1
istrés ensemble. L’opération faite, il a pourtant
fallu
la justifier, ce qui n’a pas été sans quelques tours de passe-passe d
2
est sur des maximes, non sur la discipline, qu’il
faut
fonder la conduite des jeunes gens : celle-ci empêche les abus, mais
3
cteur, un entraîneur, et qui joue franc jeu. S’il
faut
lutter contre lui, nous savons qu’il observera les règles. Saluons-le
4
availlerait le levain des vertus guerrières. « Il
faut
que la paix, ce soit vivre. » Par tout un livre libéré de souvenirs h
5
lorsqu’on parle de cette œuvre : je ne sais s’il
faut
en voir la raison dans la force de la personnalité révélée ou dans la
6
ire à la Barrès, dont il est capable et qu’il lui
faudra
livrer au « feu de vérité » qui brûle dans son temple intérieur, s’il
7
aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il
faut
louer Paul Colin de n’avoir rien caché des médiocrités de cette vie :
8
ertie du peuple qui donnait tant de mal lorsqu’il
fallait
l’éveiller, l’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou voit son œuvre
9
t les Gandhi, demi-européanisés. Ceci convenu, il
faut
reconnaître que l’enquête des Cahiers du Mois donne un fort intéressa
10
ent de parcourir quelque superficialité, du moins
faut
-il le louer d’avoir conservé une vision générale de notre temps et un
11
saint véritable. Il n’y a pas de saints, mais il
faut
être parfait. Tel est l’enseignement de Jésus, telle est la pensée qu
12
n publique, il est trop tard pour les éduquer, il
faudrait
balayer. Je parle en général, sachant bien qu’un Romier, un Bainville
13
les partis, on comprendra ce que je veux dire. Il
faudrait
balayer, — et mettre qui à la place ? Nos penseurs, nos écrivains ont
14
s émules de Barrès comme chez ceux de Gide, qu’il
faut
préciser. L’éthique et l’esthétique convergent dans la littérature d’
15
raphe de toute la littérature moderne. Il n’a pas
fallu
longtemps aux Français pour pousser à bout l’expérience3. Ingénieux é
16
fait à Dieu », disait Drieu la Rochelle. Mais il
faudra
bien se remettre à manger, tout de même nous avons un corps, et c’est
17
ite que prétendent mener les surréalistes, il n’a
fallu
que le temps pour une folie de s’emballer. La plupart des romans de j
18
génération de cobayes » remarque Paul Morand.) Il
faut
agir, ou bien être agi. Donner une conscience à l’époque, ou se défai
19
pas de la Société ; ils savent que pour lutter il
faut
des armes et ne méprisent pas la culture ; sans autre parti pris que
20
tement résolu dès les premières pages, mais qu’il
faut
louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-je que l’abus des
21
sacrée, le Secret professionnel, etc.) Sans doute
faudrait
-il préciser ce qu’il entend par ordre, et montrer que si cet ordre l’
22
on sous cet aspect comme sous les autres, il nous
faut
mieux que des dictateurs : des Architectes, de l’esprit et de la mati
23
je ne sais plus… Je suis beaucoup de personnages,
faudrait
choisir. Vous me direz qui je suis, mes amis ; quel est le vrai ? — I
24
Mais c’est encore une question… Je crois qu’il ne
faut
pas attendre immobile dans sa prière, qu’une révélation vienne cherch
25
éparerai les voies. Agir ? Sur moi d’abord. Il ne
faut
plus que je respecte tout en moi. Je ne suis digne que par ce que je
26
à sa sauvegarde ou à sa transformation. Mais il y
faut
une doctrine, me dit-on. L’avouerai-je, quand je médite sur une doctr
27
est se surpasser). J’entends des phrases qu’il ne
faut
pas encore comprendre — tout est si fragile —, mais je sais quelle lé
28
ens envahi par un rythme impérieux au point qu’il
faut
que certaines voix en moi taisent leur protestation, étouffées par de
29
si souvent le cas, mais bien sur l’Orient. Encore
faut
-il s’entendre : les meilleurs documents sur l’Orient sont les œuvres
30
ers humain ». M. Fernandez a tout le talent qu’il
faut
pour lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un critique qui sa
31
rale et l’esthétique modernes. Et à ce propos, il
faut
souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’œuvre de Gide, qui p
32
s taurologiques avec lesquels, pour communier, il
faudrait
sans doute être né sous le signe du Taureau. Mais il sera pardonné à
33
e sourire, on le sent ; pourtant l’on sourit : il
faut
bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé, spirituellement
34
he prendre corps parmi les ruines de ce temps. Il
fallait
bien tirer quelque vertu d’une anarchie dont on ne veut pas avouer qu
35
avons vécu jusqu’à tel jour de notre jeunesse, il
faudrait
pouvoir sauter hors de soi. Seule, une méthode d’observation et de dé
36
ent-ils chaque fois qu’ils ne comprennent pas. Il
faudrait
s’entendre. Et, ici encore, prenons garde de confondre le plan littér
37
sincérisme. C’est plus exactement faillite qu’il
faudrait
. Faillite de toute introspection, en littérature et en morale. Imposs
38
trait moral : je me compose plus laid que nature.
