1 efs-d’œuvre, et plus conscients de leurs moyens d’ expression . Très maîtres de leur technique (contrairement à ce que pense souvent

2 listes — ils l’indiquent eux-mêmes —, calembours, expression métaphorique et symbolique de la pensée : la littérature d’avant-gard

3 et anonyme concourt obscurément à cette parfaite expression du triomphe de l’homme sur la Nature. Architecture : « tout ce qui es

4 rme : il est parfois agaçant de pressentir sous l’ expression trop technique ou obscure, une richesse d’idées neuves et fortes, mai

5 et bizarre, où la sentimentalité moderne trouve l’ expression ironique qui lui convient, mais ici mêlée à une émotion plus grave, q

6 ttéraire de plus » ; nous ne voulons pas être « l’ expression de la jeunesse romande ». Nous sommes autre chose. (Belles-Lettres es

7 et relief du dialogue, ingénieuse utilisation des expressions courantes, maximum de « situation » des personnages obtenu avec un mi

8 paroles sur la Croix, il n’y a peut-être pas eu d’ expression plus haute de l’angoisse humaine, et vous aurez beau rire, pharisiens

9 en user avec la sobriété qui produit le maximum d’ expression . Cette « simplicité précieuse », il sait la conférer à tout ce qu’il

10 ation du clair-obscur qui simplifie et renforce l’ expression . Décidément ces trois frères sont une école. Délaissant un moment ce

11 ime guère ce style abstrait, semé de redites et d’ expressions toutes faites qui trahissent une écriture hâtive. Mais il y a dans l’

12 e engagé, du plan moral avec l’économique, qu’une expression nouvelle, et non dénuée d’ironie, de mon mépris pour ce qu’ils appell

13 st convenu d’appeler — pardonnez la lourdeur de l’ expression — une règle de vie. Mais, je vous l’avouerai, ce qui me retient de ti

14 crite est inconcevable : cela consisterait dans l’ expression directe de la réalité individuelle. Elle serait tellement incommunica

15 e au juste quelle dose d’« humour » il met dans l’ expression ), c’est la rencontre d’une locomotive routière. « Depuis l’instant où

16 ue nous sommes dans une civilisation qui, selon l’ expression de Jules Verne désabusé « emprunte l’aspect d’une nécessité » (et dan

17 rd de rêve, — lit-on dans l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse du silence et cet ensemble idéal d’étudiant assidu aux soci

18 uer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression  !) Pour moi ce que je retire de plus évident de mon expérience scolai

19 uer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression  !) Pour moi, ce que je retire de plus évident de mon expérience scola

20 dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’ expression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me

21 des poètes français, c’est que son lyrisme est l’ expression d’une philosophie à l’état naissant ; il est la vibration même d’une

22 l, de la foule, de la solitude, de l’extase. 16. Expression où va se réfugier le dernier vestige de la sensualité des érudits. 1

23 premier coup d’œil, ce « commun dénominateur » d’ expression et de masques si dissemblables, n’est-ce point cela qui forme l’autop

24 l’auteur dans sa préface. Bien plutôt, elle est l’ expression concrète d’une loi divine et humaine, et c’est ici que l’on peut voir

25 me fut la jeunesse, le passé de « l’Isolé ». Et l’ expression la plus caractéristique de ce nouvel homme, qui a dépassé le romantis

26 gique, en observant sur le visage de celui-ci les expressions changeantes qu’y imprimait la passion. Il lui semblait qu’il faisait

27 n mystique véritable, il évite rigoureusement les expressions sentimentales ou rassurantes qui pourraient dépasser une action imméd

28 oncerne la question sociale. Il s’attache à cette expression un « ennui » qui sert à beaucoup de prétexte pour n’y point réfléchir

29 ur elles une autre issue : la prière en portait l’ expression , loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône de Dieu. Il n’en est pl

30 où chaque interlocuteur, tour à tour, atteint à l’ expression la plus virulente de sa vérité — si bien que la conclusion ne peut êt

