1
haque instant, d’explosion. Le géant russe est un
enfant
: va-t-il rire, va-t-il pleurer ? m’embrasser ou me tuer ? Il sent au
2
de gré ou de force tous ceux qui resteront « Les
enfants
seront du moins catholiques, si les pères sont hypocrites », écrit Ma
3
ouvais un petit arrachement, comme précisément un
enfant
qui monte pour la première fois… Je me disais encore : Si je prends c
4
e consécration bien méritée du talent d’un de ses
enfants
… » Car le fils prodigue, s’il rentre au foyer dans une Rolls-Royce et
5
austère et probe, qui n’a d’ambition que pour ses
enfants
. Jacob, l’aîné se révolte. Sensualité, intelligence, brutalité : les
6
d’une locomotive routière. « Depuis l’instant où,
enfant
de 12 ans, j’aperçus cette machine de route, jusqu’au jour présent, m
7
a seule chose contraire à la coutume viennoise. L’
enfant
était charmante, comme elles le sont presque toutes dans cette ville,
8
rard la regarda avec une certaine pitié : « Chère
enfant
, dit-il doucement, pauvre colombe dépareillée, vous n’avez pas de res
9
ni psychologue ? Laisserons-nous Jules Verne aux
enfants
? J’allais oublier que la littérature enfantine est le dernier bateau
10
l en tombe d’accord ; accepte d’attendre comme un
enfant
sage que le monde lui donne, en son temps, sa petite part. On lui a e
11
son chien en mourant, une fille qui chante et des
enfants
surtout, dès le début, puis plus tard encore, dans les songes des gra
12
e M. Abel Bonnard, et Le Pédagogue n’aime pas les
enfants
, d’Henri Roorda. Le premier montre que la science apprise à l’école a
13
du monde. Entrons, c’est pire encore. Beaucoup d’
enfants
ont un frisson de dégoût au moment de passer la porte, au son de la c
14
façon nécessaire de connaître la psychologie des
enfants
, ni même le contenu des sciences dont on écrit les noms dans les casi
15
on tînt compte des possibilités d’adaptation de l’
enfant
; de la valeur fort inégale de ces disciplines ; de la diversité des
16
et que notre temps est précieux. D’ailleurs, les
enfants
ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fau
17
nez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces
enfants
… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. Les examens Ce s
18
t s’explique justement par cette psychologie de l’
enfant
dont je disais tout à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de
19
éal), découle cette exigence théorique : tous les
enfants
doivent à tout instant être en mesure 1° d’ingurgiter la même quantit
20
La discipline scolaire consiste à faire tenir les
enfants
immobiles et muets 6 heures par jour durant 8 ans. Il paraît que cela
21
. » Ceci est une énorme bourde. Juxtaposez trente
enfants
sur les bancs d’une salle d’école, vous n’aurez rien qui ressemble en
22
ment nouveau dans l’Histoire, que l’on oblige les
enfants
à vivre ensemble dès l’âge de 6 ans, favorise le développement de leu
23
? Quelle est cette éducation sociale qui enlève l’
enfant
à la famille ?5 Quel est cet instrument de perfectionnement civique q
24
t sacrifiés. Voici ce que M. E. Duvillard dit des
enfants
peu doués pour les disciplines scolaires : « Les épaves scolaires, fa
25
être avantageux dans certains cas de soustraire l’
enfant
à l’influence d’une famille anormale. Mais d’abord c’est sanctionner
26
l y aurait sans doute d’autres moyens de sauver l’
enfant
dans sa famille). Ensuite, pourquoi fait-on en réalité, comme si tout
27
er selon des principes tirés de l’observation des
enfants
, c’est-à-dire : en contradiction sur toute la ligne avec l’enseigneme
28
absurdités. On a créé par exemple des « jardins d’
enfants
» où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs soulie
29
pratique. Plus tard on fait apprendre à ces mêmes
enfants
, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et places de leu
30
e nature. Elle prétend donner plus de liberté aux
enfants
en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la possibilité d
31
me, sauf que par la méthode nouvelle on atteint l’
enfant
plus profondément, on se glisse à l’intérieur de son esprit, là où s’
32
mes comme des plantes de serre dans ces jardins d’
enfants
. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chimique : On
33
rre dans ces jardins d’enfants. On y parle de « l’
enfant
» comme on parle d’un produit chimique : On remarque chez l’enfant… D
34
parle d’un produit chimique : On remarque chez l’
enfant
… Dans ce milieu l’enfant ne tarde pas à se développer… Prenez un enfa
35
que : On remarque chez l’enfant… Dans ce milieu l’
enfant
ne tarde pas à se développer… Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensem
36
l’enfant ne tarde pas à se développer… Prenez un
enfant
de 6 ans… Mettez ensemble trois enfants… Je reconnais que les buts de
37
Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensemble trois
enfants
… Je reconnais que les buts de l’école nouvelle sont honnêtement scien
38
t-cobaye vaut l’enfant-citoyen. Moi je voudrais l’
enfant
tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins je soupç
39
es tommies. La machine scolaire, elle, dévore des
enfants
tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tou
40
ment sentimentaux qui peuvent apparaître chez les
enfants
? Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux
41
ure où elle réalise son ambition : soustraire les
enfants
à l’Église et à la famille. L’Église donnait des valeurs idéalistes,
42
tablissement de travaux forcés. L’école donne à l’
enfant
ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il
43
ce temps. L’instruction religieuse qui prend les
enfants
au sortir de l’école primaire, arrive trop tard. Le pasteur sème dans
44
nte peut-on imaginer ? L’école devrait donner à l’
enfant
ce que son entourage ne peut plus lui donner : des modèles de pensée.