Faut
-il conclure avec Gide : « L’analyse psychologique a perdu pour moi to
39
as extrême d’un Crevel nous montre assez ce qu’il
faut
penser2. Il ne s’en suit pas que contenue dans des limites assez étro
40
et, bientôt, incapacité d’agir efficacement. (Il
faut
, pour sauter, une confiance dans l’élan qui échappe à toute analyse p
41
la sincérité presque pure de cet âge. Mais il le
faut
dépasser.) Si j’en crois l’intensité d’un sentiment intime, ce moi
42
............................. Le vent se lève, il
faut
tenter de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste lucidité
43
eu mieux quand vous aurez lu nos huit numéros. Il
faut
que notre revue reste cette chose unique et indéfinissable, comme tou
44
qualités et des défauts pareillement énormes. Il
faut
remonter loin dans notre littérature pour trouver semblable dominatio
45
iper le charme perfide qui les tourmente. Mais il
faudrait
d’abord qu’ils se soient délivrés d’eux-mêmes pour que ce mot, ce ges
46
e, mais vrai. » (Les journaux.) Mademoiselle, Il
faut
d’abord que je m’excuse : c’est un peu prétentieux de vous écrire au
47
t plus que vous n’y croirez pas — et pourtant… Il
faut
aussi que je vous dise qu’il fait très froid dans ma chambre : le feu
48
e en route dans l’ascenseur descendant… Il aurait
fallu
monter, mais l’idée de vous trouver peut-être assise en face de votre
49
élait soudain un trait de votre visage. Il aurait
fallu
courir après celle-là qui venait de tourner à l’angle de cette rue et
50
il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin… Il
faudrait
que je dorme : il n’y aurait plus rien. 4. Encore un qui vous aime,
51
e, par exemple, serait un poète surréaliste. « Il
faut
jeter une bombe, dit-il, il faut obtenir un scandale. Il faut un de c
52
urréaliste. « Il faut jeter une bombe, dit-il, il
faut
obtenir un scandale. Il faut un de ces orages qui rafraîchissent l’ai
53
ne bombe, dit-il, il faut obtenir un scandale. Il
faut
un de ces orages qui rafraîchissent l’air. » Il prétend « traquer l’i
54
r : il l’a trop bien organisé. En somme, ce qu’il
faut
reprocher à Cocteau, c’est d’avoir réussi complètement une pièce, pro
55
Messieurs, disait Dardel, y a pas à tortiller, il
faut
faire quelque chose. Nous devons, nous pouvons faire quelque chose. Q
56
verie d’un homme qui en sait long… Et, certes, il
faut
être un peu mage pour porter tant de richesses avec cette mélancoliqu
57
(mars 1927)i Surprendre est peu de chose, il
faut
transplanter. Max Jacob. Ce soir-là, le programme comprenait : un fi
58
mais accueille le résultat avec la naïveté qu’il
faut
, approuve et dit : « C’est bien ça, c’est comme quand on rêve. » Un d
59
ce sont là critiques de style. D’ores et déjà, il
faut
admirer dans les films de René Clair un sens du miracle assez bouleve
60
aniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)ag Il
faut
souhaiter que ce témoignage sur les générations nouvelles et leurs ma
61
is c’est pour détourner nos regards de cela qu’il
faut
bien nommer le Vide. Tant de séductions nous ont en vain tentés, ô to
62
ux qu’on attendra : pour que cela eût un sens, il
faudrait
être sûr de n’avoir pas la tête en bas par rapport au soleil. Quelque
63
ragon, sinon qui ? — sa grandeur, c’est qu’il lui
faut
atteindre Dieu ou n’espérer plus aucun pardon. II Novembre 1926
64
l’incommunicable secret de l’invention. Il nous
faut
des entrepreneurs de tempêtes. Un grand principe de violence command
65
éfauts mêmes ou ses fausses négligences ; mais il
faut
pour comprendre cet art emprunter de singuliers chemins d’accès. Ce q
66
e ces machines à explorer l’au-delà. En vérité il
faut
être sorcier ou artiste pour changer en instruments métaphysiques ces
67
au sérieux en France par quelques jeunes gens. Il
faut
louer Drieu d’avoir échappé au surréalisme en tant qu’il n’est que le
68
s qui sont parfois des actions en puissance15. Il
faudrait
des choses plus lourdes et plus irrésistibles, percutantes. Qui vous
69
eux pour caractériser tout lyrisme germanique, il
faudra
opposer l’excellent petit livre d’Edmond Jaloux. C’est un recueil de
70
ement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il
fallut
se lever, traverser le café dans la musique et la rumeur des clients.
