. Avec l’irréflexion de la jeunesse et de l’ enfance , je tenais la beauté du pays pour un mérite historique et politique,
88 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
135 nseignement nationaliste, qui leur inculque dès l’ enfance la méfiance et la haine de leurs voisins. Il résulte de ces brèves re
89 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
136 giques en URSS et en Europe ; la psychologie de l’ enfance  ; la criminalité juvénile ; l’éducation du sens de la solidarité huma
90 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
137 des études ne cesse de s’étendre vers la première enfance (dressage social et moral) et vers l’âge mûr (spécialisation toujours
91 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
138 esseront d’enseigner à des générations dont notre enfance a connu les derniers représentants. Cependant, vers 1950, nul ne peut
139 rt comme à la perte des paradis — Eden, âge d’or, enfance — vécus ou imaginaires. Et il est lié à la menace toujours instante d
92 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aux racines de l’Europe de demain (avril 1957)
140 ion dans laquelle il est né et les manuels de son enfance , il se dira contre la CED par crainte de « l’Allemagne éternelle », c
93 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
141 esseront d’enseigner à des générations dont notre enfance a connu les derniers représentants. Cependant, vers 1950, nul ne peut
142 rt comme à la perte des paradis — Eden, âge d’or, enfance  — vécus ou imaginaires. Et il est lié à la menace toujours instante d
94 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
143 e heures par jour, dès sa jeunesse ou parfois son enfance , puis l’homme taylorisé, travaillant à la chaîne. Et certes, ce n’éta
95 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
144 mencement de ma vie, sous le ciel paisible de mon enfance , tu es apparue de la même manière… Souvent, plus tard, au cours de ma
145 , c’est la vérité vitale d’un poète. « Depuis son enfance , il aimait la forêt lorsque le soir elle est transpercée par le feu d
96 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
146 ’une vie heureuse, d’une vie sans chômeurs, d’une enfance heureuse, d’une paisible vieillesse… du droit de l’homme à créer en t
97 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
147 n ne saurait avoir de biographie : le doter d’une enfance et d’une jeunesse fut l’erreur fatale de Byron. Il est le génie de l’
98 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
148 urs d’université et l’un des premiers prix Nobel. Enfance heureuse et sans histoire, affirme-t-il. Il est élevé dans le patriot
99 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
149 opose un peu partout d’orienter les études, dès l’ enfance , vers la formation scientifique et technique, aux dépens de la cultur
100 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
150 mencement de ma vie, sous le ciel paisible de mon enfance , tu es apparue de la même manière… Souvent, plus tard, au cours de ma
151 , c’est la vérité vitale d’un poète. « Depuis son enfance , il aimait la forêt lorsque le soir elle est transpercée par le feu d