45
dans la mesure sans doute faible où la nature des
enfants
le supporte, on économiserait plusieurs semestres de travail. Si chaq
46
plusieurs semestres de travail. Si chaque matin l’
enfant
parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques instants
47
s bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’
enfant
, s’il est sage. Moi je m’en moque. Je n’aime que la liberté.
48
e M. Abel Bonnard, et Le Pédagogue n’aime pas les
enfants
, d’Henri Roorda. Le premier montre que la science apprise à l’école a
49
nce à nous gâter toute une journée. Une journée d’
enfant
gâtée. Et d’ailleurs, multiplier le tapissier par le prix du mètre co
50
du monde. Entrons, c’est pire encore. Beaucoup d’
enfants
ont un frisson de dégoût au moment de passer la porte, au son de la c
51
façon nécessaire de connaître la psychologie des
enfants
, ni même le contenu des sciences dont on écrit le nom dans les casier
52
on tînt compte des possibilités d’adaptation de l’
enfant
; de la valeur fort inégale de ces disciplines ; de la diversité des
53
et que notre temps est précieux. D’ailleurs, les
enfants
ne se plaignent pas, de quoi vous plaignez-vous, vous ? — Mais on fau
54
nez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de ces
enfants
… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. 3.b. Les examens
55
t s’explique justement par cette psychologie de l’
enfant
dont je disais tout à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de
56
éal), découle cette exigence théorique : tous les
enfants
doivent à tout instant être en mesure 1° d’ingurgiter la même quantit
57
La discipline scolaire consiste à faire tenir les
enfants
immobiles et muets 6 heures par jour durant 8 ans. Il paraît que cela
58
. » Ceci est une énorme bourde. Juxtaposez trente
enfants
sur les bancs d’une salle d’école, vous n’aurez rien qui ressemble en
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ment nouveau dans l’Histoire, que l’on oblige les
enfants
à vivre ensemble dès l’âge de 5 ans, favorise le développement de leu
60
? Quelle est cette éducation sociale qui enlève l’
enfant
à la famille ? 5 Quel est cet instrument de perfectionnement civique
61
t sacrifiés. Voici ce que M. E. Duvillard dit des
enfants
peu doués pour les disciplines scolaires : « Les épaves scolaires, fa
62
être avantageux dans certains cas de soustraire l’
enfant
à l’influence d’une famille anormale. Mais d’abord c’est sanctionner
63
rait donc sans doute d’autres moyens de sauver un
enfant
dans sa famille). Ensuite, pourquoi fait-on en réalité, comme si tout
64
er selon des principes tirés de l’observation des
enfants
, c’est-à-dire : en contradiction sur toute la ligne avec l’enseigneme
65
bsurdités. On a créé par exemple des « jardins d’
enfants
» où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs soulie
66
ratique. Plus tard, on fait apprendre à ces mêmes
enfants
, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et places de leu
67
e nature. Elle prétend donner plus de liberté aux
enfants
en leur rendant le travail amusant, en leur laissant la possibilité d
68
, sauf que par la méthode nouvelle, on atteint un
enfant
plus profondément, on se glisse à l’intérieur de son esprit, là où s’
69
mes comme des plantes de serre dans ces jardins d’
enfants
. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un produit chimique : On
70
rre dans ces jardins d’enfants. On y parle de « l’
enfant
» comme on parle d’un produit chimique : On remarque chez l’enfant… D
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parle d’un produit chimique : On remarque chez l’
enfant
… Dans ce milieu l’enfant ne tarde pas à se développer… Prenez un enfa
72
que : On remarque chez l’enfant… Dans ce milieu l’
enfant
ne tarde pas à se développer… Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensem
73
l’enfant ne tarde pas à se développer… Prenez un
enfant
de 6 ans… Mettez ensemble trois enfants… Je reconnais que les buts de