71
chose. Je suis plein de rêves, certains soirs. Il
faut
pourtant rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me regarde avec
72
rêve, dans l’utopie, dans une belle doctrine… Il
faudrait
d’abord prendre conscience du péril. Nous ne tentons rien d’autre ici
73
es d’autos. Seulement, pour pouvoir continuer, il
faut
vendre ; dans l’intérêt de la production, il faut créer la consommati
74
faut vendre ; dans l’intérêt de la production, il
faut
créer la consommation. La réclame s’en charge. Par le procédé très si
75
déterminé par la réclame, les produits Ford qu’il
faut
user, etc. Il a pour but véritable d’augmenter la consommation. Il re
76
icieux : plus la production s’intensifie, plus il
faut
créer de besoins et de loisirs. Or, l’industrie ne peut subsister qu’
77
est le fruit. On ne saurait mieux dire. Mais il
faudrait
en tirer des conséquences, alors que Ford passe outre et se remet à d
78
me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais qui
fallait
-il accuser de cette duperie, qui rendre responsable de ma déception,
79
le soleil, et même ailleurs. Croyez-moi, ce qu’il
faudrait
écrire, c’est une Vie simultanée de Gérard, qui tiendrait toute en un
80
e de la « vérité trop évidente » ; alors qu’il la
faudrait
, sans rien fausser, transcender… aw. « Daniel-Rops : Le Prince ment
81
on temps, sa petite part. On lui a expliqué qu’il
fallait
la mériter et tâcher de devenir quelqu’un. En d’autres termes, on lui
82
qu’on ne comprend que ce qu’on dépasse ? Et qu’il
faut
sortir de soi pour se voir ? Il y a dans l’homme moderne un besoin d
83
propos de rien, Stéphane pense avec fièvre : « Il
faudrait
briser tous les miroirs. Alors tu te verrais en vérité. Peut-être te
84
aconte sa vie avec une émouvante simplicité et il
faudrait
avoir la grossièreté de lui répondre d’un air connaisseur que c’est b
85
de poèmes est comme une initiation au silence. Il
faut
s’en approcher avec une douceur patiente, et le laisser créer en nous
86
e fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs…
Faut
-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soud
87
tive poétique de Rimbaud, l’on s’étonne qu’il ait
fallu
plus d’un demi-siècle pour qu’une telle interprétation voie le jour.
88
ais ces affirmations sont exactement celles qu’il
fallait
attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda,
89
Avant-propos Le dire une bonne fois. Il ne
faut
pas songer à décrire en quarante petites pages tous les méfaits de l’
90
t… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il
fallait
si soigneusement séparer les calculs du raisonnement, par une barre v
91
acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il
faut
que tous fassent la même chose, ici ! » Dans la suite, on se chargea
92
contre moi-même à cause des autres desquels il ne
fallait
pas différer, profondément hypocrite donc, et le cerveau saturé d’évi
93
ent la cause déterminante de notre malaise. Il me
fallut
un certain temps pour m’habituer à cette idée. Je tenais cette clef e
94
e égaux en tout ? Et la première réponse fut : Il
faut
que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et étende ses conqu
95
à une élite responsable, cela se voit de loin. Il
faut
dire que ce ridicule n’échappe pas à ceux qu’ils méprisent le plus, e
96
te n’est pas toujours l’esprit de vérité, il s’en
faut
. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à la tranquilli
97
u deux autres bêtises de cette épaisseur, mais il
faut
reconnaître que jamais on n’avait songé à leur donner une extension u
98
t qu’on ne peut laisser aux élèves le temps qu’il
faut
pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâcher leur t
99
t insuffisantes pour former le petit citoyen : il
faut
que l’enseignement tout entier soit occasion de développer les vertus
100
u apporter de la science. Mais c’est un art qu’il
faudrait
. Sinon l’on retombera dans des absurdités. On a créé par exemple des
101
spirituelle. Qui sait ?… En attendant, puisqu’il
faut
attendre, je salue ces jeunes gens qui appliquent avec ferveur les pr
102
’irait pas sans quelque indécence. Et d’abord, il
faut
pouvoir lire, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, v
103
oter et truquer légalement les votes. Ensuite, il
faut
de l’histoire, et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi c
104
e, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensuite, il
faut
une discipline sévère dès l’enfance pour façonner des contribuables i
105
façonner des contribuables inoffensifs. Enfin, il
faut
un nombre considérable de leçons, et le plus longtemps possible, pour
106
était liée aux intérêts de la démocratie. Car il
faut
bien se représenter qu’elle n’était encore au xviiie siècle qu’une u
107
ure une véritable révolution scolaire ; car il ne
faudrait
pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les gouvernements
108
on. Or il semble bien que nous en soyons-là, s’il
faut
en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes parts. Mai
109
travaux forcés. L’école donne à l’enfant ce qu’il
faut
pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il est promis. Ma
110
i a meilleure façon que le reste, pensez-vous. Il
faut
avouer qu’avec ce je ne sais quoi de déclamatoire, de… journalistique
111
