1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 ent, que l’autre apporte à glorifier la chasteté. Fabliaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corp
2 e éternel. Issus de ce ressentiment du corps, les fabliaux eurent un immense succès (auprès du même public, souvent, que les rom
3 antes infinies, par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœurs, qui annonc
4 réaction. Charles Sorel naît de l’Astrée, non des fabliaux  ; la Marianne de Marivaux naît des comédies de Marivaux, non de Sorel
5 rature sensuelle et volontiers pornographique des fabliaux souffre du même irréalisme, en fin de compte, que l’idéal des épopées
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
6 ent, que l’autre apporte à glorifier la chasteté. Fabliaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corp
7 e éternel. Issus de ce ressentiment du corps, les fabliaux eurent un immense succès (auprès du même public, souvent, que les rom
8 antes infinies, par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœurs, qui annonc
9 réaction. Charles Sorel naît de l’Astrée, non des fabliaux  ; la Marianne de Marivaux naît des comédies de Marivaux, non de Sorel
10 rature sensuelle et volontiers pornographique des fabliaux souffre du même irréalisme, en fin de compte, que l’idéal des épopées
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
11 ent, que l’autre apporte à glorifier la chasteté. Fabliaux contre poésie, cynisme contre idéalisme. Le Débat de l’âme et du corp
12 e éternel. Issus de ce ressentiment du corps, les fabliaux eurent un immense succès (auprès du même public, souvent, que les rom
13 antes infinies, par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœurs, qui annonc
14 réaction. Charles Sorel naît de l’Astrée, non des fabliaux  ; la Marianne de Marivaux naît des comédies de Marivaux, non de Sorel
15 rature sensuelle et volontiers pornographique des fabliaux souffre du même irréalisme, en fin de compte, que l’idéal des épopées