31 ienne, — opposition qui se prolonge et trouve son expression moderne dans des œuvres bien plus caractéristiques d’une éducation pr

32 ui ôter sa force, je le crains. ⁂ Le puritanisme, expression d’une doctrine héroïque, pouvait provoquer dans les âmes des complexi

33 en ne la trahirait mieux que la retenue même de l’ expression . C’est pourquoi je l’éprouve plus vivement dans certains passages des

34 ue la magie reniée extérieurement au profit d’une expression « utile », renaît comme libérée intérieurement au « jour nouveau ». L

35 « Sturm und Drang » auquel Goethe devait donner l’ expression littéraire la plus parfaite avec Werther. Et nous ne manquons pas de

36 rubrique Mon film 16. En d’autres passages, d’une expression plus serrée, M. Duhamel cherche ce qu’on appelait jadis le morceau de

37 e qui enflammerait notre indignation. C’est que l’ expression traditionnelle de la mauvaise humeur gauloise, héritage d’un classici

38 uhamel ne cesse d’entretenir17. Ce malaise dans l’ expression traduit d’ailleurs une équivoque foncière et qui porte sur le thème g

39 méfiance, mon but était simplement de définir une expression qui par la suite pourra nous être utile. Petits purs, petits purs, fa

40 petit nègre, ni bêtifiante, d’une grande force d’ expression concrète. Le petit chien Botte raconte ses journées, « des choses et

41 baigne dans l’« angoisse de l’espérance »1. 1. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant article de la Revue d’

42 dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’ expression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me

43 l, de la foule, de la solitude, de l’extase. 11. Expression où va se réfugier le dernier vestige de la sensualité des érudits. 1

44 ts. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’ expression veut qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les jours de pluie dan

45 vous ont pas vu, qui détournent la tête avec une expression méprisable de gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces gens-là — ce

46 dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’ expression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me

47 ol, de la foule, de la solitude, de l’extase. 8. Expression où va se réfugier le dernier vestige de la sensualité des érudits. 9

48 vous ont pas vu, qui détournent la tête avec une expression méprisable de gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces gens-là — ce

49 ts. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’ expression veut qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les jours de pluie dan

50 ’articuler nettement, de maîtriser leurs moyens d’ expression . Le vers fameux de Valéry : « Honneur des Hommes, Saint Langage ! » s

51 ns la force et la grâce du terme, la liberté de l’ expression . e. Voir Les Méfaits de l’instruction publique .

52 l’humanisme n’ait pas ses doctrines, et même une expression politique cohérente. On a cité dans les Débats, ces jours derniers, l

53 attardé à développer ici ces thèses, si dans leur expression elles ne comportaient, à première vue, une similitude si troublante a

54 perdre son temps que d’en apprécier humainement l’ expression la plus directe ; si au contraire le paradoxe est bien réel, s’il est

55 ne que l’origine et la fin, ou, pour employer une expression chère à Karl Barth, se rapporte aux réalités dernières. Qu’y a-t-il d

56 ordre terrestre.   V. — Nous n’ignorons pas que l’ expression de « révolution spirituelle » a le privilège de scandaliser les « pet

57 dain, toute l’Allemagne intellectuelle découvre l’ expression poignante de son angoisse intime, mais aussi, et enfin, une réponse.

58 ne volonté constante de changer de plan. Ces deux expressions méritent un commentaire. Notre volonté totaliste s’exprime ainsi : no

59 rien de plus que les personnes : elle n’est que l’ expression de leurs rapports spécifiques. Elle a son centre en chacune des perso

60 s tous les manifestes de partis ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, comme le grand lieu commun de la

61 e plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’ expression plus juste, pour qui se borne à considérer notre époque et les doctri

62 ’affrontent au milieu du désordre. Il n’est pas d’ expression plus fausse, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position

63 est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse et bien moderne ! Si nous y regardons de près, nous allons v

64 ersité. L’État devint une réalité indépendante, l’ expression de la collectivité des égaux. Or ces égaux n’existaient pas. Il falla