d’avoir inventé un instrument de progrès : encore
faut
-il le mettre en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de routes
112
conformisme de la curiosité. Il est vrai qu’il ne
fallait
pas moins pour assurer la sécurité d’un régime établi dans des fauteu
113
e, est un ramassis de lieux communs. Mais il s’en
faut
, hélas, de beaucoup que la majorité des électeurs les considèrent com
114
oncevait à la place de la royauté absolue. Il eût
fallu
certes une imagination prodigieuse au dit sujet pour se représenter m
115
’une civilisation aux ordres de l’Esprit. Mais il
faudrait
que dès maintenant se constituent ces élites, et cela ne se peut que
116
ne réforme suffisante. C’est une révolution qu’il
faut
. Alors, supprimer les écoles, raser les collèges, renvoyer les instit
117
c’est cela, préparer le terrain. D’autre part, il
faut
partir de ce qui est. Mais comment retourner contre l’ennemi ses prop
118
n’importe qui juge et contrôle n’importe quoi, il
faut
bien inventer des dessous pour redonner quelque saveur à ses jugement
119
Avant-propos Le dire une bonne fois. Il ne
faut
pas songer à décrire en 50 petites pages tous les méfaits de l’instru
120
t… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il
fallait
si soigneusement séparer les calculs du raisonnement, par une barre v
121
acides, et naturellement, la phrase sacrée : « Il
faut
que tous fassent la même chose ici ! » Dans la suite, on se chargea d
122
contre moi-même à cause des autres desquels il ne
fallait
pas différer, profondément hypocrite donc, et le cerveau saturé d’évi
123
ent la cause déterminante de notre malaise. Il me
fallut
un certain temps pour m’habituer à cette idée. Je tenais cette clef e
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e égaux en tout ? Et la première réponse fut : Il
faut
que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et étende ses conqu
125
à une élite responsable, cela se voit de loin. Il
faut
dire que ce ridicule n’échappe pas à ceux qu’ils méprisent le plus, e
126
te n’est pas toujours l’esprit de vérité, il s’en
faut
. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à la tranquilli
127
u deux autres bêtises de cette épaisseur, mais il
faut
reconnaître que jamais on n’avait songé à leur donner une extension u
128
t qu’on ne peut laisser aux élèves le temps qu’il
faut
pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont forcés de gâcher leur t
129
t insuffisantes pour former le petit citoyen : il
faut
que l’enseignement tout entier soit occasion de développer les vertus
130
u apporter de la science. Mais c’est un art qu’il
faudrait
. Sinon l’on retombera dans des absurdités. On a créé par exemple des
131
spirituelle. Qui sait ?… En attendant, puisqu’il
faut
attendre, je salue ces jeunes gens qui appliquent avec ferveur les pr
132
’irait pas sans quelque indécence. Et d’abord, il
faut
pouvoir lire, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, v
133
oter et truquer légalement les votes. Ensuite, il
faut
de l’histoire, et de l’instruction civique, pour qu’on sache à quoi c
134
e, pour qu’on sache à quoi cela rime. Ensuite, il
faut
une discipline sévère dès l’enfance pour façonner des contribuables i
135
façonner des contribuables inoffensifs. Enfin, il
faut
un nombre considérable de leçons, et le plus longtemps possible, pour
136
était liée aux intérêts de la démocratie. Car il
faut
bien se représenter qu’elle n’était encore au xviiie siècle qu’une u
137
ure une véritable révolution scolaire ; car il ne
faudrait
pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les gouvernements
138
on. Or il semble bien que nous en soyons-là, s’il
faut
en croire les signes de révolte qui apparaissent de toutes parts. Mai
139
travaux forcés. L’école donne à l’enfant ce qu’il
faut
pour se résigner à l’état de citoyen bagnard auquel il est promis. Ma
140
i a meilleure façon que le reste, pensez-vous. Il
faut
avouer qu’avec ce je ne sais quoi de déclamatoire, de… journalistique
141
d’avoir inventé un instrument de progrès : encore
faut
-il le mettre en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de routes
142
conformisme de la curiosité. Il est vrai qu’il ne
fallait
pas moins pour assurer la sécurité d’un régime établi dans des fauteu
143
e, est un ramassis de lieux communs. Mais il s’en
faut
, hélas, de beaucoup pour que la majorité des électeurs les considèren
144
oncevait à la place de la royauté absolue. Il eût
fallu
certes une imagination prodigieuse au dit sujet pour se représenter m
145
’une civilisation aux ordres de l’Esprit. Mais il
faudrait
que dès maintenant se constituent ces élites et cela ne se peut que s
146
ne réforme suffisante. C’est une révolution qu’il
faut
. Alors, supprimer les écoles, raser les collèges, renvoyer les instit
147
c’est cela, préparer le terrain. D’autre part, il
faut
partir de ce qui est. Mais comment retourner contre l’ennemi ses prop
148
n’importe qui juge et contrôle n’importe quoi, il
faut
bien inventer des dessous pour redonner quelque saveur à ses jugement
149
amata, Saisons suisses (mars 1930)be Peut-être
faut
-il venir du Japon pour accueillir du premier regard, dans un matin pl
150
roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires. Il y
fallait
