1
Signes paraissent sur la terre, les maladies, la
famine
, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journ
2
signes paraissent sur la terre, les maladies, la
famine
, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journ
3
se pour le premier plan quinquennal, alors que la
famine
régnait sur la Russie ; et l’écrasante majorité en faveur de l’Allema
4
la vocation d’une nation. C’est à la faveur d’une
famine
que les plus grandes nations de l’Europe moderne ont découvert le sen
5
se pour le premier plan quinquennal, alors que la
famine
régnait sur la Russie ; et l’écrasante majorité en faveur de l’Allema
6
la vocation d’une nation. C’est à la faveur d’une
famine
que les plus grandes nations de l’Europe moderne ont découvert le sen
7
se pour le premier plan quinquennal, alors que la
famine
régnait sur la Russie ; et l’écrasante majorité en faveur de l’Allema
8
l’Europe était la meilleure sauvegarde contre les
famines
locales. Développé en vue du bien commun, le commerce renaissant pouv
9
as du prolétariat industriel moderne : salaire de
famine
, chômage, nomadisme. Vers le milieu du xiiie siècle, cette classe, r
10
sur son bûcher, le komsomol accepte un salaire de
famine
s’il faut cela pour sauver l’URSS.) Mais l’eschaton chrétien est au-d
11
indispensable pour préserver les Allemands de la
famine
, mais au contraire ce qui est indispensable pour satisfaire et augmen
12
al, c’est celui que réclament non la misère et la
famine
, mais l’orgueil et la boulimie. Ce sont les blés moraves et les pétro
13
guerre a passé, les pauvres l’ont payée, de leur
famine
. Si vous prenez les armes, on vous écrasera, et vous perdrez votre se
14
ves de conserves. Car ce sera, je vous le dis, la
famine
et le bolchévisme ! » Cette dame s’occupe aujourd’hui, comme toutes s
15
Pourquoi ces sacrifices ? », il répond : « Ni la
famine
, ni la guerre, ni l’exil ne pourront être évités si nous gémissons sa
16
distribuée par l’État pour peuples relevant de la
famine
; régime clérical modéré pour démocraties non communistes ; un peu d’
17
distribuée par l’État pour peuples relevant de la
famine
; régime clérical modéré pour démocraties non communistes ; un peu d’
18
signes paraissent sur la terre, les maladies, la
famine
, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journ
19
l l’était vraiment pour ceux qui triomphaient des
famines
, des moustiques, des dysenteries et des Indiens. Ils avaient fui les
20
st-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la
famine
européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la mé
21
st-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la
famine
européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la mé
22
cave de conserves, car je vous le dis, ce sera la
famine
! Le bolchévisme ! Les gens comme nous seront liquidés ! » New Yor
23
euf fois sur dix. Survient la guerre, survient la
famine
hitlérienne. Comment se peut-il qu’il ne s’effondre pas ? J’imagine q
24
st-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la
famine
européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la mé
25
indispensable pour préserver les Allemands de la
famine
, mais au contraire ce qui est indispensable pour satisfaire et augmen
26
al, c’est celui que réclament non la misère et la
famine
, mais l’orgueil et la boulimie. Ce sont les blés moraves et les pétro
27
cave de conserves, car je vous le dis, ce sera la
famine
! Le bolchévisme ! Les gens comme nous seront liquidés ! ». New Yo
28
euf fois sur dix. Survient la guerre, survient la
famine
hitlérienne. Comment se peut-il qu’il ne s’effondre pas ? J’imagine q
29
st-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la
famine
européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la mé
30
rriront par montagnes dans un pays, tandis que la
famine
régnera dans un autre. Je n’ai d’autre ambition, ici, que d’attirer
31
l l’était vraiment pour ceux qui triomphaient des
famines
, des moustiques, des dysenteries et des Indiens. Ils avaient fui les
32
îtes de conserve, car ce sera, je vous le dis, la
famine
et le bolchévisme. » Cette dame s’occupe aujourd’hui, comme toutes se
34
l y a de l’indécence à parler de culture quand la
famine
sévit » : tonnerre d’applaudissements et toute la presse pour vous. J
35
u’on dit, objectivement, et logiquement aussi. La
famine
, en effet, a régné sur la Terre depuis qu’il y a des hommes, et qui n
36
t qu’il subsiste parmi nous de la misère et de la
famine
», il n’y aurait point de civilisation. S’il n’y avait point de civil
37
s serions sans moyens techniques de remédier à la
famine
. Ce n’est pas un démagogue, ni même un philanthrope, c’est un savant
38
r dans un pays comme l’Inde, sans cesse menacé de
famine
. Et cela vaut aussi, bien entendu, pour les pays qui ont surtout faim
39
ui ont surtout faim de liberté. c. « Culture et
famine
», Preuves, Paris, n° 9, novembre 1951, p. 3.
