1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 he en montagne, le romantisme, le nationalisme, l’ européanisme et la révolution. (Sur la confusion moderne entre le patriotisme « ch
2 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
2 i vous le voulez, l’aspect « cosmopolite » de mon européanisme  : il m’est instinctif, comme d’ailleurs beaucoup de Suisses. Dès la f
3 ns de vous dire résume la phase doctrinale de mon européanisme . Repartons de 1940. À la fin de cette année-là, j’ai été envoyé aux É
3 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
4 ici les témoins enchantés d’une véritable orgie d’ européanisme  ! Aussi savant que militant, aussi lucide que passionné, cet ouvrage
4 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
5 , pour revenir à la raison, je veux dire au « bon européanisme  ». Grâce aux divisions morbides que la folie des nationalités a mises
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
6 , pour revenir à la raison, je veux dire au « bon européanisme  ».254 L’exemple privilégié de la musique, cette création essentiell
7 re le processus de décomposition qui conduit de l’ européanisme cosmopolite au nationalisme borné : Le « bon vieux temps » est mort 
6 1962, Esprit, articles (1932–1962). Lettre à Jean-Marie Domenach, à propos de « Sartre et l’Europe » (mai 1962)
8 s pris l’article de Rougemont comme symbole d’un “ européanisme ” obsédé par le progrès économique ; je m’étais étonné qu’un “Européen