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its paysages, il dessinait des nus aux crayons de
fard
. C’était un peu plus Blanchet que Barraud, plus Picasso que Matisse ;
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veau venu, ou bien y distingue-t-on déjà, sous le
fard
, de vieilles rides bien connues ? À ces questions, l’ouvrage que René
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ec des mines fatales d’insomnies et des restes de
fard
aux joues. Nous dansions autour d’une flamme invisible à tout autre q
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ement imaginée pour plaire, comme il l’avoue sans
fard
, « à tous les partis ». (Rappelons que Tschudi fut d’abord un politic