40
culture tant qu’il subsiste de la misère et de la
famine
, il n’y aurait point de civilisation ; s’il n’y avait point de civili
41
serions sans moyens techniques pour remédier à la
famine
. J’en trouve une preuve de plus dans le journal de ce matin. C’est un
42
est du Kashmir. Prenez enfin l’affaire du blé. La
famine
menace au Bihar. On demande l’aide des États-Unis, on critique en mêm
43
st-il besoin de la bombe, et des grèves, et de la
famine
européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la mé
44
guerre européenne constituait donc une menace de
famine
rapide, même si la neutralité devait être une fois de plus respectée.
45
nts des pays éprouvés par les bombardements ou la
famine
. En 1945, l’œuvre du « Don suisse » en faveur des victimes de la guer
46
» de la Nature. Il peut virtuellement dominer la
famine
(machines agricoles, engrais, aliments synthétiques, chlorella, photo
47
e ils sont, dans leur « sagesse » intacte et leur
famine
, mais de déclarer nos valeurs ? Ils nous obligent à nous interroger s
48
» de la Nature. Il peut virtuellement dominer la
famine
(machines agricoles, engrais, aliments synthétiques, chlorella, photo
49
sibilité de vaincre, au moyen de la technique, la
famine
endémique et la Nature hostile, et d’assurer le confort du genre huma
50
s serions sans moyens techniques de remédier à la
famine
. Mais il y a plus. Adopter les besoins techniques comme base d’entent
51
e ils sont, dans leur « sagesse » intacte et leur
famine
, mais de déclarer nos valeurs ? Ils nous obligent à nous interroger s
52
ouverain pourrait encore garantir ses États de la
famine
. Mais pour faire cesser les guerres, il faudroit qu’un autre Henri IV
53
« On n’avait jamais été plus plaisant à propos de
famine
. » Sa correspondance avec Mme d’Épinay reflète les propos que pouvaie
54
sur son bûcher, le komsomol accepte un salaire de
famine
s’il faut cela pour sauver l’URSS.) Mais l’eschaton chrétien est au-d
55
nt illusoire, et peut même aggraver rapidement la
famine
qu’elle voulait prévenir à n’importe quel prix, fût-ce au prix de l’â
56
matériellement. Si un peu de technique a créé la
famine
, beaucoup plus de technique assimilée par un effort éducatif et cultu
57
traditionnels ne fonctionnent plus. La peste, la
famine
et la guerre déjà neutralisées ou en voie de l’être, restent les disc
58
né Suisse) dériverait de celui des Suédois qu’une
famine
aurait chassés de leur péninsule et qui se seraient établis au centre
59
augmenter la beauté de notre Terre, à diminuer la
famine
, à lutter contre la pauvreté ou pour une meilleure hygiène. Pourquoi
60
de réprobation sociale, d’exil, d’obscurité et de
famine
. Un jour, on lui a demandé de parler à Plymouth : il ne peut arriver
61
ontre les dangers que représentent la nature, les
famines
, les maladies. Tandis que depuis le milieu du xxe siècle, il y a eu
62
matériellement. Si un peu de technique a créé la
famine
, beaucoup plus de technique assimilée par un effort éducatif et cultu
63
prolifération d’insectes dans les récoltes, d’où
famine
pour les masses chinoises, est-ce un produit spécifique du communisme
64
l’inflation, le chaos monétaire, la pollution, la
famine
dans le tiers-monde, l’urbanisation sauvage, les problèmes de défense
65
ir, des eaux, des sols, catastrophes écologiques,
famines
continentales, — accroissement rapide de l’écart entre le niveau de v
66