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Prenez un enfant de 6 ans… Mettez ensemble trois
enfants
… Je reconnais que les buts de l’école nouvelle sont honnêtement scien
75
-cobaye vaut l’enfant-citoyen. Moi, je voudrais l’
enfant
tout court. Or il paraît que c’est très dangereux. Néanmoins, je soup
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es tommies. La machine scolaire, elle, dévore des
enfants
tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tou
77
ment sentimentaux qui peuvent apparaître chez les
enfants
? Ce serait de l’art pour l’art. On ne peut pas en demander tant aux
78
ure où elle réalise son ambition : soustraire les
enfants
à l’Église et à la famille. L’Église donnait des valeurs idéalistes,
79
tablissement de travaux forcés. L’école donne à l’
enfant
ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il
80
ce temps. L’instruction religieuse qui prend les
enfants
au sortir de l’école primaire, arrive trop tard. Elle sème dans un te
81
nte peut-on imaginer ? L’école devrait donner à l’
enfant
ce que son entourage ne peut plus lui donner : des modèles de pensées
82
dans la mesure sans doute faible où la nature des
enfants
le supporte, on économiserait plusieurs semestres de travail. Si chaq
83
plusieurs semestres de travail. Si chaque matin l’
enfant
parvenait à mettre sa pensée au garde-à-vous durant quelques instants
84
s bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’
enfant
s’il est sage. Moi je m’en moque. Je n’aime que la liberté.
85
e à celui de la surproduction des machines et des
enfants
. C’est parce que les Hongrois n’ont pas perdu le sentiment qu’ils son
86
ongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de l’
enfant
, c’est de devenir une grande personne. On me l’a dit, c’est vrai : ce
87
il se comporte en homme du xiiie siècle — ou en
enfant
: il y a lieu de s’attrister. Si vous demandez au philosophe de quel
88
que son Esprit est un produit purement bourgeois,
enfant
du loisir économique, il lui faudra se réfugier dans la sphère des ab
89
e l’autre. Eiichi est provisoirement libéré. Les
enfants
des bas-fonds l’attendent à sa sortie, s’accrochent à ses manches et
90
bé et les bas-fonds. La nature, le sommeil et les
enfants
étaient ses meilleurs réconforts. Comment et par quoi mesurer la val
91
us efficace des puissances goethéennes. ⁂ Rimbaud
enfant
écrit des poèmes « magiques » puis renonce à la magie, et se tait. Go
92
cilement épurée, le mysticisme de celui qui, tout
enfant
, édifiait un autel à la Nature, trouvait son aliment dans une méditat
93
est si violente qu’elle a certainement angoissé l’
enfant
: n’est-ce point pour se défendre qu’il parle si fort, qu’il vante se
94
puissante qu’il nous ait jamais été donné, à nous
enfants
de la terre, de percevoir. » Et certes, on ne voit guère en quoi pare
95
le primaire. Le conformisme violemment imposé aux
enfants
les prépare à subir le règne de l’opinion bourgeoise, dont Léon Bloy,
96
conde page, c’est à pousser des cris de joie. Les
enfants
comprendront-ils ? Dans la mesure seulement où le plan de dépoétisati
97
révu, la seule atteinte à la coutume viennoise. L’
enfant
était charmante, comme elles le sont presque toutes dans cette ville,
98
rard la regarda avec une certaine pitié : « Chère
enfant
, dit-il doucement, pauvre colombe dépareillée, vous n’avez pas de res
99
er d’aise. La noblesse germanique fait encore des
enfants
et ils sont grands5 beaux et nombreux, racés et fades. Cette société
100
érialisme de la surproduction des machines et des
enfants
. C’est parce que les Hongrois n’ont pas perdu le sentiment qu’ils son
101
ongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de l’
enfant
, c’est de devenir une grande personne. On me l’a dit, c’est vrai : ce
102
ominant la ville, ses bruits de chars, ses cris d’
enfants
. Je traverse l’odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici so
103
es, pénètrent par le fond, s’alignent debout. Les
enfants
sur un long canapé ; les hôtes dans leurs fauteuils ; la comtesse est