cette féminité ingénue et précieuse, toujours prête à épouser tout le
151
lique. Servir leur paraît ridicule. Soit, mais il
faudrait
donner une œuvre. Il faudrait créer, si rien n’existe qui vaille qu’o
152
cule. Soit, mais il faudrait donner une œuvre. Il
faudrait
créer, si rien n’existe qui vaille qu’on s’y dévoue. Mais quoi ! cela
153
n ni disciple de Nietzsche, demandera pourquoi il
faut
faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme démontré. 9. Enfin
154
rébucher dans les méandres de notre chemin : « Il
faut
se perdre pour se retrouver », nous enseigne une doctrine en vérité m
155
frei’n, Dann muss sie am Rheine Geboren sein… Il
faudrait
la mélodie. La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les collines
156
s’y sont trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il
fallait
voir en Lautréamont « le maître des écluses pour la littérature de de
157
Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il
faudrait
réveiller tant de beautés redoutables pour atteindre la dernière chai
158
ione, ce « Portrait d’un homme » devant lequel il
faut
se taire pour écouter ce qu’il entend. 3. Au tombeau de Gül Baba
159
le lendemain, m’échappant du programme, il a bien
fallu
que je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-o
160
. Doutes sur la nature du Sujet Je crois qu’il
faut
que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord
161
up de nouilles. Mais voici, par exemple, ce qu’il
faudrait
essayer d’obtenir : que la grande majorité des gens ne deviennent pas
162
société est fondée sur la peur du risque. 13. Il
faut
ajouter aux autres causes de l’incompréhension des journalistes la ru
163
mbre 1930)bj 11. Le retour d’Esztergóm Il
faut
se pencher aux portières et laisser l’air furieux emmêler les cheveux
164
et en effet, que serait un lyrisme distingué ? Il
faut
choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à
165
vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il
faut
voler plus vite pour rattraper ces apparences adorables… Si je « lâch
166
onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il
faut
d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le
167
es appellent leur désert, — cette zone vide qu’il
faut
traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pa
168
oyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il
faut
voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à
169
u’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il
fallait
aller le voir ! La vie est presque partout la même… — Mais en voyage
170
trangement mêlées. 18. Les clefs perdues Il
faudrait
sortir à l’air frais, mais chaque porte est obstruée par un douanier,
171
. Est-ce encore un rêve ? Je comprends bien qu’il
faudrait
ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier cons
172
est certain : qu’il existe des signes. Peut-être
faut
-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est alors seulement
173
qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il
faut
connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître, alors qu’au
174
i saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il
fallait
attendre pour aimer !… Je me souviens de ces terrains de sable noir,
175
uelques remarques nous placent sous l’angle qu’il
faut
pour situer le petit livre de M. P. Nizan12, dans sa perspective la p
176
égitime… — Nous pensions vie intérieure, quand il
fallait
penser dividendes, impérialisme, plus-value. — Qui donc nous aurait r
177
nt bourgeois, enfant du loisir économique, il lui
faudra
se réfugier dans la sphère des abstractions les plus exsangues. Je pe
178
parlé de Vérité, ce sont des réussites qu’il nous
faut
. Saluons enfin le règne de l’homme ! » Mais le chrétien, qui sait un
179
initive, les éléments d’un art protestant. Il eût
fallu
peut-être qu’un plus grand nombre d’artistes exposassent pour qu’une
180
. Espérons qu’un prochain salon, organisé s’il le
faut
dans de plus vastes locaux, pourra donner accès à un ensemble aussi c
181
it d’abord une définition nette de notre foi : il
faut
qu’on sache sans équivoque ce qu’est le protestantisme avant de pouvo
182
seconde, ovationné à la dernière, Keyserling, il
faut
le reconnaître, a su, par trois fois, tenir en haleine une salle énor
183
uvaient préparés pour en jouir convenablement. Il
faut
organiser la conquête et la distribution de ces biens : d’où la techn
184
e. — Elle l’est presque, mais pas tout à fait. Il
faut
l’accepter. Songez à l’agonie du Jardin des Oliviers. Blanche se souv
185
e. On se convertit simplement. (Simplement…) — Il
faut
souligner cette insuffisance du vocabulaire religieux. 19. Soulignon
186
, il mourut. Comme Hamlet. » Et voici comment il
faut
situer Kierkegaard dans notre Panthéon spirituel : Kierkegaard fut l
187
nous donner un livre bien utile22. En vérité, il
fallait
une sorte d’intrépidité pour entreprendre cette « traversée » de deux
188
atmosphère des hauteurs, que l’air y est vif. Il
faut
être créé pour cette atmosphère, sinon l’on risque beaucoup de prendr
189
étiens. Tant mieux si ce livre nous passionne. Il
faudrait
surtout qu’il nous trouble. ⁂ L’autobiographie de Toyohiko Kagawa, pu
190
articulièrement importante. Il avait appris qu’il
faut
avoir une volonté de fer, lorsqu’on tombe dans la lie de la société.