65 l’esclave opprimé, a trouvé, selon Nietzsche, son expression détournée dans l’affirmation paradoxale que les premiers seront les d

66 s’attaque aux racines des mythes modernes, dont l’ expression suprême s’appelle l’État. Là où l’homme veut être total, l’État ne se

67 es seulement. Dans la mesure où l’objection est l’ expression d’une vocation particulière, elle tend à échapper à la politique et s

68 e cette enquête. Dans la mesure où elle devient l’ expression d’un mouvement, le moins qu’on en puisse dire, c’est qu’elle est dang

69 at intérieur, pour donner à telle problématique l’ expression qui lui manquait, et dont le défaut empêchait que la question fût pos

70 Les disciples de Buchmann, — il refuserait cette expression — n’ont pas constitué d’organisation. Ils n’ont pas de registre des m

71 ntré « le comique infini ». Il faut risquer cette expression  : le rire de la charité chrétienne. « Le christianisme a découvert un

72 a vie. Mais encore faut-il se garder d’entendre l’ expression au sens des romantiques. Je suis sujet, mais il reste à savoir d’où v

73 iste rétablira la hiérarchie, rendra aux moyens d’ expression leur importance de moyens. La personne est toujours originale quand e

74 Je vois bien les malentendus que font naître ces expressions dans nos esprits encore marqués de préjugés naturalistes. On a voulu

75 art du romancier, — s’il est voulu. Les mots, les expressions des philosophes sont sans cesse repris par les simples — et aussi par

76 les villes ; que c’est un phénomène citadin et l’ expression incompressible d’une jeunesse déracinée… La crise précipite sous nos

77 patrimoine de souvenirs, tout ce que symbolise l’ expression « à la maison », l’habitation des villes ne diffère pas essentielleme

78 ble aux dépens du bien de chacun ; il n’est que l’ expression , de plus en plus abstraite à mesure qu’on s’élève à des nombres plus

79 i dans la doctrine déterministe qu’elle édicte, l’ expression d’un ressentiment contre l’« esprit » demeuré incapable de témoigner

80 e dans l’acte. L’aspect corporel de l’homme est l’ expression de notre solidarité avec le monde des objets ; l’aspect de l’âme est

81 cte de miséricorde. 18. Politique : l’État est l’ expression fatale de notre double erreur matérialiste-spiritualiste. Je me refus

82 eau tapage ? À défaut de chefs-d’œuvre, un mode d’ expression , trop rapidement vulgarisé d’ailleurs en une espèce de bavardage lyri

83 implement traité d’« intellectuel impénitent ». L’ expression , dans un certain sens, est fort exacte. Nous vivons à l’époque de la

84 s tous les manifestes de partis ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, comme le grand lieu commun de la

85 e plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’ expression plus juste, pour qui se borne à considérer notre époque et les doctri

86 ’affrontent au milieu du désordre. Il n’est pas d’ expression plus fausse, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position

87 est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse et bien moderne14 ! Si nous y regardons de près, nous allons

88 , mais le succès et la rapide vulgarisation d’une expression qui en dit plus long que son auteur ne voulait sans doute lui faire d

89 e fois, que signifierait pour tous ces gens votre expression  : fonder la loi sur la personne ? Vous voyez les absurdités qu’on peu

90 evendiquent la primauté du spirituel, reprenant l’ expression lancée par M. Jacques Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le

91 homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’ expression de l’Apôtre. Cette « chair » signifie aussi bien la raison et l’intel

92 nové. C’était là, très exactement, comme le dit l’ expression courante, faire de nécessité vertu. Mais c’était aussi introduire dan

93 ent privés de défense intérieure : il est comme l’ expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse d

94 bord la thèse matérialiste en elle-même, dans son expression actuelle la plus générale, sans tenir compte des correctifs que pourr

95 s extrêmes, nous tiendrait quitte de la foi. 28. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant article de la Revue d’

96 l’humanisme n’ait pas ses doctrines, et même une expression politique cohérente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. F

97 st étrangement facile d’opposer terme à terme les expressions chrétiennes et les expressions communistes, tant sur le plan éthique

98 terme à terme les expressions chrétiennes et les expressions communistes, tant sur le plan éthique que sur le plan métaphysique.  