104
enne : car à peine arrivé il crie le nom d’un des
enfants
et celui-ci récite une courte prière, durant laquelle il n’est plus q
105
rent, jusqu’au-delà de nos adolescences. Jeux des
enfants
prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jusqu’à ce que ses ge
106
érialisme de la surproduction des machines et des
enfants
. C’est parce que les Hongrois n’ont pas perdu le sentiment qu’ils son
107
ongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de l’
enfant
, c’est de devenir une grande personne. On me l’a dit, c’est vrai : ce
108
es, pénètrent par le fond, s’alignent debout. Les
enfants
sur un long canapé ; les hôtes dans leurs fauteuils ; la comtesse est
109
enne : car à peine arrivé il crie le nom d’un des
enfants
et celui-ci récite une courte prière, durant laquelle il n’est plus q
110
rent, jusqu’au-delà de nos adolescences. Jeux des
enfants
prussiens : s’asseoir à six ou sept sur un bœuf jusqu’à ce que ses ge
111
ominant la ville, ses bruits de chars, ses cris d’
enfants
. Je traverse l’odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici so
112
plus que le matériel soit bon, l’or abondant, les
enfants
bien nourris. Ni même qu’on dise merci tout le temps, à tout propos,
113
es travaux de Jean Piaget sur la psychologie de l’
enfant
. Le seul vin suisse qui se vende à New York, mais à quel prix ! c’est
114
perçue du monde moderne. Le voyage, quand j’étais
enfant
, c’était quitter Couvet pour Neuchâtel, le « Vallon » pour le « Bas »
115
: simplement à d’autres endroits. (Exercice pour
enfants
des écoles du canton : corrigez le verbe suivant : J’ai l’ennui, tu t
116
rénologues, des herboristes, un lord tout nu, les
enfants
terribles de Monsieur Crépin, et la silhouette élégante du Dr Festus,
117
ique. On voit naître et grandir un fils, puis les
enfants
d’une troisième génération. (C’est un des grands pouvoirs des romanci
118
me « au mince visage de belette » qui enterre son
enfant
dans la neige avec une sorte d’innocence animale. La superstition rôd
119
lents et leurs passions étranges. Aussi, quelques
enfants
qui semblent incarner toute la poésie des contes scandinaves, une mer
120
par une foule en fête, il entraîne une centaine d’
enfants
au bord de la mer pour célébrer la liberté. Sa ligne de bataille s’ét
121
ique. On voit naître et grandir un fils, puis les
enfants
d’une troisième génération. (C’est un des grands pouvoirs des romanci
122
me « au mince visage de belette » qui enterre son
enfant
dans la neige avec une sorte d’innocence animale. La superstition rôd
123
re sur des mots d’ordre « progressistes » que nos
enfants
mettront au nombre des superstitions les plus étranges du siècle athé
124
plus son maître, que ça ne marche plus, et qu’un
enfant
de Dieu n’est plus un pauvre pantin du hasard ! Vienne l’échec, il en
125
re sur des mots d’ordre « progressistes » que nos
enfants
mettront au nombre des superstitions les plus étranges du siècle athé
126
plus son maître, que ça ne marche plus, et qu’un
enfant
de Dieu n’est plus un pauvre pantin du hasard ! Vienne l’échec, il en
127
ous dix mille milliards d’années. Nous sommes des
enfants
de deux ans qui auraient encore dix mille ans à vivre. L’esprit métap
128
issait pas avoir fait grande impression sur cette
enfant
, trop habituée sans doute à la confession paternelle. Un des jeunes é
129
pense qu’on ne doit pas s’opposer au baptême des
enfants
, c’est-à-dire de ceux qui ne peuvent rien encore… Ainsi donc, deux ch
130
excellente application : « Il ne faut pas jeter l’
enfant
avec le bain. » Jetons le bain marxiste, mais gardons l’enfant ! Car
131
e bain. » Jetons le bain marxiste, mais gardons l’
enfant
! Car si nous condamnons en bloc le socialisme, nous condamnons aussi
132
e, des malades, des chômeurs, des vieillards, des
enfants
abandonnés, des ivrognes, tout le rebut d’humanité dont les bas-fonds
133
ces quartiers d’enfer. Les crimes diminuent, les
enfants
s’instruisent, des misères sont soulagées. C’est déjà quelque chose.