191
les penchants humains, s’y soustrait quand il le
faut
pour mieux vivre et n’en fait jamais une affaire. Homme terriblement
192
oujours à l’effarante sincérité de ce récit qu’il
faut
revenir, si l’on veut d’un mot le caractériser. Parmi les innombrable
193
Il se disait que ce n’était pas dans la mer qu’il
fallait
se jeter, mais dans les merveilles du monde. Et voici que, le 14 févr
194
qu’il espère. Par incompétence radicale. Ce qu’il
faut
certainement déplorer, c’est de le voir utiliser des dons incomparabl
195
n’est plus de certaines complaisances ? Pourquoi
faut
-il que l’image de cet aviateur m’évoque la fable : « Je suis oiseau,
196
, c’est un « André Gide vu de Genève » qu’il nous
faudrait
. M. Martinet a pris pour épigraphe la citation suivante, empruntée à
197
rançaise n’avait été irrésistible, avait ce qu’il
fallait
pour devenir une manière de Genève maritime, de Hollande atlantique :
198
ité parce qu’il est vraiment souverain. Peut-être
faut
-il reconnaître à ce seul philosophe le privilège d’avoir parlé sans c
199
sner, comme aussi de son apparente obscurité1. Il
faut
savoir être secret pour penser avec autorité. Il faut savoir taire ce
200
savoir être secret pour penser avec autorité. Il
faut
savoir taire ce qui permettrait aux indiscrets de comprendre intellec
201
mprendre intellectuellement sans « réaliser ». Il
faut
que les pensées créées ne soient concevables qu’en elles-mêmes et com
202
semblable à celui des athées, — au lieu qu’il eût
fallu
du premier coup le dénoncer, comme radicalement contraire à notre foi
203
tocritique à la fois peureuse et agressive ? Il y
faudrait
une puissance décuplée, excessive, et qui, par la force des choses, t
204
angélisme dans sa pureté, héroïque ou sereine, il
faudrait
pour en douter que l’on ait oublié les plus grands noms : Milton, Bac
205
au sein d’une nature hostile, de sorte qu’il lui
faut
sans cesse s’efforcer, ne connaissant que peu de repos de son adolesc
206
re des Écritures. La Fin des Temps est proche, il
faut
en témoigner. À tous il tend la Parole « morte aux pages », mais voic
207
et efficace des choses les plus simples. Mais il
faut
dire maintenant l’actualité tout à fait singulière d’un tel livre. Il
208
t l’on s’attire pourtant une responsabilité. » Il
faut
bien constater que plusieurs générations2 cultivèrent ce défaut d’exi
209
’Éthique ne commence pas dans une ignorance qu’il
faudrait
muer en savoir, mais dans un savoir qui exige sa réalisation ». Phras
210
s l’appliquer. Comment le pourraient-ils ? Car il
faut
qu’un idéal ait « pris corps » pour qu’il devienne « applicable ». On
211
imaginer de « réalisation » que sociale : car il
faut
bien qu’on s’y mette à plusieurs, — rassurante perspective, puisqu’on
212
tions, d’oublis feints et de brusques retours. Il
faut
tout cela, et les mille petites souffrances de la souffrance, pour qu
213
re — mais ce n’est pas si simple que cela — qu’il
faut
avaler les idées7, et qu’une idée qui ne peut être mastiquée, puis av
214
e que par une qualité nouvelle de silence. Encore
faut
-il que le destin favorise concrètement cette assomption intérieure. P
215
ment le choix de Goethe a trouvé sa forme. Il lui
faudra
maintenant le renouveler perpétuellement durant toute sa vie. Et comp
216
ne parviendrait pas seule à le sauvegarder. Il y
faudra
le dressage de la souffrance. L’excès verbal de Werther couvre d’abor
217
e à étreindre. » C’est le cri même de Faust. « Il
faut
être absolument moderne. » Travailler. Se donner à l’instant, à cette
218
tire ses forces, toujours renouvelées. Mais il y
faut
une prudence peu commune, et même tellement soutenue qu’elle informe
219
pour soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il
faut
pour qu’elles puissent être de quelque avantage aux autres11… L’homme
220
rait à des jugements de valeurs humaines. Mais il
faudrait
mettre en balance une longue fidélité peut-être orgueilleuse, puisque
221
onte de n’être pas Rimbaud ?) Plus que jamais, il
faudrait
s’appliquer à distinguer dans ce vertige la réelle puissance d’une vo
222
à-dire : à l’actualisation de notre réalité. « Il
faut
être absolument moderne ». 8. Conversations avec Eckermann, 4 févr
223
e des données religieuses. Mais, d’autre part, il
faudrait
un libéralisme dont nous nous sentons incapables pour admettre dans l
224
serait trahir. Si l’on veut agir sur l’époque, il
faut
d’abord avoir l’époque dans la peau ; c’est aujourd’hui en disant vit
225
utes et les plus quotidiennes à la fois. Car s’il
faut
une morale simple, nous ne saurions admettre que celle qui dirait : «
226
e, et pensez ce que vous n’oserez jamais faire. »
Faut
-il, pour d’autres, préciser que le manque d’originalité de telles rem
227
r, jusqu’à la fin de leurs loisirs fiévreux, s’il
faut