99 ersité. L’État devint une réalité indépendante, l’ expression de la collectivité des égaux. Or ces égaux n’existaient pas. Il falla

100 concrète, non pas une aventure au hasard ! 65. L’ expression Heureux les… dans le Sermon sur la Montagne, opposée à Malheur à vous

101 assemble, les oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est

102 Le combat singulier La troupe d’assaut reste l’ expression adéquate d’une méthode de gouvernement antipersonnaliste, démocratiqu

103 i l’État se trouverait-il réduit à sa plus simple expression  : un bureau de statistiques et de répartition ; les tâches politiques

104 gauche » ou « de droite ». (Nous entendons cette expression  : classer l’affaire, au sens des juristes autant qu’au sens littéral.

105 ent équivoques ; elles sont, bien au contraire, l’ expression immédiate de ces principes. Ce que nous combattons de toute notre vio

106 implement traité d’« intellectuel impénitent ». L’ expression , dans un certain sens, est fort exacte. Nous vivons à l’époque de la

107 s tous les manifestes de partis ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, comme le grand lieu commun de la

108 e plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’ expression plus juste, pour qui se borne à considérer notre époque et les doctri

109 ’affrontent au milieu du désordre. Il n’est pas d’ expression plus fausse, et même plus dangereuse, pour qui veut prendre position

110 est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle : l’ expression est courante, mais suspecte9. Si nous y regardons de près, nous allon

111 , mais le succès et la rapide vulgarisation d’une expression qui en dit plus long que son auteur ne voulait sans doute lui faire d

112 e fois, que signifierait pour tous ces gens votre expression  : fonder la loi sur la personne ? Vous voyez les absurdités qu’on peu

113 evendiquent la primauté du spirituel, reprenant l’ expression lancée par M. Jacques Maritain. Mais le spirituel auquel songeait le

114 homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’ expression de l’Apôtre. Cette « chair » signifie aussi bien la raison et l’intel

115 nové. C’était là, très exactement, comme le dit l’ expression courante, faire de nécessité vertu. Mais c’était aussi introduire da

116 ent privés de défense intérieure : il est comme l’ expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse d

117 bord la thèse matérialiste en elle-même, dans son expression actuelle la plus générale, sans tenir compte des correctifs que pourr

118 igne dans l’« angoisse de l’espérance ».21 21. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant article de la Revue d’

119 l’humanisme n’ait pas ses doctrines, et même une expression politique cohérente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. F

120 st étrangement facile d’opposer terme à terme les expressions chrétiennes et les expressions communistes, tant sur le plan éthique

121 terme à terme les expressions chrétiennes et les expressions communistes, tant sur le plan éthique que sur le plan métaphysique. 1

122 ersité. L’État devint une réalité indépendante, l’ expression de la collectivité des égaux. Or ces égaux n’existaient pas. Il fall

123 concrète, non pas une aventure au hasard ! 57. L’ expression Heureux les… dans le Sermon sur la Montagne, opposée à Malheur à vous

124 assemble, les oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est

125 Le combat singulier La troupe d’assaut reste l’ expression adéquate d’une méthode de gouvernement antipersonnaliste, démocratiqu

126 i l’État se trouverait-il réduit à sa plus simple expression  : un bureau de statistiques et de répartition ; les tâches politiques

127 raire : la vraie politique ne saurait être qu’une expression de la personne même. Elle s’enracine dans l’homme, en tant qu’il est

128 urs de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance humaine à atteindre plei

129 dans une fièvre nostalgique. Schleiermacher est l’ expression géniale de cette hérésie romantique, qui ne tendait à rien de moins q

130 n ne rencontre pas une phrase qui se rapporte à l’ expression ou au visage. Même La Bruyère, physionomiste par tempérament, ne voi