134
en ressort triomphalement escorté par une foule d’
enfants
qu’il a secourus, et dès lors le mouvement est lancé, l’opinion publi
135
up les pousse par-derrière, et rit. C’est un long
enfant
maigre au regard narquois et inquiet, et qui s’est mis une barbe rous
136
e dirons-nous ? Le livre s’ouvre par une fable. L’
enfant
Démophon est soigné par Déméter, déguisée en nourrice. Elle veut en f
137
se forgeait, écarta les braises et, pour sauver l’
enfant
, perdit le dieu. » La légende est belle. C’est une légende… Elle trad
138
ieux : un négatif de l’acte de foi chrétien. Si l’
enfant
se brûle, ou si Staline ne peut le sauver qu’au prix de la vie du Die
139
d’admirer bien des choses en URSS (les « parcs d’
enfants
» surtout) ; mais la plupart des excuses qu’il propose au stalinisme,
140
e ardente de la création attend la révélation des
enfants
de Dieu, parce que ce n’est pas de son propre gré qu’elle a été assuj
141
é. Dante appelle langage vulgaire « celui que les
enfants
reçoivent de leur milieu dès qu’ils commencent à distinguer les voix…
142
out cela ? — On fait l’amour, on ne fait plus des
enfants
. Cette formule symbolise tout le reste. Ainsi l’esprit « moderne » no
143
é. Dante appelle langage vulgaire « celui que les
enfants
reçoivent de leur milieu dès qu’ils commencent à distinguer les voix…
144
out cela ? — On fait l’amour, on ne fait plus des
enfants
. Cette formule symbolise tout le reste. Ainsi l’esprit « moderne » no
145
aysans. D’où prolétarisation de ces derniers. Les
enfants
de familles nombreuses sont forcés de se livrer, comme ouvriers agric
146
cune idée. L’angoisse m’étreint. Je suis comme un
enfant
devant le mystère de « la vie… ». Profitant de mon innocence, que j’e
147
femmes en noir jacassent pendant des heures. Des
enfants
en sarraus noirs jouent au football dans le ruisseau avec un torchon
148
tous ces foyers, et qui les détruit. Je vois ces
enfants
sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue, qui valent
149
nt la feuille locale, qu’il naît encore pas mal d’
enfants
dans ces foyers que tout menace. Faisons la part des « accidents », d
150
ces de dix sous. Une chose est claire : faire des
enfants
, dans les conditions actuelles, c’est défier le bon sens et la raison
151
on suit des enterrements, on se brouille avec ses
enfants
pour des questions d’argent, on ne croit plus ni à Dieu ni à diable e
152
er, et le moleste en mille manières. Les jeux des
enfants
dans la rue, les valets qui le servent, les femmes qu’il rencontre, s
153
s d’une nouvelle création, et la « révélation des
enfants
de lumière » ! 21 avril Voici les affiches des partis, pour la campag
154
x ou trois coiffes de paysannes seulement. Et des
enfants
autour du trépied de l’appareil, empressés à tendre les bobines de fi
155
ce soir une séance de cinéma. On entend rire des
enfants
. — J’ai rencontré le curé ce matin, suivi comme d’habitude d’une band
156
es politiciens de Paris. Un dimanche, ce sont les
enfants
communistes de la colonie de vacances qui défilent en maillots rouges
157
is séditieux » ; le dimanche suivant, ce sont les
enfants
de la fondation « de droite » et on les applaudit : la fondation fait
158
rs chargés de paquets ou d’un jeune veau, ou d’un
enfant
hurlant et admiré, d’arrêts et de détours imprévus — car les chauffeu
159
s assis dans sa cuisine avec sa femme et ses deux
enfants
. C’est un homme de quarante ans, aux traits réguliers et sérieux, un
160
pir de toute la Création vers la révélation des «
enfants
de lumière », et la restauration de l’ordre originel. Et voilà pratiq
161
rs chargés de paquets ou d’un jeune veau, ou d’un
enfant
hurlant et admiré, d’arrêts et de détours imprévus — car les chauffeu
162
t des mesures d’instruction militaire prenant les
enfants
au berceau. Car aucune force matérielle ne pourra jamais remplacer, p
163
cessairement borné. Je me servirai d’une image. L’
enfant
qui rate son coup, ou qui se heurte contre un meuble, se fâche contre
164
et à vivre heureux ? « Changer la vie », criait l’
enfant
Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche reprennent aujourd’hui cette
165
t une maison simplette, telle qu’en dessinent les
enfants
, joli rectangle clair posé sur l’horizon, un peu au-delà des limites
166
llage vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’
enfant
, ou à l’esquisse d’un peintre cubiste, tantôt sous une averse mêlée d
167
x ou trois coiffes de paysannes seulement. Et des
enfants
autour du trépied de l’appareil, empressés à tendre les bobines de fi
168
ce soir une séance de cinéma. On entend rire des
enfants
. J’ai rencontré le curé ce matin, suivi comme d’habitude d’une bande