faire quelque chose, et comment et pourquoi. Ce que nous devons faire
228
. Ils sont devenus méchants comme des châtiés. Il
faut
que la violence soit saine, c’est-à-dire : d’abord spirituelle. « Le
229
ctorales, journalistiques ou philanthropiques. Il
faut
avouer que l’instrument révèle son insuffisance quand c’est un virtuo
230
comme dérivatif, assure son conformisme foncier ?
Faut
-il y voir une sorte de sublimation à rebours du sens de la révolte ?
231
utionnaires qui ne paraissent « pas très comme il
faut
», et, pour tout dire, « confusionnistes » à ces terroristes de café.
232
pourra nous être utile. Petits purs, petits purs,
faut
-il rire ou se fâcher ? Ceux qui se demandent si je suis bien « dans l
233
t qu’une forme polémique de la générosité. Hélas,
fallait
-il perdre une page à dire qu’ils ne méritent pas de vous dégoûter de
234
le vice de la « pensée désintéressée », et qu’il
faut
s’affranchir d’une « liberté » stérilisante. Ils ne voient pas à quel
235
devient possible ; ils ne voient pas encore qu’il
faut
choisir. Or, notre temps ne comporte qu’un choix profond : christiani
236
ont tort de penser ceci ou cela avec passion. Il
faut
encore leur donner d’autres objets de passion. Ou bien il faut leur r
237
eur donner d’autres objets de passion. Ou bien il
faut
leur rappeler des vérités d’un ordre tel que leur seule existence — s
238
st pas une férule : c’est un bon outil qu’il nous
faut
. Ce n’est pas son pessimisme que je reproche à M. Thierry Maulnier. (
239
bourgeois. C’est le prolétaire pour Marx. Il s’en
faut
de beaucoup que la notion du prolétaire marxiste, fondée sur des cons
240
à M. Hermann-Paul par l’actualité (peut-être même
faudrait
-il dire : par la nécessité) la plus brûlante : Américains et Allemand
241
ard, décoré, et qui ne sait pas la géographie. Il
faut
tout de même que nos camarades de la jeunesse allemande, qui s’en inq
242
d’une imbécillité proprement répugnante et qu’il
faudrait
qualifier de criminelle si elle n’était avant tout veule, plate et sé
243
et militaire qu’ils engendrèrent légitimement. Il
fallait
voir comment ces Messieurs de la Cour accueillaient certaines tirades
244
erte. Une carrière pour les réformistes ! Mais il
faut
rendre à Martin cette justice que sa muette intransigeance a bien plu
245
tenables les dernières ruses de la sécurité. ⁂ Il
faut
les entendre parler du « protestantisme ». Les uns l’accusent de fome
246
t. Il s’agirait de s’entendre ; mais pour cela il
faudrait
tout d’abord connaître la position du calvinisme dialectique en face
247
ir ?… — Paralysie. — Le salut qu’on lui offre, il
faudrait
qu’elle le paie du prix de l’âme même. On nous donne à choisir entre
248
ns pas l’homme tel qu’il est, sous prétexte qu’il
faut
se hâter, et qu’en Russie c’est en train de marcher. Nous jouerons to
249
illeurs la conception historique que l’on ait, il
faut
pourtant reconnaître que la personne est un facteur « décisif », sino
250
elques-uns22. Proposition antirévolutionnaire, il
faut
le dire, et niée par les faits dont elle se réclame implicitement, Lé
251
éalité qui seule peut garantir son être. — Encore
faut
-il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidie
252
mise en question réelle. Je la cherche. Ce qu’il
faut
pour légitimer un système d’idées en elles-mêmes justes et opportunes
253
es hommes éprouvent dans le fond de leur être. Il
faut
derrière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de fo
254
ue sous la forme d’une accusation personnelle. Il
faut
savoir entendre ce mutisme formidable. Je crois que seule la foi peut
255
’abord par leur frisson particulier. Mais il n’en
faut
pas plus pour ébranler le souvenir. Naissent alors des images champêt
256
les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourquoi
faut
-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’il ser
257
me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais qui
fallait
-il accuser de cette duperie, qui rendre responsable de ma déception,
258
air mystérieux qu’on prend ici à rester seul. Il
faudrait
se cacher dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Moza
259
attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il
faudrait
aller au bar installé dans une petite salle où trépigne un orchestre
260
se, et y boire des liqueurs transfigurantes, — il
faudrait
un miracle d’amour qui fasse pousser un grand cri à un homme qu’on ve
261
té est signe de sang mêlé. Ici comme ailleurs, il
faut
être conforme, au moins en apparence. Mais ce n’est pas à une routine
262
Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il
faudrait
réveiller tant de beautés redoutables pour atteindre la dernière chai
263
ands dieux ! je le vois bien, à tout prix il vous
faut
un prétexte avouable… On me demandera donc toujours des passeports ?