131 ionnaire, dans ce qu’elle a de destructeur, est l’ expression de tels complexes). II Rien n’étant résolu, sur le plan spiritu

132 ontain, et dont l’absolutisme de Louis XIV sera l’ expression achevée. Une phrase de Bossuet nous en apprend sur cette doctrine dav

133 e suppose l’existence de ce squelette. 14. Sur l’ expression de contact vital, voir les travaux importants d’Eugène Minkowski, en

134 les anime, c’est la primauté de la personne. — L’ expression paraît bien abstraite. Que faut-il entendre par là ? Qu’est-ce donc q

135 f décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de l’ expression , une tragédie de la terminologie, une « lutte accablante pour l’expre

136 de la terminologie, une « lutte accablante pour l’ expression des choses jamais dites ». Paracelse a vu plus de choses qu’il ne pou

137 justement se méfie de ce mode — de cette mode — d’ expression , qui lui paraît peu scientifique. Il s’en tire au moyen d’allégories,

138 uleverse Tony et vous bouleverse au-delà de toute expression . Vous êtes très peiné, et je dis, moi, qu’on ne devrait pas raconter

139 Lawrence. C’est un rêve de compensation. C’est l’ expression de son impuissance à résoudre ce que j’appellerais le « problème des

140 e détiennent « le secret du Christ » lui-même. (L’ expression est de Bossuet.) À la question ainsi posée, on me répondra probableme

141 orte guère. En effet, « l’Église ne reconnaît une expression exacte de sa substance que dans la personne de ses saints », écrit le

142 etrouve leur raison d’être, les pousser jusqu’à l’ expression de leur nature primitive, produire au jour leur forme restaurée, — c’

143 raire : la vraie politique ne saurait être qu’une expression de la personne même. Elle s’enracine dans l’homme, en tant qu’il est

144 urs de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance humaine à atteindre plei

145 ulu en prévoir l’irrationnelle nécessité. Faute d’ expressions orthodoxes pour l’exprimer ou l’inventer, on chercha des modèles et d

146 i le mythe de l’homme nouveau qui lui fournit son expression en même temps que son déguisement. Mythe plus vaste et plus vague que

147 rit, décourage le sens critique, décontenance les expressions les plus concrètes. Ainsi les mots perdent leur force et leur délicat

148 e dès lors n’est pour eux que tromper un besoin d’ expression qui n’a plus de mission réelle. C’est un jeu formel et précis, dont i

149 d’une part les écrivains se mettent à raffiner l’ expression propre de chaque chose séparée, au détriment de l’expression générale

150 propre de chaque chose séparée, au détriment de l’ expression générale, d’autre part, la grande masse des usagers de la langue cess

151 la religion d’Israël qui aurait donné au peuple l’ expression légale de sa commune mesure : le Décalogue. Ainsi la fin crée ses moy

152 alvin au cardinal Sadolet qu’on peut en trouver l’ expression la plus forte et la moins équivoque. Sadolet chargé d’adresser une le

153 rit, décourage le sens critique, décontenance les expressions les plus concrètes. Ainsi les mots perdent leur force et leur délicat

154 e dès lors n’est pour eux que tromper un besoin d’ expression qui n’a plus de mission réelle. C’est un jeu formel et précis, dont i

155  d’une part les écrivains se mettent à raffiner l’ expression propre de chaque chose séparée, au détriment de l’expression générale

156 propre de chaque chose séparée, au détriment de l’ expression générale, d’autre part, la grande masse des usagers de la langue cess

157 ulu en prévoir l’irrationnelle nécessité. Faute d’ expressions orthodoxes pour l’exprimer ou l’inventer, on chercha des modèles et d

158 i le mythe de l’homme nouveau qui lui fournit son expression en même temps que son déguisement. Mythe plus vaste et plus vague que

159 uvons le trouver. Mais il s’agit de prendre cette expression dans son sens le plus littéral. Par acte de foi, je n’entends pas, co