169
des politiciens de Paris. Un dimanche ce sont les
enfants
communistes de la colonie de vacances qui défilent en maillots rouges
170
is séditieux » ; le dimanche suivant, ce sont les
enfants
de la fondation « de droite » et on les applaudit : la fondation fait
171
rs chargés de paquets ou d’un jeune veau, ou d’un
enfant
hurlant et admiré, d’arrêts et de détours imprévus — car les chauffeu
172
s assis dans sa cuisine avec sa femme et ses deux
enfants
. C’est un homme de quarante ans, aux traits réguliers et sérieux, un
173
pir de toute la création vers la révélation des «
enfants
de lumière », et la restauration de l’ordre originel. Et voilà pratiq
174
ion pour avoir part à la liberté de la gloire des
enfants
de Dieu. Or nous savons que jusqu’à ce jour, la création tout entière
175
femmes en noir jacassent pendant des heures. Des
enfants
en sarraus noirs jouent au football dans le ruisseau avec un torchon
176
tous ces foyers, et qui les détruit. Je vois ces
enfants
sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue, qui valent
177
nt la feuille locale, qu’il naît encore pas mal d’
enfants
dans ces foyers que tout menace. Faisons la part des « accidents », d
178
ces de dix sous. Une chose est claire : faire des
enfants
, dans les conditions actuelles, c’est défier le bon sens et la raison
179
des seconds domine, la France fera de nouveau des
enfants
, par suite du rationalisme, par suite la guerre. Cette alternative es
180
as totalement compromise quand il fait encore des
enfants
en dépit de toute raison. Mais alors il importe de trouver des moyens
181
on suit des enterrements, on se brouille avec ses
enfants
pour des questions d’argent, on ne croit plus ni à Dieu ni à diable e
182
s d’une nouvelle création, et la « révélation des
enfants
de lumière » ! 21 avril 1935 Voici les affiches des partis, pou
183
droits, propreté. Sur les trottoirs immenses, des
enfants
jouent pieds nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts,
184
rise d’eau. Il sifflote, il n’est pas pressé. Des
enfants
courent derrière la palissade. Bouffées d’odeurs, fumées grasses. La
185
eureux. Soir villageois, ciel de province, jeux d’
enfants
et chansons, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas co
186
(v. 7). Ainsi, « c’est par suite de la faute des
enfants
d’Israël que le salut est parvenu aux païens, afin d’exciter leur pro
187
Juifs tiendront le premier lieu, comme étant les
enfants
aînés en la maison de Dieu. » (Commentaires, sur Rom. II, 26.) Le sor
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« si l’on veut parler à des hommes, et non à des
enfants
, il faut renoncer à invoquer le Christ ». Je ne craindrai pas de lui
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pondre que ce n’est pas là parler en homme, ni en
enfant
, mais en adolescent impénitent. ⁂ Je ne sais trop quelle dose d’ironi
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diant vient d’entrer dans le Parti.) Parents et
enfants
. — Déjeuner chez un avocat. Madame se plaint : « Il n’y a plus de vie
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ble, avec ce système. Tous les soirs, deux de mes
enfants
sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée a 18 ans. Elle est F
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eux fois, de régler des questions très délicates,
enfants
naturels, etc., vous me comprenez. Vous imaginez qu’avec cela, nous n
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du Parti. Nous ne sommes que des civils pour nos
enfants
. Eux, ils se sentent des militaires. » Plainte vingt fois entendue. L
194
es militaires. » Plainte vingt fois entendue. Les
enfants
sont ravis, naturellement. Ils se sentent libres. Car la liberté, pou
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ération. En outre, quoi de plus important pour un
enfant
que la comparaison des grandeurs — « plus grand que » et « plus petit
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maticien —, et d’Alice en particulier. On dit à l’
enfant
: mange ta soupe et tu deviendras grand. Donc il peut exister des ali
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ar le langage, autre problème fondamental pour un
enfant
. Les deux hypothèses rendent compte de la plupart des « gags » dont s
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l’union libre, de l’avortement, de l’abandon des
enfants
, bref de tout ce qu’on croyait contraire aux préjugés réactionnaires,
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eux), contre l’avortement et contre l’abandon des
enfants
nés hors du mariage. La rigueur subite de ces lois, le choc psycholog