264
ione, ce « Portrait d’un homme » devant lequel il
faut
se taire pour écouter ce qu’il entend. iii Au tombeau de Gül Baba
265
mme admirable, nourrissant et officiel, il a bien
fallu
que je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-o
266
i Doutes sur la nature du sujet Je crois qu’il
faut
que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord
267
up de nouilles. Mais voici, par exemple, ce qu’il
faudrait
essayer d’obtenir : que la grande majorité des gens ne deviennent pas
268
ce dans l’air… xi Le retour d’Esztergom Il
faut
se pencher aux portières et laisser l’air furieux emmêler les cheveux
269
et en effet, que serait un lyrisme distingué ? Il
faut
choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à
270
vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il
faut
voler plus vite pour rattraper ces apparences adorables… Si je « lâch
271
onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il
faut
d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le
272
es appellent leur désert, — cette zone vide qu’il
faut
traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pa
273
oyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il
faut
voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à
274
u’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il
fallait
aller le voir ! — La vie est presque partout la même… — Mais en voyag
275
ngement mêlées. xviii Les clefs perdues Il
faudrait
sortir à l’air frais, mais chaque porte est obstruée par un douanier,
276
. Est-ce encore un rêve ? Je comprends bien qu’il
faudrait
ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier cons
277
est certain : qu’il existe des signes. Peut-être
faut
-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est alors seulement
278
qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il
faut
connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se
279
i saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il
fallait
attendre pour aimer ! Je me souviens de ces terrains de sable noir, p
280
sur la peur du risque. Je vis plutôt mal. 8. Il
faut
ajouter aux autres causes de l’incompréhension des journalistes la ru
281
e fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs…
Faut
-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeux soud
282
es buissons qui surplombent un sentier rapide. Il
faut
enjamber le portail rouillé, redescendre quelques marches enfouies so
283
s plus constamment provocants de son siècle, — il
faudra
s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus germaniques. J’ai t
284
marks que paie la Caisse de décès y suffiront. Il
faut
que chacun des participants s’en retourne avec cette conviction : « C
285
it se ferme à l’imagination, cette nuit qu’il eût
fallu
vivre tout entière et qui n’est plus bonne qu’à dormir… Alors j’ai eu
286
réhensible et d’une vulgarité toute naturelle. Il
faut
aller dormir. Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl, un soir
287
ei’n, Dann, muss sie am Rheine Geboren sein… (Il
faudrait
la mélodie.) La fanfare s’éloigne. La nuit est chaude sur les colline
288
ou bien c’est encore une gare en géraniums, et il
faut
bien la regarder, la vivre un moment. Ce train paraît destiné à la ré
289
, durant des heures sans dire un mot, — car il ne
fallait
pas effrayer le gibier sensible au moindre son de voix humaine. (Tout
290
hozes soviétiques. Dépersonnalisation du pouvoir.
Faut
-il le déplorer ? Tout jugement affectif s’évapore devant une évolutio
291
rébucher dans les méandres de notre chemin : « Il
faut
se perdre pour se retrouver », nous enseigne une doctrine en vérité m
292
s pousse un peu, vous finirez par démontrer qu’il
faut
être chrétien pour comprendre quoi que ce soit à la pluie et au beau
293
tu l’as possédé. Tu comprends maintenant qu’il ne
faut
pas choisir parmi tant de choses créées, mais seulement distinguer en
294
’abord par leur frisson particulier. Mais il n’en
faut
pas plus pour ébranler le souvenir. Naissent alors des images champêt
295
les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourquoi
faut
-il que notre langue les traduise, en vertu d’une convention qu’il ser