ques nouvelles, des épidémies sans précédent, des
famines
continentales, et finalement des effondrements massifs de la populati
67
— résulte d’une mauvaise gestion de la planète :
famine
et pollution, pillage des ressources naturelles non renouvelables, su
68
hnique et industrie, qui ont causé surpopulation,
famines
, pollution des océans et de l’atmosphère, déséquilibre économique cro
69
ions les plus pauvres du tiers-monde, 2°) par des
famines
continentales, 3°) par la pollution des océans, et 4°) par la crimina
70
ncore plus destructeurs qu’auraient sans elle les
famines
continentales ou une diminution catastrophique de l’oxygène par suite
71
a répartition de l’énergie, de la lutte contre la
famine
, des mesures contre la pollution des océans, ou du maintien à tout pr
72
posent à l’échelle mondiale — énergie, pollution,
famine
, paix. C’est entre ces termes extrêmes que se pose en permanence, dep
73
t pas toujours de notre faute. Ils souffraient de
famine
quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, mais en bien
74
, et d’abord de son explosion démographique, d’où
famine
, mais d’où soif aussi de nos industries, il est non moins vrai que l’
75
laisser exploiter, continuera-t-il à accepter les
famines
dues aux monocultures imposées par la société industrielle occidental
76
ncent dans les pays industriels, cependant que la
famine
s’installe dans le tiers-monde. Des remèdes existent, et tout le mond
77
ire la différence entre une récolte normale et la
famine
. Le plomb et le mercure s’accumulent rapidement sur la calotte glacia
78
le hydrographique. Les sécheresses produisent les
famines
tout comme les crues du Nil produisaient l’abondance avant le barrage
79
e tiers-monde non seulement dans sa chair, par la
famine
, mais dans son âme, par tout ce qu’impliquent et transportent nos mac
80
de pêcheries prestigieuses, mais probablement des
famines
qui ravagent aujourd’hui l’Afrique noire. Des variations de 2 à 5 % d
81
es bouleversements, guerres, révolutions, crises,
famines
, désorganisation sociale, aboutissant à l’atonie générale, ou à la pr
82
prolifération d’insectes dans les récoltes, d’où
famine
pour les masses chinoises, est-ce un produit spécifique du communisme
83
t pas toujours de notre faute. Ils souffraient de
famine
quand nous n’étions pas nés. Ils meurent encore de faim, mais en bien
84
, et d’abord de son explosion démographique, d’où
famine
, mais d’où soif aussi de nos industries, il est non moins vrai que l’
85
leur chance ! Mais si ces deux tiers souffrent de
famine
, c’est précisément à cause du type de croissance que les pays riches
86
Bangladesh prévoient un taux annuel de morts par
famine
se traduisant par plus de 20 millions dans les années 1980, jusqu’à c
87
simple. Déséquilibres démographiques, pénuries et
famines
, monopoles étrangers conduisant à des formes diverses d’asservissemen
88
it nous mener de crise en crise et de pénuries en
famines
au désastre final de la guerre nucléaire, ne serait-il pas temps de c
89
d’un productivisme indéfiniment accru au prix de
famines
dans le tiers-monde ; 2° réduire le gaspillage d’énergie payé au prix
90
s nos pollutions et nos technologies fauteuses de
famines
. 7. G. Boas et A. Lovejoy, Primitivism and related Ideas in Antiqui
91
, tout se met en place pour le final : « Entre la
famine
et la guerre, nous n’aurons pas le choix : il faudra subir les deux.