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la réduit à sa fonction matrimoniale : faire des
enfants
, puis les élever jusqu’au moment où le Parti s’en chargera (c’est-à-d
201
e juge assez bon, de nos jours, pour attraper les
enfants
de la Lumière ! J’aimerais beaucoup qu’on ne déduise pas de ces propo
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ion qu’il faut choisir de faire des livres ou des
enfants
: aut liberi aut libri disait Nietzsche. Et Kierkegaard a raison plus
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es, et de rappeler aux parents humiliés que leurs
enfants
ne sont jamais les premiers dans une classe où se trouvent des juifs…
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ir de comprendre. Où est la gaffe ? Parents et
enfants
. — Déjeuner chez un avocat. Madame se plaint : « Il n’y a plus de vie
205
ble, avec ce système. Tous les soirs, deux de mes
enfants
sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée a 18 ans. Elle est «
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une fois, de régler des questions très délicates,
enfants
naturels, etc., vous me comprenez. Vous imaginez qu’avec cela, nous n
207
du Parti. Nous ne sommes que des civils pour nos
enfants
. Eux, ils se sentent des militaires. » Plainte vingt fois entendue. L
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es militaires. » Plainte vingt fois entendue. Les
enfants
sont ravis, naturellement. Ils se sentent libres. Car la liberté, pou
209
e suffit plus à l’entretien de sa femme et de son
enfant
. Pendant les vacances universitaires, il travaille donc comme ouvrier
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ix, puis simple agriculteur, marié et père de dix
enfants
, lorsqu’il crut devoir obéir à l’appel de la solitude. C’est donc au
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ans, juge et conseiller à Sachseln, où il eut dix
enfants
. Puis il se retira dans un ermitage, où pendant vingt ans il se morti
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eur amour en demeure toujours frais, et que leurs
enfants
en viennent plus robustes. » (Amyot). La chevalerie féodale, de même,
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leste qui donnait à manger une pomme à son tendre
enfant
Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les
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èlent pas leurs pommes. Après Noël, au temps où l’
Enfant
est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier q
215
hez les plus anciens Celtes, que l’on confiât les
enfants
« à la garde d’un personnage qualifié dans une grande maison, la mais
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st maintenue en pays celtique : nous trouvons les
enfants
confiés à des parents nourriciers, à l’égard desquels ils contractent
217
otester contre l’obligation de faire élever leurs
enfants
à l’école d’État « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et
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Le dieu d’Amour n’est plus un dur destin mais un
enfant
impertinent. Presque plus rien n’est défendu. De la pudeur, obstacle
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du roman et du film : « et ils eurent beaucoup d’
enfants
» signifie qu’il n’y a plus rien à raconter ; ou bien c’est le baiser
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l’union libre, de l’avortement, de l’abandon des
enfants
, bref de tout ce qu’on croyait contraire aux préjugés réactionnaires,
221
eux), contre l’avortement et contre l’abandon des
enfants
nés hors mariage. La rigueur subite de ces lois, le choc psychologiqu
222
la réduit à sa fonction matrimoniale : faire des
enfants
, puis les élever jusqu’au moment où le Parti s’en chargera (c’est-à-d
223
ion qu’il faut choisir de faire des livres ou des
enfants
: aut liberi aut libri disait Nietzsche. Et Kierkegaard a raison plus
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ou moins. Quant aux rapports entre la femme et l’
enfant
on dit : « It is romance » ; mais Daj n’a pas trouvé le verbe avec le
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is ce juge, puis ce père de famille — il aura dix
enfants
— n’est pas un type exceptionnel parmi les vieux confédérés, sinon pa
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s Amis de Dieu. Lorsqu’il quitta sa femme et ses
enfants
, son idée n’était-elle pas de se rendre en Alsace, pour y rejoindre d
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rothée Marguerite Véronique Catherine ses
enfants
Nicolas de Flue, 30 ans, capitaine. Nicolas de Flue, 40 ans, juge.
