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ter les illusions de la panique primitive, et les
fantasmes
cruellement utilisés par tous les prêtres des faux dieux. Cette même
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ter les illusions de la panique primitive, et les
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cruellement utilisés par tous les prêtres des faux dieux et même du V
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teur chimique de la vocation d’une nation, ou des
fantasmes
de compensation qui en tiendrons lieu pour un temps. Si l’Europe d’au
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strie de l’auto qu’on oublie qu’elle est née d’un
fantasme
(au sens précis de la psychanalyse). D’où vient donc la technique, si
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trie de l’auto, qu’on oublie qu’elle est née d’un
fantasme
(au sens précis de la psychanalyse). D’où vient donc la technique, si
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ng des routes et des chemins dans les campagnes :
fantasme
typique de l’adolescence, qui est l’âge des fugues. Le jeune Ford le
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on des pères, de peur d’être « récupérés » par le
fantasme
qu’ils appellent « Système ». Nier le père ne résout pas le complexe
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is et consommé l’inceste, mais en transe, dans le
fantasme
et le rêve éveillé provoqués par le philtre, ce haschich de l’époque.
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stries. Or elle est née, cette industrie n° 1, du
fantasme
d’un adolescent fugueur, fasciné par l’idée de partir au hasard dans
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; la manipulation des désirs, des besoins et des
fantasmes
par la Publicité et la Télévision ; les ravages de la division du tra
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; la manipulation des désirs, des besoins et des
fantasmes
par la Publicité et la Télévision ; les ravages de la division du tra
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ou la Velléda des Martyrs, celle qui se prête aux
fantasmes
de l’homme. Le « héros » (comme on le dit encore des personnages de r
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œuvres en prison : il ne peut donc s’agir que de
fantasmes
, mais qui n’en sont que plus révélateurs de l’inconscient collectif d
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laires, la projection de nos narcissismes dans un
fantasme
collectif et la dilatation de nos petits moi dans un Nous triomphant
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de toutes les autres industries. Elle est née du
fantasme
d’un préadolescent fasciné par l’idée de partir au hasard des chemins
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re omnisciente mais de toute évidence imaginaire,
fantasme
typique du bourgeois qui ne sait pas qu’il est lui-même le fantasme d
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u bourgeois qui ne sait pas qu’il est lui-même le
fantasme
de l’ouvrier3. Tout mon livre repose sur l’idée simple de l’incarnati
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monuments seront traduites en « volapük ». À ces
fantasmes
, on ne saurait opposer que la réalité vérifiable des problèmes lingui
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e encore, de l’« Europe germano-américaine ». Ces
fantasmes
pourraient faire oublier — c’est peut-être leur seule explication — q
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du texte, c’est-à-dire de l’auteur, au profit des
fantasmes
plus ou moins œdipiens du metteur en scène ; la quasi-absence d’œuvre
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nous réduire au scepticisme, au fatalisme, et aux
fantasmes
conjugués du hasard et de la nécessité. Cependant méfions-nous : il y
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s, c’est-à-dire sur leurs imaginations, sur leurs
fantasmes
, sur leurs rêves éveillés ou nocturnes. Nous sommes manipulés par les