92
l y aura chaque année vingt millions de morts par
famine
à partir de l’année 1980, autrement dit dès maintenant. Ceci « Jusqu’
93
ir en aide au tiers-monde dans sa lutte contre la
famine
et sa passion de copier et de s’approprier les causes mêmes de notre
94
oduit à la fois l’accroissement des besoins et la
famine
dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du pétrole et l’épuiseme
95
ir en aide au tiers-monde dans sa lutte contre la
famine
et la désertification. Ce qui revient à dire qu’en fait aucun de nos
96
oduit à la fois l’accroissement des besoins et la
famine
dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du pétrole et l’épuiseme
97
ir en aide au tiers-monde dans sa lutte contre la
famine
et la désertification, causées par notre civilisation. Ce qui revient
98
Bangladesh prévoient un taux annuel de morts par
famine
de plus de 20 millions par an dans les années 1980, jusqu’à ce que l’
99
ésintégration sociale et culturelle ; pénuries et
famines
; monopoles étrangers conduisant à des formes diverses d’asservisseme
100
it nous mener de crise en crise et de pénuries en
famines
au désastre final de la guerre nucléaire, ne serait-il pas temps de c
101
ir en aide au tiers-monde dans sa lutte contre la
famine
et sa passion de copier et de s’approprier les causes mêmes de notre
102
truisant des millions d’hectares de culture, d’où
famines
, épidémies, révoltes vaines et meurtrières, etc.) 2° Que par suite le
103
es principales des dégâts aux sols et ensuite des
famines
dont vont souffrir et souffrent déjà des populations entières. C’est
104
antiques fatalités de la misère des masses et des
famines
périodiques dont chacun sait qu’elles accablaient depuis des siècles
105
ra, au Bangladesh, en Chine, en URSS bientôt, des
famines
comme l’humanité n’en avait jamais connu, et dont la cause générale n
106
avée, inflation et chômage en croissance jumelée,
famines
génocidaires, terrorisme endémique universel, le tout allant inélucta
107
se nourrir, une limite absolue demeure posée : la
famine
pour des classes ou des populations entières. Toute réflexion sur les
108
. Les mesures prises jusqu’ici contre les grandes
famines
régionales ont été au mieux décevantes et au pire dénoncées comme aut
109
ette population. Cf. Cambodge.) Qu’il s’agisse de
famine
déclarée, de pénurie générale dans une région, ou seulement de menace
110
spot) que dépendra l’issue de la lutte contre la
famine
en Afrique noire ou dans l’ex-Indochine. C’est d’une information honn
111
vivres et de médicaments aux peuples souffrant de
famine
ou d’épidémies suite à une guerre dite « civile » ou a quelque catast
112
it de projets de vente ; — qu’on ne parle plus de
famines
comme s’il s’agissait de fatalités ; — et qu’enfin qu’on ne parle plu
113
: inflation et chômage en Occident, dictatures et
famines
dans le tiers-monde. Mme de Staël, de nos jours, n’eût pas préconisé
114
vons des pénuries croissantes en Occident, et des
famines
dans le tiers-monde. — L’informatique nous propose aujourd’hui de « p
115
vons des pénuries multipliées en Occident, et des
famines
dans le tiers-monde ; — l’informatique nous propose aujourd’hui de «
116
la crise terrible dans laquelle nous entrons, les
famines
, etc. Nous, nous nous consacrons à l’agriculture. » Faire de l’agricu
117
ir en aide au tiers-monde dans sa lutte contre la
famine
et sa passion de copier et de s’approprier les causes mêmes de notre