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récitant. grand chœur. chœur céleste. chœur d’
enfants
. soldats, démons, assistants. PERSONNAGES DU IIe ACTE N
229
e. chœur des compagnons de la Follevie. chœur d’
enfants
. députés, soldats suisses et assistants.
230
ensuite en nos villages, et te voici avec tes dix
enfants
, seul maître sur ta terre, et le meilleur mari… Que voudrais-tu encor
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dans la paix, cher époux. Nous nous aimons et nos
enfants
grandissent dans le bonheur que Dieu nous donne. Qu’aurions-nous donc
232
t que je quitte maintenant… cette maison — et nos
enfants
, — et toi… Pour aller vivre seul… comme un ermite… avec Dieu seul…
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e vi. (On entend dans la coulisse le chant des
enfants
qui s’approchent, puis ils entrent en cortège par la gauche, portant
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a fait le ménage ! Nicolas. — C’est bien, mes
enfants
. Si vous continuez, vous pourrez bientôt vous passer de votre père.
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voudra. Dorothée. — Ô Claus ! Ta famille, tes
enfants
! Nicolas. — Quiconque aura quitté à cause de Dieu sa maison, ou
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té à cause de Dieu sa maison, ou sa femme, ou ses
enfants
, il recevra bien davantage dans ce siècle, et plus tard la vie éterne
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oi ! lâche, infidèle ! Ta couche est vide, et tes
enfants
t’appellent ! Ha ! Ha ! ton orgueil t’entraîne ! Ha ! Ha ! Ha ! Tu vi
238
s chants ! (Le plan 2 s’éclaire. Dorothée et les
enfants
sont sortis devant la maison.) Chœur des enfants. Avec tous les c
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sse nos vallées ! Ils ne sont pas orphelins Les
enfants
du solitaire Si tu les tiens dans ta main Éternel, ô Père ! Le ch
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ez l’Éternel vous tous ses anges et vous tous ses
enfants
! Chante, ô peuple des bergers ! Louez Dieu sur la face des glaciers
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! Du pain ! Défends-nous ! Nicolas. — Pauvres
enfants
! Vous voulez faire la guerre pour obtenir du pain ? Oh ! malheureux
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lerin. — Tu nous payes de bonnes paroles, et nos
enfants
crient pour avoir du pain ! Tous. — Du pain ! Du pain ! Nicola
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oix du solitaire est faible. Parle toi-même à tes
enfants
, je t’en supplie ! Le chant du monde éclate à leurs oreilles et les r
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re Claus. Mais songe aux mères, à Dorothée, à tes
enfants
! Toi seul peux nous sauver par ton exhortation ! Nicolas. — Quan
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ouent ! Haimo (prenant la corde). — Un faible
enfant
pourrait le dénouer ! Nicolas (avec peine). — L’homme le plus for
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itage tinte au plan 3. Puis volée de cloches. Les
enfants
et Dorothée viennent se ranger sur les marches conduisant au plan 2.
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rdre à La Chaux-de-Fonds et au Locle ; un chœur d’
enfants
dans la région de Neuchâtel ; enfin un petit ensemble d’excellents am
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a sur le degré médian, de concert avec le chœur d’
enfants
: ce seront les Suisses et les enfants de Nicolas. Enfin un petit chœ
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le chœur d’enfants : ce seront les Suisses et les
enfants
de Nicolas. Enfin un petit chœur caché derrière le degré supérieur —
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eur amour en demeure toujours frais, et que leurs
enfants
en viennent plus robustes »18. La chevalerie féodale, de même, honora
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leste qui donnait à manger une pomme à son tendre
enfant
Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les
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èlent pas leurs pommes. Après Noël, au temps où l’
Enfant
est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier q
253
hez les plus anciens Celtes, que l’on confiât les
enfants
« à la garde d’un personnage qualifié dans une grande maison, la mais
254
st maintenue en pays celtique : nous trouvons les
enfants
confiés à des parents nourriciers, à l’égard desquels ils contractent
255
otester contre l’obligation de faire élever leurs
enfants
à l’école d’État « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et